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Histoire : Résistance

www.codelyoko.net > Les créations des fans de Code Lyoko > Fan Fiction : vos histoires > Résistance par ubft

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Écrite par ubft le 03 novembre 2004 (2145 mots)

Nous faisions partie des meilleurs, nous étions presque les derniers à lutter. Nous, nous battion dans le virtuel. Les autres, les soldats, se battaient dans le réel. Personnes ne savait que l'on existait, personnes ne nous connaissaient où ils étaient morts, comme nos parents, nos amis. Nous étions la résistance virtuel...Ce que je vais vous raconter maintenant est la dernière bataille que l'on a eu à livrer, autant dans le réelle que dans le virtuel...
Il était 3h du matin on revenait de Lyoko, dehors on entendait la violences des combats, les cris des soldats mais on ne devait pas intervenir. On devait se cacher pour que Xana ne nous trouve pas, il nous croyait morts . On avait réussi à faire des trous dans les murs de l'usine pour sortir et on avait condamné l'entrer. L'usine était devenu notre maison. On n'était sortit pour aller chercher à manger, nos réserves étaient épuisées. Au détours d'une rue un combat faisait rage, les soldats étaient derière une barrière de voiture. 3 méga-tanks tiraient au canon vulcain(le sulfateuse tournante), Xana avait dût adapter ses armes: il n'y avait pas de lazers, il avait juste des balles et des roquettes. Les pauvres soldats étaient sous un feu nourrit. Nicolaï, mon frère d'arme, se coucha à coté d'un arbre, dans le noir, puis sortit un RPG(lance-roquettes) et tira. 2 méga-tanks fûrent détruits et l'autre fût détruit par les soldats. Nous nous en allâmes en direction d'un magazin, sans nous faire repérer. Arrivés la-bas nous remplîmes nos sacs à dos et partîmes. Nicolaï faisait le guet devant la porte, on approchait de la celle-ci quand il leva sa main. Nous nous arrétâmes, je le regardais, il pointa un doigt vers le ciel. Je regardais, il y avait deS frôlions dans le ciel. Nous courrûmes jusqu'à un camion et nous cachâmes sous celui-ci. Nous rempâmes jusqu'au bout de la rue. Nous ne rencontrâmes plus aucun problême jusqu'à l'usine, entrés dans celle-ci nous nous détendîmes.
Nous étions 5: Nicolaï, Chris, Caroline, Coralie et moi. Nous avions entre 16 et 20 ans, nous étions devenus de jeunes et valeureux soldats, autant dans le réelle que dans le virtuel. L'usine nous servait aussi de réserve d'arme: nous les récupérions sur les soldats et sur les monstres de Xana. Ce soir on devait aller sur Lyoko, encore, pour désactiver une tour de transfèrent: les monstres devaient êtres dévirtualiser par le biais d'une tour, donc plus de tours, plus de montres. Je me demandais tout le temps quand est-ce que cette guerre serait fini. Je supposais que cette question avait aussi turlupiné nos prédessésseurs: Yumi, Ulrich, Odd, Jérémie et Aélita. Je les avait connu avant la guerre, ils étaient au collège que moi. Ils avaient un secret, j'en était sûr mais il était impossible à perçer. Il était aussi impossible d'imaginer qu'Aélita avait été une créature virtuelle. Une fille si gentille. Mais un jour il y eu un problême: Aélita c'était fait faucher par une voiture alors qu'elle sortait de l'école et elle était morte de ses blessures. Jérémie pleurait mais les autres, quelque chose les inquiétait plus que ça. Deux jours plus tard il y eu les premières attaques.
Le collège était attaqué par des bêtes mécaniques et il céda, les éboulits avait ensevelis Odd, Ulrich et Yumi. Jérémie était coincé sous une poutre en métal, j'avais essayé de l'aider mais la poutre était bien trop lourde pour être soulevée. C'est à moi qu'il donna les instructions pour l'usine, l'ordinateur. Je l'avait écouté avec attention et il me fit promettre de défendre la Terre contre Xana. Quatre personnes de confiances et compétant dans le réel et dans le virtuel à recruter. J'avais réfléchit longuement et choisit Nicolaï, mon meilleur ami, pour sa taille, sa force et son intelligence. C'est lui qui recruta son cousin, Chris, pour son habilité en informatique. Caroline était une amie que je connaissais depuis que j'était au collège, elle faisait partie de l'équipe départementale d'athlétisme. Et il restait Coralie, ses parents avait été tués, tout comme les notres et elle se battait déja au coté des soldats. Par chance ils dirent tous oui, j'avais réussi à recruter une équipe de choc. Je comptais bien tenir ma promesse.Les premières excurtion sur Lyoko avait été un enfer pour tout le monde, on faisait défaite sur défaite. On ne pouvait hélas pas désactiver Xana car il c'était copier et il était dans tous les services informatique de la planète
-Sur lyoko Nicolaï ressemblait à un homme des SWAT, habillé tout en noir, casque, cagoule, rangers... Il y avait qu'une seul différence: il n'avait pas d'arme à feu mais une sorte d'arbalète directement encastrée dans son bras et il avait des lames en métal sur l'autre avant-bras.
-Coralie était habillée comme une magicienne: une longue robe bleu foncé, un grand chapeau, un long baton qu'il lui servait à créer des boules de feu et à se défendre, des bottes qui lui recouvrait les jambes...
-Caroline ressemblait à un ange, habillée tout en blanc, une baguette à la main, elle pouvait faire bouger les chose, c'est elle qui désactivait les tours.
-Moi je ressemblait à Daniel Garner(le héros du jeu Painkiller): une veste en cuire, un jean noir, un T-shirt noir moulant. Je lançais à la main des petits disques en métal qui me sortaient des avants bras.
-Quand à Chris il n'était jamais aller sur Lyoko.
Chris était tombé amoureux de Coralie et elle elle était tombé amoureuse de lui.Et Nicolaï et Caroline s'aimaient aussi. Dès qu'ils avaient du temps libre ils en profitaient. Tandis que moi, je restait seul à m'entraîner pour les batailles du réelle.
La mission de cette nuit devait être simple: désactiver une tour de tranfère, la routine et en plus aujourd'hui c'était notre 101 virtualisation. On espérait qu'il n'y aurait aucun problême à chaque fois qu'on plongeait. On plongea, arrivés sur Lyoko sur le territoire banquise, nous fûment "chaleuresement" acceuillis par les tirs de 4 blocks. Nicolaï fût le premier à tirer, comme d'habitude, il détruisit 1 block avec 3 flêches. Coralie détruisit 2 blocks, les pauvres s'étaient fait rotirs. Je lançais les disques par 3 et un des groupe heurta le dernier block de plein fouet, celui-ci explosa sur le coup. Personne n'avait perdu de point de vie, se qui était rare. Nous courûmes jusqu'à la tour. Elle se trouvait sur un plateau gardé par un essain de 4 frôlions qui tournoyait autour de la tour et 1 crabe. Nicolaï et moi devions attaquer le crabe et attirer les frôlions pour les détruire pendant que Coralie devait nous couvrir avec des boules de feu. Nous chargâmes, les disques, les flèches, les boules de feuet les lazers fusaient de partout. Nicolaï détruit le crabe, pendant que le distrayais, avec 1 flèche. Coralie prenait son temps pour viser, elle avait déja détruit 3 frôlions. Je courrais en direction du frôlion, un grand et un petit disque et sortirent de mon bras. Le frôlion volait très haut et Coralie n'arrivait pas à la toucher. Je prit le petit dans main et lançais le grand de toute mes forces. Je sautais dessus en vol, j'étais sur le disque et celui-ci continuait son ascension fulgurante vers le frôlion. Je lançais le petit disque qui toucha de plein fouet ma victime. Je sautais du disque, Caroline me rattrappa en vol grâce à son don de télékinésie et me reposa doucement au sol. Caroline entra dans la tour et la désactiva. Chris nous fit revenir dans le réalitée, à la sortie des scanners Nicolaï embrassa Caroline, c'était devenu un rituel, une habitude. Pendant se temps, je montais sur le toit de l'usine, la nuit était claire. Les combats faisait toujours rages, ont entendait les explosions et les tires et ce que je détestais par dessus tous: les cris des soldats qui partaient au combat avec une rage incontrolable ou ceux des soldats blessés. Je regardais le ciel, une étoile filante passa: je fis le veux que tous le monde faisait en se moment: que la guerre s'arrête...
Je dormait lorsque je fût rêveiller par Nicolaï, il me dit qu'un combat se déroulait devant l'usine. En effet, une vingtaine de soldats se battaient. Ils étaient encerclés et ne pouvaient plus s'enfuire. On ne pouvait pas intervenir... Mais Chris eu une idée, nous passâmes à l'armuerie: lui, Nicolaï et moi sortirent par un trou à l'opposé du combat. Chris parti d'un coté et nous de l'autre, nous devions nous poster, Nicolaï et moi à une extrémité de l'usine. Nicolaï sortit un lance-roquettes et quelque roquettes, il en tira 4 tandis que moi j'"arrosais" les ennemis avec une pluie de plombs 5.56: d'une mitrailleuse M50. Je pouvais voir la tête des soldats qui se demandaient d'où venait se soutient, je sourit intérieurement et regardais Chris. Il riait et laché des injures à la "va-comme-j'te-pousse" en tirant, on aurait dis que cela l'amuser. Quand il n'y eu plus aucun ennemis, nous nous empressâmes de rentrer avant de nous faire repérer. Chris revint, un sourir sadique aux lèvres, tout le monde le regardais... On éclata de rire, rire... On ne riait presque jamais, pourtant c'était une chose qui détendait tout le monde, rire... Puis Nicolaï pratiqua son rituel avec Caroline et Chris avec Coralie. Moi dans tout ça, rien du tout, même pas un sourir. Je commençait à faire un tour de garde, pour voir si tout aller bien et aussi pour passer le temps. En fait je déprimé grave et personne ne s'en était aperçu, même me défouler sur les monstres de Xana ne me suffisait plus.
Pendant cet soirée tout se passa bien. Pour une fois la nuit était calme: plus aucun bruits, ça me soulageait. Et nous avions besion d'une bonne nuit de sommeil, le lendemain nous devions aller faire exploser une base ennemis. Le réveil fût difficile pour les autres, il était 4h et j'était déja reveillé depuis longtemps. Je faisais des cauchemares toutes les nuits, en me réveillant tout en sueur, sanglotant, tremblant, pleurant même. Les monstruausité de la guerre laissait des traces qui ne s'effacerait pas de si tôt mais il fallait accepter tout ça: la guerre, les cris, les morts, le sang, les sacrifices des hommes...
Après une longue préparation, nous partîmes en direction d'une usine désafectée, en pasant dans les égouts, chris nous guidant. Cet usine servait à entreposer les monstres mécaniques mis en veille. Elle n'était pas beaucoup garder mais cette fois-ci nous étions dans le réel. Des kancrelats gardaient l'entrer. L'approche de front était, pour une fois, la moin dangereuse. Nous courâmes en tirant à coup de SMG vers les ennemis tandis que Chris nous couvrait avec la M50. Les quelques kancrelats fûrent rapidement détruis. Nous entrâmes tous dans le grand batiment... Devant nous se trouvait une scène qui aurait terrifier tout le monde: on étions en hauteur, sur des escaliers... Sous nos yeux s'étalait un "champs" de méga-tanks, à perte de vue. Nous devions faire exploser les pilier pour que la voute s'écroule sur les ennemis. Nous avions des "pains" de C4 et nous avions même trouver du PBX et de l'octol. Nous nous séparâmes, chacun d'un coté. Une fois fini, nous revîmes sur les escaliers puis nous nous en allâmes. Arrivés au bout de la rue, Coralie activa le détonateur: une forte explosion tonna puis une colone de flammes apparût dans le ciel. Encore une mission clandestine réussi, puis nous repartîmes vers l'usine. Je ne savais pas encore que la plus grande bataille que nous aurions à livrer se passerait dans quelque jours...
Les quelques jours plus tard: il était 10h du matin, Nicolaï et Coralie étaient partis sur Lyoko et ils nous avaient alerté car il y avait une forte activité des forces de Xana. Donc Caroline et moi partîmes pour Lyoko pour leur préter main forte. En effet, arrivés la-bas, nous découvrîmes une force de frappe incroyable qui c'était massé autour d'un tour de transfère.

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ubft
28/04/05 à 15:53
Résistance

Ecrit le 3 novembre 2004

Nous faisions partie des meilleurs, nous étions presque les derniers à lutter. Nous, nous battion dans le virtuel. Les autres, les soldats, se battaient dans le réel. Personnes ne savait que l'on existait, personnes ne nous connaissaient où ils étaient morts, comme nos parents, nos amis. Nous étions la résistance virtuel...Ce que je vais vous raconter maintenant est la dernière bataille que l'on a eu à livrer, autant dans le réelle que dans le virtuel...
Il était 3h du matin on revenait de Lyoko, dehors on entendait la violences des combats, les cris des soldats mais on ne devait pas intervenir. On devait se cacher pour que Xana ne nous trouve pas, il nous croyait morts . On avait réussi à faire des trous dans les murs de l'usine pour sortir et on avait condamné l'entrer. L'usine était devenu notre maison. On n'était sortit pour aller chercher à manger, nos réserves étaient épuisées. Au détours d'une rue un combat faisait rage, les soldats étaient derière une barrière de voiture. 3 méga-tanks tiraient au canon vulcain(le sulfateuse tournante), Xana avait dût adapter ses armes: il n'y avait pas de lazers, il avait juste des balles et des roquettes. Les pauvres soldats étaient sous un feu nourrit. Nicolaï, mon frère d'arme, se coucha à coté d'un arbre, dans le noir, puis sortit un RPG(lance-roquettes) et tira. 2 méga-tanks fûrent détruits et l'autre fût détruit par les soldats. Nous nous en allâmes en direction d'un magazin, sans nous faire repérer. Arrivés la-bas nous remplîmes nos sacs à dos et partîmes. Nicolaï faisait le guet devant la porte, on approchait de la celle-ci quand il leva sa main. Nous nous arrétâmes, je le regardais, il pointa un doigt vers le ciel. Je regardais, il y avait deS frôlions dans le ciel. Nous courrûmes jusqu'à un camion et nous cachâmes sous celui-ci. Nous rempâmes jusqu'au bout de la rue. Nous ne rencontrâmes plus aucun problême jusqu'à l'usine, entrés dans celle-ci nous nous détendîmes.
Nous étions 5: Nicolaï, Chris, Caroline, Coralie et moi. Nous avions entre 16 et 20 ans, nous étions devenus de jeunes et valeureux soldats, autant dans le réelle que dans le virtuel. L'usine nous servait aussi de réserve d'arme: nous les récupérions sur les soldats et sur les monstres de Xana. Ce soir on devait aller sur Lyoko, encore, pour désactiver une tour de transfèrent: les monstres devaient êtres dévirtualiser par le biais d'une tour, donc plus de tours, plus de montres. Je me demandais tout le temps quand est-ce que cette guerre serait fini. Je supposais que cette question avait aussi turlupiné nos prédessésseurs: Yumi, Ulrich, Odd, Jérémie et Aélita. Je les avait connu avant la guerre, ils étaient au collège que moi. Ils avaient un secret, j'en était sûr mais il était impossible à perçer. Il était aussi impossible d'imaginer qu'Aélita avait été une créature virtuelle. Une fille si gentille. Mais un jour il y eu un problême: Aélita c'était fait faucher par une voiture alors qu'elle sortait de l'école et elle était morte de ses blessures. Jérémie pleurait mais les autres, quelque chose les inquiétait plus que ça. Deux jours plus tard il y eu les premières attaques.
Le collège était attaqué par des bêtes mécaniques et il céda, les éboulits avait ensevelis Odd, Ulrich et Yumi. Jérémie était coincé sous une poutre en métal, j'avais essayé de l'aider mais la poutre était bien trop lourde pour être soulevée. C'est à moi qu'il donna les instructions pour l'usine, l'ordinateur. Je l'avait écouté avec attention et il me fit promettre de défendre la Terre contre Xana. Quatre personnes de confiances et compétant dans le réel et dans le virtuel à recruter. J'avais réfléchit longuement et choisit Nicolaï, mon meilleur ami, pour sa taille, sa force et son intelligence. C'est lui qui recruta son cousin, Chris, pour son habilité en informatique. Caroline était une amie que je connaissais depuis que j'était au collège, elle faisait partie de l'équipe départementale d'athlétisme. Et il restait Coralie, ses parents avait été tués, tout comme les notres et elle se battait déja au coté des soldats. Par chance ils dirent tous oui, j'avais réussi à recruter une équipe de choc. Je comptais bien tenir ma promesse.Les premières excurtion sur Lyoko avait été un enfer pour tout le monde, on faisait défaite sur défaite. On ne pouvait hélas pas désactiver Xana car il c'était copier et il était dans tous les services informatique de la planète
-Sur lyoko Nicolaï ressemblait à un homme des SWAT, habillé tout en noir, casque, cagoule, rangers... Il y avait qu'une seul différence: il n'avait pas d'arme à feu mais une sorte d'arbalète directement encastrée dans son bras et il avait des lames en métal sur l'autre avant-bras.
-Coralie était habillée comme une magicienne: une longue robe bleu foncé, un grand chapeau, un long baton qu'il lui servait à créer des boules de feu et à se défendre, des bottes qui lui recouvrait les jambes...
-Caroline ressemblait à un ange, habillée tout en blanc, une baguette à la main, elle pouvait faire bouger les chose, c'est elle qui désactivait les tours.
-Moi je ressemblait à Daniel Garner(le héros du jeu Painkiller): une veste en cuire, un jean noir, un T-shirt noir moulant. Je lançais à la main des petits disques en métal qui me sortaient des avants bras.
-Quand à Chris il n'était jamais aller sur Lyoko.
Chris était tombé amoureux de Coralie et elle elle était tombé amoureuse de lui.Et Nicolaï et Caroline s'aimaient aussi. Dès qu'ils avaient du temps libre ils en profitaient. Tandis que moi, je restait seul à m'entraîner pour les batailles du réelle.
La mission de cette nuit devait être simple: désactiver une tour de tranfère, la routine et en plus aujourd'hui c'était notre 101 virtualisation. On espérait qu'il n'y aurait aucun problême à chaque fois qu'on plongeait. On plongea, arrivés sur Lyoko sur le territoire banquise, nous fûment "chaleuresement" acceuillis par les tirs de 4 blocks. Nicolaï fût le premier à tirer, comme d'habitude, il détruisit 1 block avec 3 flêches. Coralie détruisit 2 blocks, les pauvres s'étaient fait rotirs. Je lançais les disques par 3 et un des groupe heurta le dernier block de plein fouet, celui-ci explosa sur le coup. Personne n'avait perdu de point de vie, se qui était rare. Nous courûmes jusqu'à la tour. Elle se trouvait sur un plateau gardé par un essain de 4 frôlions qui tournoyait autour de la tour et 1 crabe. Nicolaï et moi devions attaquer le crabe et attirer les frôlions pour les détruire pendant que Coralie devait nous couvrir avec des boules de feu. Nous chargâmes, les disques, les flèches, les boules de feuet les lazers fusaient de partout. Nicolaï détruit le crabe, pendant que le distrayais, avec 1 flèche. Coralie prenait son temps pour viser, elle avait déja détruit 3 frôlions. Je courrais en direction du frôlion, un grand et un petit disque et sortirent de mon bras. Le frôlion volait très haut et Coralie n'arrivait pas à la toucher. Je prit le petit dans main et lançais le grand de toute mes forces. Je sautais dessus en vol, j'étais sur le disque et celui-ci continuait son ascension fulgurante vers le frôlion. Je lançais le petit disque qui toucha de plein fouet ma victime. Je sautais du disque, Caroline me rattrappa en vol grâce à son don de télékinésie et me reposa doucement au sol. Caroline entra dans la tour et la désactiva. Chris nous fit revenir dans le réalitée, à la sortie des scanners Nicolaï embrassa Caroline, c'était devenu un rituel, une habitude. Pendant se temps, je montais sur le toit de l'usine, la nuit était claire. Les combats faisait toujours rages, ont entendait les explosions et les tires et ce que je détestais par dessus tous: les cris des soldats qui partaient au combat avec une rage incontrolable ou ceux des soldats blessés. Je regardais le ciel, une étoile filante passa: je fis le veux que tous le monde faisait en se moment: que la guerre s'arrête...
Je dormait lorsque je fût rêveiller par Nicolaï, il me dit qu'un combat se déroulait devant l'usine. En effet, une vingtaine de soldats se battaient. Ils étaient encerclés et ne pouvaient plus s'enfuire. On ne pouvait pas intervenir... Mais Chris eu une idée, nous passâmes à l'armuerie: lui, Nicolaï et moi sortirent par un trou à l'opposé du combat. Chris parti d'un coté et nous de l'autre, nous devions nous poster, Nicolaï et moi à une extrémité de l'usine. Nicolaï sortit un lance-roquettes et quelque roquettes, il en tira 4 tandis que moi j'"arrosais" les ennemis avec une pluie de plombs 5.56: d'une mitrailleuse M50. Je pouvais voir la tête des soldats qui se demandaient d'où venait se soutient, je sourit intérieurement et regardais Chris. Il riait et laché des injures à la "va-comme-j'te-pousse" en tirant, on aurait dis que cela l'amuser. Quand il n'y eu plus aucun ennemis, nous nous empressâmes de rentrer avant de nous faire repérer. Chris revint, un sourir sadique aux lèvres, tout le monde le regardais... On éclata de rire, rire... On ne riait presque jamais, pourtant c'était une chose qui détendait tout le monde, rire... Puis Nicolaï pratiqua son rituel avec Caroline et Chris avec Coralie. Moi dans tout ça, rien du tout, même pas un sourir. Je commençait à faire un tour de garde, pour voir si tout aller bien et aussi pour passer le temps. En fait je déprimé grave et personne ne s'en était aperçu, même me défouler sur les monstres de Xana ne me suffisait plus.
Pendant cet soirée tout se passa bien. Pour une fois la nuit était calme: plus aucun bruits, ça me soulageait. Et nous avions besion d'une bonne nuit de sommeil, le lendemain nous devions aller faire exploser une base ennemis. Le réveil fût difficile pour les autres, il était 4h et j'était déja reveillé depuis longtemps. Je faisais des cauchemares toutes les nuits, en me réveillant tout en sueur, sanglotant, tremblant, pleurant même. Les monstruausité de la guerre laissait des traces qui ne s'effacerait pas de si tôt mais il fallait accepter tout ça: la guerre, les cris, les morts, le sang, les sacrifices des hommes...
Après une longue préparation, nous partîmes en direction d'une usine désafectée, en pasant dans les égouts, chris nous guidant. Cet usine servait à entreposer les monstres mécaniques mis en veille. Elle n'était pas beaucoup garder mais cette fois-ci nous étions dans le réel. Des kancrelats gardaient l'entrer. L'approche de front était, pour une fois, la moin dangereuse. Nous courâmes en tirant à coup de SMG vers les ennemis tandis que Chris nous couvrait avec la M50. Les quelques kancrelats fûrent rapidement détruis. Nous entrâmes tous dans le grand batiment... Devant nous se trouvait une scène qui aurait terrifier tout le monde: on étions en hauteur, sur des escaliers... Sous nos yeux s'étalait un "champs" de méga-tanks, à perte de vue. Nous devions faire exploser les pilier pour que la voute s'écroule sur les ennemis. Nous avions des "pains" de C4 et nous avions même trouver du PBX et de l'octol. Nous nous séparâmes, chacun d'un coté. Une fois fini, nous revîmes sur les escaliers puis nous nous en allâmes. Arrivés au bout de la rue, Coralie activa le détonateur: une forte explosion tonna puis une colone de flammes apparût dans le ciel. Encore une mission clandestine réussi, puis nous repartîmes vers l'usine. Je ne savais pas encore que la plus grande bataille que nous aurions à livrer se passerait dans quelque jours...
Les quelques jours plus tard: il était 10h du matin, Nicolaï et Coralie étaient partis sur Lyoko et ils nous avaient alerté car il y avait une forte activité des forces de Xana. Donc Caroline et moi partîmes pour Lyoko pour leur préter main forte. En effet, arrivés la-bas, nous découvrîmes une force de frappe incroyable qui c'était massé autour d'un tour de transfère.
A suivre
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