Dernière édition le 25 janvier 2007
Vous êtes sur de vouloir connaitre la terrible histoire de ma vie?! Ce fardeau que je porte depuis si longtemps sur mes épaules, je vous prévient elle naît pas faite pour les âmes sensibles.
Bon comme vous voudrez, mais je ne vous promet rien, ni une histoire où la joie et la bonne humeur fait bon vivre ou quoi ce soit d'autres dans ce genre et ni même une fin heureuse.
Alors vous voulez toujours que je vous la raconte? OKAY!!! C’est vous qui voyez.
Avant de commencer j'aimerai me présenter si cela ne vous dérange pas!?
Je m'appelais Jérémie belpois, ce nom vous évoque sans doute quelque chose non? Je vais vous dire ce qu'il évoquait chez les uns et chez les autres, pour certain j'étais un enfant surdoué tête de classe, un binoclare ennuyeux sans le moindre intérêt et bien plus encore.
c'est peut-être vraie pour les uns, mais pour les autres c'était une toute autre histoire "MES AMIS" les seul personnes qui auraient laissé leur vie entre mes mains, qui avait toute leur confiance placé en moi, pour eux je faisais passé leur problème avant les miens, c'étaient mes amis.
Mais il y avait cette fille, AELITA, MON AELITA la seul et unique personne pour qui j'aurais décroché la lune et que j'aurais aimé vivre à la vie à la mort pour le meilleur et pour le pire, mais le sinistre destin avait d'autre projet pour moi qui m'empêchera de rester avec elle c'est d'ailleurs pour elle que je vais vous raconter ma sombre histoire.
Je suis sur que vous vous demandez pourquoi je parle d'eux au passé?! C’est parce que j'ai du prendre d'importante décision et faire des sacrifices pour assumer mes responsabilités qui mon éloigné de mes amis et de la fille que j'aime pour toujours.
Mais cela nous y reviendrons plus tard, maintenant si vous êtes près je vais vous conter mon histoire.
chapitre 1 : au commencement.
Le collège kadic l'endroit où tout a commencé la où j'ai rencontré mes futurs amis Odd, Ulrich et Yumi ainsi que l'amour de ma vie Aelita (soupir de regret) mais c'est aussi là que tout a fini où j'ai tout perdue mes amis, mon amour, ma famille et ma vie.
Mais avant de passer à ce niveau je vais commencer par le début.
Sa devait faire 2 mois que XANA fut libéré, 2 mois qu'il n'avait pas donné signe de vie et 2 mois que je travail sur le moyen de ramener Franz Hopper dans notre monde et détruire XANA pour de bon.
Je ne sortais plus de ma chambre passant des journées et des nuits devant mon écran de mon ordinateur cherchant des solutions à des questions sans réponses.
Je ne mangeais plus, ne dormais plus, ne parlais plus, jusqu a oublier de vivre et je n'allais plus en cours ce qui fit que ma moyen dégringola et c'est d'ailleurs pour cela que je me retrouvais souvent dans le bureau de proviseur à escpliquer mes absence et ma baisse constante de mes notes, Si seulement il savait pourquoi je faisait cela, il ne me gonflerait pas comme il le faisait.
Et mes amis ils n'arrêtaient jamais de me casser les pieds avec leur "on est inquiet à ton sujet, tu devrait te reposer, on te voit plus en ce moment" et ma préféré de toute "on te reconnaît plus Jérémie" et blablabla mais qu'est que sa pouvaient leur faire, franchement c'était ma vie j'en faisait ce que je voulais.
Qui l'aurait fait si ce n'était pas moi? Ulrich?! Non j'ai mieux ODD!!! Je suis sur qu'il aurais fait des étincels "pff".
Non ils étaient trop occupé avec leur petite vie intime pour ce préoccuper du danger qu'était XANA à présent, est pour cela je les est haie, même Aelita préféré être avec cette abruti de Odd qu avec moi.
Elle me fuait, mais pourquoi ? Étais sent parce que je ne prouvais plus mon amour envers elle ou étais sent parce que la fatigue et le fait que j'avais énormément maigrie qui avait fait de mon visage une chose irregardable?
Peut importe après tout j'étais prés à tous pour arriver à mes fin à tous même du pire.
Chapitre 2 : la fuite du destin
2 heures du matin
Près d’une usine de traitement de déchet nucléaire ou plutôt en dessous de cette usine, une base militaire souterraine où il ce passe des choses pas très l’égale, la où des chercheurs expérimente des substances chimique sur des animaux.
Une alerte retentie et des soldats ce disperse dans toute la base équipée d’armes lourde près à faire feu.
Un soldat ce dirige ce dirige vers un bureau en courant, il ouvre brusquement la porte et entre dans une pièce où l’on peut voir des trophée ainsi que des coupes montrant la qualité de la personne qui les a eu.
- MON GENERAL !!!!!S’écrit le soldat, le projet « L01GM » c’est échappé !! S’explique t’il.
Un homme qui devait avoir plus de 50 ans, il avait un vieille uniforme garni de médaille et sur ses épaules 4 étoiles montrant son grade, son visage été ridé et colérique il avait une petite moustache de couleur blanc gris ainsi que ces courts cheveux étaient de même couleur.
Il ce leva brusquement de sont siège en hurlant.
- QUOI !!! S’exclame t’il, espèce d’incapable !!! Retrouvaient le tout de suite ! Ordonne le général.
- A vos ordres mon général s’exécute le soldat en sortant du bureau.
Le général tapa du poing sur son bureau renversant son verre d’alcool, il décrocha le téléphone et composa nerveusement un numéro quelqu’un répondit.
- allo c’est le général alispon nous avons un énorme problème l’un des animaux c’est échappé du laboratoire je veux que vous capturé cette animal interdiction de le tuer ces compris ? Il raccrocha violemment.
- Voyons général du calme, ce ne naît pas ci dramatique. Dit l’homme appuyé sur le mur du fond dans l’ombre d’une voix assuré.
- Vous vous la fermez je nais pas de conseille à recevoir de vous dite il en se retournant vers la personne qui lui avait adressé la parole, ce projet vos plus 600 milliard d’euro et si le gouvernement apprend que nous font ce genre de chose c’est la prison à perpétuité pour nous deux et de plus si il arrive à sortir de la base je n’ose pas imaginé ce qu’il se passera si il rencontre des personnes dramatisa le général.
- Moi si je l’imagine très bien, nous allons enfin savoir ce que vaut vraiment cette animal ricana l’énergumène.
- Quoi ?! Mais vous êtes complètement fou dalburd je ne permettrais pas qu’il est des victimes rétorqua le général.
- Mais moi si car d’après nos scientifiques il est près pour les testes.
- c’était contre d’autre animaux que les testes devait être fait
- peut importe se ne sont que des personnes inutiles disons que je rend un service a la société en nous débarrassant de vulgaire insecte.
Tout à coup un soldat entra en criant.
- Mon général !!! L’animal c’est enfuie de la base, il est dehors.
Le général se retourna vers l’homme tapis dans l’ombre en le regardant d’un air méprisant.
- que le début de l’expérience commence !!!! Dit dalburd avec un sourire narquois.
chapitre 3 : La morsure du destin
Le lendemain 11h33.
Nous étions dans le cours de madame hertz j’avais été obligé dis assister car le proviseur (si je peut m exprimé ainsi) ma lancer un ultime atome, si j’étais encore une fois absent en cours cette semaine il convoquerait mes parents j’étais piègé d’un cotés ma vie et de l’autre XANA rien de mieux pour commencer la journée.
J’étais assis au premier rang avec aelita, j’avais énormement de mal à me concentrer comme si je devais réapprendre à écouter, je regardais souvent dehors a travers la fenêtre le temps était a la pluie comme mon esprit d’ailleurs, quand j’y repense avec du recul je me demande bien ce qui ma poussé a cette obsession tel que XANA oui XANA je n’avais que ce mot a la bouche XANA, XANA, XANA comme si il était devenue ma raison de vivre.
Je fus sortie de mes songes par le bruit de la sonnerie qui annonçait la fin des cours et l’heure du déjeuner je n’avais plus qu’une seul idée en tête retourner dans ma chambre bosser sur mes programme, quand soudain je fus pris en sandwich entre Ulrich et Odd qui me bloquèrent.
- Où tu vas comme sa Einstein ? La cantoche est de l’autre coté demanda Odd qui connaissait déjà la réponse.
- Laissais moi passer je dois retourner dans ma ch...
- Chambre !? Me coupa Ulrich.
- désolé Jérémie mais l’infirmière après avoir fais ta visite médical nous a dit que tu avais beaucoup maigrie et elle nous a demandé de surveillé ta nutrition pour que tu nais pas un malaise .m’escpliqua Ulrich.
- QUOI !!!!?? Mais...mais !! M’exclama très étonné.
- il n’y pas de mais Jérémie tu vient et c’est tout et puis sa te fera le plus grand bien. Positiva Ulrich avec un grand sourire.
- et en plus tu vas pouvoir voir cette chère Aelita. Ricana Odd
Je fus extrêmement étonné par le comportement de mes amies jamais je n’aurais crue qu’ils agiraient ainsi mon état était-il si dramatique ?
Quoi qu’il en soit ils m’emmenèrent jusqu'à la cantine en me tenant le bras comme un enfant de 3 ans.
- c’est bon je suis pas un bébé je sais marcher tout seul quand même dit-je en grognant.
Je pris alors un plateau et me servie, j’aperçu assise seul a une table Aelita je me dirigea vers elle quand......
-tien la grosse tête est revenue je croyais que tu avait disparue ? Ce moqua sissi
Odd arriva derrière moi avec la riposte.
- oui il est revenue mais malheureusement il a ramené une sangsue surnommé sissi qui le lâche plus. Rigola le blagueur.
- Tu te crois drôle peut-être ? s’énerva sissi
- Non je me permettrais pas avec une fille aussi sérieuse et intelligente tel qui vous ma chère .ricana Odd
Tout les élèves entendirent et poufèrent de rire, qui mit sissi folle de rage elle se retourna et partie a sa place en grommellent.
Il y’avait pas a dire Odd été un sacré numéro est j’étais pas mécontent d’être son amie même si parfois on aurait envie de l’étrangler, je m’approcha de la table ou Aelita manger, elle fut étonné quand et me vit.
-Jérémie !!! S’exclama Aelita.
Elle me sauta au cou m’étreignant chaleureusement, je fus surpris par cet accueil fort agréable.
- je suis heureuse de te voir enfin sortie de ta chambre, tu a enfin compris que sa ne sers a rien de rester enfermé dans ta chambre ? demanda Aelita avec enthousiasme.
- C’est que ....... Je regarda Ulrich que venait juste d’arriver qui me regarda dans les yeux avec un air de dire ta intérêt a dire oui, j’inspira un grand cou et. oui j’ai compris Aelita .répondis-je
Ensuite nous nous assaillons moi à coté d’Ulrich et Aelita a coté de Odd, Aelita était en face moi elle me souriait quelque fois en rougissant quand elle me voyait la regarder.
Elle était si belle j’adorais quant elle rougissait ses joues prenaient une couleur rougeâtre qui lui donnait des airs de princesse, c’est pas pour rien qu’on l’appelle « princesse » elle était si fraîche, si j’avais sue ce qu’il allait ce passer j’aurais profité de chaque instant avec elle mais ma jalousie maladive a pris le dessus.
Odd et Ulrich parlaient de....... En faite je ne savais pas vraiment de quoi ils parlaient mais ce que je vis réveilla ma jalousie, un bout de pain traîner sur la table et Aelita et Odd voulurent tous deux le prendre quand ils s’entrechoquèrent leurs mains, ce geste aurait put s’arrêter là ils auraient put s’excuser l’un l’autre est rependre normalement le court de leur discutions mais sa ne c’est pas passé comme ça, lorsque leur main c’est touché ils ce sont regardé en rougissant, mais ce n’était pas un simple regard non loin de là ils avaient tous deux les yeux plongé dans ce de l’autre avec un regard intense qui me s’emblais être de l’amour.
Je réagis au quart de tour me levant violemment.
-je n’ai plus faim vous excuser . Dis-je sur un ton méprisant et parti d’un pas bien décidé.
Aelita ce leva est tenta de me rattraper.
-Jérémie attend ! s’exclama t’elle. Mais qu’est ce qui t’arrive ? Me demanda en m’arrêtent près des escaliers.
-moi ? Rien appart que je me sens un peut de trop entre toi et Odd. Dis-je sur un ton bien plus méprisant et colérique que d’habitude.
-mais qu’est ce que tu racontes ? Il y a rien entre moi et Odd tu sait que il n’y a que toi. Affirma t’elle.
-tu me prends pour un imbécile ? J’ai vue ce regard que vous avez échangé je ne suis pas dupe.
-Mais mais Jérémie, Odd n’est qu’un ami
-ah oui ben j’espère que toi est ton ami serez heureux ensemble. Hurlais-je sur un ton colérique.
-c’est vraiment ce que tu pense Jérémie ? Questionna Aelita
-OUI !!!!! M’exclamais-je
- alors je voie que après tous ce temps tu ne me connais toujours pas. Dis Aelita en sanglotant
-QUOI !?
- tu ne pense qu’à toi et a personne d’autre et mon bien être tu y pense ? Non je suis sur que non tous ce qui t’intéresse ces toi et ce xana de malheur et moi tu ma oublié je suis comme l’un de tait programme une fois terminer tu t’en débarrassent c’est ça j’ai raison ? Sanglota t-elle
-je fais sa parce que personne ne le fera a ma place .rétorquais-je
-tu es méprisable Jérémie. Dit-elle en se retournant toute en pleurent à flot.
Je me rendis conte de mon erreur est voulu la rattraper mais elle s’avait évaporé, j’alla voir à la cantine mais elle n’y était pas, je me rapprocha de Ulrich et de Odd.
- vous n’avez pas vue Aelita ?
- non elle était pas avec toi ? demanda Ulrich.
- Si mais elle est partie par ma faute. Dis-je honteusement.
- Ah génial ta fait fort ton retour parmi nous einstein. Répliqua Odd.
- Je crois savoir où elle est allée. Dis-je
- OK !! on n’y va. S’excita Odd
- NON !!!!! m’exclamais-je. C’est moi que met mis dans cette situation c’est donc a moi seul de m’en sortir.
- D’accord. Dit Ulrich.
- Comme tu veux. Renchérie Odd.
Et je partie en direction de l’endroit où Aelita avait l’habitude d’allait « l’Hermitage ».
A peine que j’arrivai devant la forêt que je me sentais très fatigué et j’avais beaucoup de mal à reprendre ma respiration c’est vrai que coté sportif je n’étais pas le meilleur de ma catégorie et avoir resté plus de 2 mois devant mon ordinateur n’avait pas arrangé mon état physique et moral, je m’avança dans la forêt plongé dans mes pensé je marchais difficilement car j’avais un point de coté qui me faisait atrocement mal mais ce n’était pas la seul raison qui me faisait traîner le pas, ce que m’avait dit Aelita m’avais perturbé est ce vrai que je ne pense qu’à moi que j’ai tan changé que j’étais devenue quelqu’un de méprisable, quelqu’un d’obsédé pour par ce qu’il fait sans penser au bien être des autres ,quelqu’un, quelqu’un.......
Je fut sortie de mes songes à cause de mon arrivé devant un cul de sac, je regarda de tous les coté je ne reconnaissais rien, mes pas m’avait porté bien plus loin que l’Hermitage et pourtant il me semblais je n’avais pas marché longtemps, je rebroussa le chemin mais quelque chose avait changé dans la forêt qui me donnait la chair de poule je n’entendais plus le sifflement des oiseaux en faite je n’entendais plus rien un lourd silence s’était abattu sur la forêt je n’entendais même plus le grésillement des criquets c’était comme si ils s’avaient évaporé, un silence insoutenable qui me donna des sueurs froides, je pressa le pas ne me retournent, quand soudain les buissons ce mirent à bouger d’abord sur la droite ensuite devant après à gauche puis tous les buissons se mirent a s’agiter dans tout les sens quand tout à coup ils s’arrêtèrent refaisant tomber le silence mais cette fois ci le silence représentait le calme avant la tempête.
Je ne pouvais bouger pensant que si je faisais le moindre geste une catastrophe ce produira, quand brusquement j’entendis un grognement derrière moi j’avais peur de savoir ce qui ce trouvait derrière et dans un effort surhumain je me retourna et constata avec horreur qu’un loup avec un pelage aussi blanc que la neige ce tenez là montrant férocement les crocs où on pouvait voir des traces de sang.
Je recula doucement quand deux autres loups ce postèrent derrière moi m’empêchant de m’enfuir, je remarqua qu’ils avaient tous deux la trace d’une morsure qui devait sûrement être très ressent est sans doute causé par le loup blanc, pendant ce temps le loup devant moi s’approcha de moi avec un grognement menaçant et soudain il me sauta au visage je mis par réflexe mon bras gauche pour me protéger en tombant sur le sol, la bête attrapa mon bras dans son énorme gueule et la referma plantant ces crocs dans la chaire tendre de mon bras, je poussa un crie de douleur qui malheureusement personne ne pouvaient entendre.
Je tenta de me débattre et de retirer mon bras ensanglantés mais le loup le tenait fermement dans sa gueule meurtrière et d’une simple pression de sa mâchoire sur mon bras il me le brisa, j’entendais les os de mon bras ce fendre.
J’allais mourir après tous ce que j’avais surmonté et vécu, Xana j’avais arrivé a contrer toute ses attaques et a survivre pendant tous ce temps et la je vais me faire tuer par un misérable clébard, et mes amies ? Ulrich, Yumi, Odd qu’est qui va ce passer ? Et Aelita je n’aurais jamais l’occasion de lui dire tous ce qu’elle représente pour moi à quel point sans elle je ne suis rien et a quel point je suis désolé d’être aussi abrutie.
NON !!!! Je ne pouvais pas mourir pas maintenant pas après toussa même si mes chance de survivre son mince je dois essayer.
Je regarda autour de moi est trouva une pierre je la pris et.....
- TIEN AVALE MOI CA !!!!! hurlais-je en frappant violement sa truffe avec la pierre.
Le monstre enragé me lâcha le bras dans un gémissement de douleur toute en ce frottant le museau avec sa patte, je rampas douloureusement sur le sol vers un arbre avec la peur au ventre mais malgré cela je voulais vivre, pourquoi ? Parce que j’étais en colère oui en colère contre moi-même pour avoir gâché cette vie qui est la mienne que je ne pourrais modifier.
Par ma faute, MA FAUTE.... J’avançais sur le sol traînant tous mon corps qui me paraissait de plus en plus lourd, mon bras gauche qui était en lambeau il me faisais horriblement souffrir mais je ne perdais pas espoir je voulais vivre, continuant avancer aussi vite que je le pouvais mais tout à coup les deux autres loups qui étaient resté en retrait me barrèrent le passage en grognent férocement m’empêchant de passer quand j’entendis encore ce grognement derrière moi c’est lui, il est de nouveau près pour me tuer plus furieux que jamais, il s’approcha de moi sa la truffe était ouverte et saignait énormément, il montra les crocs et il était près a me bondir dessus.
Mais bizarrement je n’avais plus peur je me sentais décontracté est je n’avais plus mal ni à mon bras ni même au fond de moi c’été comme ci quelque chose de je sais quoi c’était envolé je n’entendais plus que les battement de mon cœur ralentir peut à peut.
BOUM....BOUM.... BOUM....BOUM...........
Et soudain tous fut froid tous fut noir.
Chapitre 4 : Le jugement divin du destin
La mer.
Je me retrouvais en pleine mer, je ne savais ni pourquoi ni comment j’étais arrivé là sur une vieille barque fragile qui pouvait couler à tout moment et le ciel était incroyablement nuageux, mais ce n’était pas cela qui me faisait peur, non !!! Ce qui m’effrayais c’était la mer, elle me semblait horriblement calme, une mer étrangement sombre, une mer aride de tout poisson, une mer où il était impossible de naviguer comme de nager, une mer infranchissable, une mer sans commencement ni fin.
Et au fond de cette mer je sentais des pulsations comme le bruit d’un cœur qui voulait se faire entendre. Les pulsations devenaient de plus en plus fortes, et la mer commençait soudainement a s’agiter, bientôt des vagues s’abattaient comme une nuée d’abeilles folles sur mon embarcation qui tanguait de tous les cotés comme si la mer voulait m’emporter.
Je m’allongeais dans le radeau et m’accrochais du mieux que je pouvais avec la peur que ce bateau cède sous la violence des vagues, je serrais les dents priant que tout cela ce calme.
Quand soudain, c’était comme ci mes prières avaient été entendues. La mer était redevenue normale, enfin si on peut dire qu’elle était déjà normale. Tout à coup le ciel s’éclaircit laissant quelques rayons de soleil illuminer ma barque de leur douce chaleur. Mais j’avais un étrange pressentiment, comme s’il allait arriver quelque chose.
Je me penchai sur les cotés de la chaloupe pour voir l’onde sous mon embarcation de fortune. Le fond était si noir que même les rayons lumineux du soleil ne pouvaient percer cet abîme ténébreux.
J’entendis un bruit de l’autre coté de l’esquif, je me penchais et remarquais des bulles qui remontaient à la surface de l’eau. D’abord ce n’était que quelques petites bulles mais ensuite elles furent de plus en plus nombreuses et grosse, jusqu'à devenir effrayant.
Tout à coup j’entendis des bruits sous le bateau comme des griffes qui grattaient le bois. Quelque chose était dessous et semblait très intéressé par ma présence. J’entendis un craquement et soudain une énorme patte velue traversa le fond de mon radeau et attrapa ma jambe toute en me tirant.
A ce moment la peur me prit par la gorge comme une étreinte violente. Je ne pouvais plus respirer, pris de panique je ne pouvais plus réfléchir correctement. Je tirai de toute mes force pour ne pas être entraîné dans la mer. Mon pantalon s’arracha, ce qui me permis de me libérer sans trop de difficulté.
La patte de cette créature retourna dans l’eau, laissant un trou béant dans la coque qui ce remplissait a vue d’œil. Mon esquif coula petit à petit me rapprochant de cette chose qui m’attendait au fond des profondeurs de la mer.
Soudain, j’entendis un cri ou plutôt un chant comme celui des baleines mais horriblement inquiétant et tout à coup le bateau vola en morceaux, dû à un coup violent venant du monstre. Je voltigeai à deux mètres des restes de la chaloupe et tombai dans l’eau glaciale de la mer. Je remontai à la surface en sachant que j’allai bientôt être nez à nez avec la bête qui vivait dans ces eaux.
Je n’eu pas longtemps à attendre, à peine eu je repris mon souffle, que je fus emporté dans les profondeurs abyssales de la mer, j’étais attiré inéluctablement par la chose qui avançait vers ces fonds noirs m’engouffrant dans cette mer aride. Me rapprochant des ténèbres glaciales, m’éloignant de la douce chaleur du soleil.
C’est donc ça le jugement du destin ? Il me punit pour la vie qu’il ma offerte et que j’ai gaspillée inutilement.
Je regardais la lumière disparaître au fur et à mesure que je m’enfonçais profondément dans le ventre de la mer. Mais étrangement je ressentais le besoin de tendre les mains vers cette petite étincelle de beauté qui s’effaçait tous doucement de ma vision.
Ça recommençait. J’entendais mon cœur qui battait mais cette fois-ci il ne ralentissait pas ; bien au contraire il s’excitait et ne semblait pas vouloir se stopper. Comme un tambour il résonnait au plus profond de mon être. Il voulait se faire entendre alors il battait le plus fort qu’il le pouvait sans se fatiguer. J’étais curieusement attiré par une lumière. Cette lumière qui avait disparue, revint plus étincelante que jamais, faisant fuir la créature qui m’emportait, éclairant les ténèbres de sa splendeur et de sa chaleur réconfortante. Elle devenait de plus en plus forte m’aveuglant, et j’entendis soudain une voix familière qui m’appela.
- Jérémie !!!!! Reviens Jérémie ne me laisse pas seul, je t’en pris reviens moi.
Je disparaissais dans un flash de lumière intense.
J’ouvris difficilement les yeux ne sachant pas où je me trouvais. Affaibli par les rayons du soleil qui traversaient les fenêtres, j’avais du mal à voir la pièce. Elle ressemblait à une chambre. J’étais allongé sur un lit et j’entendais un bruit qui provenait d’une machine, un bruit modéré comme des pulsations. Bientôt je recouvrai peu à peu la vue, ce qui me permit de déduire que je me trouvais dans une salle d’hôpital. Qu’est ce que j’y faisais je ne le savais pas. J’avais du mal à faire bouger mes jambes comme si je ne les avais pas utilisées pendant des mois. Je tentai de me relever quand soudain mon bras, qui était embaumé dans des bandages et du plâtre, me fit souffrir me replongeant dans d’horribles souvenirs que j’aurais préféré oublier. D’incontrôlables flashs back me vinrent à l’esprit. Comme une vague déferlante, ils devenaient de plus en plus nombreux. Une véritable furie d’images défilait dans ma tête. J’entendis la porte grincer et une personne entra. Son visage semblait incroyablement surprit qu’elle en laissa tomber son gobelet sur le sol. Mais toute la stupeur qui venait de la prendre au dépourvue s’effaça pour laisser place à une joie incontrôlable.
Elle courut vers moi et me sauta au cou tout en me serrant amoureusement. Elle me regardait dans les yeux. Les siens étaient remplis de larmes et de joie. Elle approcha son visage du mien et nos lèvres se touchèrent.
C’était si doux, si sucré, ça me brûlait la bouche, tout mon corps tremblait, frissonnant comme jamais. Une vague de chaleur envahit mon être et entraîna mon cœur dans un rythme effréné.
Elle retira doucement ses lèvres des miennes. Ni moi, ni elle ne pouvions dire la moindre parole, comme si nous ne voulions surtout pas briser ce moment si intense.
Son regard plongé dans le mien, rien n’aurait pu gâcher cette instant...... à part peut-être.
- JEREMIE !!!!!! S’exclama étonné un garçon aux cheveux brun.
Je tournais brusquement la tête vers la personne en question, quand deux autres adolescents entrèrent, un petit blond et maigrichon ainsi qu’une asiatique au vêtement noir.
- Bienvenue dans le monde des vivants Einstein !!!!! Souhaita joyeusement le petit blond.
Ils s’approchèrent tous du lit où je me trouvais actuellement. Ils avaient l’air soulagé.
- Yumi, Ulrich, Odd, Aelita ? Mais qu’est ce que je fais ici ???? Demandai-je.
- C’est une très longue histoire. Me répondit Yumi.
Pendant ce temps, loin de là, dans l’usine où l’alerte avait été lancée, une toute autre ambiance y flottait.
Dans une salle froide où divers outils de médecine traînaient sur une table d’opération, un homme en blouse blanche était en train d’examiner un animal mort. Soudain, les portes de la salle s’ouvrirent brusquement et un autre homme entra et s’avançât vers le scientifique.
- Alors docteur quelle est la cause de sa mort ? Demanda-t-il d’un ton posé.
- Et bibibibibien il à susus subit un coup viviviolent sur la trtrtrtruffe mais ce n’est ppp pas cela qqqqui l’a tutututué, bégaya t’il en tremblant de peur devant l’homme qui se dressait devant lui.
- Alors comment est il mort ?
- Après une exppppertise appprofffondie je ne suis pas arrivé à retrtrtrouver le *trofas* que je lui avais implplplanté ! Annonça-t-il sur un ton faible.
- QUOI !!!!!!
Le scientifique bondit de peur devant la colère de l’homme.
- Ne vous fâchez ppp pas monsieur Dalburd, s’excusa le scientifique.
- Non je ne suis pas fâché. JE SUIS EN RAGE !!!!!!! Vous imaginez ce que vaut cette petite bactérie que nous avons créée et qui maintenant se balade dans la nature ? Alors je crois que j’ai une bonne raison de me mettre en colère.
- Oui mm mais je crcrcrcois qu’il a changé d’hôte.
- Comment ça ? Expliquez-vous ?
- Et bien jjj’ai trtrtrouvé au niveau de la tt tête du loup un liqqquide d’alerte que sécrète le *trofas* quand il se sent en danggger.
- Et alors ? Même si il à pût changer d’hôte il ne peut survivre en dehors de celui d’origine.
- C’est ce qqque je me suis dit. Mm mais avant qu’il se sauve jjj’ avais remarqué une certaine évvvolution de sa pp part.
- Mais comment aurait il réussi à se déplacer d’un corps à un autre ? Interrogea-t-il.
- Pp part mélange de sang !!! J’ai trtrtr trouvé au niveau de sa trtrtr truffe une ouverture due à un choc vivivi violent ..., expliqua nerveusement le scientifique qui fut coupé par Dalburd.
- Ce qui veut dire qu’un animal dans cette forêt a en lui le *trofas* en lui. C’est bien cela ?
- Oui mm mais......, il fut de nouveau coupé.
- Donc il nous suffit de capturer tous les animaux de cette forêt et nous le trouverons. Parfait vous avez fait du beau travail.
Dalburd partit à toute vitesse sans attendre l’importante information du scientifique.
Car il avait trouvé du sang desséché sur les dents du loup, et ce sang n’appartenait pas a un animal...