Dernière édition le 11 septembre 2006
De nouveaux personnages ?
Tout commence par un bel après-midi ensoleillé du mois du juin, tout va pour le mieux, chacun dans son coin et le monde est un paradis. Jérémie, Odd, Ulrich et Aélita (qui rappellerons-nous à été dévirtualiser) sont dans un coin de la cours au collège Kadic, tandis que Yumi est sur le chemin menant au collège. Sissi, Hervé et Nicolas, vaguent quant à eux, à leurs occupations - c’est-à -dire pour Sissi à espionner Ulrich quant à Hervé et Nicolas à jalouser Ulrich - quant Sissi, prenant son courage à deux mains, se décida à aller voir Ulrich.
S : Ulrich il faut qu’on parle !
U : Oh non ! Toujours vivante Sissi ?
S : Malheureusement pour toi oui ! Maintenant viens avec moi et plus vite que ça !
(Sissi tire sur le bras d’Ulrich mais il parvient à s’écarter et manque de faire tomber Sissi)
O : Ola Sissi, fais attention, la gravité existe, et avec tes 2 kilos en trop, on frôle le séisme du siècle !
S : Toi le maigrichon on ne t’a pas sonné !
O : Svelte, je ... suIS ... SVELTE (mouvement de rage de la sa part) ! Et je te signale que tu m’as sonné, car à chaque pas que tu fais, ton cerveau résonne dans ta tête et le son est comparable à celui d’une cloche ! Hi hi !
(Hilarité générale du groupe Aélita et compagnie)
Sissi quant à elle s’en va fou de rage.
Yumi arrive quelques minutes après se doutant qu’elle a ratée quelque chose
Y : Salut les gars, bonjour Aélita !
O A U J : Salut Yumi !
Y : Alors qu’est-ce que j’ai ratée ?
O : Ah non ça ne va pas le faire ! C’est moi qui vois l’avenir pas toi ! Si tu me piques mes pouvoirs et mes vannes, je sers plus à rien moi !
Y : Oh on se calme Odd ! Mais à vous voir et à voir le reste de sourire sur vos visages j’ai ratée du bon et du joli !
J : Ah ça tu ne te doute pas à quel point !
(Sonnerie de 8 heures)
A J : Allez hop ! En physique !
(Regards gêner)
Aélita et Jérémie s’en vont en rigolant et papotant de tout et rien.
Odd : Il n'y avait pas interrogation aujourd’hui ?
U : Si, sur les insectes je crois, tu as étudié ? Oups, j’oubliai, Odd le roi de la blague, étudier ? De la pur et simple fiction !
O : Que vous dîtes très cher, j’ai étudié écoute-moi ça : Les insectes sont de petites bêtes nuisibles et horribles, sujettes à de nombreux films d’épouvantes et dont il vaut mieux se méfier. Précautions à prendre : toujours avoir une bombe insecticide sous la main !
U : Odd t’es bête ou c’est de naissance ?
O : Et oh, je n’y peux rien moi si je n’ai pas le cerveau de Einstein !
U : Tu as raison, bon on y va ? Sinon on sera en retard ! A plus Yumi !
O : A plus Yumi !
Y : Salut les gars, vous me raconterez ce qui c’est passé tout à l’heure !
(Regard et clin d’œil complice entre Ulrich et Yumi)
U : Ou ... ou ... oui ! Bien sûr Yumi (rougissant) à tout à l’heure.
Scène de classe ordinaire avec Odd faisant une bêtise et transformant son interrogation en un nouvel origami.
(Sonnerie de la récréation)
Le groupe se retrouve, Sissi repasse à l’attaque.
U : Tiens revoilà la cloche, vous entendez ?
O : Pas besoin de l’entendre, une cloche sur pied, ça ne passe pas inaperçu !
(Nouvelle hilarité générale)
S : Oh ! Ca va hein ! Pas mal du tout tes vannes ! Mais fais gaffe, c’est parfois à double sens.
O : Ah bon ? Je demande à voir ça !
S : Ton tour viendra ! Bon Ulrich faut qu’on cause d’URGENCE !
Y : Ma chère Sissi, le fait d’être la fifille du directeur ne m’empêchera pas de t’envoyer balader !
S : Très bien, mais ... je reviendrai, jusqu’à ce que tu m’écoutes !
U : Transforme-toi en une fille sympas et qui a du style et nous pourrons sûrement parler !
(Sissi s’éloigne indignée)
Y : Bon alors vous me dites ce qui c’est passé ou je reste dans l’ignorance ?
J : Bon Odd, tu le lui racontes ou on s’en charge ?
O : Ola ! Vous savez que c’est mon honneur ! Alors accroche-toi bien Yumi car ça va te plaire.
Odd lui raconte alors son histoire.
Nouvelle hilarité mais venant des quelques spectateurs s’étant attroupé pour entendre l’histoire de la version « la plus juste ».
Entrée en scène d’un visuel d’une fille entrant dans le champ de vision de Odd.
« Description de la fille :
Nom : Dujardin
Prénom : Hélène
Occupation : Etudiante
Parents : Mère : Camille (vivante)
Père : Inconnu (mort)
Description : Yeux : verts-amandes
Cheveux : Bruns longs aux épaules
Taille : 1m53
Poids : 42 kilos
Signes distincts : poitrine peu développer, cheveux tenu par deux broches en forme de
Dragons rouge et or, petites cicatrices à la main droite
Habits : T-shirt : bleu nacré
Pantalon : jeans brun très clair, avec seulement les deux poches arrières et déchiré Ã
Divers endroits
Basket : simple, presque des tongs
Surnom : Solitaire, Entarteur »
Odd est sous le charme. Il ne parvient plus à poser un mot et balbutie des inepties à tort et à travers. Ulrich passe la main devant ses yeux pas de réaction de sa part.
J : Et Odd ! Tu es avec nous ? Oh oh !
O : ou ou ouuuuuuuuuu houa ! Que canon ! Vous l’avez vu ? Vous la connaissez ?
U : Oui, c’est Camille et tu as déjà pris une baffe d’elle tu te rappelle ?
(Flash back)
O : Oui trop bien même (il se masse la joue). Mais pas elle, la jolie brune là -bas ?
A : Oui, elle est nouvelle, elle vient d’arriver, il y a trois jours en ville.
O : Comment sais-tu tout cela toi ? (Regard ébahi et admiratif)
A : Tu as de ces questions, je lui ai parlé toute à l’heure. Mais elle reste très secrète.
O : Ah ah ! Enfin du challenge, une langue à délier ! J’en avais marre, les autres parlaient trop vite !
Y : Ah bon ? Pourtant tu n’es jamais arriver à me faire parler moi ?
O : Oui mais ce n’est pas la même chose ! Tu es une amie et je ne veux pas plus !
J : Donc il faut que l’on soit quelqu’un que tu as en vue mais pas une de tes amies si on veut un espoir avec toi ?
O : Ouais, Ouais en gros c’est ça ! Bon je vous laisse, une affaire à régler !
Et il s’encourt vers la jeune inconnue.
A : Bon Jérémie, si on allait voir Lyokô ? Xana est un peu trop calme en ce moment !
J : Bonne idée ! En plus je commence à m’ennuyer depuis un moment.
Y : Serait-il possible que depuis que Xana est sorti de Lyokô tu t’ennuierais un peu ?
J : Oui et non, je ne suis pas tranquille, on ne sait pas à quoi s’attendre depuis sa libération.
Aélita tire une drôle de tête et s’en va quelque peu discrètement.
J : Aélita, attends-moi !
Yumi et Ulrich se retrouvaient alors seul.
Y : Ben nous voilà seul, tu sais, il y a quelque chose que je voulais te dire depuis un moment !
U : Ah ? C’est bizarre moi aussi tu sais.
Y : Oui, ben tu commences alors ?
U : You, you Yumi, je voulais... enfin, je voulais te dire, oui voilà je voulais te dire que je ... que je ... je ...
W : Salut vous deux !
Y : Oh, salut William (ton froid et réservé)
W : Salut Yumi, ça va ? Et toi Ulrich ? (Ton froid sur la deuxième partie)
U : Ca peut aller merci, tu permets, on discutai avant que tu n’arrives !
W : Oui bon, mais tu permets ? Il faut que je parle à Yumi un moment.
U : (Ton grave et sévère) MAIS CE N’EST PAS VRAI ! C’EST UNE VRAIE MANIE AUJOURD’HUI ??
W : Oh du calme Stern ! Qu’est-ce qui te prend ?
(Yumi prend la main droite de Ulrich)
Y : Calme-toi Ulrich ! On reprendra plus tard okay ?
U : Oui, oui vas-y ! Moi je vais voir Jérémie et Aélita moi aussi je m’ennui depuis un moment. A tout de suite Yumi.
Y : A tout de suite Ulrich !
(Yumi lâche la main de Ulrich à grande peine)
Y : Bon tu me veux quoi cette fois-ci ?
W : Non pas ici, là -bas je préfère !
Pendant ce temps dans la chambre de Jérémie, Aélita à un coup de blues.
J : Ce n’est pas de ta faute, on est tombé dans un traquenard, on y peut rien ! Arrête, on t’a dit que nous serons avec toi ! Et on va le faire !
A : Ce n’est pas ça, je... j’essaye de me rappeler avant.
J : (Surpris) Avant ? Avant quoi ? Avant qu’on arrive et qu’on active le super-calculateur ?
A : Non ! Avant, avec Franz Hopper, je veux dire ...
J : Avec Papa ?
A : (Les larmes aux yeux) O... oui. Je n’ai pas ou presque plus de souvenirs de tout ça, c’est comme exister tout en étant morte. Je suis ici mais pourtant, si je calcul bien, j’aurai l’âge d’être ta maman ! C’est comme une jeunesse nouvelle dont on n’a pas voulu ! (Sanglots suivis de pleurs)
J : Tu sais, des gens payeraient de leur vie pour pouvoir avoir une jeunesse éternelle. Mais ...
A : Eh bien je la leur laisse ! Moi je n’ai pas demandée à être comme ça.
J : Je sais bien Aélita, mais tu as une... disons une chance énorme ! Tu parviens à imaginer une vie sans que Ulrich, Odd, Yumi et moi ne soyons pas là ?
A : Non, tu as raison, je me plains pour rien, excuse-moi Jérémie.
J : Ce n’est pas grave Aélita.
(Accolade chaleureuse entre eux)
A : Oh Jérémie, je ... je ... je voudrai te dire quelque chose ...
J : Moi aussi Aélita. Vas-y toi d’abord !
A : Jérémie, je ... je ...
(Ulrich entre sans frapper)
U : SALUT VOUS DEUX ! Oh oups, je dérange peut-être.
J : Oui je pense. On ne t’a jamais appris à frapper à une porte ?
A : Laisse Jérémie, ce n’est pas grave, on remettra ça à plus tard. Ca peut attendre non ?
J : Oui sans doute, Ã toi de voir.
A : Mais oui, ne t’en fait pas, on en reparlera.
U : Alors rien de nouveau sur Lyokô ?
J : Je n’ai pas encore pus lancer un scanne. Aélita et moi on discutai figure-toi.
U : Oh bon ça va ! Je m’excuse, voilà t’es content ?
J : Voilà qui est mieux, tu vois quand tu veux ? Bon lançons un petit scanne. Xana nous voilà !
U A : SUS A XANA ! (Voix triomphante)
J : Tiens, quand on vous a quittés, Yumi était avec toi non ? Où est-elle maintenant ?
U : Euh ... Avec William. (Voix tremblante et sourde)
J : Ah d’accord, et bien sûr Lyokô il n’y a rien à craindre ou redouter. Mais des questions sont à poser...
U : Jérémie, articule nom d’un chien !
A : Que veux-tu dire par-là ?
J : Et bien comme Xana est sorti du super-calculateur, que doit-on craindre ? Xana lui-même ou des attaques interposées ? Et les tours ? Et Lyokô lui-même reste-t-il opérationnelle ou peut-on le débrancher ? Toutes ces questions restent sans réponses pour le moment.
A : Jérémie, tu sais qu’il y a un moyen. Tu le sais pertinemment ! Il faut...
J : Non Aélita ! On n’a pas le droit de faire ça ! Tu sais qu’à chaque fois qu’on le fait, tu es malade peu après, et en plus tu t’évanouis et devient morte cliniquement ! Non, il est hors de question de tenter d’éteindre le super-calculateur ! Même si Xana est dehors, on ignore tout des conséquences et du virus qu’il t’a implanté !
U : Justement Einstein, si on tente le coup, on saura à quoi s’en tenir exactement ! On sera présent donc on pourra intervenir promptement et parer à toutes éventualités.
J : Non, je refuse catégoriquement, jusqu’à la prochaine attaque de Xana, pas touche au super-calculateur !
U : Mais...mais Jérémie !
J : Non, non et non !
A : (au creux de l’oreille d’Ulrich) Laisse-moi faire veux-tu ? Sors d’ici quelques minutes.
U : D’accord mais soit prudente et (clin d’œil) pas de bêtise.
A : Ne t’en fais, mais borné comme il est, jamais on y parviendra !
J : CE N’EST PAS BIENTÔT FINI VOS MESSES-BASSES ? (Ton entre la jalousie et la colère)
U : Ok, je vous laisse entre vous, vous avez des trucs à vous dire, je pense ? Allez salut, je vais voir ou reste Yumi.
A J : Ok, salut à tout à l’heure en cours.
(Ulrich sort de la chambre mais laisse la porte entrebâillée et se met sur le côté).
A : Jérémie, écoute-moi s’il te plaît, tu sais toi aussi que c’est notre seule solution, le seul moyen de ne plus se soucier du super-calculateur en dehors des attaques. Tu le sais n’est-ce pas ?
J : Oui, mais ça me fait peur, tu sais, on ne sait rien de tout ce qui nous attend à présent, Aélita je ne veux pas risquer ta vie, je ne peux risquer de perdre quelqu’un que j’aime.
(Gêne extrême ressenti sur musique de fond douce)
A : Aimer ? Dit-moi, qu’est-ce donc comme sentiment ? Je connais quelques sentiments comme la honte, le joie, l’amusement mais pas encore cette chose, est-ce ce qu’on appelle l’amour qu’est ce sentiment ?
J : Euh ... Il est très difficile d’exprimer ce sentiment par des mots. Pas de mots pour le définir car ce sentiment chacun le ressent toute sa vie et par moment. Il n’y a pas de mots pour l’exprimer car tout le monde sait ce qu’est ce sentiment.
A : (air naïf sincère) Mais si tout le monde le connaît, pourquoi est-ce que je ne connais pas ce sentiment ? Pourquoi est-ce que je ne ressens rien ?
(Musique mélodramatique)
J : Aélita, tu as encore des connaissances confuses du monde humain. Mais tu es avide d’apprendre, peut-être de trop après tout. Mais, vois-tu Ulrich et Yumi ? Ce qu’il y a entre eux ? Et bien vois-tu, c’est cela que l’on nomme « amour ».
A : Jérémie, pourrai-je moi aussi un jour éprouver ce sentiment ?
J : Vois-tu c’est de cela que je voulais te parler. Vois-tu du premier jour où l’on t’a retrouvé dans Lyokô ? Et bien depuis ce moment je... je ... (rougissement des plus intense) J’ai commencé à t’aimer, à vouloir t’avoir comme petite amie et te prouver mon amour !
A : Est-ce de l’amour que tu éprouve en ce moment ?
J : (Ton indigné et surpris) De...De... De l’amour ? Mais voyons c’est plus que ça Aélita ! C’est de la passion ! Enfin, je...je...laisse-moi te montrer !
Jérémie prend Aélita par les mains et remonte aux épaules puis l’attire tout doucement vers lui. (Images lumineuses sur fond rose et bulles presque invisibles et basculement de la « caméra » pour vider les lieux ne laissant voir que Jérémie et Aélita) Jérémie pousse un soupir et embrasse Aélita ! Après quelques secondes intenses d’émotion Jérémie et Aélita se lâche les lèvres.
J : Comprends-tu maintenant ce qu’on ressent ?
A : C’est...C’est bizarre ! Je ne parviens pas à déceler ce sentiment, je ne peux pas décrire ce sentiment ! J’ai l ’impression d’être légère.
J : (Clin d’œil) Tu vois que tu peux ressentire cette sensation ? Ce n’est pas si compliqué.
(Sonnerie de 10h30)
A : Allons en cours, on reparlera de ça plus tard ok ?
J : D’accord. Allons-y.
Cette fois-ci c’est au tour d’Aélita d’embrasser Jérémie. Elle sourit niaisement.
A : J’aime faire ça, tu m’y as donné goût je pense.
J : Moi ce que j’aime, c’est quand tu le fais !
Ulrich qui était resté caché n’en a pas manqué un morceau, et admiratif et envieux, part avant l’arriver de Jérémie et Aélita à la porte.
Une scène joyeuse de cours s’en suit. Aélita et Jérémie dans un coin souriant idiotement, Odd rêvant dans un autre et Ulrich lui pensif et sérieux dans un autre encore. Yumi quant à elle se retrouve en histoire fâché et quelque peu souffreteuse.
(Sonnerie de cantine)
Odd se lève précipitamment et quitte en courant la classe, Jérémie et Aélita partent main dans la main et Ulrich lui traîne des pieds et est la tête basse. Il quitte la classe en dernier, mais en sortant il se cogne.
Y : Fais attention regarde où tu vas !
U : Hein ? Quoi ? Ah c’est toi Yumi, qu’est-ce que tu fais là ?
Y : J’attendais quelqu’un...
U : (honteux et jaloux sur un ton qui veut paraître dégagé) Ah ? Bien alors je te laisse.
Y : Ben tiens ça c’est bizarre. Tu ne me demandes pas qui j’attends ?
U : Pourquoi je le connais ? C’est qui ?
Y : Là je retrouve le Ulrich que je connais (clin d’œil). Bien sûr que tu le connais ! C’est toi que j’attendais !
U : Moi ? Mais pourquoi ?
Y : Tu as la mémoire qui flanche ou quoi ? On a des trucs à se dire rappelle-toi !
U : Ah oui ! C’est vrai ! Excuse-moi j’avais la tête ailleurs.
Y : Oui, j’avais crus remarqué !
Elle prit Ulrich par la main, provoquant un rougissement mutuel et intense, et partirent ainsi en direction de la forêt. Pendant le chemin, Ulrich s’apaisa peu à peu, mais une question lui brûlait les lèvres.
U : Yumi, je peux te poser une question ?
Y : Oui, vas-y, je commence à avoir l’habitude ! (Petit rire moqueur)
U : Qu’est-ce que... Qu’est-ce William te voulais ?
Y : Ah, je vois, bon assied-toi, il faut qu’on parle cinq minutes.
U : Ok, si tu veux !
Y : Vois-tu William est amoureux de moi, mais moi, j’ai quelqu’un d’autre dans mon cœur. Et je suis parvenu à lui faire entendre raison. Et aujourd’hui il est venu me voir pour un peu d’aide, faut dire qu’il choisit quelqu’un qui à de l’influence (dernière phrase dite avec un sourire et en rigolant). Tu ne devineras jamais de qui il s’intéresse.
U : Euh... de la nouvelle ?
Y : Non, bon je vais te le dire ça ira plus vite ! De ... Sissi !
U : Quoi (son attention est de nouveau au maximum) ? De Sissi ? Tu plaisantes ?
Y : Non, et c’est pour ça qu’il est venu me voir, il voulait quelques renseignements sur elle, mais comme on n’est pas très amie, amie, j’ai pas su lui dire grand-chose !
U : Oui, c’est un faite certain ! Mais euh... Toi de qui es-tu amoureux ? (Rougissement)
Y : Oh, c’est un garçon très bien, mais le problème est qu’il est renfermé sur lui-même et ne laisse presque jamais paraître ces sentiments, même face à moi...
U : Oh, je vois, et qui est-ce ?
Y : Tu es vraiment à côté de tes pompes aujourd’hui ! Mais je parle de
U : De moi, oui je sais Yumi, et c’est de cela que je voulais te parler la tout à l’heure.
Y : Vraiment, vas-y je t’écoute !
U : Yu...Yumi, depuis le moment où l’on c’est connu je n’ai pas pu te chasser de mon esprit, je m’endors c’est avec ton image, je me réveille et je te vois devant moi. Je n’ai jamais osé te l’avouer car je ne savais pas comment te le dire ni te l’avouer ! Mais Yumi, aujourd’hui je me décide enfin (leurs mains s’étaient jointes tout doucement, Yumi c’était un peu relevé et Ulrich se retrouve un genou à Terre) ! Mademoiselle Yumi Ishyama, voudriez-vous sortir avec moi ? (Musique romantique et fond rose effaçant la forêt dans laquelle il se trouve)
Y : Monsieur Stern, Ulrich Stern, ce serait pour moi un immense honneur et une immense joie !
Ils se rapprochent et un baiser termine cette scène.
A la cantine, Jérémie et Aélita rejoignent Odd et la nouvelle.
A J : Salut Odd.
O : Salut vous deux, je vous présente Hélène.
H : Bonjour !
A : Bonjour, comment tu vas ? Moi c’est Aélita.
H : Un peu perdu, mais ça va merci.
J : Moi c’est Jérémie, enchanté.
H : Pareil pour moi ! Alors c’est toi qu’on appelle Einstein ?
J : (rouge de colère et de honte) OOOOOOOOOOOOODD !
O : Ben quand on fait les présentations, c’est jusqu’au bout non ?
H : Moi je trouve ça bien comme nom ! Moi mon surnom c’est Entarteur.
A : (Etonnée) Pourquoi un surnom pareil ?
O : Euh... Vous comprendrez sûrement plus tard (se massant la joue)
A : (En riant) Oh je vois.
J : Assied-toi Aélita (en retirant la chaise).
O : C’est la première fois que... Mais nom ce n’est pas possible !
A : Quoi ?
O : Toi et Einstein ? Enfin ? Dieu soit béni ! Ce n’est pas trop tôt ! (Les mains en porte-voix) OH TOUT LE MONDE ECOUTEZ ! AELITA ET JEREMIE SONT ENFIN ENSEMBLE ! OUH LES AMOUREUX ! OUH LES AMOUREUX !
Rirent fusant de partout et applaudissement. Un flash éclate, c’est Milly et Tamya.
M : Eh bien, vous nous aurez fait attendre vous deux ! C’est depuis quand ? Est-ce que ça fonctionne bien ? Tamya, tu ne rates rien j’espère ?
T : Non ne t’inquiète pas ! Tout va être dans la boîte.
O : Bon je vous laisse avec la presse ! Tu viens Hélène ?
H : Oui j’arrive.
(Ils quittèrent la cantine côte à côte)
H : Ils sont sympas tes amis !
O : Oui, mais tu sais, bien plus que l’amitié nous lit !
H : Comment cela ?
O : Zut ! Oh rien, oublie, on est très très amis c’est tout ! Pour nous c’est fraternelle et non pas amical.
H : Oh, vous avez de la chance ! Moi je n’ai presque jamais eu personne avec qui partager quoi que se soit !
O : Tu sais, tu peux le faire avec moi, je suis une tombe pour les confidences et secrets !
H : Oui, j’ai vu ça tout à l’heure !
O : Non, ça c’est différent ! Eux ça fait des mois qu’on attend ! Tout le bahut était au courant !
H : Ah ok, ben tu sais, moi je ne vois pas ce que je peux te dire... J’ai appris à faire confidence à moi-même.
O : Tu permets que je te pose des questions alors ?
H : Oui mais fais gaffe, je n’ai pas de surnom pour rien !
O : Oh ne t’en fais pas ! J’ai eu ma leçon ! Alors... D’où te viens cette cicatrice sur la main (Il dit cela en prenant la main d’Hélène) ?
H : Pas de problème, je vais te répondre : J’aime me battre, je me bats surtout avec des garçons, car ils me respectent peu vis-à -vis de mon apparence, un peu homme ! Et un jour, je passai avec ma main à travers une fenêtre. Et voilà . Tu sais d’où elle vient.
O : Moi je me bats à ma manière, je n’aime pas les poings, je préfère parler, je lance des vannes pour faire en sorte que l’autre personne se taise et s’en aille, mais ça ne m’empêche pas de savoir me battre aussi.
H : Tu es biens singulier comme garçon : drôle, sympathique et maigrichon ...
O : JE NE SUIS PAS maigrichon ! (Ton désinvolte et paressant dégagé). Je suis svelte.
H : Excuse-moi (faisant la tête). Mais tu sais, les maigrichons sont adorables eux aussi... Enfin, tu es plus féminine que masculin. Comme moi mais inversement.
O : Euh... Excuse-moi mais le terme maigrichon vient d’une fille que je ne peux pas voir même en peinture, alors je préfère svelte.
H : Pas de problème. Et toi ? Y’a-t-il des cicatrices qui te laisse des souvenirs de guerre ?
O : Non pas ici en tout cas !
H : Pas ici comment ça ?
O : Ben, ben... Oh rien, avant de te parler de ça, je dois d’abord parler à mes amis, mais t’en fais pas ils comprendront. Parle-moi de toi et tes parents tu veux ?
H : Ma mère s’appelle Camille, mais mon père est mort.
O : Zut, vraiment désolé.
H : Ne le sois pas, il est pas vraiment mort ! Mais j’ai arrêtée de le voir ! J’en avais marre de le voir et de me comporter comme si je l’aimais.
O : Oh, je te plains, moi je vis avec mes deux parents, ils sont artistes.
H : Tu as de la chance, mais avec ma mère, on a quelque chose qui s’est installé. Une amitié mère/fille si tu veux !
O : Eh bien, tu es gâtée. Et pour les petits copains ? Tu en as déjà eu ?
H : Odd ! Tu es directe ça joue des tours !
O : Oui je sais ! Mais je suis d’une nature très curieuse ! Et je ne parviens pas à me contrôler, c’est instinctif !
H : Oh je vois ! Et bien, il va falloir attendre pour la réponse à cette question
O : Ce n’est pas juste !
H : Hihihi, laisse tomber, allons nous promener un moment ! Et ??? Qui c’est là -bas ? Regarde-les se bécoter !
O : (Interloqué et choqué) Mais...Mais... Mais c’est ... ULRICH ! YUMI ! (Il cri à plein poumons).
Les deux se retournent et vois Odd bien accompagné (ce qui ne les surprend qu’à moitié).
U : OOOOOOOOOODD ! Pour la discrétion, faudra repasser !
Y : Toujours gaffeur ! Même accompagné tu n’en rates pas une !
O : On se calme ! C’est vous qui me devez des explications, on vous laisse deux minutes en solitaires et côte à côte, et on vous retrouve occupé à vous bécoter ! Imagine ce que seront les répercutions sur mon avenir !
U : Pour ce qui reste de cerveau en toi, ça n’aura aucune répercussion !
Rire de Yumi, Ulrich et Hélène.
O : (En colère face à Hélène) Ben vas-y, met-toi de leur côté aussi !
H : Excuse-moi, mais ça change de voir que tu es sensible à ce genre de spectacle ! Pourtant ta réputation n’est pas à faire dans le bahut !
O : Zut alors, tu es déjà au courant ? Pourquoi tu restes avec moi dans ce cas ? Tu dois te douter à quoi je veux en venir ?
H : Oh oui, je m’en doute ! Et ce ne serait pas ça ?
Hélène se jette à son cou et l’embrasse.
Y : Si on dérange dite-le nous ?
O : (gêne extrême) Euh... Hélène voici Yumi et Ulrich, les deux autres amis dont je t’ai parlé ! Yumi, Ulrich voici
H : Hélène, petite amie attitrée de Odd !
Odd, Yumi et Ulrich sont tous étonné, l’un plus que l’autre !
O : Tu es expéditif ! Mais je veux bien, je le voulais de toute façon.
H : Bon je te laisse, je dois aller voir ma chambre.
O : Attend je viens avec toi !
U : Odd tu connais les risques si Jim te choppe !
O : Oui, deux heures de col ! Mais ça vaut le coup non ?
Y : Odd, le secret d’accord ?
O : Quoi garder le secret de votre amour ? Ca va pas non ? Je ne pourrai jamais !
Y : Oh si tu le pourras, Milly et Tamya auraient de quoi faire la une demain et pendant la semaine !
O : Elles auront bien à faire avec Einstein et Aélita !
U : Quoi ? Il s’est décidé ? Ce n’est pas possible ! Enfin le groupe trouve chaussure à son pied !
Y : Oui difficile à croire !
O : Bon on vous laisse ...
Y : Odd secret de potes hein ! Juste Aélita et Jérémie ok ?
O : Oui ne t’en fait pas !
U : Crois-tu que nous puissions lui faire confiance ?
Y : Oui, quand il répond à ça on peut vraiment lui faire confiance ne t’inquiète.
Elle avait dis cela en s’approchant de lui et colla ses lèvres contre les siennes. Il lui sembla que rien au monde ne puisse les en empêcher, mais ce fut de courte durée. La sonnerie retenti au loin, annonçant la reprise des cours de l’après-midi.
U : Zut, on n’a pas put manger ! Oh, après tout, peu importe, puisque je suis avec toi, tu sais je me sens libéré de tout le poids qui pesait sur moi ! Yu... Yumi, je ne veux plus te quitter !
Y : Il faudra bien, à moins que tu veuille me rejoindre en cours et venir dormir à côté de moi !
U : Pour les cours, il n’y aura sûrement pas moyen. Mais pour dormir, c’est autre chose !
Y : Qu’est-ce que tu veux dire par-là ?
U : Tu verras ce soir ! Tiens ta fenêtre à l’œil et tu comprendras !
Y : Bon faut y aller ! Sinon, Jim se fera un plaisir de tout dévoiler !
U : Tu as raison ! Comme toujours !
Il s’embrassèrent et s’en allèrent main dans la main vers le lieu de leur prochain cours, mais ils avaient oubliés qu’il s’agissait du sport ! Ainsi se quittèrent-ils devant le gymnase pour chacun aller s’habiller.
Ulrich remarqua la tête que faisait William, contrairement à d’habitude il alla lui serrer la main, provoquant par la même, la stupeur de la salle. Mais William à compris de quoi il s’agissait.
W : Bravo Stern, tu as gagné à ce petit jeu.
U : Pourtant tu fut un bel adversaire je le reconnais. Bonne chance avec elle !
W : Merci, je pensai à elle au début, mais on m’avait dis que Yumi était un challenge à essayer, alors j’ai voulu le tenter, mais j’ai perdu ! Et maintenant je me lance vers mon cœur.
U : Tu aurais du le faire avant, tu aurais moins attendu ! (Il avait serrer les poings pour éviter de frapper William au mot « challenge » )
W : Probablement.
Jim entre et annonce le sport d’aujourd’hui.
J : Bon les petits gars ! Aujourd’hui foot en commun avec les filles, des groupes de six personnes dans chaque équipe et que ça saute !
Odd sortit en sautillant et côte à côte avec Hélène.
J : OOOOOODD Della Robbia et Hélène Dujardin !! Que vous arrive-t-il ?
O H : Ben monsieur vous avez dit « Et que ça saute » ! (Ils se complétaient l’un l’autre dans la phrase)
J : Bande de petits malins ! On verra votre note sur le terrain !
Les groupes se formèrent, avec bien entendu Odd, Hélène, Aélita, Jérémie, Ulrich et Yumi furent dans la même équipe. William et Sissi eux étaient avec Nicolas et Hervé au plus grand bonheur de celui-ci.
W : Sissi, avant que cela commence, peut-on parler un moment ?
S : Pas de problème mon grand, que me veux-tu ?
W : Voilà , j’ai abandonner Yumi et j’ai une autre fille dans le collimateur !
S : Quoi ? Comment tu peux faire cela ? Si Yumi à le champ libre avec Ulrich, comment puis-je le séduire ? Et s’ils sortent ensemble avec qui je pourrai bien me mettre ?
W : Pourquoi pas avec moi ?
S : (Bond de surprise)QUOI ? AVEC TOI ? Cette bonne blague. Tu plaisante j’espère ?
W : Pas du tout ! C’est depuis la première fois que je t’ai parlé que je suis amoureux de toi !
S : Oui ben oublie mon pote, c’est tout ce que tu es pour moi ! Pas d’amour entre nous deux, je ne vois même pas pourquoi tu as osé penser cela ! Moi et toi ensemble ? Plutôt embrasser un porc-épic !
W : Tu sais, je parierai pas trop sur ta sorti avec Ulrich ! Yumi avait le projet de lui faire ses révélations plus tard dans la journée, et je pense qu ’elle n’a pas attendu mon consentement ou du moins que je lui dise que j’allai te parler !
S : C’est impossible ! Et en plus tu n’arriveras jamais à la cheville d’Ulrich !
W : Qu’est-ce que Stern à de plus que moi ?
S : Avant tout, Ulrich est quelqu’un hors du commun : mystérieux et pas facile à gagner, il est un garçon complètement désinvolte et ne parle pas de lui plus souvent qu’il le faut. Bref c’est un garçon hors du commun !
W : Ainsi voilà ce qui t’attire chez lui, enfin je devrais dire t’attirait ! Je vais te dire une chose : Yumi pour elle, je n’ai dévoilé qu’une petite partie de mon jeu ! Mais pour toi que j’aime vraiment, je serai prête à tout !
S : Que... que veux-tu...dire par-là ?
W : Dis-moi oui, et tu ne le sauras jamais ou repousse-moi et tu le verras dans les prochains jours !
S : Alors je te dis : ZUT !
Elle partit sur un pas décidé et alla rejoindre son équipe un peu à l’écart de William.
W : (Pour lui-même) Très bien, dans ce cas, je dois sortir l’artillerie !
La match se déroula et on ne fut pas surpris de voir le groupe de Lyokô en première position et le groupe à Sissi en seconde position. Même lorsqu’ils sont amoureux, rien ne se met entre eux pour une compétition. Le cours suivant était la biologie, et les cœurs de Yumi et Ulrich furent déchirés de devoir se séparer, mais il se jurèrent de se retrouver à la sortie des cours. La biologie se passa avec les blagues habituelles de Odd mais Hélène lui prêta main forte mettant Mme Herz dans un pétrin que seul une promesse de retenue parvint à calmer ! Heureusement qu’il avait d’autres choses de prévus pour le samedi qui venait sinon elle n’aurai pas eu le calme avait la sonnerie qui annonça la fin des cours et le week-end par la même occasion !
(Longue sonnerie de fin de cours)
U : EN AVANT POUR LE WEEK-END !
O H : OUIDA ! VIVA EL WEEK-ENDO !
J : Bon, vous criez encore longtemps ou vous sortez ?
U : Moi je vous laisse, j’ai rendez-vous avec Yumi.
O : Ulrich est ...
U : Odd ! Si tu tien à pouvoir faire ce que tu veux de ta bouche : TAIS-TOI !
O : OK, bon on va pas se fâcher pour si peu ?
U : Je pensai que tu avais promis à Yumi ?
O : Oui bon, Si on peut plus rire !
J A : Bon VOUS BOUGEZ OUI OU CROTTE ?
U : Oui bon, je vous laisse les gars, Ã tout de suite !
J A O : A tout de suite Ulrich !
Et il parti dans une course éperdue. Il arriva juste au moment ou Yumi sortait du cours d’histoire.
U : Oh ! Yumi ! Je suis là !
Y : Oui, j’arrive Ulrich, ne sois pas si impatient !
U : Excuse-moi, j’étais tellement impatient, ce cours m’a paru interminable !
Y : Oui, je sais, j’ai ressenti la même chose, mais si tu veux que ça reste secret pour le moment, fait gaffe à tes fais et gestes !
U : Tu as raison, comme d’habitudes (sourire complice). Bon je te laisse ici.
Ils étaient arrivés à la grille d’entrée. Yumi aurait voulu rester, l’embrasser et lui dire combien elle aimait SON Ulrich. Mais elle comprenait pourquoi il voulait attendre, elle savait qu’il avait du respect pour elle et les traditions auxquelles elle était attachée.
U : N’oublie pas, laisse ta fenêtre ouverte ce soir !
Y : Mais enfin vas-tu me dire pourquoi ?
U : Une petite surprise ! Fais-le et tu verras.
Et ils se quittèrent comme ça sur un simple à tout à l’heure !
William était dans son coin, il jalousai la bonne humeur et le bonheur d’Ulrich. Oh combien n’aurait-il pas donner pour connaître quelque chose de semblable ! Mais il savait que son tour viendrait bientôt, il fallait attendre, attendre et encore attendre ! Mais la récompense serait à la mesure de l’attente. L’amour était la clé, son cœur avait réellement parlé devant Sissi et elle l’avait rejeté ! Mais pourquoi ? Enfin, c’était le week-end et il pourra agir ! Jérémie et Aélita, quand à eux étaient en balade dans la forêt et Odd et Hélène eux faisait les quatre cents coups dans les couloirs avec Ulrich. Le bonheur était présent dans presque tout les cœurs. UN bonheur que rien n’aurait pus troubler. Rien ? Pas si sur, dans ce monde de fais de petits bonheurs et de bonne humeur, il existe un troubleur d’ordre de taille. Oui, Xana décida que la journée veillant le week-end était une journée parfaite pour attaqué (bien sûr c’est imagée), et il activa une tour !
Il est pas loin de dix heure, Odd et Ulrich sont dans leur chambre.
O : Donc si je comprend bien : Tu me laisse la chambre pour moi et Hélène mais à la condition que Jim ne remarque pas que tu fais le mur ?
U : Oui, tout à fait, mais si ça ne te conviens pas, je suis sûr que Jérémie lui viendra avec plaisir ici !
O : Ca ne va pas non ! Ca me conviens parfaitement ! Je ... Comment je peux te remercier mec ?
U : En faisant en sorte que Jim ne remarque pas mon absence et que tu restes longtemps avec Hélène !
O : Ok, mais pour que Jim ne remarque pas ton absence se sera dur ! Mais pour Hélène et moi ne t’en fais pas !
U : Bon à demain et surtout, n’oublie pas : Parole de pote ?
O : Parole de pote !
Et il sortit avant la première ronde de Jim et Odd appela Hélène pour qu’elle vienne le rejoindre. Jérémie lui était de retour avec Aélita de la forêt. Ils montèrent dans la chambre de Jérémie, se laissant glissé sous les draps, trop fatigué pour se mettre en pyjama mais trop heureux pour se séparer pour cette nuit-la.
Ulrich courait, au tournant il pris à droite et tomba pile en face de la maison de Yumi, Sa fenêtre était entrouverte et une lumière très fine passa dans l’embrasure de la fenêtre. Il monta grâce à la gouttière. Arriver à côté de la fenêtre, il frappa à la fenêtre d’un sons presque inaudible. Une ravissante fille, habillé à la japonaise se présenta devant la fenêtre, aidant son bien-aimé à rentré dans la chambre éclairé presque d’un noir encre.
U : Bonsoir mademoiselle ! Attendriez-vous quelqu’un pour être en beauté ce soir ?
Y : Oui, mais je pense qu’il vient d’arriver !
Ils s’embrassèrent comme bonsoir, et finirent couché l’un à côté de l’autre, et se tenant dans les bras, leurs lèvres s’effleurantes au moindre mouvement, provoquant le bien-être inconscient qu’ils aimaient. Odd et Hélène étaient, quant à eux, dans la chambre, discutant de tout et rien, mais surtout s’embrassait, comme il était bon de se sentir heureux !
La nuit passa, trop vite pour le petit groupe. Mais apportant avec lui, le matin fut rempli de toutes sortes de surprise. Jérémie se réveilla et se surpris avec ses mains dans le dos d’Aélita et lui caressant doucement le dos de haut en bas et de bas en haut. Aélita poussait des petits soupirs de bien-être intense. Odd se réveilla, il avait mal à la tête, il se rappela la soirée mémorable qu’il avait passé avec Hélène et il réveilla d’une douceur qu’il s’étonna lui-même de découvrir sa chérie. Elle se réveilla doucement, ouvrant un œil et puis l’autre. Odd profita de son demi-sommeil pour lui donner un bisou qui la réveilla et relança le « débat des bisous » interrompus par Jim le veille au soir. Mais, la plus belle surprise était réservé au couple Ulrich et Yumi.
Elle s’était réveillée la première et comme à son habitude du week-end, descendit et se prépara un petit déjeuner, mais en prépara un peu pour son amour. Elle le réveilla.
Y : Ulrich ? Hey oh ! Ulrich ? Debout mon beau, il va être l’heure.
Ulrich ouvrit l’œil difficilement. Ils sourirent ensemble, Rien n’aurai pu tuer cet instant magique.
U : Bonjour Yumi, bien dormi ?
Y oui, et toi ? Pas trop dur de dormir sur un lit japonais ?
U : Non, et j’avoue aimé cela.
Y : Tiens, je t’ai fait un petit déjeuner. Je ne savais pas si tu aimais le café alors j’ai fais un petit chocolat chaud avec des croissants.
U : Merci, mais tu ne risque pas trop avec tes parents ?
Y : Oh ! Ne t’en fais pas ! Je dirai que j’ai eu une faim d’ogre.
U : Et te reste-t-il un petit creux pour ça ?
Il l’embrassa.
Y : Je pense que je n’aurai jamais assez de cela.
U : Yumi, tu sais, ça m’a fais bizarre d’avoir dormi avec toi, tu es la première avec qui j’ai dormi.
Y : Rassure-toi, tu es le premier garçon aussi.
U : Yumi, je pense qu’on devrai en parler avec tes parents, tu sais qu’on sort ensemble. J’ai l’impression d’être un voleur.
Y : Alors monsieur le voleur, vous êtes en état d’arrestation et vous avez le droit de m’embrasser !
Ce qu’il fit avec plaisir !
U : Yumi, je suis sérieux, en plus, je pense qu’il vaudrait mieux joué franc-jeu avec eux. Car un jour ou l’autre ils vont s’en rendre compte !
Y : Tu as raison, oui, mais tu comptes le faire quand ?
U : Et pourquoi pas d’ici une petite heure ? Cela nous le temps ...
Il laissa sa phrase en suspend, lourd de sous-entendu et Yumi perçut ce que Ulrich voulait. Ils s’allongèrent encore un peu et s’embrassèrent.
L’heure d’après Ulrich descendit de la cambre à Yumi et alla sonner à la porte de la maison, Mme Hishyama alla ouvrir et vit le jeune Ulrich devant la porte.
Mme H : Bonjour Ulrich, tu viens sans doute pour Yumi ? (Elle dit cela sur un ton des plus calme et parfaitement contente).
U : Non, je viens vous voir ainsi que Mr Hishyama.
Mme Hishyama : Ah bon ? As-tu des nouvelles aussi graves que cela que tu veuille nous parler avant de parler à Yumi ?
U : Non madame, c’est de Yumi que je voudrai vous parler. Oh ! Ne vous inquiétez pas ! Rien de grave, mais je tiens à faire dans les règles.
Mme Hishyama : Bien... Bien sûr, mais entre je te prie (Elle était devenue aussi joyeuse et rouge que pivoine. Sa fille ! Sa petite Yumi ? Enfin !)
Mme Hishyama : (A son mari) Tu peux venir quelques instants s’il te plaît ?
Mr Hishyama : Bien sûr ! Ah ! Bonjour Ulrich, comment vas-tu ?
U : Très bien merci Monsieur et vous-même ?
Mr Hishyama : Ca peut aller, un peu fatiguer de ma semaine mais sinon ça peu aller, que nous vaut l’honneur de ta visite ?
U : Eh bien voilà , je ne sais pas comment m’y prendre pour vous l’annoncez car je sais que vous êtes resté très traditionnel et je ne connais pas les traditions japonaises.
Mr Hishyama : Et bien, fais le à l’européenne, ça t’évitera de tourner autour du pot et nous saurons enfin de quoi il retourne !
U : Voilà , Monsieur et vous Madame Hishyama, si je suis ici ce matin, c’est pour vous demandez la bénédiction pour sortir avec votre fille. (Il avait tout déballé sans arrêt pour respirer et avait virer du rouge au violet par manque d’oxygène).
Mr Hishyama : Très bien, il faut avouer que tu as le mérite d’être franc ! Avoir le courage de venir ici et de nous le demander avant de le faire avec Yumi, cela ne fait que te monter dans mon estime. (Puis vient la phrase habituelle) Mais pourquoi veux-tu sortir avec ma fille ?
U : Et bien, elle est ce que j’aime comme fille, elle reste secrète mais on peut en deviner quelques morceaux, on peut aussi remarquer la sagesse dont elle fait preuve dans des mouvements de panique ou dans des moments logiques. Elle est posée et calme mais surtout très belle. (Nouvelle teinte violette).
Mme Hishyama : Merci pour tout ces compliments, tes sentiments pour notre fille ont l’air des plus sincères.
U : Je peux vous assurer qu’ils le sont.
Mr Hishyama : Bien, dans ce cas, il ne me reste plus qu’une chose à faire. YUMIIIIIIIIIIIIIIIIII !
Elle descendit en quatrième vitesse, n’ayant rien manquer de la conversation.
Y : Oui papa ?
Mr Hishyama : Yumi, ce jeune homme nous demande bénédiction.
Y : Ah bon ? Pourquoi ? (Ton faussement surpris)
Mme Hishyama : Il semblerait que ce garçon éprouve plus que de l’amitié à ton égare.
Mr Hishyama : Effectivement ! Et c’est pourquoi je ne refuse pas se demande : Yumi, si toi aussi tu aimes ce garçon, vous avez ma « bénédiction ».
Yumi n’en pouvais plus ! Enfin il avait dit oui ! Elle se jeta au cou d’Ulrich et l’embrassa. Cela gêna un peu Ulrich mais Yumi lui souffla à l’oreille que c’était une de leur tradition après une « bénédiction ».
Mme Hishyama : Bon, on va vous laissez, vous devez avoir des choses à vous dire. Yumi, si tu sors, ne rentre pas trop tard !
Y : Oui maman.
Ainsi Yumi et Ulrich partirent vers le collège.
Odd et Hélène faisait un joli chaut dans le réfectoire, ne cachant même plus leur amour aux yeux de la population resté dans l’école pour le week-end. Jérémie et Aélita non plus n’était plus aussi honteux de leur amour, et s’en donnai eux aussi, à cœur joie. Ulrich arriva avec Yumi quelques minutes plus tard. Ainsi la bande était au complet. Bien qu’Ulrich mourrait d’envie d’embrasser Yumi, il n’en fit rien, car il lui avait dit qu’il ne préfèrerait pas pour le moment. Les couples montèrent dans la chambre à Jérémie pour prendre les nouvelles de Lyoko. Quelle ne fut pas la surprise d’Hélène de voir tout ce matériel informatique ! Et de quoi parlait-ils donc ? Xana ? Lyoko ? Qu’est-ce que c’est que tout ce charabia ? Elle risqua la question.
Jérémie fut entré dans une colère noire !
J : Odd ! Pourquoi elle est là ? Et comment se fait-il qu ’elle ai eu des sous-entendus de ce secret ?
O : Je ne lui en ai pas parlé Einstein. J’ai juste dis que je ne possédai pas de cicatrice dans ce monde-ci ! Et rien d’autres ! Et puis, avoue que maintenant que Xana est sorti de Lyoko, des jambes et des bras en plus ne nous ferai pas de mal ! On ne sait même pas à quoi s’attendre !
J : Ce n’est pas une raison Odd ! Mais j’avoue trouver ta demande bien concrète et bien fonder, mais cela ne me concerne pas uniquement, c’est un vote d’équipe ! Qui est partant pour un vote ?
Aélita, Odd, Ulrich levèrent la main. Yumi semblait soucieuse.
U : Ben alors Yumi ? Pourquoi tu ne veux pas de vote ?
Y : Je ne suis pas contre, mais j’avoue avoir un peu peur, on a déjà beaucoup de mal à garder un tel secret nous cinq, est-ce que rajouter une personne de plus ce ne serai pas s’avouer vaincu ?
O : Tu as raison Yumi, mais même si elle ne combat pas, elle peut servir d’observateur, ici sur Terre ou alors aider Jérémie une fois au labo ! N’oublie pas les Xanatifications ! Et elles étaient moindre comparer à la puissance qu’il peut avoir maintenant !
Comme pour confirmer ses soupçons un flash d’information apparut à l’écran de Jérémie
La présentatrice : Nous interrompons notre programme pour un flash d’information des plus capitale ! Une tornade de force deux, donc une F2 se dirige en ce moment vers le centre ville en gagnant de l’intensité ! Nous vous rappelons que ce genre de tornade n’a pas une grande espérance de vie. Mais celle-ci se déplace depuis maintenant dix bonnes minutes ! Nous avons sur le plateau divers spécialiste dans ce domaine et des spécialistes météorologique.
U : Jérémie ton avis stp ?
J : Ben, que c’est super anormal cette affaire !
O : Vu la tête de la présentatrice ...
H : ... on pouvait le deviner. Mais je peux connaître le fond de l’histoire ?
Y : Si ça se trouve tu le sauras plus vite que prévu !
Hélène fut étonnée ! Elle bondit presque à cette phrase.
O : Yumi un peu de calme stp ! La situation n’est pas à la dispute !
Y : Oui excuse-moi ! (Se tournant vers Jérémie) Alors ? Rien de détecter par ton scanner sur Lyoko ?
J : Non, justement il n’a même pas sonné !
Il plongea la main dans son sac... main n’en retira rien !
J : Oh non ! Catastrophe ! Je n’avais pas le portable avec moi !
Il se dirigea vers le bureau et ouvrit son portable.
A : Non, ce n’est pas vrai ! (Effrayé et stupéfaite) Pas encore !
J : Calme-toi Aélita, nous savons maintenant que Xana est encore un peu lié à Lyoko.
A : Oui tu as raison, filons vite à l’usine ! Une tornade c’est dangereux !
U : Ben comment tu sais ça toi ?
A : Je l’ai vu dans une émission télé !
O : Alors toi ! Tu deviens vraiment de plus en plus humaine de jour en jour ! Tu subi aussi le fléau de la télé !
H : De plus en plus humaine ? Vous déraillez complètement ! (Ton de surprise et de peur)
O : Ne t’inquiète pas je t’expliquerai ! Jérémie, Aélita, Ulrich et Yumi, partez à l’usine, moi et Hélène nous restons surveiller les événements et on vous fais savoir quoi toutes les cinq minutes !
U : Pour une fois que tu as une bonne idée ! Mais devons-nous la mettre oui ou non au courant ?
J : Ceux qui sont pour, vous dîtes oui !
Ulrich soupesa le regard de Yumi et il lui sourit, elle compris ce que voulais dire ce regard et cinq oui fusèrent dans la pièce.
Odd se retourna vers Yumi :
O : Merci Yumi !
Y : Calme-toi, je veux juste vérifier ses aptitudes, un bizutage si tu veux !
H : J’espère voir ton attitude évoluer envers moi Yumi, je ne demande pas mieux !
Y : Ben, Odd tu l’a met au courant et on avisera après ! Nous on fonce !
O : Oui chef ! Bien chef !
Ainsi le groupe se sépara. Le groupe de Odd et Hélène furetant dans les couloirs du collège. Et l’autre groupe passant par la chaufferie trouvant que c’est le moyen le plus rapide pour éviter le plus d’incident. Mais la tornade avait virer en une F3 (petit rappelle une F3 est une tornade ayant des vents qui souffle à plus de 300 kilomètres/heure). Et elle continuait son chemin vers le collège, qui semblait être la première cible de Xana. Elle passait de la petite campagne, ne faisant que des dégâts matériels, mais elle arrivait à l’embouchure pour arriver au centre ville ! Et la panique commença à monter ! Les habitants du bord de ville commençait à fuir et à s’en aller en emportant la voiture, créant des embouteillages monstres sur toute la ville. Jérémie et ses compagnons qui arrivèrent au labo à ce moment précis entendirent les nouvelles sur l’ordinateur principal :
Présentatrice : Nous vous rappelons de laisser votre véhicule sur place et de fuir par les moyens de transports classiques, car un gros embouteillage bloque en ce moment même la sortie principale et les sorties secondaires. Donc, Mesdames et Messieurs, pas de panique, tous dangers de voir passer la tornade en une F4 sont inexistants !
U : On voit qu’ils ne connaissent pas Xana !
A Y : Une chance pour nous ! Tu les imagines débarquer ici et tout débrancher ?
U : Ok ! Ok ! Je disais ça comme ça ! Bon on plonge ?
J : Il serait presque tant ! Si la tornade va encore plus loin dans le centre ville on va droit à une catastrophe sans précédents ! Déjà qu’on devra faire jouer le retour dans le passé !
A Y U : Ok Jérémie !
Ils partirent vers l’ascenseur et arriver en bas, ils allèrent vers les scanners. Aélita aurait jurer voir Ulrich et Yumi échanger un baiser mais elle se tut.
J : Direction le territoire de la montagne !
U : Voilà qui fait longtemps !
J : Transfert Ulrich
Transfert Yumi
Transfert Aélita
Scanner Ulrich
Scanner Yumi
Scanner Aélita
Vitualisation !
(Bruit de la matérialisation)
J : Aller ! C’est parti !
Et ils s’en coururent vers la tour activée.
Pendant ce temps, au collège, Odd expliquait à Hélène toute l’histoire, omettant les détails de leur rencontre, car elle lui semblait loin et brumeuse, il avait quasiment tout oublier de ce jour dont il s’était pourtant juré de ne pas oublier ! Il ne fut pas frustrer des réactions qu’eu Hélène mais il se choqua un peu quand même.
H : C’est vraiment incroyable cette histoire ! Une entité maléfique ! Elle porte un nom ! Elle veut nous détruire ! Elle était informatique et maintenant elle est sortie d’un super-calculateur ? Franchement tu avoueras que c’est dur à croire !
O : Oui, nous aussi on a eu du mal à croire à cela ! Mais aujourd’hui tous cela nous prouve combien notre amitié nous a soutenu, on a cru en chacun de nous ! Même en Jérémie ! Il semblait parfois tellement abattu ! Et un jour il eu la bonne idée de matérialiser Aélita ! Et elle est devenue une amie à part entière elle aussi ! Et je compte bien que tu le sois aussi pour mes amis !
H : Tu es tellement incroyable ! Savoir me raconter une histoire de science-fiction et après parvenir à caser une phrase romantique !
Cela lui valut un baiser.
O : (Un peu vexer) Tu sais, je suis d’accord avec la phrase, mais je ne suis pas d’accord avec l’histoire de science-fiction ! Je t’ai dit toute la vérité ! Vois-tu cette tornade qui arrive pour le moment ? Elle a été crée par cette entité semi informatique. Et là , maintenant mes amis sont sur un monde numérique pour aller combattre des monstres présents sur ce monde et ils feront tout pour désactiver une tour pour arrêter cette tornade, ensuite Jérémie lance un programme qui permet de retourné vers le passé à une heure précise. Et ainsi si personne n’est blessé, personne ne se souviendra de rien et les dégâts seront réparés sans que personne ne sache quoi que se soit !
H : Mais tu avoueras que c’est super bizarre ! Et vous ? Comment se fait-il que vous n’oublier rien ? Et moi est-ce que je vais oublier que je t’aime si ce que tu me racontes est vrai ?
O : Nous avons des « profils » dans ce monde virtuel, ils permettent à l’ordinateur de nous reconnaître sur ce monde virtuel, et une fois le retour vers le passé effectuer, l’ordinateur nous laisse en mémoire les événements qui se sont passés. Mais je t’explique cela en gros, car je n’ai pas tout compris non plus !
H : D’accord, donc moi je vais oublier ce qui c’est passé car je n’ai pas de « profil » c’est cela ?
O : Non car Jérémie et les autres ont bien voulu t’accorder une chance de faire tes preuves ! Voilà ! Donc tu ne risques pas de tout oublier !
H : Je vois, mais que fait-on exactement ? Nous ici alors que l’action se situe sur Looky ?
O : Sur Lyoko tu veux dire ? Et bien nous sommes ici pour faire un compte rendu de toute actions se situant sur Terre, et si le besoin est, nous irons remplacer nos amis sur le monde virtuel pendant que eux viendront nous remplacer ici sur Terre.
H : D’accord, à propos, tu ne dois pas téléphoner à Jérémie pour lui faire ton premier compte rendu ?
O : Oh mince ! C’est vrai ! (Prenant son portable) Aller Jérémie décroche bon sang !
(A l’autre bout du fil)
J : A enfin ! Allo ? Odd ? Tu en as mis du temps ! Alors comment ça se passe sur Terre ?
O : Ici c’est calme, pour le moment rien à signaler ! J’ai tout raconté à Hélène, elle a un peu de mal à me croire mais c’est compréhensible, je pense que nous avons aussi eut beaucoup de mal à croire à tous cela !
J : (Il réfléchit avant de répondre) Oui, oui, enfin je pense ! Bon, j’ai rentré le profil d’Hélène dans l’ordinateur, j’espère qu’elle se montrera à la hauteur !
Odd ne parvint pas à cacher sa joie et il sembla à Jérémie entendre un baiser comme jamais il lui sembla entendre un pareil.
O : Merci Jérémie et ne t’inquiète pas ! Avec moi comme professeur elle apprendra super vite !
J : Oui, justement c’est la que j’ai peur ! Met-la en garde pour tous les dangers qui sont présent sur Lyoko ! Et particulièrement la mer numérique !
O : Ne t’inquiète pas ! Je m’en occupe, je te rappelle dans vingt minutes !
Un déclic et on a raccrocher !
Jérémie reprit son poste et appela ses amis sur Lyoko pour avoir des nouvelles car il y avait eu une coupure radio pendant maintenant une dizaine de minutes.
J : Aélita ? Ulrich ? Yumi ? Répondez bon sang ! Faites-moi signe ! Que je sache ce qui se passe !
A : Jérémie ? Désolé d’avoir couper... monstres sont présents...communication endommagé ! Fais tous pour la rétablir ... suis dans une tour... écran de contrôle...ligne de code...
J : Fais attention à toi ! Où sont Yumi et Ulrich ? Ils sont dans la tour avec toi ?
A : Non...dehors...crois...plus qu’amitié !
J : Quoi ? Tu rigoles ? Mais ils nous l’auraient dit !
A : Jérémie...n’avons rien...non plus ! Pas...ça !
J : Aélita ! La réception est trop mauvaise ! Je ne comprends plus rien !
A : ...tends un...ment... pense av...dée !
J : J’ai confiance en toi ! Je vais voir du côté des tourtereaux !
A : P...blème !
J : Yumi ! Ulrich ! Vous m’entendez ! Si oui, dites quelque chose !
U Y : Qu...chose !
J : Non, si Odd était là en plus des vannes sur vous deux, vous auriez droit à la remarque sur le fait que vous lui piquer ses vannes !
Y : Des van...sur quoi ?
J : J’entends de moins en moins ! Il faudra attendre qu’Aélita réussi à mieux établir la connexion !
U : ...blème ! On...tend !
Vision sur Lyoko, Ulrich et Yumi sont assis près de la tour, l’un dans les bras de l’autre.
U : Tu crois qu’ils sont au courant ?
Y : Je ne serai pas étonné ! Mais comment peuvent-ils savoir ?
U : Ca je ne sais pas ! Tu n’as rien dis ?
Y : Non et toi ?
U : Non, je t’ai dis que je ne voulais pas ! Donc je ne vais pas faire l’inverse !
Y : Je n’en suis pas étonnée ! Mais tu sais, je ne comprend pas pourquoi tu ne veux rien dire à Aélita et Jérémie !
U : Je ne sais pas moi-même ! Sans doute cela va-t-il trop vite !
Y : Je vois. (Elle fait la tête)
U : Non, je ne parle pas de nous deux, je parle des événements ! Tes parents qui disent oui comme ça sans réfléchir, Aélita et Jérémie qui sont ensemble alors qu’aucun des deux ne parient à articuler un mot quand l’autre est présent, et puis Odd ! Tu l’as déjà vu aussi accro ?
Y : Non, oui, enfin...Tu as raison, mais est-ce aussi mal ? A me souvenir, toi aussi tu étais dans ce cas-la ! Alors pourquoi tu ne t’inquiètes pas aussi ?
U : Je sais ce que j’ai fait, et j’espère qu’il en va de même pour toi !
Elle s’approcha et lui fit un baiser du tonnerre.
Y : Cela suffit-il à te convaincre ?
U : Mmmmm...Oui
Et il s’approcha des ses lèvres parvînt à lui déposer un baiser dessus, mais juste à ce moment Aélita sors de la tour et s’arrête d’abord stupéfaite, puis elle toussote pour signaler sa présence.
U : Ahem...Tu... Tu es depuis longtemps ?
A : Depuis plus qu’il n’en faut ! Je pensai bien l’avoir remarquer près des scanners. Combien de temps vous nous auriez caché cela vous deux ?
U : Yumi voulait l’annoncer, pour enfin le dire à quelques personnes, juste la bande quoi, mais moi, je ne voulais pas, je voulais encore attendre.
A : Ah ! D’accord, mais c’est pas sympas ! (Elle esquissa un petit sourire) Mais vous saviez pour moi et Jérémie ? Ainsi que pour Odd et Hélène ?
Y : Odd et Hélène, ce n’était pas surprenant ! Mais toi et Jérémie, la, ça nous a cloué les lèvres.
A : Je m’y attendais ! (Petit rire) Bon, voyons si ça re-fonctionne ! Jérémie ? Jérémie ? Tu m’entends ?
Jérémie les yeux à mi-clos à cause de l’ennui fit un bond de tous les diables ! Comme si Xana serait apparut devant lui en chair et en os. Il répondit :
J : Aélita ? Aélita c’est bien toi ?
Y : (Riant de bon cœur) C’est bon ! Ca re-fonctionne !
A : (Riant aussi) Oui, bon Jérémie tu nous guide stp ? Et quelle est la situation sur Terre ?
J : Moi aussi ça me fait plaisir de vous réentendre ! La tour est au nord nord-est de votre position ! La situation ici va très bien, mais il faut se dépêcher quand même !
U : Très bien ! Alors en avant ! Super sprint !
Y : Ben et nous alors ? Bon, Jérémie ...
J : Je vous envoie les véhicules ! L’overwing pour vous deux.
A Y : Merci Jérémie !
Y : Allez ! En route princesse !
Elle sauta sur le véhicule qui se met aussitôt en route.
Sur Terre, au collège, Odd et Hélène profite d’un petit moment de répit pour se bécoter. Mais Odd s’arrête soudain, il a un flash, une prémonition !
O : Un flash ? Ici sur Terre ? Non ! C’est impossible !
H : Qu’y a-t-il ? Pourquoi tu fais cette tête ?
Odd tombe à terre, il voit une tornade. Elle fait des dégâts, par miracle elle ne fait aucunes victimes... Mais elle s’arrête net, une lumière aveuglante surgit et il se revoit avec Hélène et ses amis dans le passé !
O : Tu te souviens de Lyoko ? Je t’ai dit que j’avais un ... pouvoir là -bas ? Et bien je viens d’en avoir une ici, sur Terre !
H : Mais tu m’as pourtant dis que cela ne pouvait pas se passer sur Terre ! Mais juste là -bas ! C’est quoi cette histoire ?
O : Je ne sais pas ! Il faut aller voir Jérémie, aide-moi stp.
Hélène l’aida à se relever. Ils passèrent par la chaufferie du collège et allèrent ensemble jusqu’à l’usine.
(Passage habituel avec le skate et l’arriver à l’usine, Hélène était avec Odd sur la planche)
Odd appuya sur le bouton de l’ascenseur, et ils descendirent dans la salle de l’ordinateur. Quelle ne fut pas la surprise de Jérémie de les voir arriver !
J : Que faites-vous là ? Vous deviez rester au collège !
O : J’ai...j’ai eu un flash...
J : Un quoi ?
O : UN FLASH ! Comme sur Lyoko ! Mais ici sur Terre !
J : Impossible ! Tu prends cela comme excuse pour l’avoir emmener ici ! (Il dit cela en pointant Hélène du doigt)
O : Un peu de respect d’abord stp, et puis je ne suis pas comme cela ! Je suis une tête de mule d’accord mais je connais les risques là -dessus !
J : Bon très bien, mais cette histoire de flash sur Terre est totalement impossible ! Comment cela aurait-il pu être réalisable ?
O : Tu oublies Xana ! Il est sortit de Lyoko, et si ...
J : ...Il avait pris avec lui une part de Lyoko ? Et si il fallait agir dans les deux mondes ? Non impossible ! Odd, raconte-moi ta vision !
Odd le fit, il lui raconta comment et où cela s’était produit - omettant quelques détails - et il lui raconta son flash. Jérémie écouta avec attention, il fut vraiment étonner des détails donnés par Odd, et cela se lisait sur son visage. Après le récit de Odd, Jérémie sombra des ses pensées.
Il fut tirer de ses réflexions par Hélène qui regardait l’holomap et lui expliqua en quoi cela lui était utile :
J : Tu vois ? Devant toi tu as Lyoko, le monde ou se trouve actuellement Ulrich, Yumi et Aélita. Enfin tu n’en vois que la grande partie, moi sur mon écran j’ai accès à tous les systèmes de données et je peux agir sur Lyoko, pas comme Xana mais je peux aider les personnes qui sont dedans ... Tu comprends ?
H : Je pense oui. Mais comment on va là -bas ? Enfin là -dedans, enfin bref comment on y va ?
J : Trop long à t’expliquer ! Mais t’en fais pas le moment venu je t’expliquerai !
U : Oh ! Jérémie tu réponds oui ou non ?
J : Excuse moi mais on a besoin de moi ! Oui ! Ulrich ? Excuse-moi je suis avec Hélène et Odd ! Ils viennent d’arriver !
Y : Comment c’est possible ça ? Ils devaient rester au collège !
J : Oui mais il y a un bug !
U : Jérémie ! La version courte s’il te plaît !
J : En bref : Odd à eu un flsh ici sur Terre alors qu’il n’est censé en avoir que sur Lyoko !
A : Et c’est bien ou mal ?
J : Pour le moment ... J’en sais rien de rien ! Mais je suppose qu’on va bientôt avoir une réponse ! Regardez à l’ouest de votre position : un groupe de cinq frôlions en approche !
U : La routine quoi ! Y en a marre de toujours avoir les même à qui se frotter !
J : Tu préfère peut-être un groupe de cinq tarentules ?
Y : on a déjà assez de travail comme ça ! Tu permets Jérémie ? Mais là , ils sont un peu trop pressant à mon goût !
J : Mais je t’en prie Yumi ! Aélita, tu peux me donner un visuel ? Pour montrer à Hélène ?
A : Jérémie, tu crois que c’est une bonne idée ?
J : Ne t’en fais pas, j’ai mon idée sur la question... Tu veux ou pas ?
A : Pas de problème mais je me met à l’abri d’abord.
J : Merci, et fais attention à toi !
A : Ne t’en fais pas ! Et merci.
Après s’être mis à l’abri, Aélita transmet son visu sur l’écran et Jérémie demande à Hélène de venir voir.
H : C’est absolument...INCROYABLE ! Comment cela est-il possible ?
J : Pour être franc, on ne connaît pas encore tout sur Lyoko. Mais on sais déjà pourquoi et comment est apparu Xana. Xana est un virus qui a infecté une unité centrale et qui depuis a détraqué les fonctions pour lesquels Xana fut programmé. Vois-tu le centre sur l’holomap ?
H : Oui, c’est quoi ? Encore un...territoire c’est ça ?
J : On ne sait pas encore exactement. Mais on pense bien. Xana est un...programme créé par Hopper pour détruire un projet militaire qui avait pour nom Carthage, c’est le petit « territoire » que tu vois au centre.
H : Donc Xana est gentil ? Enfin au départ ?
J : On le suppose car il s ’agit des données du journal de Hopper. Et récemment on a découvert que (il enleva la micro-oreillette de son oreille) que Aélita serait en fait la FILLE de Franz Hopper. Ce qui nous amène à encore plein d’autres questions. Mais on ne sait pas trop bien lesquels...
H : En bref, vous ne connaissez rien de rien sur ce que vous combattez ?
J : Non ! On connaît plein de trucs mais on a du mal à coordonner ces informations.
H : D’accord ! D’accord ! Pas besoin de m’agresser comme ça ! Et comment saviez-vous vos « pouvoirs » sur ce monde ? Comment tu as programmé tout ça ? Car je suppose que tout cela n’est pas venu tout seul ?
Jérémie lui expliqua alors à peu près comment tout fut programmer. Mais il fut tirer de ses explications par un appel dans l’oreillette.
A : Jérémie, où en est la situation ? Je peux sortir ou pas ?
J : Comment ? Ulrich et Yumi ne sont pas près de toi ?
A : Non ! Je pensai que tu les couvrais par l’ordinateur !
J : Mais c’est pas vrai ? Où sont-ils donc passés ? ULRICH ? YUMI ? OU ETES-VOUS ?
Un silence pesant se fais entendre...Puis suit un grésillement...Et enfin une voix se fait entendre...
U : Jérémie ? Tu nous reçoit là ? JEREMIE ?
Y : JEREMIE ! OH REPOND A LA FIN !
J : (Les oreilles chaudes) PAS BESOIN DE CRIER !
U : Ben toi non plus ! C’est vrai quoi !
Y : On n’a pas chômer pendant que tu expliquait tout à Hélène !
J : Oui bon. Alors, la situation se présente comment ?
Y : Eh bien on a détruit l’escadron et puis on a eu affaire à quelques kankrelats...
J : D’accord. Le terrain paraît libre. Avancez, mais prudemment, on ne ...
U : ...sait jamais ! Oui on sait Jérémie ! Mais s’il te plaît n’oublie pas de nous couvrir se coup-ci !
J : Oh ça va ! Et que faisiez-vous planquer comme ça ?
Y : On te demande ce que tu faisais à Aélita dans la cantine ce midi ?
J : (Rouge pétant) Co...Com...Comment vous savez ça vous ? (Se retourne vers Odd) Tu es quand même un imbécile ! Tout le bahut sera au courant dans combien de temps ! Tu es aussi péible qu’un ...
O : UN MEGATANK !
J : Oui ! Parfaitement ! Comme un mégatank !
O : Non ! Regarde ! Lyoko !
H : C’est quoi se point rouge qui clignote là ?
J : QUOI ? (Se retourne face aux écrans) ULRICH ! YUMI ! Gaffe derrière vous !
U Y : Quoi ?
Tire du mégatank et Ulrich se fait touché !
J :Mégatank, moins cinquante point de vie par impacte. Ulrich : dix points de vie et Yumi : quatre-vingt point de vie.
U : Merci de prévenir Einstein ! Bon, tu prépares les renforts ? Je ne tiendrai plus longtemps moi !
J : Pas de problèmes ! Mais tu devras foncés au collège ! On n’a aucune nouvelles. (Se retourne vers Odd et Hélène) Odd va en salle avec Hélène et explique la marche à suivre ! Je vais lancé le profil de Hélène !
O : Chef ! Oui chef ! (Claque des talons et fonce vers l’ascenseur et prends Hélène au passage) Viens tu vas enfin savoir ce que ça fait d’être un peu comme dans un jeu !
H : Mais et si je voulais pas ? Tu te l’es demandé ?
O : Euh.................. Non ! Mais tant pis ! On a besoin de toi ! Allez viens !
Il la traîna de force et parvint à la convaincre dans l’ascenseur par quelques bisous.
Sur ce temps-la, sur Lyoko, Aélita s’était mise à l’abri et Ulrich et Yumi combattait avec force.
U : (Qui bloquait un rayon avec son épée) Yumi ! Je tiendrai plus longtemps ! Vise l’œil ! Vite !
Y : Compris Ulrich !
Elle sauta sur un rocher et envoya son éventail droit dans l’œil du mégatank mais le choc fit s’envoler Ulrich et le rayon le toucha, le dévirtualisant par la même occasion.
Ulrich sorti du scanner et ainsi fut-il rattrapé par Odd et Hélène. Ils le déposèrent et entrèrent dans un scanner chacun.
J : Transfert Odd.
Tansfert Hélène.
Scanner Odd.
Scanner Hélène.
Virtualisation !
(Séquence de transfert habituel)
Odd et Hélène retombe sur le territoire tandis que sur Terre, Ulrich reprend connaissance et se dirige vers la salle de l’ordinateur. Odd est subjuguer par l’aspect d’Hélène.
Elle avait pour apparence : des cheveux couleur d’or, un visage un peu dur mais mignon toute fois. Pour les vêtements elle revêtait un t-shirt d’un rouge éclatant, avec des étoiles de verts et de noirs dessus et un pantalons dorée virant à l’orange. Aux pieds, elle ne portait qu’une paire de sandales. Son arme état bizarre : il s’agissait d’un lance, mais elle avait la forme d’un corps de dragon et se terminait par une bouche de dragon grande ouverte. Il ne put s’empêcher d’ajouter :
O : Ouah ! Si je ne t’aimais pas dèjà , là je serais à tes pieds !
H Mais qu’est-ce que c’est ça ? Où sont mes habits ? Et c’est quoi ce que je tiens à la main ?
J : Odd ? Hélène ? Vous me recevez ?
O : Oui Jérémie ! On est bien arrivé !
H : C’est la voix de Jérémie ? Mais où est-il ?
O : Il est rester sur Terre. C’est lui qui va nous guider. Alors Jérémie c’est par où ?
J : La tour et Aélita se trouve à environ cinq cent mètres au sud-sud-ouest ! Dépêchez-vous ! Je ne sais pas où en est la situation ! J’ai perdu le contact radio !
O : Compris ! Allez Hélène ! On y va ! C’est par ici ! Jérémie ? Les véhicule s’il te plaît !
J : Compris. L’overboard pour toi et Hélène !
O : Merci Jérémie ! En route ma puce !
H : Oh ! M’appelle pas par des surnoms débiles ! J’ai horreur de ça !
O : Oh ! Très bien. Alors en route !
H : Oui en route ! J’ai envie d’explorer ça !
Odd et Hélène allèrent donc rejoindre Yumi et Aélita et qu’elle ne fut pas la surprise de les voir rigoler alors qu’une petite meute de kankrelats se dirigeaient vers eux !
O : Yumi ! Derrière toi !
Y : Quoi ?
Tire de kankralts, Yumi est touchée.
O : Flèhe laser !
Tire Odd, le kankrelat est touché. Mais déjà d’autres apparaissent.
O : (Qui descend de l’overboard) Jérémlie cherche à vous joindre depuis un moment ! Qu’est-ce que vous faisiez ?
A : On discutait ! Et on ne voulait pas que Jérémie entende notre petite discussion ! Pourquoi c’est un crime ?
O : Venant de toi Aélita cµÃ§a m’étonne grandement !
H : Odd ! C’est quoi ça ?
O :Ca quoi ?
Tire d’un kankrelat touchant Aélita.
O : C’est pas vrai ! Attaque le Hélène, sur l’espèce d’œil sur le front !
H : Compris...Enfin je crois ! Flèche laser du dragon !
Tire avec un bruit semblable au canon et destruction du kankrelat.
Y : Ouah ! Alors là ! Je pensais pas que c’était possible !
A : Je me demande comment se profil a put être crée si vite ! Surtout avec les données dont il aurait dut avoir besoin ! Jérémie ? Jérémie, tu m’entends ?
J : Ah enfin ! Je pensais qu’on parlait plus de vous ! Une chance que mes écrans vous repérait toujours sinon je ne sais pas se qui se serai passé ! Où en est la situation ?
Y : Et bien, Odd et Hélène nous ont rejoint et on a eu la visite de deux kankrelats.
J : Deux ? Alors méfiez-vous, ils vont toujours par cinq ou huit !
Y : Compris Jérémie ! On ouvre l’œil ! La tour est encore loin ?
J : Non, encore quelques centaines de mètres droits devant.
A : Ok Jérémie ! On y va, on peut avoir les véhicules ?
J : Overwing pour toi et Yumi.
Ulrich, qui était entre-temps arrivé dans la salle de l’ordinateur, s’excusa et demanda un résumé de la situation sur Terre.
J : La tornade n’a pas beaucoup évoluée, elle à l’air d’attendre quelque chose...
U : Ou quelqu’un ! Si elle est de Xana, Il doit savoir qu’on est tous ici ! Donc plus besoin de détruire la ville sans raisons paticulières...
J : Peut-être mais elle perd un peu de puissance, mais ça n’explique rien. Retourne au collège et fais-moi savoir tous mouvements suspects de n’importe quoi ou qui.
U : Compris Jérémie. Dit à Yumi et aux autres de faire gaffe !
J : (Regard interrogateur) Oui, oui, je transmettrai. Allez dépêche-toi !
U : Oui, j’y vais !
Il partit la mort dans l’âme. Sur Lyoko la situation était stable, mais sur Terre la tornade qui semblait avoir perdu de la puissance revint à elle. Et le pire arriva : elle se transforma en une F4 ( tornade avec des rafale allant de 300 à 400 km/h) !
Aélita qui était en retrait avec yumi en profita pour poser quelques questions à Jérémie :
A : Jérémie, comment se fait-il qu’elle soit ici ? Elle devait rester au collège avec Odd non ?
J : Oui, mais Odd a eu un truc bizarre, un flash sur Terre.
A : Un flash ? Comme ici sur Lyoko mais sur Terre ?
J : Oui ! A ton avis, ça veut dire quoi ?
A : Pas la moindre idée Jérémie. Et Pour le profil d’Hélène, comment l’as-tu créé aussi vite ? Car tu l’as créé en moins de quelques heures, ce qui relève du miracle....
J : Là , je dois t’avouer n’avoir rien compris non plus ! C’est comme si la matrice de l’ordinateur l’avait....Reconnu ! Et impossible de modifier ou changer des paramètres dans son profil ! Il est INTOUCHABLE !
Y : (Qui entendait toute l’histoire) Pas très net cette histoire. Mais enfin qu’est-ce que cela pourrait bien dire ? Elle serait au courant de l’existence de Lyoko dans ce cas ?
J : C’est une probabilité ! Mais alors deux possibilités s’offrent à nous : soit elle ment, soit elle ne se souviens de rien ! Il faudra un peu attendre...
A : Jérémie ! Tour en vue ! Mais elle est garder par quelques mentas apparemment !
J : Je préviens Odd et Hélène ! Yumi, met Aélita en sécurité et attend que le groupe se reforme.
Jérémie parvînt à prévenir Odd et Hélène qui avait effectué un petit arrêt calin. Yumi les rejoint donc un peu après.
J : Mentas, moins cinq points de vie par impact. Yumi : septante points de vie, Odd : nonante points de vie et Hélène : HEIN QUOI ?
H : Qu’est-ce qui a Jérémie ?
O : Oh réponds !
Y : Einstein c’est quoi le pépin ?
J : Hélène ! Tu as plus de CENT POINTS DE VIE !
H : Et c’est bien ou mal ?
O : Tout dépend la façon de voir cela ! Comment ça se fait ça Einstein ?
J : Pour être franc : PAS LA MOINDRE IDEE. Bon désactiver la tour, qu’on en finisse avec tout ça. Comme il va falloir faire jouer le retour vers le passé !
O :Compris Jérémie ! Un rouleau de menta de printemps pour le une ! Un !
H : Mais qu’est-ce que tu racontes ?
Y : oh ! Ne t’inquiète pas ! Il fait toujours des vannes un peu douteuse !
H : Oh je vois ! Bon... Flèche laser du dragon !
Y : Ouah !
Tire d’Hélène, la menta est détruite. Mais deux autres arrivent et larguent des bombes un peu partout.
H : C’est quoi ?
O : Des bombes ...
Y : Bon, je me charge des mentas. Vous occupez-vous des bombes et faites un passage pour Aélita.
O H : Chef ! Oui chef !
Yumi s’envole là -dessus et attire les mentas. Elle déploie ses éventails et tire, elle touche un menta mais ne fais que le blessé. Les mentas tire à leur tour, c’est le massacre : Yumi, qui instinctivement, met son overwing comme écran, se retrouve à terre, avec non plus deux mais un éventail. Elle le déploie et bloque une attaque des mentas. L’une d’elles passe au-dessus de Yumi et elle en profite pour lancer son éventail. Touché au but et destruction de la menta. Odd et Hélène de leur côté, recherchait avec l’aide Jérémie la bonne bombe à faire exploser pour pouvoir libérer un passage.
O : Alors Einstein ? Tu t’en sorts ? Si tu veux on tire Hélène et moi dans le tas et on verra bien !
J : Vous êtes fous ? Il faut trouver la bonne sinon vous seriez dématérialiser au même titre que Yumi et Aélita ! Et fini la mission dans ce cas et Xana gagnera la partie !
H : Oh, il est pas content là !
O : T’inquiètes pas ! Dans cinq minutes il aura de nouveau le sourire !
Jérémie, quant à lui, tapait des lignes et des lignes sur son ordinateur ... Il attendait, encore et encore, la matrice faisant simulation sur simulation. Quand soudain, excéder il dit à Odd :
J : Odd ? Va falloir que je te laisse faire avec Hélène ! Mais ne tirer que sur UNE seule bombe ! Sinon c’est la catastrophe !
O : Oui mais laquelle je dois prendre moi ?
H : Envole du dragon !
Deux magnifique ailes sortirent du dos d’Hélène. Elle s’envola sous les yeux de Odd sidéré. Elle arriva à une grande hauteur et avait un large champ de vision sur le champ de bombe. Elle remarqua plus loin une bombe seule, aussi décida-t-elle de tirer sur celle-la.
H : Flèche laser du dragon !
Et elle descendit prévenir Odd de ne pas rester dans le voisinage.
H : Odd ! Ne reste pas dans là ! Tout va sauter !
O : Compris Princesse !
Ils eurent juste le temps de se retirer que la bombe se fit toucher par le flèche d’Hélène. Aussi durent-ils prendre Yumi au passage (Hélène et ses ailes s’en chargèrent) et de rejoindre Aélita qui avait trouver refuge dans un creux de montagne.
La bombe explosa et fit exploser les autres alentour. Le plus surprenant fut de voir les mentas qui se firent toucher aussi par l’explosion disparaître aussi vite...
Y : Jérémie ? C’est quoi ça ? Ils sont pas aussi stupides d’habitude !
J : Justement ! Rien n’est comme d’habitude ! Tu n’avais pas encore remarquer ?
Y : Un peu si ! Mais faudra qu’on parle toi et moi !
J : J’y compte bien ma grande ! Mais je ne vois pas comment le faire si une tornade vient raser l’usine !
O : La tour ! Et une minute (Il pointe du doigt et compte) Un...Deux...Trois...Et moi quatre...On est pas cinq ?
Y H : Aélita ! Où est-elle ?
A : Ici ! Si je devais vous attendre à chaque fois...
Elle était à une bonne distance d’eux et avait les mains en porte-voix.
O : Attends-nous ! Et tu as pensé aux monstres ?
A : Ne vous en faites pas ! Je pense que Xana a piocher des ses réserves d’énergie pour créer autant de monstre et une tornade dans votre monde. Bon j’y vais.
Et elle se mit à courir vers la tour.
Elle parvient à rentrer le code Lyoko et le retour vers le passé s’effectue... Ils se retrouve à nouveau au matin lorsque Ulrich et Yumi s’embrassaient devant les parents de Yumi...
La situation gênait beaucoup moins Ulrich. Ils repartirent alors en direction du collège où une jolie surprise les attendait...
Odd et Aélita avaient dit à Jérémie pour Ulrich et Yumi. Aussi qu’elle ne fut pas la surprise de Yumi et Ulrich lorsque rentrant dans la chambre d’Ulrich et Odd ils se virent sur une grande affiche sur différentes photos et avec des cœurs partout.
U : OOOOOOOOOOOOOOOOD ! Je te tue ce coup-ci !
Y : Ulrich...Lai...Laisse-le s’il te plaît ! Après tout... Nos amis ont le droit de le savoir non ?
A : Surtout que vous saviez pour moi et Jérémie !
U : (Les yeux ronds) Co...Comment tu le sais toi ?
O : Ben à ton avis ? Je leur ai tout expliquer dans les moindres détails !
U : Odd tu sais ce que tu mérites ?
O : Euh... Un cadeau ? Non ! Un bisou ? Non plus....Laisse-moi réfléchir...Aïe dur la devinette...Non dis-moi c’est quoi ?
U Y : Une paire de claques !
Et ils donnèrent tous les deux une claque (pas forte) à Odd.
O : (Jouant la comédie) AIEUUUUUUH ! EH VOUS Y ALLEZ PAS DE MAIN MORTE VOUS DEUX !
U : Tu le méritais et je suis étonné que Jérémie et Aélita ne l’aient pas fait aussi !
J : Oh tu sais...On s’est fait une raison. Et on connaît notre cher Odd. Depuis le temps. Vous devriez l’être aussi.
Y : Oui nous devrions...Seulement on ne l’est pas ! Et franchement je doute qu’on le soit un jour !
Sur ce elle sortit, pas en colère mais bien frustré.
U : Excusez-moi, je vais la rejoindre.
J : Oui ! C’est le mieux que tu ais à faire !
O A : Allez ! Vas-y Roméo !
U : Tu t’y met aussi Aélita ?
Elle rit sur cette remarque et Ulrich sorti et courut rejoindre Yumi. Odd prit la parole.
O : Bon moi, il y a Hélène qui m’attend, et tu es sur qu’elle n’aura rien oublié ?
J : Oui, puisque son profil était dans l’ordinateur ! Et d’ailleurs Aélita, tu viens avec moi ? On a besoin de parler je pense...
A : Oui effectivement. On va vers l’usine ?
J : Oui on s’occupera de la matrice là -bas.
O : Bon je vous laisse car moi je comprends rien à vos simagrées !
A J : A tout à l’heure !
O : C’est cela !
Odd sorti et Aélita en profita, elle embrassa Jérémie. Celui-ci fut étonné de l’action d’Aélita mais il se laissa faire. Odd rouvrit la porte et un flash surpris tout le monde dans la pièce.
J : C’est quoi se souk ?
O : Pour mon album souvenir ! Vous verrez ! Un jour vous me remercierai !
J : Odd ! Tire-toi vite fait !
O : Chef ! Oui chef !
Et il s’en alla aussi vite fais que dit. Et Aélita rigola par la suite sur ce petit incident. Jérémie lui n’avait pas le sourire. Il prit Aélita par la main et ils partirent vers l’usine.
Ulrich et Yumi quant à eux partirent vers la forêt du collège. Yumi ne parvenait pas à digérer ce qu’Odd avait fait. Après tout il avait donné sa parole !
Y : Après tout ! Il avait donné sa parole ! Et celle de pote en plus !
U : Tu sais comment est Odd ! Il est incapable de tenir une petite promesse ! Je suis même surpris qu’il ne t’ai pas dit que je t’aimais depuis le premier jour et que j’était trop timide pour te l’avouer !
Y : Quoi ? Répète un peu la !
U : (Rougissant comme la braise) Euh...Que j’était étonné qu’Odd sois parvenu à garder un secret...
Y : Je vois...Et quel était ce petit secret ?
U : Eh bien...
Il s’approcha de Yumi et l’embrassa, elle se laissa faire et après avoir été embrassé par Ulrich, elle l’embrassa à son tour. Ce petit jeu dura quelques temps, et après cela ils partirent de leur côté, passé une après-midi tranquille.
Odd, lui, était parti rejoindre Hélène. Le miracle Lyoko avait fait sa magie. Hélène se souvenait de tout ce qui c’était passé sur Lyoko et entre lui et elle. Rien n’était oublié. Elle l’embrassa langoureusement et ils partirent de leur côté à leur tour.
Quant à Jérémie et Aélita, le voyage vers l’usine fut plus long que de coutume. Mais ils arrivèrent sains et sauf, et cela comptait pour tout à leurs yeux... La dernière attaque avait été épouvantable et montrait combien Xana montait en puissance !
J : Je suis encore étonné de voir que le S-C ai reconnu Hélène si vite !
A : Oui ! Je ne comprend d’ailleurs toujours pas comment cela a-t-il pu se produire ! Normalement, il faut un sacré bout de temps avant de pouvoir créer un profil pour Lyoko. Tu le sais d’ailleurs ! On les a créé ensemble...
Jérémie se mit à rougir. Il se remémorait la scène avec justesse...C’était le bon temps !
J : Et la flash de Odd ! Qu’en penser ?
A : La encore, je n’en sais fistre rien !
J : Fichtre Aélita ! On dis fichtre ! Mais bon...La encore c’est une grande énigme ! Viens allons dans la salle d’ordinateur.
Jérémie fit appelle au monte-charge et ils y entrèrent tous les deux. Jérémie en profita pour embrasser Aélita et ils entrèrent dans la salle. N’ayant pas assez de place sur le grand fauteuil, Aélita s’assied donc sur les genoux de Jérémie. Non sans que celui-ci ne rougisse. Mais il fit comme si de rien n’était. Il se mit à pianoter avec l’aide d’Aélita sur le clavier à la recherche d’indice.
J : Peut-on accéder à un journal des profils ?
A : Oui, mais tu dois cracker les lignes d’encodage du profil en question ! Cela peut l’endommager et l’effacer...
J : On a pas le choix ! Il le faut.
Il se mit au travail et une demi-heure plus tard ils tombèrent dé nus. La dernière utilisation tombait le...
J : Le 15 juin 1985 !
A : Et ça change quoi ?
J : Et bien déjà qu’elle avait la connaissance de Lyoko et en supposant que son âge à cette époque était la même que la nôtre, cela lui fait l’âge de 27 ans ! Hors elle en paraît 13 ou 14 et pas plus !
A : Et c’est bien ou mal ?
J : Tout dépend du point de vue ! C’est un miracle une peau de jeune pareil à notre époque mais il y a anguille sous roche !
A : Je ne vois pas de roche...Ni d’aiguille !
J : Cela veut dire que quelque chose cloche et qu’il y a du mystère ! Viens ! Il faut avertir les autres !
Ils sautèrent tous deux en bas du fauteuil et se mirent en route...En chemin Jérémie tenta de prévenir Ulrich ou Yumi mais il avait éteint leur portable pour la séance de cinéma imprévu qu’il s’était organisé. Il essaya celui de Odd et il répondit après lâché les lèvre d’Hélène.
O : Allô ?
J : Odd ? Faut qu’on se parle d’urgence ! On se retrouve dans ma chambre ! Sans Hélène !
O : Quoi ? QUOI ? Tu peux pas lui faire ça Jérémie ! Elle a fait ses preuves il me semble ! Et puis...
J : Odd ! Ne discute pas et va dans ma chambre ! On se reparle quand on arrive ! Je tente de joindre Yumi et Ulrich ! C’est grand rassemblement aujourd’hui !
O : Bien... Bon d’accord Jérémie...
Après ce coup de fil, Jérémie était soucieux : que dirait Odd à Hélène de ce rassemblement secret ? Et que ferait-elle ? Il y avait déjà bien des tensions au sein du groupe, mais alors la ça promettait de devenir très sérieux ! Et cette nouvelle ! Vingt-sept ans et elle en paraît treize ou quatorze ! Tout s’emballa dans la tête de Jérémie ! Quand...
Y : Jérémie ? Allô ? Tu réponds ?
J : Hein ? Ah oui ! Vous êtes où là ?
Y : Heu... Quelque part ! Qu’est-ce qu’il faut, enfin qu’est-ce qu’il y a ?
J : Ecoutez, venez d’urgence au bahut ! Je vous expliquerai tout dans ma chambre !
Y : Jérémie ? Qu’est-ce qu’il se passe ? Tu as l’air abasourdi et étonné...
J : On verra votre tête dans un moment ! Rendez-vous dans ma chambre.
Y : Très bien...On arrive ! Juste le temps de revenir du centre ville.
Elle raccrocha et prévint Ulrich qui avait suivi la scène de près et voyait le visage de Yumi changé.
De leur côté Jérémie et Aélita étaient arrivés au collège et ils foncèrent droits vers la chambre de Jérémie. Odd était présent, l’air grave il demanda :
O : C’est à cause d’Hélène ce rassemblement ?
J : Et bien...Comment t’expliquer ?
A : Disons que tu étais du genre...Extentique ?
J : Excentrique Aélita, excentrique !
A : Oui ! Excentrique, mais là ! Tu as fais fort !
O : Comment ça ? Expliquez-vous par les oreilles de Kiwi !
J : Impossible ! On attend Ulrich et Yumi. Ils devraient arrivés.
Ils attendirent... Au bout d’une vingtaine de minutes, ils arrivèrent enfin. Le rassemblement pouvait commencer. Jérémie prit la parole.
J : Bon je commencerais par le début ! On a souvent eu à faire des réunion pour savoir comment réagir mais jamais un comme maintenant n’aura été organisé ! Ce ne sera pas de la tarte !
U : Tu vas vider ton sac ?
J : Oui ! J’y viens... Cette après-midi, Aélita et moi avons été jusqu’à l’usine pour...
O : Evites-nous des détails pareil s’il te plaît ! Et viens-en au faite !
J : Arrête de me couper dans ce cas-la ! Donc ne sommes allés à l’usine et nous avons travaillé sur le profil d’Hélène...
Y : Et alors ? Vous avez trouvés quelque chose ?
A : Oui et non !
U : Aélita, ou c’est oui, ou c’est non !
J : Nous dirons juste oui !
O : Et c’était quoi ?
J : Et bien....Figurez-vous que la dernière utilisation de ce profil date du 15 juin 1985 !
Hurlement du groupe :
O Y U : Quoi ?
U : Mais c’est impossible !
Y : Ca lui ferai l’âge de ...
J : 27 ans ! Exact ! Alors là j’avoue sécher un peu !
O : MAIS ENFIN ! C’EST IMPOSSIBLE ! Moi ? Amoureux d’une vieille ? Mais ! NON PAS MOI !
U : Mais il déraille là ! Odd c’est important là ! Je sais pas si tu as remarquer !
O : OUI OUI ! JE VAIS LUI PARLER ! Je dois savoir !
Et il sortit en trombe de la pièce. Personne ne compris la réaction d’Odd. Il y avait plus urgent que de savoir si Hélène fut si vieille pour le moment ! Un cri dans la cour les sortit de leurs rêveries. Ils coururent vers le cri et virent Sissi évanouie...Yumi s’en approcha et tâta son pouls.
Y : Elle est simplement dans les vapes...
U : Mais qu’est-ce qui a pu la mettre dans cet état ? Quand même pas Xana ? Pas aussi vite !
Jérémie lui regardait alentour et il fut stupéfait de ce qu’il vit...
J : Re...Re...REGARDEZ !
Tous se tournèrent vers la direction indiquer par Jérémie, il s’agissait de la forêt. Partout où l’on posait les yeux, on voyait Sissi en tête d’affiche avec des fleurs aussi bien colorés sur la feuilles ou avec une petite gerbe de fleur accroché à l’affiche. En lettres grasses et rouge ou or on voyait marquer :
Sissi ! Je t’aime !
Sors avec moi !
William.
Et presque sur chaque affiche, il y avait un petit mot doux accroché à l’affiche.
Y : Alors là ! Il a mit le paquet ! (Elle regarde Ulrich) Tu aurais fais ça aussi ?
U : (Rougissant) Peut-être pas autant ! Mais je l’aurais fais en désespoir de cause !
Y : Je vois, ce n’est pas grave ! J’ai aimé comment tu m’as demandé de sortir avec toi !
A : Dîtes...Si on dérange dîtes-le surtout !
Yumi et Ulrich rougirent.
U : Non, mais je pensai la perdre ! Et je ne voulais pas !
Y : T’es pas bien ou quoi ? Te quitter ? Même pas pour l’or du monde !
J : Bon si on s’occupait d’elle ?
Il dit cela en désignant Sissi de la tête.
Y : Oui cela vaudrait mieux... Mais je pense qu’un peu de repos ne lui ferait pas de mal.
U : Vaut mieux l’emmener chez Yolande.
Sur ce, Yumi et Ulrich soulevèrent Sissi et partirent en direction de l’infirmerie en compagnie de Jérémie et d’Aélita. En chemin ils discutaient des événements de Lyoko et d’Hélène. Une fois que Sissi fut à l’infirmerie, ils sortirent pour profiter de l’air matinal mais ils n’en oublièrent pas pourquoi ils étaient rassemblés. Dans la forêt, l’humeur bien que joyeuse de l’humeur des couples, était un peu glaciale...En effet, qu’adviendrait-il d’Odd ? Et que penser d’Hélène dans cette affaire ? Ils ne savaient plus où en donner la tête !
J : Aélita ? Tu m’as toujours dis que tu étais seule sur Lyoko, c’est exact ?
A : Oui...Pourquoi ?
J : Je pensai à une chose... Si tu avais déjà connu des gens qui comme nous ont combattus Xana ? Et qui l’avait désactivé sans te ramener sur Terre ?
A : C’est impossible Jérémie ! Je m’en serai souvenu !
J : Et un formatage de ta mémoire ? Comme celui que te faisait la méduse ?
A : Non...Il y aurait une trace évidente de cela ! Et puis...On ignore la date de création de Lyoko et Xana et...Et...Et de moi. (Elle rejeta sa tête sur le côté)
J : Tu as une constitution physique Aélita ! Et je te rappelle que moi je ne l’ai pas créée ! Donc il y avait bien une mémoire de ton ADN dans les fichiers annexes de Lyoko !
U : (Complètement largué) Jérémie en français s’il te plaît !
J : Quand vous êtes sur Lyoko, vos corps n’existent plus ici sur Terre. Et Lyoko en garde une trace, votre ADN ! Et les garde en mémoire pour la dévirtualisation. Donc il s’est passé la même chose pour Aélita ! Je n’ai pas créé son ADN mais on la retrouvé sur le cinquième territoire. De la même façon que pour sa mémoire !
U : Tu veux dire qu’Aélita a donc déjà existé avant ?
J : Bien sûr ! Sinon je n’aurais pas pu la ramener ici sur Terre...
A : Tu veux dire que moi aussi...J’avais...Une famille ?
J : Selon toutes probabilités oui ! Mais tu sais tes flashs dont tu n’avais que par morceaux ?
A : Oui ?
J : Eh bien, depuis que Xana est sorti de Lyoko et que tu as retrouvée ta mémoire, ils ont disparus non ?
A : C’est vrai...Mais ?
J : Ca signifie donc que ta mémoire est complète ! Que tout ce dont tu te souviens est réel !
A : Je...Je...Je comprend ! Mais alors, Hopper était donc bel et bien mon père ?
J : Ca...Seul l’avenir nous le dira !
A : D’accord...Merci Jérémie ! Tu sais les mots qui réconfortent...
Et elle l’embrassa. Ulrich et Yumi qui vaquaient à leur occupation détournèrent la tête pour ne pas assister à cela. Aélita remarqua la confusion qu’elle avait installée et s’excusa.
U : Tu n’as pas à le faire !
Y : C’est tout naturel !
Et ils rigolèrent.
Ainsi se finit ce... « petit épisode »...La suite viendra au prochain !
Odd et Hélène resteront-ils ensemble ? Et qu’adviendra-t-il de Lyoko et Xana ? Qu’elle sera sa prochaine attaque ? Quelles autres questions trouveront une réponse et lesquels resteront sans réponse ? Ne rater pas le prochain texte :
Souvenirs, souvenirs !