Dernière édition le 03 décembre 2006
Introduction
Je me présente : je m’appelle Ulrich Stern. J’ai 24 ans, je suis marié et j’ai une fille qui a aujourd’hui 3 ans. Depuis mes 16 ans, je suis heureux et beaucoup plus ouvert. Mais avant, j’ai vécu des aventures tristes qui m’ont permis de mûrir. Je vais vous raconter mon passé !
Tout commence peu avant la 4e. Mes parents ne m’aimaient pas (du moins, j’en avais l’impression) et m’envoyèrent en internat à Paris loin de chez moi. Le plus dur n’était pas de les quitter mais de me séparer de mes amis. J’avais une petite bande avec 2 potes, Cédric et Matthieu. On se faisait souvent des sorties et on s’appréciait beaucoup. Les filles ne regardaient que nous. Nous, on s’en foutait alors que tous les autres gars ne rêvait que d’avoir le même corps ou d’être à notre place. Quand on allait à la piscine en cours de sport, aucune fille de la classe ne voulait être absente, même si elles étaient malade ! Il y en avait même qui séchait les cours pour aller à la piscine rien que pour voir nos tablettes de chocolat ! On prenait des cours de pentschak-silat (un sport de combat) ensemble et on faisait aussi beaucoup de musculation. J’admets que je trouvais aussi que mon corps était musclé mais je faisais en sorte qu’il le soit. Pareil pour mes amis. On avait tous les trois les cheveux bruns et les yeux noisettes. Bref... on avait plein de points communs. Là, il fallait que je parte. Je leur ai dit ; ils étaient triste mais essayaient tout de même de me remonter le moral. Le collège fut vite au courant. Je ne me doutais pas que j’allais bientôt devoir sauver le monde. Je devais partir. Quand j’ouvris la porte de chez moi pour installer mes valises dans ma voiture, je vis que Cédric et Matthieu étaient là pour me dire salut mais une partie du collège aussi. Même le proviseur! Après avoir dit adieu à tout le monde, je me dirigea vers Cédric. Je le serra dans mes bras.
Cédric : tu vas nous manquer ! J’espère qu’on se reverra !
Ulrich : t’en fais pas ; je reviendrai.
Puis, je dis salut à Matthieu.
Matthieu : je suis sûr que tu vas tout de suite te faire des potes. Et puis tu nous oublieras mais nous on t’oubliera jamais.
Ulrich : pourquoi tu dis que je vais vous oublier ?? je pourrais jamais. A bientôt ! Je vous appelle ce soir.
Cédric : vivement ce soir alors ! Allez, prends soin de toi !
Matthieu : bye ! on t’adore !
Ulrich (versant une larme) : moi aussi
Et je vais dans la voiture. Je commençais à avoir peur, je me disais mais je connais personne là-bas. Et puis dans ce collège, j’avais du succès, on me connaissait mais là, je serai perdu tout seul !
J’était arrivé et avec mes parents nous sommes allés dans le bureau du proviseur. Il avait l’air pas trop méchant, plutôt sympa. Il me donna les clés de ma chambre.
Proviseur : tu partages ta chambre avec Odd Della Robbia, un élève de 4e qui a ton âge et il a niveau moyen. Tu pourras le rencontrer dans ta chambre ; il est déjà arrivé.
Ulrich : merci m’sieur Delmas !
Je trouvais que Odd était un prénom assez bizzard. Je ne l’avais jamais entendu. Après avoir dit au revoir à mes parents et sorti les valises du coffre de la voiture, je cherchais ma chambre. 112, 113, 114,... Ah ! 115 ! Avant d’ouvrir la porte, je respirais un bon coup. J’avais peur de tomber sur un imbécile qui me poserait pleins de questions sur le collège où j’étais avant, mes amis... et pour l’instant j’avais pas envie d’en parler. Je croisa les doigts et je frappa sur la porte. J’entendis une voix aiguë qui me répondit « entrez ». J’entra comme on me l’avait dit et j’aperçus mon colocataire au milieu de ses valises.
Chapitre1 : la rencontre
Odd était sur son lit et il caressait un chien. Il était blond mais avait une mèche violette. D’ailleurs, il était habillé en violet.
Ulrich : salut ! c’est toi Odd ?
Odd : le seul, l’unique,...(voyant que je le regardais bizarrement, il s’arrêta et parla plus sérieusement) et toi t’es Ulrich ?
Ulrich : ouais. Je croyais que les chiens étaient interdits ici ??
Odd suppliant : ouais mais j’ai pas pu m’en séparer. Dis rien stp !
Ulrich : ça va si tu m’énerve pas, je garde le secret.
Odd : cool !merci. en faite, il s’appelle Kiwi.
Ulrich parlant à Kiwi : salut Kiwi. Moi, je m’appelle Ulrich !
A ce moment-là, Kiwi lui saute dessus et le lèche. Ulrich et Odd rient et continuent de discuter.
Odd : T’étais déjà là l’année dernière ?
Ulrich : non, c’est la première fois que je vois ce collège et toi ?
Odd : moi pareil, je suis arrivé ce matin. T’as déjà vu la fille du proviseur ?
Ulrich : non pourquoi ? elle est sympa ?
Odd : ce matin, je suis allé lui parler parce que je la trouvait plutôt mignonne mais ne fais pas comme moi !
Ulrich : ben pourquoi ?
Odd : elle n’a rien dans le cerveau ! Elle m’a collé toute la journée ; j’en pouvait plus ! Et puis, elle a ses toutous.
Ulrich : elle a aussi un chien ?
Odd rigolant : mais non ! elle a deux gars qui sont tout le temps derrière elle. Un est incroyablement bête et l’autre est rempli de boutons.
Ulrich qui venait de comprendre : ah ok
On avait mangé ensemble en parlant de tout de rien. Puis, j’ai appelé Cédric et Matthieu comme promis pendant que Odd mangé son troisième dessert.
Ulrich : salut ça va ?
Cédric : ouais et toi ? tu t’es déjà fait des amis ?
Ulrich : le gars avec qui je partage la chambre est sympa. Il a beaucoup d’humour.
Cédric : on peut dire que ta de la chance ! j’espère que demain, pour la rentrée, tu seras avec lui en classe et que tu te feras d’autres potes.
Ulrich : merci c’est sympa. Faut que je te laisse, c’est bientôt l’heure de se coucher et je voudrais encore appeler Matthieu. a+ et bonne rentrée !
Cédric : ouais toi aussi. Ciao !
J’avais appelé Matthieu et on s’était dit à peu près la même chose. Odd avait été sympa et avait compris que je voulais pas trop en parlé maintenant. On s’est douché et couché.
Le lendemain,
Ulrich : allez Odd, réveille toi !
Odd sous le coussin : mais je suis réveillé !
Ulrich : ouais mais pas levé. Bon, je vais à la douche mais je te préviens si tu loupes le p’tit dej, ne dis pas que c’est ma faute après !
D’un coup, Odd se leva, pris ses habits et alla direction les douches. J’étais surpris et je me suis dit qu’il ne voulait pas rater le repas et qu’il devait avoir très faim. Je les retrouvais aux douches. Après, on était allé à la cantine mais il n’y avait plus de tables libres. Alors on remarqua une table où il y avait un petit blond à lunettes tout seul.
Odd à l’inconnu : salut ! on peut s’asseoir avec toi ; il n’y a plus de places ailleurs.
Inconnu : si vous voulez. Vous vous appelez comment ?
Ulrich : moi c’est Ulrich et lui c’est Odd et toi ?
Inconnu : moi c’est Jérémie, je suis nouveau.
Odd : nous aussi, on est arrivé hier. On partage la même chambre.
Jérémie : ah ok. Moi j’ai une chambre seul.
On discuta un peu ensemble, puis on alla regarder le tableau qui nous indiqua dans quelle classe on se trouvait. Le soulagement, nous étions tous les trois dans la même classe. J’étais rassuré et content : j’étais arrivé la veille et je m’étais déjà fait deux amis qui était différent de moi mais qui était vachement gentil et avec qui je m’entends super bien. On s’installa sur un banc dans la cour et on regardait les autres élèves. Il me racontait tous les deux, de ce qu’il savait déjà, leurs aventures passaient avec des élèves collants la veille. On avait beaucoup rigolé. Et là, je vis une asiatique qui arrive dans le collège. Je n’entendais plus ce que me disait Jérémie et Odd. Elle était super belle, avait des habits de couleur noir et des cheveux mi-longs. Je l’admirais quand je vis la main de Odd s’agitait devant mes yeux.
Odd : ouhouh Ulrich, t’es encore là ??
Je sortis de mon rêve.
Ulrich : ouais
Jérémie : t’admirais la japonaise ou t’en avais marre de nous entendre parler ??
Odd voyant que Ulrich ne disait rien : bah va lui parler, lui demander son nom !
Ulrich : Odd ! je la regardais pas.
Odd : ah ouais et tu faisais quoi alors ?
Ulrich : je...euh...me demandais si on avait des profs sympas.
Odd : c’est ça. Et tu veux que je te croie ?
Mais là, la sonnerie m’avait sauvé. Je me demandais ce que j’avais ; c’était la première fois que je me sentais comme ça quand je voyais une fille. Le cours était ennuyeux. Notre prof principale était madame hertz, une prof de science.
Chapitre 2 : découverte
3 semaines passèrent à connaître encore mieux mes nouveaux amis, à regarder tous les matins la japonaise arrivée...
Puis vint ce jour si spécial, ce jour incroyable. Comme tous les matins, je réveilla Odd, je me doucha et déjeuna. J’alla en cours, je rêvais à la fenêtre pendant que Odd dormait tandis que Jérémie écoutait attentivement le cours. Et à la récré, Odd proposa de faire le mur le soir même pour voir ce qu’il y avait dans les environs du bahut.
Jérémie : je veux bien mais pas trop longtemps
Odd : et toi Ulrich, t’es d’accord ??
Ulrich : ouais. Rdv dans la chambre de Jérémie à 21h15.
Odd : ok
La sonnerie retentit et nous étions obligés d’aller au cours de science. Mais la prof nous annonça une bonne nouvelle.
Mme Hertz : en tant que professeur principal, je dois vous informer que demain, Jim a prévu de faire une sortie avec une classe de 3e. Vous allez aller dans un parc d’aventure. Pour cela, vous devrez vous mettre par deux. Ce sera comme une chasse au trésor sauf que vous serez en hauteur, dans les arbres. La première équipe qui remportera aura droit à une jolie récompense.
Elèves : trop cool !!! quoi comme récompense ?
Moi, je n’étais pas très heureux car j’avais le vertige et on n’allait pas être au sol. Je me demandais comment on allait faire car on était à trois et il fallait se mettre par deux ! je me disais que j’allais me mettre avec un autre élève de la classe quand la prof nous annonça autre chose.
Mme Hertz : Jim m’a signalé qu’il préfèrerait qu’une équipe soit formé d’un 4e et d’un 3e. Il fera les équipes ce soir et vous dira demain matin avant de partir avec qui vous serez. Maintenant s’il n’y a pas de questions, j’aimerais qu’on commence la science.
Evidemment, tous les élèves essayaient de trouver toutes sortes de questions pour ne pas avoir à subir le cours de science. Au bout d’un moment, plus personne n’avait d’idées alors le cours commença. Le reste de la journée était comme d’habitude et le soir arriva. 21h15, Jérémie, Odd et moi étaient au rdv. On partit se balader en ville. On discutait mais surtout riait. Quand soudain, Odd eut une idée.
Odd : vous voyez, là-bas il y a une usine
Ulrich se moquant de lui : c’est bien Odd, t’es pas encore aveugle !
Odd : mais non, je voulais dire qu’on pourrait aller voir ce qu’il y a dedans !
Jérémie : on ferrait mieux de rentrer
Odd : t’as peur, Jérémie ??
Jérémie prenant son courage à deux mains : on verra déjà qui aura peur !
Il entra dans l’usine ; Odd et moi, on le rattrapa. L’usine était abandonnée et il y faisait noir. On réussit quand même à voir un monte-charge. Jérémie le vit et y entra.
Odd un peu paniqué : tu vas pas essayer de le mettre en marche ?
Ulrich y rentrant aussi : et après, tu dis que c’est Jérémie qui a peur ?
Odd n’avait plus le choix. Chacun de nous avait peur mais nous ne voulions pas avoir l’air de se dégonfler. C’était moi qui avais appuyé sur le gros bouton rouge qui allait nous faire descendre. L’ascenseur se mit en route. Plus personne ne parla. Puis, il se stoppa, mous attendîmes qu’il s’ouvrait mais il resta fermé.
Odd déprimant : je vous avais prévenu, on vas rester enfermé ici. J’ai même pas pu dire adieu à Kiwi et en plus, j’ai pas de quoi manger. On va mourir de faim!
Ulrich : tais-toi Odd ! on va trouver une solution. Panique pas.
Jérémie : regardez là, il y a un truc pour taper un code. Il suffit de le trouver. Vous deux vous cherchez s’il n’est pas écrit quelque part ou s’il n’y a pas un moyen de sortir.
Ulrich et Odd : ok
Jérémie en essaya plusieurs mais il fallait avoir beaucoup de chance pour trouver le bon. Il commença à s’énerver quand je lui fis signe.
Ulrich : t’as vu en haut, il y a une sortie. On peut peut-être passer.
Jérémie : vas-y, je te fias la courte échelle avec Odd.
Odd qui s’était endormi, se réveilla en entendant son prénom : quoi ??
Ulrich : fais-moi la courte échelle pour que puisse voir s’il y a quelque chose pour nous aider à sortir là-haut.
Odd : aaaaaah ok
Je me fis soulevé par mes amis. Quand j’étais sur le monte-charge, je vis qu’on pouvait accéder à une échelle pour monter. Je le leur signala et ils montèrent me rejoindre pour sortir de cette vieille usine désaffectée. On pris l’échelle : moi devant, suivi de Jérémie puis de Odd. Au bout d’un moment, je remarqua que l’échelle s’arrêtait et qu’on ne pouvait plus continuer. Mais avant de faire paniquer une fois de plus mes amis, je regarda autour de moi et constata une sorte de grande porte. J’y alla, appuya sur un bouton pour l’ouvrir. On aperçut tous les trois un grand bloc doré qui possédait une manette.
Ulrich : mais qu’est-ce que c’est que ce truc ?
Jérémie : j’en ai pas la moindre idée mais peut-être que si on active cette manette, on saura !
Jérémie enclencha donc ce que nous appelerions plus tard le supercalculateur. Mais il ne se passa rien.
Odd : bon, on peut rentrer maintenant avant que Jim nous remarque ?
Ulrich : ouais mais par où ? je te rappelle que l’échelle ne va pas plus haut.
Jérémie : peut-être pas celle-là mais elle, elle pourrait.
En effet dans la salle, on remarqua une autre échelle. On la pris, cette fois Jérémie guidait.
Jérémie arrivant dans une autre salle : ouah !
Odd : qu’est-ce qu’il y a ? il y a à manger parce que je commence à avoir faim.
Ulrich : continue d’avancer Jérem, nous aussi on veut voir !
Odd arrivant lui aussi dans la salle, déçu : ah, c’est que ça.
Il y avait un énorme et puissant ordinateur qui prenait toute la pièce. Jérémie s’assit devant le siège. Il alluma la machine et on faillit tomber par terre quand une voix parla.
Inconnu : salut moi c’est Aelita ! et vous ?
Odd : c’est un jeu vidéo ?
Aelita : non mais vous êtes qui ?
Ulrich trouvant ça amusant : moi c’est Ulrich, lui c’est Odd et celui qui est sur le siège, c’est Jérémie. Mais tu es où ? dans l’ordinateur ?
Aelita : je suis dans un monde parallèle au votre, un monde virtuel qui s’appelle Lyoko.
Odd : et tu es toute seule sur ce monde ?
Aelita : non mais je ne me rappelle pas de tout. Juste que xana, un supercalculateur maléfique cherche à me tuer et à détruire la Terre.
Jérémie qui ouvrit enfin sa bouche mais n’en croyait toujours pas ses yeux : mais on ne peut pas l’effacer ou contrer ses attaques ?
Aelita : ben... en faite, c’est vous qui venait de rallumer Lyoko avec moi et xana. Il vous suffit de rebaisser la manette. Mais ça me détruirait aussi. Sinon, pour contrer ses attaques, il faut que je rentre dans la tour activé, c’est-à-dire une tour avec un halo rouge, et que je tape le code lyoko.
Ulrich : c’est facile alors !
Aelita : non, parce que xana envoie ses monstres pour que je puisse pas passer. Mais vous vous pourriez, par l’intermédiaire des scanners qui se trouvent dans la salle à l’étage en dessous, venir les combattre.
Jérémie : tu nous excuses, on voudrait juste discuter entre nous.
Aelita : ok
Aelita avait des cheveux roses et des yeux verts. Sa voix était très douce. J’avais remarqué que Jérémie la trouva tout de suite très jolie et craqua pour elle. C’est pour ça que Jérémie nous dit qu’il voulait qu’on laisse la machine allumée et qu’il allait trouver le moyen de matérialiser Aelita pour éteindre xana. Odd, comme moi, préfèra d’abord tester les scanners. C’est ce qu’on fit. Je trouvais la virtualisation très étrange. Xana avait envoyé des monstres qu’on nomme blocks. Odd et moi étions vraiment très ridicule dans la façon de se battre. Odd était un homme-chat, ça lui convenait et moi, j’étais ravi, j’étais un samouraï ! Jérémie lui était rester sur son siège pour nous diriger. Entre-temps, il avait fait des recherches sur l’ordinateur et trouva comment tuer les monstres (tirer sur l’œil, sigle de xana), le code de l’ascenseur,... Ensuite, on rentra discrètement au collège. On ne se fit pas remarquer. Heureusement ! Il était tard mais je fus rassuré quand je me rappela que le lendemain grâce à la sortie nous commencions à 10h. Je m’endormis sans rêver.
Chapitre 3 : une de plus
Le lendemain, j’entendis mon réveil sonné. J’étais fatigué et n’avais aucune envie de me lever. Après avoir passé 10 bonnes minutes à tenter de réveiller Odd, il se leva enfin. On alla à la douche, puis à la cantine où nous attendait Jérémie. Il était 10h et tous les élèves de ma classe et d’une classe de 3e étaient maintenant sous le préau.
Jim : venez tous par ici, je vais annoncer les groupes mettant un ou une élève de 4e avec un ou une élève de 3e. Toutes les personnes qui seront appelées viendront à ma droite avec son ou sa partenaire. Pour commencer, mettez vous tous à ma gauche pour qu’on puisse commencer. Voilà. Jérémie Belpois ira avec Caroline Savorani, (d’autres groupes), Odd Della Robbia avec Priscilla Blaisse, Ulrich Stern avec (j’espérais que ce serait...) Yumi Ishiyama,...
J’étais le plus heureux mais, bien sûr, je ne le montrais pas. Maintenant, je savais son nom et j’allais passer une journée entière avec elle. On s’étais mis comme Jim nous l’avait dit à sa gauche.
Moi : salut, moi c’est Ulrich !
Yumi qui contrairement à moi était de mauvaise humeur dit sèchement : ben moi c’est Yumi.
Je commençais à me demander si c’était vraiment bien de passer une journée avec elle. Je regrettais d’avoir espérer qu’on serait ensemble mais peut-être que ça irait mieux plus tard. Je pensais aussi que je risquais d’avoir la honte avec mon vertige mais elle ne le remarquera pas forcément.
Yumi voyant que j’étais dans mes pensées, paniqué dit d’une voix plus gentille : il faut qu’on prenne le bus, tu viens ?
Moi sortant de mon affolement, souris et lui répondit : oui oui j’arrive.
Je ne sais pas pourquoi j’avais tant paniqué d’un coup mais ce qui était sûr, c’était que ça ne servait à rien et qu’elle se comportait déjà plus gentiment. Dans le bus, aucun de nous parlait. Un moment, je vis Odd un peu plus loin qui me fit signe. Quand il vit avec qui j’étais, il me faisait signe que je devais lui parler, lui dire que je la trouve très belle... En réponse, je lui envoyai un sms disant que ce soir il risquerait de le regretter. Une fois arrivée, je vis la hauteur des arbres et je perdis vite mon sourire. Yumi le vit.
Yumi : ça va pas ? tu deviens tout pâle ?
Moi : si ça va, tant fais pas. C’est juste que j’aime pas trop les arbres.
Yumi : je vois, t’as le vertige ?
Moi m’énervant qu’elle le sache : NON
Yumi : ça va, ne t’énerve pas. Tu sais, c’est pas grave si t’as le vertige et puis tu risques rien du tout, t’es attaché. Je t’ai...
Moi l’interrompant : JE N’AI PAS LE VERTIGE
Yumi essayant de le calmer : écoute, je ne le dirai à personne, si ça peut te rassurer. Et puis que tu veuilles l’avouer ou non, je le verrai bien après.
Je baissa la tête ; elle avait raison. Elle me sourit mais je n’étais pas content qu’elle le sache. Je voulais garder ça pour moi ! Maintenant, c’était à notre tour ; on nous équipa et on nous expliqua comment faire les différents parcours, les règles de sécurité et celles de la chasse au trésor. Quand tout le monde fut équipé, Jim nous donna le départ. 3...2...1...go! Mon cœur était à fond, je ne voulais pas me l’admettre mais j’avais peur.
Yumi me chuchotant : allez, courage ! Ne t’en fais pas je connais des personnes qui ont le vertige mais pas dans les arbres. Alors peut-être que pour toi, c’est pareil!
J’espérais que ce qu’elle disait était aussi vrai pour moi. Je lui souris. Et nous allions vers l’échelle. Elle grimpa en première pour me rassurer et je la suivis. Je ne regardais pas en bas, je montais sans me retourner. Jusqu’à l’arrivée en haut, je m’accrocha à mon prochain obstacle. Je commença à traverser pour aller à l’autre bout au second arbre mais je jeta un œil en bas et vit le vide. Mes bras lâchèrent la corde sur laquelle je me tenais mais je ne tomba pas. Je m’étais bien attaché. La peur partit pour laisser place à un amusement. C’était vrai, je passais une journée avec la plus belle fille du collège, alors il fallait que j’en profite! C’était génial, le vertige était plus là. Yumi le vit.
Yumi : eh bien, on dira que ça va mieux!
Moi : ouais merci
Yumi : pourquoi tu me dis merci?
Moi : parce que tu as essayé de me rassurer
Yumi : de rien
On avait déjà trouvé deux indices pour la chasse au trésor. Tout à coup, une forme noire sortit de ma poche où j’avais mon portable. Je le sortis mais il n’était pas cassé. Je ne comprenais pas mais cette ombre se transforma en une grosse boule d’électricité. Elle s’attaqua à moi.
Yumi : viens, je ne sais pas ce que sait mais faut pas rester ici !
Moi : ouais, t’as raison mais comment on fait ?
Yumi : on se dépêche de finir ce parcours
Moi : ok
Je reçus un appel de Jérémie.
Jérémie : Ulrich je suis à l’usine désaffectée.
Moi : tu fais pas le parcours ?
Jérémie : si mais xana lance une attaque, alors je suis allé à l’usine. Il faut que tu viennes pour aider Aelita à rentrer dans la tour et la désactiver.
Moi : je fais ce que je peux mais je suis poursuivi par une boule d’énergie.
Jérémie : ça doit être ça l’attaque de xana.
Moi : il est dangereux alors ! mais je suis encore dans les arbres avec Yumi.
Jérémie : dépêche toi !
Moi : mais je ne vais pas laisser Yumi se débrouiller toute seule contre une géante boule d’énergie !
Jérémie hésitant : bah... ramène-la avec toi. Ça nous fera une combattante en plus et on ne peut pas refuser.
Moi tout content : je t’adore Jérèm. A tout de suite!
Jérémie : ouais
Yumi qui ne comprenait rien de la situation : Ulrich dis moi ce qui se passe, je sais que tu en sais plus que moi.
Moi : je t’explique tout mais en continuant de se dépêcher parce qu’on est toujours suivi.
Yumi : ok
Je lui raconta tout mais elle eu beaucoup de mal à me croire mais après m’avoir pris pour un fou, elle m’accompagna pour sauver le monde pour la première fois.
Chapitre 4 : première attaque
Je courrais à en perdre haleine, toujours en faisant ce parcours. Je vis une grande corde, il fallait s’y attacher et sauter dans le vide. C’était le dernier passage du parcours avant la tyrolienne. Ma gorge se serra. J’étais encore poursuivi mais je m’arrêta voyant la corde. Yumi comprit rapidement.
Yumi : écoute, on n’a plus beaucoup de temps : la boule nous rattrape. Je passe devant pour te prouver qu’on risque rien mais tu passeras tout de suite après. Ça va allez ?
Moi essayant de montrer que je n’avait pas du tout peur : oui oui
Yumi : alors cours !
Je repris ma course. Yumi pris la corde, s’attacha tout en me montrant comment faire et sauta. La corde revint vers moi. Je m’accrocha, pris mon courage à deux mains et sauta. Je me sentis tomber puis d’un coup ça se stoppa et arriva juste à côté de Yumi. On pris la tyrolienne rapidement et une fois en bas on suivait le chemin de l’usine.
Jérémie nous attendait depuis 10mn. Mais Odd n’était pas encore là.
Moi : où est Odd ?
Jérémie : il est aussi coincé dans le parcours. (s’adressant à Yumi) salut moi c’est Jérémie
Yumi qui était restée sur place, impressionnée : enchantée je m’appelle Yumi
Jérémie me parlant : tu lui as expliqué ?
Moi : ouais
Jérémie : bon et bien dépêchez vous, je vous rappelle que Odd est en danger !
On se dirigea vers les scanners. A ma grande surprise, Yumi n’avait pas l’air angoissé de cette aventure. J’étais curieux de voir à quoi elle allait ressembler sur Lyoko. Nous entrions dans les scanners. Et j’entendis Jérémie lançant la programmation de la virtualisation.
Jérémie : transfert Ulrich, transfert Yumi, scanner Ulrich, scanner Yumi, virtualisation !
J’atterris sur Lyoko. C’était la deuxième fois mais je réussis quand même à ne pas tomber sur les fesses. Mais Yumi n’y échappa pas. Je ne pus m’empêcher de rigoler. Elle était une geisha. C’était une vraie belle japonaise et elle en était fière ! Aelita arriva vers nous.
Aelita : salut vous deux ! (à Yumi) je m’appelle Aelita.
Yumi : ah c’est toi la fameuse Aelita sur laquelle Jérémie a un petit faible ! moi c’est Yumi.
Aelita ne comprenant pas : excuse moi mais je ne comprends pas ce que tu veux dire.
Yumi allait répondre. Je n’aurai peut-être pas dû lui dire ce que je pensait. Je lui donna un petit coup de coude et elle remarqua qu’elle aurait mieux fait de se taire. Elle essaya de se rattraper.
Yumi : non rien. T’avais pas dit qu’il fallait se dépêcher Jérémie ?
Jérémie : si ! La tour est à 60° ouest. Odd vient d’arriver, il va vous rejoindre.
Moi : ok on l’attend
2 minutes passèrent, on fit les présentations pour Odd et on commença à courir vers notre 1ère tour activée. On avait à peine fait 100m quand Jérémie nous avertit.
Jérémie : attention des Krabes devant vous !
Yumi : en faite Jérémie, c’est quoi mon arme ?
Odd : et moi ? Parce que je te rappelle que la dernière fois, on avait pas trouvé.
Jérémie : j’ai trouvé ton arme Odd, un peu avant que tu viennes. Tu as des sortes de flèches qui sortent de tes mains quand tu dis flèches laser. Mais pour toi Yumi, je ne sais pas encore. Essaie de trouver toute seule !
Yumi : super !
Le combat commença sans Yumi qui cherchait désespérément son arme. Je protégeais Odd pendant que ce dernier tirai sur les krabes. Il y en avait 3 mais Odd n’en tua qu’un. Il avait 70 points de vie et moi 80. Yumi et Aelita était cachées derrière un rocher et avait donc tous leurs points de vie. Au bout de 5 minutes, Jérémie annonça une bonne nouvelle.
Jérémie : j’ai une bonne nouvelle !
Yumi : t’as trouvé mon arme ?
Jérémie : non désolé mais je viens de découvrir qu’en plus de vos armes, vous avez chacun un pouvoir.
Odd, Yumi et moi : cool !
Odd : et c’est quoi le mien ?
Jérémie : Yumi, tu as un pouvoir de télékinésie: tu peux soulever un objet rien qu’en te concentrant et tu as aussi un don de gymnaste. Ulrich, toi, tu as le triplicata: quand tu le dis, tu te divise en trois.
Moi : je comprends pas !
Jérémie : tu as 2 clones à tes côtés. Si un monstre t’attaque, il ne s’est pas lequel de tes 3 toi est le bon et donc le temps qu’il se décide, tu peux le tuer. Si tu veux redevenir qu’un tu n’as qu’à dire fusion. Tu as aussi le supersprint, ce qui fait que tu vas super vite.
Odd : et moi Jérémie ?
Jérémie : toi, tu as un bouclier en disant bouclier.
Odd : c’est tout ?
Jérémie : ben... j’ai pas trouvé l’autre.
Odd : pourquoi tu trouves toujours les trucs de Ulrich et pas de moi ?
Jérémie : désolé mais si tu te taisais, je pourrais aller plus vite dans les recherches.
Une fois de plus, j’étais super content de mes pouvoirs. Yumi aussi n’avait pas l’air déçu. Je lui souris en passant à côté d’elle pour continuer de tenter de tuer les monstres. Mais je remarqua quelque chose dans son dos.
Yumi : qu’est-ce qu’il y a ?
Moi comprenant : je crois que j’ai trouvé ton arme. Regarde dans ton dos!
Effectivement, dans son dos, il y avait deux éventails. Se disant qu’il ne devait pas être là pour rien, essaya de le lancer sur un krabe. Celui-ci fut détruit en même temps que je tua le troisième. Le passage était libre et Aelita alla désactiver la tour mais avant Jérémie nous informa encore de deux choses.
Jérémie : Odd, tu vas être content. Comme tu as une apparence de homme-chat, tu peux t’agripper un peu partout. Enfin, t’es comme un félin quoi !
Odd : wahouh !! merci Jérémie.
Jérémie : derien Odd. Mais j’ai pas fini : je viens de découvrir un programme qui s’appelle retour vers le passé. Ce qui fait qu’après chaque attaque, on peut revenir en arrière, juste avant l’attaque. Sauf que nous, nous nous rappellerons de ce que nous avions vécu.
Moi : mais après ça s’arrêtera plus. Xana refera l’attaque et on vivra toujours pareil !
Jérémie : mais non ! on retournera dans le passé avant l’attaque mais xana ne refera pas d’attaque tout de suite, du moins j’espère.
Moi : ah ok. Donc si j’ai bien compris maintenant que Aelita a désactivé la tour, tu vas lancer le retour vers le passé et nous nous retrouverons au moment où nous avons fait le parcours dans les arbres et xana n’attaquera pas.
Odd : vraiment Ulrich, je te félicite. Tu as réussi à comprendre un truc.
Moi : contrairement à toi !
Nous commencions une bagarre sous les rires de Yumi et Aelita mais qui ne dura pas longtemps. Une aveuglante lumière blanche recouvrit l’usine, le collège, la ville, la terre. Quand j’ouvris les yeux, je me retrouvais dans le bus qui nous avait emmenés au lieu de la sortie. Je demanda à Yumi si elle se souvenait. Elle me répondit que oui. Mais les autres élèves ne savaient rien du tout et ils disaient exactement la même chose que la veille (pour moi!). La journée se passa bien: pas d’attaque et Yumi et moi avions gagné la chasse au trésor, la récompense était deux places de ciné pour n’importe quelles films. Je réussis à m’endormir vers 23h30 en rêvant des beaux yeux de Yumi.
à suivre...
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stones 28/10/06 à 16:55 | Introduction Je me présente : je m’appelle Ulrich Stern. J’ai 24 ans, je suis marié et j’ai une fille qui a aujourd’hui 3 ans. Depuis mes 16 ans, je suis heureux et beaucoup plus ouvert. Mais avant, j’ai vécu des aventures tristes qui m’ont permis de mûrir. Je vais vous raconter mon passé ! Tout commence peu avant la 4e. Mes parents ne m’aimaient pas (du moins, j’en avais l’impression) et m’envoyèrent en internat à Paris loin de chez moi. Le plus dur n’était pas de les quitter mais de me séparer de mes amis. J’avais une petite bande avec 2 potes, Cédric et Matthieu. On se faisait souvent des sorties et on s’appréciait beaucoup. Les filles ne regardaient que nous. Nous, on s’en foutait alors que tous les autres gars ne rêvait que d’avoir le même corps ou d’être à notre place. Quand on allait à la piscine en cours de sport, aucune fille de la classe ne voulait être absente, même si elles étaient malade ! Il y en avait même qui séchait les cours pour aller à la piscine rien que pour voir nos tablettes de chocolat ! On prenait des cours de pentschak-silat (un sport de combat) ensemble et on faisait aussi beaucoup de musculation. J’admets que je trouvais aussi que mon corps était musclé mais je faisais en sorte qu’il le soit. Pareil pour mes amis. On avait tous les trois les cheveux bruns et les yeux noisettes. Bref… on avait plein de points communs. Là, il fallait que je parte. Je leur ai dit ; ils étaient triste mais essayaient tout de même de me remonter le moral. Le collège fut vite au courant. Je ne me doutais pas que j’allais bientôt devoir sauver le monde. Je devais partir. Quand j’ouvris la porte de chez moi pour installer mes valises dans ma voiture, je vis que Cédric et Matthieu étaient là pour me dire salut mais une partie du collège aussi. Même le proviseur! Après avoir dit adieu à tout le monde, je me dirigea vers Cédric. Je le serra dans mes bras. Cédric : tu vas nous manquer ! J’espère qu’on se reverra ! Ulrich : t’en fais pas ; je reviendrai. Puis, je dis salut à Matthieu. Matthieu : je suis sûr que tu vas tout de suite te faire des potes. Et puis tu nous oublieras mais nous on t’oubliera jamais. Ulrich : pourquoi tu dis que je vais vous oublier ?? je pourrais jamais. A bientôt ! Je vous appelle ce soir. Cédric : vivement ce soir alors ! Allez, prends soin de toi ! Matthieu : bye ! on t’adore ! Ulrich (versant une larme) : moi aussi Et je vais dans la voiture. Je commençais à avoir peur, je me disais mais je connais personne là-bas. Et puis dans ce collège, j’avais du succès, on me connaissait mais là, je serai perdu tout seul ! J’était arrivé et avec mes parents nous sommes allés dans le bureau du proviseur. Il avait l’air pas trop méchant, plutôt sympa. Il me donna les clés de ma chambre. Proviseur : tu partages ta chambre avec Odd Della Robbia, un élève de 4e qui a ton âge et il a niveau moyen. Tu pourras le rencontrer dans ta chambre ; il est déjà arrivé. Ulrich : merci m’sieur Delmas ! Je trouvais que Odd était un prénom assez bizzard. Je ne l’avais jamais entendu. Après avoir dit au revoir à mes parents et sorti les valises du coffre de la voiture, je cherchais ma chambre. 112, 113, 114,… Ah ! 115 ! Avant d’ouvrir la porte, je respirais un bon coup. J’avais peur de tomber sur un imbécile qui me poserait pleins de questions sur le collège où j’étais avant, mes amis… et pour l’instant j’avais pas envie d’en parler. Je croisa les doigts et je frappa sur la porte. J’entendis une voix aiguë qui me répondit « entrez ». J’entra comme on me l’avait dit et j’aperçus mon colocataire au milieu de ses valises. Je sais que c'est un peu court mais dites moi si c'est bien et si je dois mettre une suite svp!merci |
yami no kitsune 29/10/06 à 09:25 | Interessante cette fic et très émouvante en +!! J'attend la suite avec impatience |
stones 29/10/06 à 15:06 | merci pour ton commentaire, je te mets une suite. Chapitre1 : la rencontre Odd était sur son lit et il caressait un chien. Il était blond mais avait une mèche violette. D’ailleurs, il était habillé en violet. Ulrich : salut ! c’est toi Odd ? Odd : le seul, l’unique,…(voyant que je le regardais bizarrement, il s’arrêta et parla plus sérieusement) et toi t’es Ulrich ? Ulrich : ouais. Je croyais que les chiens étaient interdits ici ?? Odd suppliant : ouais mais j’ai pas pu m’en séparer. Dis rien stp ! Ulrich : ça va si tu m’énerve pas, je garde le secret. Odd : cool !merci. en faite, il s’appelle Kiwi. Ulrich parlant à Kiwi : salut Kiwi. Moi, je m’appelle Ulrich ! A ce moment-là, Kiwi lui saute dessus et le lèche. Ulrich et Odd rient et continuent de discuter. Odd : T’étais déjà là l’année dernière ? Ulrich : non, c’est la première fois que je vois ce collège et toi ? Odd : moi pareil, je suis arrivé ce matin. T’as déjà vu la fille du proviseur ? Ulrich : non pourquoi ? elle est sympa ? Odd : ce matin, je suis allé lui parler parce que je la trouvait plutôt mignonne mais ne fais pas comme moi ! Ulrich : ben pourquoi ? Odd : elle n’a rien dans le cerveau ! Elle m’a collé toute la journée ; j’en pouvait plus ! Et puis, elle a ses toutous. Ulrich : elle a aussi un chien ? Odd rigolant : mais non ! elle a deux gars qui sont tout le temps derrière elle. Un est incroyablement bête et l’autre est rempli de boutons. Ulrich qui venait de comprendre : ah ok On avait mangé ensemble en parlant de tout de rien. Puis, j’ai appelé Cédric et Matthieu comme promis pendant que Odd mangé son troisième dessert. Ulrich : salut ça va ? Cédric : ouais et toi ? tu t’es déjà fait des amis ? Ulrich : le gars avec qui je partage la chambre est sympa. Il a beaucoup d’humour. Cédric : on peut dire que ta de la chance ! j’espère que demain, pour la rentrée, tu seras avec lui en classe et que tu te feras d’autres potes. Ulrich : merci c’est sympa. Faut que je te laisse, c’est bientôt l’heure de se coucher et je voudrais encore appeler Matthieu. a+ et bonne rentrée ! Cédric : ouais toi aussi. Ciao ! J’avais appelé Matthieu et on s’était dit à peu près la même chose. Odd avait été sympa et avait compris que je voulais pas trop en parlé maintenant. On s’est douché et couché. Le lendemain, Ulrich : allez Odd, réveille toi ! Odd sous le coussin : mais je suis réveillé ! Ulrich : ouais mais pas levé. Bon, je vais à la douche mais je te préviens si tu loupes le p’tit dej, ne dis pas que c’est ma faute après ! D’un coup, Odd se leva, pris ses habits et alla direction les douches. J’étais surpris et je me suis dit qu’il ne voulait pas rater le repas et qu’il devait avoir très faim. Je les retrouvais aux douches. Après, on était allé à la cantine mais il n’y avait plus de tables libres. Alors on remarqua une table où il y avait un petit blond à lunettes tout seul. Odd à l’inconnu : salut ! on peut s’asseoir avec toi ; il n’y a plus de places ailleurs. Inconnu : si vous voulez. Vous vous appelez comment ? Ulrich : moi c’est Ulrich et lui c’est Odd et toi ? Inconnu : moi c’est Jérémie, je suis nouveau. Odd : nous aussi, on est arrivé hier. On partage la même chambre. Jérémie : ah ok. Moi j’ai une chambre seul. On discuta un peu ensemble, puis on alla regarder le tableau qui nous indiqua dans quelle classe on se trouvait. Le soulagement, nous étions tous les trois dans la même classe. J’étais rassuré et content : j’étais arrivé la veille et je m’étais déjà fait deux amis qui était différent de moi mais qui était vachement gentil et avec qui je m’entends super bien. On s’installa sur un banc dans la cour et on regardait les autres élèves. Il me racontait tous les deux, de ce qu’il savait déjà, leurs aventures passaient avec des élèves collants la veille. On avait beaucoup rigolé. Et là, je vis une asiatique qui arrive dans le collège. Je n’entendais plus ce que me disait Jérémie et Odd. Elle était super belle, avait des habits de couleur noir et des cheveux mi-longs. Je l’admirais quand je vis la main de Odd s’agitait devant mes yeux. Odd : ouhouh Ulrich, t’es encore là ?? Je sortis de mon rêve. Ulrich : ouais Jérémie : t’admirais la japonaise ou t’en avais marre de nous entendre parler ?? Odd voyant que Ulrich ne disait rien : bah va lui parler, lui demander son nom ! Ulrich : Odd ! je la regardais pas. Odd : ah ouais et tu faisais quoi alors ? Ulrich : je…euh…me demandais si on avait des profs sympas. Odd : c’est ça. Et tu veux que je te croie ? Mais là, la sonnerie m’avait sauvé. Je me demandais ce que j’avais ; c’était la première fois que je me sentais comme ça quand je voyais une fille. Le cours était ennuyeux. Notre prof principale était madame hertz, une prof de science. à suivre... |
stones 05/11/06 à 19:31 | dois-je abandonner la fic?? si vous ne répondez pas, je laisse tomber. Chapitre 2 : découverte 3 semaines passèrent à connaître encore mieux mes nouveaux amis, à regarder tous les matins la japonaise arrivée… Puis vint ce jour si spécial, ce jour incroyable. Comme tous les matins, je réveilla Odd, je me doucha et déjeuna. J’alla en cours, je rêvais à la fenêtre pendant que Odd dormait tandis que Jérémie écoutait attentivement le cours. Et à la récré, Odd proposa de faire le mur le soir même pour voir ce qu’il y avait dans les environs du bahut. Jérémie : je veux bien mais pas trop longtemps Odd : et toi Ulrich, t’es d’accord ?? Ulrich : ouais. Rdv dans la chambre de Jérémie à 21h15. Odd : ok La sonnerie retentit et nous étions obligés d’aller au cours de science. Mais la prof nous annonça une bonne nouvelle. Mme Hertz : en tant que professeur principal, je dois vous informer que demain, Jim a prévu de faire une sortie avec une classe de 3e. Vous allez aller dans un parc d’aventure. Pour cela, vous devrez vous mettre par deux. Ce sera comme une chasse au trésor sauf que vous serez en hauteur, dans les arbres. La première équipe qui remportera aura droit à une jolie récompense. Elèves : trop cool !!! quoi comme récompense ? Moi, je n’étais pas très heureux car j’avais le vertige et on n’allait pas être au sol. Je me demandais comment on allait faire car on était à trois et il fallait se mettre par deux ! je me disais que j’allais me mettre avec un autre élève de la classe quand la prof nous annonça autre chose. Mme Hertz : Jim m’a signalé qu’il préfèrerait qu’une équipe soit formé d’un 4e et d’un 3e. Il fera les équipes ce soir et vous dira demain matin avant de partir avec qui vous serez. Maintenant s’il n’y a pas de questions, j’aimerais qu’on commence la science. Evidemment, tous les élèves essayaient de trouver toutes sortes de questions pour ne pas avoir à subir le cours de science. Au bout d’un moment, plus personne n’avait d’idées alors le cours commença. Le reste de la journée était comme d’habitude et le soir arriva. 21h15, Jérémie, Odd et moi étaient au rdv. On partit se balader en ville. On discutait mais surtout riait. Quand soudain, Odd eut une idée. Odd : vous voyez, là-bas il y a une usine Ulrich se moquant de lui : c’est bien Odd, t’es pas encore aveugle ! Odd : mais non, je voulais dire qu’on pourrait aller voir ce qu’il y a dedans ! Jérémie : on ferrait mieux de rentrer Odd : t’as peur, Jérémie ?? Jérémie prenant son courage à deux mains : on verra déjà qui aura peur ! Il entra dans l’usine ; Odd et moi, on le rattrapa. L’usine était abandonnée et il y faisait noir. On réussit quand même à voir un monte-charge. Jérémie le vit et y entra. Odd un peu paniqué : tu vas pas essayer de le mettre en marche ? Ulrich y rentrant aussi : et après, tu dis que c’est Jérémie qui a peur ? Odd n’avait plus le choix. Chacun de nous avait peur mais nous ne voulions pas avoir l’air de se dégonfler. C’était moi qui avais appuyé sur le gros bouton rouge qui allait nous faire descendre. L’ascenseur se mit en route. Plus personne ne parla. Puis, il se stoppa, mous attendîmes qu’il s’ouvrait mais il resta fermé. Odd déprimant : je vous avais prévenu, on vas rester enfermé ici. J’ai même pas pu dire adieu à Kiwi et en plus, j’ai pas de quoi manger. On va mourir de faim! Ulrich : tais-toi Odd ! on va trouver une solution. Panique pas. Jérémie : regardez là, il y a un truc pour taper un code. Il suffit de le trouver. Vous deux vous cherchez s’il n’est pas écrit quelque part ou s’il n’y a pas un moyen de sortir. Ulrich et Odd : ok Jérémie en essaya plusieurs mais il fallait avoir beaucoup de chance pour trouver le bon. Il commença à s’énerver quand je lui fis signe. Ulrich : t’as vu en haut, il y a une sortie. On peut peut-être passer. Jérémie : vas-y, je te fias la courte échelle avec Odd. Odd qui s’était endormi, se réveilla en entendant son prénom : quoi ?? Ulrich : fais-moi la courte échelle pour que puisse voir s’il y a quelque chose pour nous aider à sortir là-haut. Odd : aaaaaah ok Je me fis soulevé par mes amis. Quand j’étais sur le monte-charge, je vis qu’on pouvait accéder à une échelle pour monter. Je le leur signala et ils montèrent me rejoindre pour sortir de cette vieille usine désaffectée. On pris l’échelle : moi devant, suivi de Jérémie puis de Odd. Au bout d’un moment, je remarqua que l’échelle s’arrêtait et qu’on ne pouvait plus continuer. Mais avant de faire paniquer une fois de plus mes amis, je regarda autour de moi et constata une sorte de grande porte. J’y alla, appuya sur un bouton pour l’ouvrir. On aperçut tous les trois un grand bloc doré qui possédait une manette. Ulrich : mais qu’est-ce que c’est que ce truc ? Jérémie : j’en ai pas la moindre idée mais peut-être que si on active cette manette, on saura ! Jérémie enclencha donc ce que nous appelerions plus tard le supercalculateur. Mais il ne se passa rien. Odd : bon, on peut rentrer maintenant avant que Jim nous remarque ? Ulrich : ouais mais par où ? je te rappelle que l’échelle ne va pas plus haut. Jérémie : peut-être pas celle-là mais elle, elle pourrait. En effet dans la salle, on remarqua une autre échelle. On la pris, cette fois Jérémie guidait. Jérémie arrivant dans une autre salle : ouah ! Odd : qu’est-ce qu’il y a ? il y a à manger parce que je commence à avoir faim. Ulrich : continue d’avancer Jérem, nous aussi on veut voir ! Odd arrivant lui aussi dans la salle, déçu : ah, c’est que ça. Il y avait un énorme et puissant ordinateur qui prenait toute la pièce. Jérémie s’assit devant le siège. Il alluma la machine et on faillit tomber par terre quand une voix parla. Inconnu : salut moi c’est Aelita ! et vous ? Odd : c’est un jeu vidéo ? Aelita : non mais vous êtes qui ? Ulrich trouvant ça amusant : moi c’est Ulrich, lui c’est Odd et celui qui est sur le siège, c’est Jérémie. Mais tu es où ? dans l’ordinateur ? Aelita : je suis dans un monde parallèle au votre, un monde virtuel qui s’appelle Lyoko. Odd : et tu es toute seule sur ce monde ? Aelita : non mais je ne me rappelle pas de tout. Juste que xana, un supercalculateur maléfique cherche à me tuer et à détruire la Terre. Jérémie qui ouvrit enfin sa bouche mais n’en croyait toujours pas ses yeux : mais on ne peut pas l’effacer ou contrer ses attaques ? Aelita : ben… en faite, c’est vous qui venait de rallumer Lyoko avec moi et xana. Il vous suffit de rebaisser la manette. Mais ça me détruirait aussi. Sinon, pour contrer ses attaques, il faut que je rentre dans la tour activé, c’est-à-dire une tour avec un halo rouge, et que je tape le code lyoko. Ulrich : c’est facile alors ! Aelita : non, parce que xana envoie ses monstres pour que je puisse pas passer. Mais vous vous pourriez, par l’intermédiaire des scanners qui se trouvent dans la salle à l’étage en dessous, venir les combattre. Jérémie : tu nous excuses, on voudrait juste discuter entre nous. Aelita : ok Aelita avait des cheveux roses et des yeux verts. Sa voix était très douce. J’avais remarqué que Jérémie la trouva tout de suite très jolie et craqua pour elle. C’est pour ça que Jérémie nous dit qu’il voulait qu’on laisse la machine allumée et qu’il allait trouver le moyen de matérialiser Aelita pour éteindre xana. Odd, comme moi, préfèra d’abord tester les scanners. C’est ce qu’on fit. Je trouvais la virtualisation très étrange. Xana avait envoyé des monstres qu’on nomme blocks. Odd et moi étions vraiment très ridicule dans la façon de se battre. Odd était un homme-chat, ça lui convenait et moi, j’étais ravi, j’étais un samouraï ! Jérémie lui était rester sur son siège pour nous diriger. Entre-temps, il avait fait des recherches sur l’ordinateur et trouva comment tuer les monstres (tirer sur l’œil, sigle de xana), le code de l’ascenseur,… Ensuite, on rentra discrètement au collège. On ne se fit pas remarquer. Heureusement ! Il était tard mais je fus rassuré quand je me rappela que le lendemain grâce à la sortie nous commencions à 10h. Je m’endormis sans rêver. à suivre... |
choulo 05/11/06 à 19:42 | mets la suite vite stp !!! une petite critique : tes dialogue des fois tu parle a la premiere personne et des fois a la troisieme mais a part sa c'est vraiment génial continu !!!!! |
Lisa 05/11/06 à 20:12 | Bon début ^^ J'aime bien la façon dont se rencontre Jérémie, Odd et Ulrich, il n'y a rien de spécial mais c'est sympas ! Ulrich qui regarde Yumi, cours mon grand, va te déclarer ! Abandonner ? Veux-tu donc que je t'étrangle stones ? Je paris que pour la sortie, Ulrich et Yumi vont être mis ensemble ! Continue, ta fic est vraiment sympas et cool ! Bonne continuation et bonne chance pour la suite ! |
vanene 05/11/06 à 22:20 | J'aime bien. Continue!!! |
stones 07/11/06 à 19:02 | merci pour vos coms. je ferais attention à la 3ème personne! je continue la fic mais la suite sera seulement pour ce week-end car c'est plus les vacances! |
stones 18/11/06 à 22:56 | avec du retard, voici la suite! dites moi ce que je dois corriger et ce qui est bien. merci d'avance Chapitre 3 : une de plus Le lendemain, j’entendis mon réveil sonné. J’étais fatigué et n’avais aucune envie de me lever. Après avoir passé 10 bonnes minutes à tenter de réveiller Odd, il se leva enfin. On alla à la douche, puis à la cantine où nous attendait Jérémie. Il était 10h et tous les élèves de ma classe et d’une classe de 3e étaient maintenant sous le préau. Jim : venez tous par ici, je vais annoncer les groupes mettant un ou une élève de 4e avec un ou une élève de 3e. Toutes les personnes qui seront appelées viendront à ma droite avec son ou sa partenaire. Pour commencer, mettez vous tous à ma gauche pour qu’on puisse commencer. Voilà. Jérémie Belpois ira avec Caroline Savorani, (d’autres groupes), Odd Della Robbia avec Priscilla Blaisse, Ulrich Stern avec (j’espérais que ce serait…) Yumi Ishiyama,… J’étais le plus heureux mais, bien sûr, je ne le montrais pas. Maintenant, je savais son nom et j’allais passer une journée entière avec elle. On s’étais mis comme Jim nous l’avait dit à sa gauche. Moi : salut, moi c’est Ulrich ! Yumi qui contrairement à moi était de mauvaise humeur dit sèchement : ben moi c’est Yumi. Je commençais à me demander si c’était vraiment bien de passer une journée avec elle. Je regrettais d’avoir espérer qu’on serait ensemble mais peut-être que ça irait mieux plus tard. Je pensais aussi que je risquais d’avoir la honte avec mon vertige mais elle ne le remarquera pas forcément. Yumi voyant que j’étais dans mes pensées, paniqué dit d’une voix plus gentille : il faut qu’on prenne le bus, tu viens ? Moi sortant de mon affolement, souris et lui répondit : oui oui j’arrive. Je ne sais pas pourquoi j’avais tant paniqué d’un coup mais ce qui était sûr, c’était que ça ne servait à rien et qu’elle se comportait déjà plus gentiment. Dans le bus, aucun de nous parlait. Un moment, je vis Odd un peu plus loin qui me fit signe. Quand il vit avec qui j’étais, il me faisait signe que je devais lui parler, lui dire que je la trouve très belle… En réponse, je lui envoyai un sms disant que ce soir il risquerait de le regretter. Une fois arrivée, je vis la hauteur des arbres et je perdis vite mon sourire. Yumi le vit. Yumi : ça va pas ? tu deviens tout pâle ? Moi : si ça va, tant fais pas. C’est juste que j’aime pas trop les arbres. Yumi : je vois, t’as le vertige ? Moi m’énervant qu’elle le sache : NON Yumi : ça va, ne t’énerve pas. Tu sais, c’est pas grave si t’as le vertige et puis tu risques rien du tout, t’es attaché. Je t’ai… Moi l’interrompant : JE N’AI PAS LE VERTIGE Yumi essayant de le calmer : écoute, je ne le dirai à personne, si ça peut te rassurer. Et puis que tu veuilles l’avouer ou non, je le verrai bien après. Je baissa la tête ; elle avait raison. Elle me sourit mais je n’étais pas content qu’elle le sache. Je voulais garder ça pour moi ! Maintenant, c’était à notre tour ; on nous équipa et on nous expliqua comment faire les différents parcours, les règles de sécurité et celles de la chasse au trésor. Quand tout le monde fut équipé, Jim nous donna le départ. 3…2…1…go! Mon cœur était à fond, je ne voulais pas me l’admettre mais j’avais peur. Yumi me chuchotant : allez, courage ! Ne t’en fais pas je connais des personnes qui ont le vertige mais pas dans les arbres. Alors peut-être que pour toi, c’est pareil! J’espérais que ce qu’elle disait était aussi vrai pour moi. Je lui souris. Et nous allions vers l’échelle. Elle grimpa en première pour me rassurer et je la suivis. Je ne regardais pas en bas, je montais sans me retourner. Jusqu’à l’arrivée en haut, je m’accrocha à mon prochain obstacle. Je commença à traverser pour aller à l’autre bout au second arbre mais je jeta un œil en bas et vit le vide. Mes bras lâchèrent la corde sur laquelle je me tenais mais je ne tomba pas. Je m’étais bien attaché. La peur partit pour laisser place à un amusement. C’était vrai, je passais une journée avec la plus belle fille du collège, alors il fallait que j’en profite! C’était génial, le vertige était plus là. Yumi le vit. Yumi : eh bien, on dira que ça va mieux! Moi : ouais merci Yumi : pourquoi tu me dis merci? Moi : parce que tu as essayé de me rassurer Yumi : de rien On avait déjà trouvé deux indices pour la chasse au trésor. Tout à coup, une forme noire sortit de ma poche où j’avais mon portable. Je le sortis mais il n’était pas cassé. Je ne comprenais pas mais cette ombre se transforma en une grosse boule d’électricité. Elle s’attaqua à moi. Yumi : viens, je ne sais pas ce que sait mais faut pas rester ici ! Moi : ouais, t’as raison mais comment on fait ? Yumi : on se dépêche de finir ce parcours Moi : ok Je reçus un appel de Jérémie. Jérémie : Ulrich je suis à l’usine désaffectée. Moi : tu fais pas le parcours ? Jérémie : si mais xana lance une attaque, alors je suis allé à l’usine. Il faut que tu viennes pour aider Aelita à rentrer dans la tour et la désactiver. Moi : je fais ce que je peux mais je suis poursuivi par une boule d’énergie. Jérémie : ça doit être ça l’attaque de xana. Moi : il est dangereux alors ! mais je suis encore dans les arbres avec Yumi. Jérémie : dépêche toi ! Moi : mais je ne vais pas laisser Yumi se débrouiller toute seule contre une géante boule d’énergie ! Jérémie hésitant : bah… ramène-la avec toi. Ça nous fera une combattante en plus et on ne peut pas refuser. Moi tout content : je t’adore Jérèm. A tout de suite! Jérémie : ouais Yumi qui ne comprenait rien de la situation : Ulrich dis moi ce qui se passe, je sais que tu en sais plus que moi. Moi : je t’explique tout mais en continuant de se dépêcher parce qu’on est toujours suivi. Yumi : ok Je lui raconta tout mais elle eu beaucoup de mal à me croire mais après m’avoir pris pour un fou, elle m’accompagna pour sauver le monde pour la première fois. |
codecelinelyoko 20/11/06 à 19:03 | c'est une super fic apart qu'il manqe la suite bye bye |
yami no kitsune 20/11/06 à 20:21 | Une fic AC originale... j'aime bien Vivement une suite aussi interessante |
stones 26/11/06 à 13:08 | la suite est pour ce soir!! merci pour tous vos commentaires, ça fait plaisir |
Sinien 26/11/06 à 21:16 | J'aime bien. Mais (et oui rien n'est parfais) revois tes temps verbaux et surtout essaye de mettre plus de description. Il y a des passages où il ne manque rien, mais d'autres où des descriptions seraient les bien venues. J'attends la suite |
stones 26/11/06 à 21:21 | désolé mais j'ai un peu de retard donc la suite sera pour la fin de semaine mais je la ferai plus longue avec plus de descriptions!! |
stones 03/12/06 à 18:31 | Chapitre 4 : première attaque Je courrais à en perdre haleine, toujours en faisant ce parcours. Je vis une grande corde, il fallait s’y attacher et sauter dans le vide. C’était le dernier passage du parcours avant la tyrolienne. Ma gorge se serra. J’étais encore poursuivi mais je m’arrêta voyant la corde. Yumi comprit rapidement. Yumi : écoute, on n’a plus beaucoup de temps : la boule nous rattrape. Je passe devant pour te prouver qu’on risque rien mais tu passeras tout de suite après. Ça va allez ? Moi essayant de montrer que je n’avait pas du tout peur : oui oui Yumi : alors cours ! Je repris ma course. Yumi pris la corde, s’attacha tout en me montrant comment faire et sauta. La corde revint vers moi. Je m’accrocha, pris mon courage à deux mains et sauta. Je me sentis tomber puis d’un coup ça se stoppa et arriva juste à côté de Yumi. On pris la tyrolienne rapidement et une fois en bas on suivait le chemin de l’usine. Jérémie nous attendait depuis 10mn. Mais Odd n’était pas encore là. Moi : où est Odd ? Jérémie : il est aussi coincé dans le parcours. (s’adressant à Yumi) salut moi c’est Jérémie Yumi qui était restée sur place, impressionnée : enchantée je m’appelle Yumi Jérémie me parlant : tu lui as expliqué ? Moi : ouais Jérémie : bon et bien dépêchez vous, je vous rappelle que Odd est en danger ! On se dirigea vers les scanners. A ma grande surprise, Yumi n’avait pas l’air angoissé de cette aventure. J’étais curieux de voir à quoi elle allait ressembler sur Lyoko. Nous entrions dans les scanners. Et j’entendis Jérémie lançant la programmation de la virtualisation. Jérémie : transfert Ulrich, transfert Yumi, scanner Ulrich, scanner Yumi, virtualisation ! J’atterris sur Lyoko. C’était la deuxième fois mais je réussis quand même à ne pas tomber sur les fesses. Mais Yumi n’y échappa pas. Je ne pus m’empêcher de rigoler. Elle était une geisha. C’était une vraie belle japonaise et elle en était fière ! Aelita arriva vers nous. Aelita : salut vous deux ! (à Yumi) je m’appelle Aelita. Yumi : ah c’est toi la fameuse Aelita sur laquelle Jérémie a un petit faible ! moi c’est Yumi. Aelita ne comprenant pas : excuse moi mais je ne comprends pas ce que tu veux dire. Yumi allait répondre. Je n’aurai peut-être pas dû lui dire ce que je pensait. Je lui donna un petit coup de coude et elle remarqua qu’elle aurait mieux fait de se taire. Elle essaya de se rattraper. Yumi : non rien. T’avais pas dit qu’il fallait se dépêcher Jérémie ? Jérémie : si ! La tour est à 60° ouest. Odd vient d’arriver, il va vous rejoindre. Moi : ok on l’attend 2 minutes passèrent, on fit les présentations pour Odd et on commença à courir vers notre 1ère tour activée. On avait à peine fait 100m quand Jérémie nous avertit. Jérémie : attention des Krabes devant vous ! Yumi : en faite Jérémie, c’est quoi mon arme ? Odd : et moi ? Parce que je te rappelle que la dernière fois, on avait pas trouvé. Jérémie : j’ai trouvé ton arme Odd, un peu avant que tu viennes. Tu as des sortes de flèches qui sortent de tes mains quand tu dis flèches laser. Mais pour toi Yumi, je ne sais pas encore. Essaie de trouver toute seule ! Yumi : super ! Le combat commença sans Yumi qui cherchait désespérément son arme. Je protégeais Odd pendant que ce dernier tirai sur les krabes. Il y en avait 3 mais Odd n’en tua qu’un. Il avait 70 points de vie et moi 80. Yumi et Aelita était cachées derrière un rocher et avait donc tous leurs points de vie. Au bout de 5 minutes, Jérémie annonça une bonne nouvelle. Jérémie : j’ai une bonne nouvelle ! Yumi : t’as trouvé mon arme ? Jérémie : non désolé mais je viens de découvrir qu’en plus de vos armes, vous avez chacun un pouvoir. Odd, Yumi et moi : cool ! Odd : et c’est quoi le mien ? Jérémie : Yumi, tu as un pouvoir de télékinésie: tu peux soulever un objet rien qu’en te concentrant et tu as aussi un don de gymnaste. Ulrich, toi, tu as le triplicata: quand tu le dis, tu te divise en trois. Moi : je comprends pas ! Jérémie : tu as 2 clones à tes côtés. Si un monstre t’attaque, il ne s’est pas lequel de tes 3 toi est le bon et donc le temps qu’il se décide, tu peux le tuer. Si tu veux redevenir qu’un tu n’as qu’à dire fusion. Tu as aussi le supersprint, ce qui fait que tu vas super vite. Odd : et moi Jérémie ? Jérémie : toi, tu as un bouclier en disant bouclier. Odd : c’est tout ? Jérémie : ben… j’ai pas trouvé l’autre. Odd : pourquoi tu trouves toujours les trucs de Ulrich et pas de moi ? Jérémie : désolé mais si tu te taisais, je pourrais aller plus vite dans les recherches. Une fois de plus, j’étais super content de mes pouvoirs. Yumi aussi n’avait pas l’air déçu. Je lui souris en passant à côté d’elle pour continuer de tenter de tuer les monstres. Mais je remarqua quelque chose dans son dos. Yumi : qu’est-ce qu’il y a ? Moi comprenant : je crois que j’ai trouvé ton arme. Regarde dans ton dos! Effectivement, dans son dos, il y avait deux éventails. Se disant qu’il ne devait pas être là pour rien, essaya de le lancer sur un krabe. Celui-ci fut détruit en même temps que je tua le troisième. Le passage était libre et Aelita alla désactiver la tour mais avant Jérémie nous informa encore de deux choses. Jérémie : Odd, tu vas être content. Comme tu as une apparence de homme-chat, tu peux t’agripper un peu partout. Enfin, t’es comme un félin quoi ! Odd : wahouh !! merci Jérémie. Jérémie : derien Odd. Mais j’ai pas fini : je viens de découvrir un programme qui s’appelle retour vers le passé. Ce qui fait qu’après chaque attaque, on peut revenir en arrière, juste avant l’attaque. Sauf que nous, nous nous rappellerons de ce que nous avions vécu. Moi : mais après ça s’arrêtera plus. Xana refera l’attaque et on vivra toujours pareil ! Jérémie : mais non ! on retournera dans le passé avant l’attaque mais xana ne refera pas d’attaque tout de suite, du moins j’espère. Moi : ah ok. Donc si j’ai bien compris maintenant que Aelita a désactivé la tour, tu vas lancer le retour vers le passé et nous nous retrouverons au moment où nous avons fait le parcours dans les arbres et xana n’attaquera pas. Odd : vraiment Ulrich, je te félicite. Tu as réussi à comprendre un truc. Moi : contrairement à toi ! Nous commencions une bagarre sous les rires de Yumi et Aelita mais qui ne dura pas longtemps. Une aveuglante lumière blanche recouvrit l’usine, le collège, la ville, la terre. Quand j’ouvris les yeux, je me retrouvais dans le bus qui nous avait emmenés au lieu de la sortie. Je demanda à Yumi si elle se souvenait. Elle me répondit que oui. Mais les autres élèves ne savaient rien du tout et ils disaient exactement la même chose que la veille (pour moi!). La journée se passa bien: pas d’attaque et Yumi et moi avions gagné la chasse au trésor, la récompense était deux places de ciné pour n’importe quelles films. Je réussis à m’endormir vers 23h30 en rêvant des beaux yeux de Yumi. à suivre... |
Artémis 26/02/07 à 23:27 | à suivre...on est le 26 février 2007!!! stones pourrait-il/elle poster la suite?Désolée les admins, mais je peux pas laiisser passer une fic comme ça....Parce qu'elle est géniale!!et j'aimerais avoir la suite et la fin!!! |
Mamaï 27/02/07 à 14:19 | Ben oui, c'est vrai, quoi ! ELLE EST OÙ CETTE SUITE ??? Mamaï demande sur le forum Stones, Stones... pour qu'il/elle passe en vitesse cette suite ! |
jojo69 27/02/07 à 16:59 | Et attendez!!!UNE SUITE!!!! |
nadou 27/02/07 à 18:07 | Elle est magnifique ta fic alors continue la!!! Moi je veux savoir comment sa va se terminer et avec qui il est marié, j'espéres que c'est avec Yumi!! Met vite une suite qu'on attend tous avec impatiente!! |
Cléo 972 27/02/07 à 21:17 | Oui vous avez raison la première fois que j'ai lu cette fic j'ai dis : "celui là/celle là, elle/il a des idées! Elle est géniale il faut une suite! |
Xiahdeh 27/02/07 à 22:36 | Le problème principal, vous vous en rendez peut être pas compte c'est que... si l'auteur n'est pas la, crier "VITE LA SUITE! VITE LA SUITE!" ne sert a rien du tout... Et en plus de cela, cela constitue du flood pur et simple qui la prochaine fois sera effacer |
Artémis 27/02/07 à 23:18 | Oui, LW-Quentin...j'espère que l'auteur ne s'est pas désinscrit, au moins? Et encore désolée....moi, j'ai juste prévenu ou rappeler si tu veux, qu'il avait une fic en cours... |
Xiahdeh 27/02/07 à 23:36 | Il ne s'est pas désinscrit, mais il est possible qu'il ne viens plus sur le forum. Ce n'est pas un problème que tu le fasse remarquer, mais apres toi, une première personne, puis une seconde, puis une 3e viennent dire "Vite la suite" ou "A quand la suite" Dans le reglement, il est indiqué que tout message qui n'apporte pas quelque chose de nouveau ne doit pas être envoyer. Cela s'appele de l'auto-modération et cette auto-modération est quasiment inexistante dans les sujets sur les fan fictions... |