« Plutôt souffrir que mourir, tel est la devise des hommes » de La Fontaine.
« Si l’homme a toujours préféré souffrir à mourir c’est qu’il a toujours l’espoir de voir le soleil se lever le lendemain. L’espoir d’un meilleur lendemain justifie toutes les souffrances du monde, les plus grandes comme les plus petites » D’Angélique R. (moi)
1°) Sans lui rien n’as plus de sens
C’était un jour comme les autres : morne et triste. Yumi broyait du noir, aussi noir que ses cheveux. Elle était lasse. C’était tout de même incroyable, à seize ans, d’être déjà fatiguée de la vie. Et pourtant c’était bien son cas. Elle se trouvait dans la cour de son lycée, seule assise sur un banc, sous les tilleuls. Ce que Yumi détestait le plus c’était les heures de trous, pour la simple raison qu’en cours l’esprit absorbé par les paroles du prof, elle ne pensait plus à lui. Lui la cause de toutes ses sales idées qui encombraient son âme, la cause de ses tourments.
Quand elle était encore au collège Kadic, cet amour ne lui faisait pas si mal, au contraire, il ne lui apportait qu’une allégresse continue. Dés qu’elle le voyait son cœur battait à la chamade. Ce fut toujours ainsi avec l’amour : tant que l’objet de tout cet amour est la on vit dans un bonheur permanent espérant que le futur apporterais ses meilleures lot et puis quand il disparaît tout chute, il ne reste plus qu’une ombre, une plaie grande ouverte sur les enfers, nos propres enfers.
Tout cela commence, il y a deux ans. Ils avaient enfin finit par battre Xana et sauvée Aelita, en bref la joie parfaite. Mais tout cela se ternit quand à la fin de l’année Yumi apprit qu’il partirait. Elle aussi partait mais c’était pour le lycée et après ils pourraient se revoir mais lui non, ils partaient, un point c’est tout. Ce fut si brutal comme un couteau qui vous poignarde dans le dos quand on s’y attend le moins. Horrible.
Alors la sonnerie retentit, c’était l’heure de la récrée.
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Lyriange 28/04/05 à 15:17 | De l’amour à la mort Ecrit par Lyriange, le 17 septembre 2004 « Plutôt souffrir que mourir, tel est la devise des hommes » de La Fontaine. « Si l’homme a toujours préféré souffrir à mourir c’est qu’il a toujours l’espoir de voir le soleil se lever le lendemain. L’espoir d’un meilleur lendemain justifie toutes les souffrances du monde, les plus grandes comme les plus petites » D’Angélique R. (moi) 1°) Sans lui rien n’as plus de sens C’était un jour comme les autres : morne et triste. Yumi broyait du noir, aussi noir que ses cheveux. Elle était lasse. C’était tout de même incroyable, à seize ans, d’être déjà fatiguée de la vie. Et pourtant c’était bien son cas. Elle se trouvait dans la cour de son lycée, seule assise sur un banc, sous les tilleuls. Ce que Yumi détestait le plus c’était les heures de trous, pour la simple raison qu’en cours l’esprit absorbé par les paroles du prof, elle ne pensait plus à lui. Lui la cause de toutes ses sales idées qui encombraient son âme, la cause de ses tourments. Quand elle était encore au collège Kadic, cet amour ne lui faisait pas si mal, au contraire, il ne lui apportait qu’une allégresse continue. Dés qu’elle le voyait son cœur battait à la chamade. Ce fut toujours ainsi avec l’amour : tant que l’objet de tout cet amour est la on vit dans un bonheur permanent espérant que le futur apporterais ses meilleures lot et puis quand il disparaît tout chute, il ne reste plus qu’une ombre, une plaie grande ouverte sur les enfers, nos propres enfers. Tout cela commence, il y a deux ans. Ils avaient enfin finit par battre Xana et sauvée Aelita, en bref la joie parfaite. Mais tout cela se ternit quand à la fin de l’année Yumi apprit qu’il partirait. Elle aussi partait mais c’était pour le lycée et après ils pourraient se revoir mais lui non, ils partaient, un point c’est tout. Ce fut si brutal comme un couteau qui vous poignarde dans le dos quand on s’y attend le moins. Horrible. Alors la sonnerie retentit, c’était l’heure de la récrée. |