Dernière édition le 31 décembre 2007
En italic les flashback
En gras, les indications de paragraphe.
Collège Kadic, 5h35
Tout le monde dort, sur son matelas ...ou son clavier.
Aelita, dans sa chambre dors, elle rêve... elle rêve...
Chambre d’Aelita Stone 5h36
-Aelita ? La voix de Franz Hopper venait de percer le rez-de-chaussée de l’Ermitage
-Oui papa ? Avait répondu sa fille, alors qu’elle jouait dans sa chambre.
-Nous avons un invité, tu descends ?
-J’arrive.
Elle descendit les marches de l’escalier. En bas son père discutait avec l’inconnu, qui aperçu la jeune fille.
-Tont...
Le son venait subitement d’être coupé, remplacé par le grésillement d’un haut parleur vide...
Elle descendait les marches, mais son coté conscient dans le rêve lui hurlait de se réveiller... Elle n’y pouvait rien, les évènements se déroulaient comme dans son souvenir.
Mécaniquement elle continuait de descendre les marches une a une... Puis elle aperçu l’inconnu.
Son inconscient était heureux de le voir, son conscient était pris à une terreur sans nom, en effet, la silhouette de l’inconnu était semblable au grésillement d’un écran, elle ne distinguait ni son visage,ni son corps, ni le son de sa voix... Aelita ne voyait que silhouette courir vers elle pour la prendre dans ses bras...
Cette fois sa conscience la rappela à l’ordre, et le réveille se fit d’une chute du lit ...boum !
Elle contempla sa chambre puis se rendormi...
Chambre d’Aelita Stone 6h50
Aelita finissait de s’habiller, elle avait toujours en tête la silhouette de l’inconnu. Mais à chaque fois qu’elle cherchait à se souvenir quel était son nom, un mal de tête la prenait, comme si un blocage s’était fait.
Se tenant la tête entre les mains, son regard croisa le calendrier. Elle vit la date... Et réentendis la voix de son père :
-A tout de suite ma chérie
-A tout de suite papa !
Puis la porte du scanner se refermer...
Elle secoua la tête... c’était fini tout ça, mais pas pour aujourd’hui... en effet...
Il y a 9 ans, jours pour jours, elle avait plongé sur Lyoko... et avait ainsi allongé son espérance de vie de 9 années supplémentaires...
La pauvre fille se sentait coupable de ça... et aussi parce qu’à l’heure qu’il est, si elle n’avait connu Lyoko, elle aurait eu 22 ans. Jérémie et les autres auraient été pour elle ses petits frères et sœur.
Epuisé par sa mauvaise nuit, elle se rendit au réfectoire.
Réfectoire du collège Kadic 7h37
Odd était levé depuis longtemps, il engloutissait ses croissants en attendant les autres dans la salle.
Il vit arriver Aelita :
-Alors princhesse, cha vhas ce matin ?
-Ben oui et non, j’ai mal dormi...
-Un cauchemar ? Ne le dis pas à Einstein, il va encore en faire tout un plat...
-Parlant de plat, c’est le combien-tième que tu finis ?
-Heu... J’ai arrêté de compter après le premier.
Elle ri poliment a la blague, puis commença à manger sans grande conviction.
L’Ermitage 7h39
Un homme en imperméable gris pousse le portail de la vielle battisse. Il contempla la fenêtre de l’ex-chambre d’Aelita. Puis entra dans la villa et arriva devant l’escalier.
Aelita descendait les marches, puis cria son nom, lui, tendais les bras vers la jeune fille de 13 ans. Elle se précipita dans ses bras.
Il secoua la tête. C’était fini... pourquoi remuer les plaie du passé ?
L’homme se dirigea vers le salon. Puis il s’assit sur le canapé défoncé... il aperçu parmi les feuilles éparses, une photo d’Aelita.
Il fixa l’image, et s’effondra en larme les bras dans ses genoux.
Chambre de Jérémie Belpois 7h41
Ulrich entra dans la pièce au fond de laquel trônait la triple tour de l’ordinateur de Jérémie.
-Voila qu’il dort encore sur son clavier celui là...
Il leva la tête vers l’écran...
-Voyons, qu’est qu’il a encore inventé,
« Journal de Jérémie... »
-Hé mais !! C’est son journal, il a du s’endormir dessus.
Pour confirmer sa remarque, le dernier mot du texte s’inscrivait ainsi à l’écran :
...Aelitaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa...
-C’est malin il s’est endormi le doigt sur le clavier,
Instinctivement, Ulrich avait commencé à lire la page du journal...
Journal de Jérémie Belpois p347
04h10
Il ne faut pas que je m’endorme, mon fichier dll pour le programme de repérage de Xana est presque fini.
Le système ne revoie aucune valeur après test... Il va falloir que je relise tout le code et que je trouve ce qui cloche.
04h47
J’ai trouvé !! Il s’agissait de la supervariable ext_67 qui était mal initialisé... j’ai relu un dernière fois le code ... dans quelques seconde, nous pourrons peut être repérer les emplacements des bases de données de Xana...
Je me suis inspiré de son attaque sur les nano robots destructeurs de mémoire... en détruisant la mémoire de Xana... peut être qu’il perdra de la puissance ?
04h49
Le programme marche a la perfection, je l’ai envoyé dans une tour de Lyoko que j’ai activé... heureusement que celle-ci est situé dans une des zone qu’Aelita a recréé, Je dispose de 4 tours sur chaque territoires de Lyoko, totalement inaccessible, enfin... si Aelita bien fait sa modélisation.
Je viens de me relire... je n’arrive pas a croire que j’ai pu douter d’Aelita...elle qui est l’incarnation de la gentillesse même...
Quoi qu’il en soit, le programme est lancé... et même avec la puissance du supercalculateur je crois que j’en ai pour 2 jours...
04h55
Cela fait maintenant plusieurs minutes que j’ai essayé de retrouver des traces de Franz Hopper sur le réseau, mais rien à l’horizon...
Mais..., j’y pense, si je couple mon programme de recherche de données mémorielles avec les scanners du Skid... je dois pouvoir accéder aux bases de données depuis la mer numérique !!
05h25
Le système de couplage est opérationnel, il ne m’a demandé que la récupération des prototypes des émetteur du Skid et de remplacer une boucle par un système de porte logique.
05h28
Une pensée m’a traversé l’esprit, et si il restait de la famille, autre que son père, à Aelita ? Je dois lancer des recherche la dessus... je ne veut pas donner de faux espoir a Aelitaaaaaaaaaaaaaaaaaa........(le journal s’arrête ici)
Chambre de Jérémie Belpois 7h58
Ulrich, perplexe devant ces dernières lignes, se demandait comment Jérémie faisait pour travailler aussi vite et autant dans une soirée. Il secoua doucement Jérémie
-Hé... La tante d’Aelita vient d’arriver au collège, elle vient pour discuter des fiançailles de sa nièce.
-Hein ? Quoi ??
Jérémie venait de se relever d’un bond. Puis contempla l’écran, puis Ulrich
-Tu...tu l’a lu ?
-Heu...ben seulement la fin, je n’en ai compris que la moitié tu sais... se défendis Ulrich
Jérémie eut un soupir. Pour rompre le silence pesant qui s’installait Ulrich tenta :
-Est-ce que... Est-ce que c’est vrai ? Tu penses qu’il resterait de la famille à Aelita ?
-Aucune idée... Mais ne dis rien aux autres...
-Ne t’en fais pas... c’était moi ton premier confident non ?
Chambre de Jérémie Belpois 2 ans plus tôt 19h56
-ok !... De toutes façons, j’ai bien peur de ne pas pouvoir gérer ça tout seul ! C’est tellement dingue...
Jérémy relève la tête puis regarde Ulrich sérieusement.
-Est-ce que tu saurais garder un secret ?!
Ulrich fronce les sourcils.
Réfectoire du collège Kadic 8h02
Jérémie arrive accompagné d’Ulrich dans le réfectoire, ils s’installent à la même table qu’Aelita, Odd a disparu.
-Odd est allé se resservir ? ? Demanda Ulrich d’un ton narquois.
-Non, Je dirais qu’il s’est arrêté au deuxième plateau.
-Non pas possible !! firent. Ulrich et Jéremie en même temps
-Enfin, il a vu Véronique Fayolle passer... et il est parti. Leur répondis Aelita
-C’est pas la fille avec les tresses en cinquième ? Demanda Ulrich.
Sissi arriva accompagné de ses deux subordonnés.
-Alors ulrich de mon cœur, tu n’es pas avec ta chère nippone ?
-Elle est externe, tu l’a déjà oublié ? Ulrich, l’esprit accaparé par ce qu’il avait lu dans le journal de Jérémie lui avait répondu sèchement.
-Tu sais bien qu’elle a une mémoire de poisson rouge... rétorqua Aelita.
-Moque toi tant que tu veux mademoiselle Einstein, mais moi au moins je ne pleure pas dans mon sommeil...
Un silence pesant s’installa sur la table. Les mains d’Aelita, cachées sous la table, tremblaient.
-Ne fais pas l’innocente, lui assena Sissi, tout l’étage des filles t’a entendu hurler, « Papa papa... » Comme une gamine...
Cette fois Aelita ne pus retenir ses larmes et sa rage. Elle s’était levée, avait bousculé Sissi hilare, en courant et s’était enfuie dans le parc.
-Aelita non ! Jérémie s’était rué à sa poursuite, suivi d’Ulrich qui avait lancé un regard noir à Sissi.
Les trois garçons quittèrent le réfectoire et se lancèrent à la poursuite d’Aelita.
Chapitre 2
Parc de Kadic, allée centrale 8h19
Les deux garçon courent dans le parc, puis au détour d’un buisson, ils voient Aelita sur un banc, recroquevillé sur elle-même, sanglotante.
Ulrich s’arrête, et fait un coup de tête à Jérémie, qui s’avance.
-Aelita ?
-...
Il s’assit à coté d’elle et lui prit la main. Elle fondit en larme dans les bras de Jérémie, lequel était devenu rouge comme une tomate.
-Il ne faut pas te mettre dans des états pareil pour cette pimbêche...
-Je...snif... je sais, mais...elle a raison, ...snif...je n’ai plus personne de ma famille.
Devant la détresse de la jeune fille, Jérémie la serra dans ses bras.
-Tu sais, lui murmura t’il, personne n’a dit qu’il n’y avait que ton père...
Elle se releva, fixant le blondinet de ses yeux d’émeraudes.
-Tu...tu le crois vraiment ?
-Mais oui princesse, allez sèches ces larmes...
Ulrich les bras croisé s’approcha d’eux.
-Dites les tourtereaux... je vous signal que nous avons un cours de science dans 3minutes. Désolé mais il vas falloir abréger.
Les deux cerveaux rougirent...Jérémie reprit le contrôle de ses émotions.
-Heu tu a raison Ulrich...allons y Aelita !
Salle 24, bâtiments des sciences 8h37
Jérémie et Aelita arrivèrent essoufflé. Il faut dire qu’ils avaient couru dans leurs chambre, emporté leur affaire aussi vite qu’ils l’avaient pu
Et avaient du monter au dernier étage du bâtiments des science...
Ils frappèrent à la porte, s’attendant au pire, la porte s’ouvrit sur madame Hertz
-Ha entrez, j’allais justement commencer... Assez vous, allez.
Il allèrent s’asseoir, Aelita croisa le regard de Sissi, on les auraient presque cru Xanatifié, tellement l’atmosphère était orageuse.
-Bien... comme vous le savez, commença madame Hertz, le second trimestre a commencé,
Soupir de soulagement dans la classe.
-Je tiens à vous rappeler que le second trimestre est tres iportant car..
...elle continua son discours sous l’attention plus ou mois soutenue de la classe.
Jérémie se tourna vers Aelita, laquel lui sourit.
-Tu sais Jérémie, sans toi je n’aurais jamais pu venir ici, ...
-Mais c’est tout naturel, tu sais...
Elle posa son doigt sur sa bouche pour le faire taire. Il prit cette main et la caressa.
-BELPOIS ET STONE !! Cria madame Hertz. Belpois quand vous aurez fini de conter fleurette à votre voisine, vous pourrez peut être suivre mon cours ?
Les deux amoureux, les joues roses, s’excusèrent en bafouillant. Sous les ricanement de la classe.
-Qu’est ce que vous avez tous cette année ? Le printemps c’est dans 4 mois ! Elle retourna derrière son bureau.
Bien nous allons de ce fait commencer ce second trimestre par un nouveau chapitre, qui sera fini, je vous le rappelle, par une interrogation écrite de deux heures.
Les plaintes fusèrent. Mais le calme revint très vite sous l’impulsion de madame Hertz
-Silence ! Bien... commençons notre chapitre sur le cerveau. Approchez vous de... (Elle passa la main sur l’arrière du bureau) la maquette...
(Une grosse maquette du cerveau humain était désormais posée sur la paillasse)
Bruits de dégoût, mine grimaçante dans la classe, ils s’approchèrent a contre cœur.
Madame hertz commença son cours.
L’Ermitage 9h02
L’homme monta à l’étage, puis entra dans la chambre de Franz Hopper.
La pièce, dévasté comme toute les autres, avait gardé son papier peint jaunâtre. Au centre trônait le lit défoncé.Dans un coin de la pièce, un bureau sur lequel devait se trouver un ordinateur, qui avait été volé.
L’homme pesta contres ces voleurs. Puis il entama une fouille méthodique de la pièce et des tiroirs.
Rien..., il n’y avait rien, il jeta un coup de pied rageur dans le sommier brisé du lit. Un de ses pieds de bois se brisa et le lit pencha sur un coté.
Il observa le pied rectangulaire du lit qui gisait à ses pied et le prit en main.
C’est étrange, il est lourd, pensa t’il.
Il regarda le parallélépipède par la base et vit qu’il était creux ! Dans la cavité pas plus fine qu’un pouce, un objet métallique brillait.
L’homme bascula le pied du lit et une plaquette grise en tomba. Il la rattrapa de justesse, déposa le pied creux par terre et s’assit sur le matelas défoncé, ensuite, il examina la plaquette.
Il du réprimer un cri de stupeur. C’était un disque dur externe de faible capacité, deux fiches de raccordement attendaient de pouvoir livrer le contenu du disque.
L’homme redescendit au Rez-de-chaussée. Il alluma l’ordinateur portable qu’il avait emmené, puis brancha le disque dur avec l’ordinateur.
L’interface était le même, tout concordait, soudain une boite de dialogue s’ouvrit :
Mot de passe ?: _
Il ferma les yeux quelques secondes, afin de se remettre en mémoire les multiples codes d’accès qu’il avait retenu. Il en sélectionna un :
L’atmosphère moite de la serre les faisait transpirer. La petite fille posa une question
-Dis c’est quoi ça ?
-Ca ma petite, c’est du Ginkgo. Avit il répondu d’un ton scolaire. Une plante très rare, mais qui a des propriété remarquables !
-Ha bon qu’est qu’elle fait ?
-On dit qu’elle rallonge l’espérance de vie de plusieurs années si on la fait infuser...
-C’est impossible dit elle d’un ton véhément, on ne peut pas vivre plus longtemps qu’une limite fixé, on doit bien mourir un jour non ?
-Tu est très intelligente pour ton age dis donc...
-Merci et toi tu est le meilleur des...
Il secoua la tête. Puis de ses doigts, entra 6 lettres,
g i n k g o...
Pass accepted.
Il faillit s’étouffer quand lLe contenu du disque se dévoila à ses yeux, un seul dossier, à son nom...
Il l’ouvrit...
Couloir du bâtiment des sciences 10h25
-Alors Odd qu’est ce que tu a retenu ?
Ulrich et les autres avaient retrouvé Odd en cours. Ils descendaient les marches des escaliers.
-He bien... que j’espère que l’on n’aura pas de cervelle de mouton ce midi...
-Beurk ! Firent ensemble Ulrich, Jérémie et Aelita
Jérémie avait la tête dans la lune, il repensait au cours de madame Hertz :
Salle 24, bâtiments des sciences 9h12
Voila, nous avons fait le tour de toutes les partie du cerveau. Nous allons observer en détail la zone dite « de la mémoire »En effet c’est là que nous mémorisons la plus grands partie de ce que nous écoutons, voyons, sentons.
-Ben chez Sissi, la zone doit être vide dans le cerveau, avait lancé a tout venant Odd.
Rires dans la classe.
-Mais non Odd tu sais bien qu’elle n’en a pas avait surenchérit Aelita.
Sissi c’était retourné vers elle prêtes à parler. Quand madame Hertz les interrompit.
-Allons allons du calme, donc comme je le disait, cette zone stocke nos souvenirs, si vous préférez c’est notre disque dur. (Ulrich et Odd regardèrent Jérémie, lequel était tout ouï) Bien entendu toute l’information n’est pas stocké ici, (Jérémie paru déçu) les émotions mémorisé par exemple sont stocké ailleurs, nous y reviendrons le long du cours.
Certain spécialistes pensent que notre cerveau émet des ondes Alpha quand nous somme au repos, ou quand nous accédons a ces mémoires. Autant dire qu’à l’heure actuelle, nous sommes tous entrain d’émettre une onde.
-Bah chez certain, c’est silence radio lança Odd.
Nouveau rires dans la classe.
-Bien... vous semblez être de bonne humeur aujourd’hui.. alors dans ce cas notez tous que pour demain vous aurez un devoir a rendre.
Déception dans la classe.
Jérémie, lui, s’en fichait, il avait enfin trouvé un moyen de localiser Franz et William sur le réseau.... Il était loin de se douter qu’il n’était pas le seul à avoir suivi le cours de madame Hertz, mais cette personne n’avait pas retenu la même partie du cours que le blondinet.
Chapitre 3
Cour du collège Kadic 10h27
Yumi arriva devant la bande au complet, Aelita était appuyé sur le banc, par-dessus l’épaule de Jérémie, en train de regarder son travail a l’ordinateur. Ulrich était en train de jouer au foot avec Odd.
-Bonjour tout le monde ! Lança t’elle.
-Salut Yumi, lui répondit Aelita, alors quoi de neuf ?
-Bah rien, si ce n’est que j’ai surpris mon frère en train de regarder mon journal intime hier soir... J’ai failli le tuer. Dit elle en plaisantant. Ulrich se retourna :
-Et tu l’a récupéré ?
-Ouais, sauf qu’il allait commencer à lire le début de notre découverte de Lyoko...
-Ha galère, fit Ulrich d’un ton maussade.
-Et vous de votre coté ? demanda t’elle.
-Ben, j’ai travaillé toute la nuit sur un programme pour localiser les mémoires de X.A.N.A. sur le réseau. Répondit Jérémie.
-Et par extension, mon père et William. Ajouta Aelita. Yumi se pencha sur l’écran de l’ordi.
-Comment tu comptes faire ? Demanda la japonaise, toujours soucieuse de pouvoir remplacer Jérémie en cas de pépin.
-He bien, j’ai pas encore trouvé de nom a la technique, mais en bref : je couple un système de reconnaissance de signature numérique, avec un décrypteur RSA, ce, en utilisant un port 34 a connexion faible, parce que dans ce cas s’il détecte le moindre fichier,que X.A.N.A a touché ou modifié, il transfère le log sur le port 21 en haut débit pour rapatrier les données et les analyser sous firewall, bien sur cela ne fonctionne que si la matrice d’échange des Qbits est vierge parce que dans ce cas le système reconfigure...
-Temps mort Einstein fit Odd, tu pourrais pas un jour nous programmer un truc qui nous traduise ?
-Bah c’est simple, si vous préférez, c’est comme un chien qui cherche un os, des qu’il l’a trouvé il le ramène a la niche. Traduisis Aelita hilare devant la tête de Jérémie.
-Hé ben, Jérémie... on l’a trouvé ton nom...lui dit Ulrich
-Et c’est quoi ?
-Kiwi, firent ensemble Aelita, Odd, Ulrich et Yumi.
Toute la bande éclata de rire. Lorsque la sonnerie retentit. La foule d’élève se dirigea vers les classes.
-Tu viens Aelita ? J’ai deux trois truc a voir pour fignoler une idée.
La jeune fille suivit le blondinet. Discutant d’informatique. Les autres les regardèrent s’en aller. Ulrich fit une réflexion.
-Ils vont bien ensemble tout les deux non ?
-Et vous deux alors ? C’est pas le grand amour ? Leur dit Odd d’un ton narquois.
-Mais heu .... Pas du tout, répondit Yumi en bafouillant.
-Il y a rien du tout Odd... je sais pas de quoi tu parle lui rétorqua le Brun, les joue rose.
-Mais ouais c’est ça.... leur lança Odd.
Jim cria dans la cours :
-Hé bien vous 3, vous n’avez pas entendu, ça a sonné ?
-Pardon m’sieur Moralès. Lui dit Ulrich en courant vers la salle de cours avec Odd.
Passerelle sous réseau N°56_78_34, serveur DNS A56GH. 10h23 (temps Internet local)
Le programme se trouvait maintenant devant l’accès au serveur voulu.
Coté réel, une simple augmentation des flux de données entrant s’afficha sur le contrôle du routeur du département de recherche en Neurologie de l’institut Pasteur. Les boîtiers mémoire se trouvaient enterrées à 30 mètres sous le sol, mais ce n’est pas de la terre qui arrêtera l’immense architecture du programme assaillant. Il entra le code d’accès en regardant via Webcam, la liste des mots de passe qu’un chercheur avait noté sur un papier, et laissé sur une table de travail. Puis se trouva devant les fichiers compressés cryptés. Qu’a cela tienne ! Le programme connecta 8 des centaines de Qbits des tables de calcul de sa base. Les impulsions électriques aidées de ce système de calcul, eurent raison très rapidement du code éternité. A l’écran s’affichait un plan précis du cerveau humain, incorporant les coordonnées de chaque point recensé.
Le programme en retint une dizaine, puis ferma l’interface, en prenant soin de laisser une macro dans le système, au cas où...
Couloir des Arcades du collège Kadic 11h35
Yumi retrouva deux des trois garçons sous les piliers :
-Ben ? Où sont Jérémie et Aelita ?
-Devant leur bécane, ils on l’après midi de libre et il travaillent sans manger... Dit Ulrich
-Je sais pas comment ils font, j’ai la dale lui répondit Odd, le ventre gargouillant.
-Allons y alors avant qu’il ne nous dévore tout cru. Fit Yumi en plaisantant.
-Tien c’est quoi ta pile de papier que tu a dans les bras ? Lui demandit Ulrich.
-C’est les notes d’informatique que Jérémie m’a prêté, pour que je puisse le remplacer.
-Tu y à compris quelque chose ?
-Pas une goutte lui dit elle en riant.
Ils partirent vers le réfectoire, dans leur hilarité, ils ne virent pas que Yumi avait laissé tomber une feuille des notes de Jérémie.
Ladite feuille fut ramassé par une main adulte qui l’emmena dans le bâtiment des sciences.
Chambre de Jérémie Belpois 11h43
Par la vitre de la fenêtre, sous le ciel gris, on pouvait apercevoir plusieurs taches de couleurs à travers la vitre délavée. Un tache Jaune, en dessous de laquel 2 morceau de verres reflétaient un écran, et une tache Rose, éclairé par la lueur bleue du portable de Jérémie.
-Tu a récupéré le dossiers des coordonnés 34°N ? demanda Aelita au pianiste de l’ordinateur.
-Oui, elles sont sur le DVD que j’ai gravé hier. Tien. Répondit il en lui tendant le disque gris.
-Merci fit elle,... tu penses vraiment que ce système de couplage avec le Sonar du Skid ne risque pas de créer des failles dans le fichier source?
-Aucunement ! Seulement, il faudra se connecter aux bases de données quand on aura localisé une mémoire de X.A.N.A., c’est ce qui reste qui est le plus dur.
-Mais non dit elle en le rassurant, à deux c’est plus rapide tu verras.
L’Ermitage 12h57
La dernière vidéo venait de s’achever. Comme un automate l’homme referma l’écran du portable. Puis il s’appuya contre un mur, le poing serré. Pourquoi ? Pourquoi lui ? Qu’avait il fait pour mériter ça ? Il ravala sa rage et monta à l’étage, dans la chambre d’Aelita. Il descella une pierre au dessus du linteau de la cheminé. Vide !
Ce n’était pas possible, une poupée, cachée dans un mur ne pouvait pas disparaître comme ça ? L’inconnu continua de fouiller la chambre puis l’étage, par acquis de conscience.
Lyoko Territoire Montagne Y=34° X=12° Z=134° 13h02
Non loin de la tour de passage, une tour passa du blanc au rouge, le programme, l’utilisa d’abord pour créer un firewall, puis re-vérifia tout les paramètre :
-Tour banquise, OK
-Coordonnées du Cortex OK
- translations binaires OK
-Spectre Prêt a Activé.
Tout était bon... il pensa :
« Je vais les détruire de la manière la plus douce et la plus terrible... Ils ne pourront pas revenir en arrière... Les dés étaient lancé, seraient t’ils assez stupide pour se mettre sur le plateau de jeu ? »
Chapitre 4
Salle informatique, bâtiments des sciences 13h16
-Mais enfin Jim, que veut tu que je fasse avec « ça » ?
« Ça » désignait une feuille de papier A4 couverte d’une écriture brouillonne au recto, et remplie de schéma, diagrammes et tableau au verso.
-C’est ce que je suis venu te demander Suzanne... J’aimerais savoir ce que c’est ce papier dit il d’un ton bourru. Tu es la meilleur dans ce domaine !
-Ho merci Jim dit elle de sa voix éraillé en rougissant. Je vais essayer...
Elle se tourna vers l’un des ordinateurs et l’alluma, puis elle commença à lire la feuille.
-Alors ... ouvrir un Shell...bon faisable, elle tapa sur trois touches et une fenêtre noire remplie d’écriture et de symbole blanc apparut à l’écran.
-C’est fait ... ensuite il faut se connecter a une serveur... s’en servir de passerelle réseau...Elle s’arrêta net.
-Jim... cela m’a tout l’air d’être un cours pour apprendre a pirater un serveur ! De qui tien tu ça ?!
-Je l’ai trouvé par terre... continue en verra bien.
Il jubilait. Enfin, enfin il avait un motif pour coincer Jérémie et sa bande. Enfin il allait savoir pourquoi ils disparaissaient et séchaient des cours. Enfin il allait comprendre ce que Belpois fabriquait avec son ordinateur dans sa chambre.
Madame Hertz de son coté, entra les coordonnées d’un serveur anodin... puis ouvrit la fenêtre d’entré sur un autre sous réseau depuis ce serveur.
-Celui qui a imaginé ça est un génie d’informatique... et il doit être sacrément rapide pour entrer tout ça dans la machine. Voyant que Jim faisait semblant de l’écouter, elle se replongea dans l’étude de la feuille.
-Entrer le mot de passe... hum... ho il est marqué dans la marge...tout compte fait...il n’est pas très soigneux ce « pirate »...
Elle entra le mot de passe puis enclencha la connexion vers l’IP indiqué. Une fenêtre de téléchargement s’ouvrit en provenance d’un serveur nommé Lyoko.
- Quelle drôle de nom se dit elle... on dirait un nom de ces jeux vidéo...
Le téléchargement s’acheva et le programme s’exécuta automatiquement, faisant apparaître une nouvelle interface... une image en 3 dimension s’anima dans un coin de l’écran.
On aurait dit une étoile à 4 branches en forme de plaque, autour d’un soleil. Suzanne Hertz n’en crut pas ses yeux, sur chaque une de ces plaques était une portion du monde miniature composée d’un territoire en forme de montagne, un autre en forme de banquise. Du troisième dépassait de arbres, elle en déduisit donc que c’était une forêt. Le dernier semblait chaud et sableux, ce devait être un désert. De multiples questions l’assaillaient Etait elle tombé sur une merveille de créations informatique créé par un élève ? Par quel miracle cette feuille était elle tombé entre les main de Jim ? Et ce signe ? Ce signe en forme d’œil dessiné sur le soleil de ce monde virtuel.... ou l’avait elle vu ?
Toujours est il qu’elle réveilla Jim qui s’était endormi sur une des chaises et alla quérir le proviseur.
Chambre de Jérémie Belpois 13h34
Aelita ferma le portable. Puis se pencha sur l’épaule de Jérémie.
-Ok c’est dans la boite !
Jérémie de son coté avait du mal à se concentrer.
« Elle est si belle de se profil, et puis... son parfum...qu’est que je disais... Ha oui...transmission au chipset par le bus _54... et puis...ses yeux, ses yeux verts... J’entends sa respiration ...on dirait les battement de mon coeur mais c’est ... le ventilateur fait un bruit bizarre...il faudrait que je le nettoie... Zut... Jérémie mon vieux de quand date ta dernière douche ?... mince ! »
Il tourna sa tête vers celle d’Aelita pour lui parler... elle pivota sa tête vers jérémie. Ils se retrouvèrent, le visage a quelques centimètres. Jérémie s’arrêta de taper. Les yeux verts de la jeune fille étaient comme des gouffres dans lequel il se jetait, éperdument.
Aelita, elle, avait les joues roses, elle ferma les yeux.
« Jérémie mon vieux... qu’est ce que tu... » Il n’eut pas le temps de finir sa pensée, submergé par l’émotion. Leurs lèvres se touchèrent sous la lueur bleue de l’ordinateur. Donnant un aspect irréel au baiser. Pour la première fois de sa vie, Jérémie ne pensait à rien... rien qu’a Aelita devant lui.
Aelita était perdue dans ses émotions, plus rien ne pouvait les déranger...
On frappa la porte.
-Entrez. Firent Aelita et Jérémie en se relevant brusquement. La porte s’ouvrit sur la bande au complet.
- Alors les amoureux, on ne vient pas manger ? Joue écarlate des 2 interpellé.
Yumi leur tendis une assiette avec deux part de rôti et des patates bouillies.
-On à du les arracher a Odd pour éviter qu’il ne les engloutisse. Plaisanta Ulrich. Le ventre du concerné fit de drôles de bruits alors que le couple commençait à manger.
-Vous voyez je vous l’avez dis... avec ça mon rencard en foiré... je vais me faire virer du cinoche !
-Un rencard ? Avec qui ? demanda Aelita, curieuse. Avec véronique ?
-Heu... comment tu a fais pour deviner ? Rougis le blond.
-Intuition féminine...
De son coté, Jérémie essayait vainement de remettre de l’ordre dans ses émotions. Sans succès. Cependant, un voyant rouge s’activa dans la barre des connexions de l’écran.
L’effet fut plus immédiat qu’une douche froide. Il se mit à ouvrir une dizaine de fenêtre à l’écran, paniqué. Toutes les fenêtres ne renvoyaient que le même signal.
Les autres avaient aussi remarqué ce revirement d’attention. Ils s’étaient précipités aux cotées de Jérémie. Tous comprenaient que les lueurs rouges clignotantes à l’écran étaient de mauvais signe.
-C’est incompréhensible... plus de connexion avec Lyoko et le supercalculateur !!
Aelita rebrancha le portable... même constat, la connexion était coupé.
-Je vais réessayer de me reconnecter. Dit jérémie.
-Pareil pour moi répondit Aelita, pianotant sur le clavier. Je vais essayer de voir qui est connecté à Lyoko pour s’en servir de passerelle.
Yumi, Ulrich et Odd se regardèrent, inquiet. Ils se dirigèrent vers la porte.
-On vas inspecter le collège, on sait jamais...c’est peut être Xana ?
Ulrich posa la main sur la poigné, laquel pivota brusquement, ouvrant la porte sur le Proviseur, Jim et madame Hertz.
Jérémie et Aelita coupèrent immédiatement leur interface. Madame hertz entra dans la chambre :
-laissez les allumés, j’ai quelques question à vous poser tout les 2...
Ulrich et les autres commencèrent à se diriger vers le seuil, Jim leur barra la route.
-Hop hop hop... Je sais que vous êtes de mèche avec Belpois...alors restez ici.
SuperCalulatteur, unité de gestion humano-émotionelle 13h48
« Zut ! »
Chapitre 5
L’Ermitage 13h50
Il réfléchissait : qui avait bien pu prendre la poupée ? Et dans quel but ? Ses yeux revoyaient la séquence vidéo encore une fois :
Disque amovible : /user/document/vidéo 4.avi 13h51
Hopper, devant la caméra du labo parlait :
« ... tu te souviens de Monsieur Pück ? Aelita l’adorait... c’est Anthéa qui lui avait choisis, les yeux du savant s’étaient voilé un instant,... Ecoute. J’ai tenu un journal durant ... un long moment. Pour le retrouver il te faudra la poupée... en cas d’ennui je le cacherai dans un endroit sur. Pour récupérer mon journal, il te suffit de trouver monsieur puck qui seras normalement dissimulé derrière la pierre de la cheminée de la chambre d’Aelita ...et d’ouvrir sa veste. »
L’Ermitage 13h51
Pas la moindre indication supplémentaire...C’était à devenir fou. L’homme prit un morceau de papier et commença a prendre des notes, tout en revoyant la séquence vidéo. Si il avait eu la curiosité de lire le verso de la feuille ramassé par terre, il aurait lu le message suivant qui était en parti barbouillé par l’humidité:
Jérémie, si tu me cherches, je l’Usine, ai trouvé un moyen
En que ça marche mais tu je aime
Aelita
Supercalculateur, XANA.exe 13h52
« Une idée, vite, une idée... » Il ouvrit les plan du collège kadic, recherchant la postions de la chambre de Jérémie, puis passa la l’étage des fille, dans la liste, il s’arrêta sur un nom...
« J’ai trouvé ! Cette fille m’est vraiment utile » Il activa une tour sur le territoire montagne, prêt a la désactiver au moment voulu...
« Il va y avoir du sport » pensa l’impulsion électrique, tout en désactivant le pare-feu qui verrouillait la connexion.
Chambre de Jérémie Belpois 13h54
Jim barrait la porte, le proviseur, atterré, regardait Odd, Ulrich et Yumi, la mine penaude, qui fixaient Madame Hertz.
-Si je comprends bien Jérémie, lui dit le voix de madame Hertz vous avez utilisé cette interface, vous la connaissez bien, et, de surcroît vous semblez avoir une parfaite connaisannce de ce monde virtuel, vu que vous manipulez bien ce système 3D. Faite voir vos documents.
Le pauvre garçon, terrifié s’exécuta, dévoilant les myriades de fichiers contenus dans le disque dur. Aelita, qui était assise au coté du pianiste, lui souffla à l’oreille :
-Cette fois, on est fichu !
Madame Hertz vit un nom dans la liste des documents interrompit Jérémie :
-Stop, ouvrez ce fichier.
Les mains de Jérémie étaient couvertes de sueurs, en effet, ce fichier était le message de Franz Hopper, depuis le réseau. Qui plus est, le nom d’Aelita, y était mentionné.
Les yeux de la vielle dame s’ouvrirent en grand.
-Franz...
Tous s’étaient tourné vers elle, tendus, si tendu que Yumi, perdant son sang froid avait agrippé le bras de son voisin. Le visage d’Ulrich passa de la peur a la surprise, puis devint rouge.
-Je me disais bien que je connaisait ce signe.
Aelita tremblante la fixa, d’une voix tremblante elle lui demanda.
-Vous...vous le connaisez ?
-Et comment lui répondit elle, c’était mon prédécesseur en tant que professeur de science. Elle se tourna vers la jeune fille aux cheveux rose.
J’ai presque l’impression de revoir ses yeux quand je vous regarde Aelita...auriez vous un lien de parenté avec cet homme ?
Des gouttes de sueurs coulèrent le long de la nuque de l’adolescente.
Jérémie murmura :
-Il faudrait un miracle pour nous sortir de là.
Ce ne fut pas un mais trois miracles qui arrivèrent. Le voyant de connexion au supercalculateur passa du rouge à un petit sablier, puis l’icône devint verte. Immédiatement le superscan s’afficha à l’écran de l’ordinateur, indiquant qu’une tour avait été activée sur le territoire des montagnes. Le bip d’alerte du programme avait fait sursauter tout le monde.
Mais la porte qui, en s’ouvrant, avait fait valdinguer Jim contre le mur, détourna l’attention des auditeurs de la pièce vers le nouveau venu. Ou plutôt, la nouvelle venue.
Sissi était sur le seuil de la porte, elle sautillait sur place :
-Papa ! Papa ! Il y a le feu au bâtiment des sciences !
Ce fut comme si on avait donné un coup de pied dans une fourmilière.
-les enfants d’abord. Hurla Jim en courrant dans l’étage.
Le proviseur couru dans le couloir en gesticulant :
-Pas de panoc, pans de ni.... Heu...Pas de panique !
Madame Hertz, elle s’était évanouie.
Odd s’adressa à l’assistance, encore sous le choc.
-Si vous pensez comme moi, vous feriez mieux de vous dépêcher.
Il ne fallait par leur dire deux fois, tous sortirent en courant en file indienne de a chambre.
Parc du collège Kadic 14h01
Odd arriva devant la bouche d’égout du parc. Faisant glisser la plaque il regarda les alentours.
-Zut pensa t’il, je suis arrivé avant les autres, bah... il me rattraperons.
Aelita et Jérémie arrivèrent ensuite tout essoufflé. Jérémie pestait :
-Pfff... je n’ai pas couru autant depuis notre entraînement avec Jim.
Aelita lui prit le visage entre les mains et l’embrassa pendant une seconde.
-Tu verras c’est le meilleur des carburant.
Pour toute réponse, Jérémie lui sourit en rougissant. Puis ils descendirent les échelons de la bouche d’égout.
Une silhouette noire courait derrière un jeune homme aux cheveux brun. Soudain le jeune homme trébucha sur une racine et tomba par terre.
Ulrich commençait a se retourner lorsque Yumi tomba sur lui.
« Ho non pas encore ! pensa Ulrich »
Yumi était troublé par la présence si proche du jeune homme. Ses pensé étaient tiraillés par deux idées :
« Dis lui maintenant ! » lui soufflait une voix.
« Ta mission et plus importante ! Relève toi et fonce à l’Usine »Lui murmurait l’autre.
Ulrich commença se relever et prit le bras de la japonaise pour l’aider a se relever. Yumi se releva et eut juste le temps d’apercevoir Milly et Tamia s’enfuir d’un buisson.
-Hé !
Elle allait se lancer à leur poursuite quand Ulrich la rattrapa.
-T’en fait pas, Jérémie lancera un retour vers le passé.
-Heu... oui répondit elle en rougissant.
Ils se précipitèrent vers la bouche d’égout et s’y engouffrèrent.
Lyoko, territoire montagne 14h05
Le halo d’une des 2 tours activés sur le territoire des montagnes passa du rouge au bleu.
« Etape 1 bis terminé. La suite du programme... création d’un spectre... mmmh quelle apparence lui donner ? Hé puis zut faisons simple.»Un programme de création réel s’exécuta sous les directives du programme maître.
Stade du collège Kadic 14h06
Sissi, qui courait devant son paternel s’arrêta net.
-Elisabeth ? Ça ne va pas ?
Une colonne de fumé noir s’éleva de la bouche de la jeune fille, puis disparue dans les air. Sissi, s’était évanouie.
-Ho non, Elisabeth fit le proviseur de sa voix grave.
-Heu monsieur le proviseur...fit Jim
-Mais enfin, vous ne voyez pas qu’elle a un malaise.
-Oui mais...
-Dépêchez vous Jim !
-Oui mais...
-Mais enfin quoi ! Cela vous étonne que cette enfant tombe dans les pommes suite à l’émotion provoquée par un...
-...Incendie qui n’existe pas. Le proviseur le regarda. Jugez vous-même monsieur.
Devant les yeux sidéré du proviseur, un bâtiment des sciences, bien intact.
Usine désaffectée, Labo 14h12
Jérémie s’était mis aux commandes, pianotant sur le clavier pour préparer quatre virtualisation.
-Les dames d’abord. Dit il dans l’oreillette.
La voix de yumi lui annonça que tout était bon.
-Ok c’est parti.
Transfert Yumi.
Transfert Aelita.
Les deux fenêtres de transfert apparurent a l’écran. Des que Jérémie entendit la porte des caissons se refermer, il entra les commandes pour numériser leurs structure.
-Scanner Yumi.
-Scanner Aelita.
Les données commencèrent a affluer vers les disque de stockage tridimensionnelle. Sur l’écran de gauche, la barre de chargement grimpait doucement. Pianotant sur le clavier il vérifiait, par conscience professionnelle l’état de la copie mémorielle. Le voyant passa au vert.
-Virtualisation.
Dans un bruit de tonnerre, les deux jeunes filles disparurent des caissons.
-A vous les gars !