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Histoire : C’est mon destin...


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Écrite par the kusabi le 18 janvier 2011 (4606 mots)

Partie 1

Ce matin là, je dis aurevoir à mes parents, et je me rendis dans mon collège, comme d’habitude. Je vis à Bordeaux depuis mon enfance donc le coin je connais. Je suis un ados en pleine croissance et je pète le feu ! Donc, une fois au collège, dont je ne vous direz pas le nom car c’est trop compliqué, je vis Tamara, disons, ma future conquête si on peut dire comme ça. Mais à peine le temps de lui dire bonjour, que cette satanée cloche retentit. On commence la matinée du lundi par le cours de musique. Monsieur Noixy, notre prof, commença son cours. Heureusement, Tamara est ma voisine de classe, donc je lui chuchota à l’oreille :

??? : Hey Tam, veux-tu sortir avec moi ? Je rêve de ça depuis très longtemps !
Tamara : Je vais y réfléchir. Je te donnerais la réponse dans la journée. En attendant....
Mr Noixy (furieux) : Mademoiselle Oyzer, ça vous amuse de perturber mon cours par vos chuchoteries ?!
Tamara : Non monsieur Noixy.
Mr Noixy : Pour la peine, ce sera 3 points en moins sur votre carnet scolaire ! Et 2 points pour votre voisin ! Bon reprenons. Olivier, donnez-nous le "LA Bémol" s’il vous plaît.
Olivier : Bien monsieur Noixy. LLAAAAAAAAAAA !!!!
??? : Tam, ça va ?
Tamara : Non ! A cause de toi, j’ai eu 3 points en moins sur mon carnet scolaire ! Quand mes parents seront ça, je vais me faire engueuler c’est sur !
??? : Tu continues à y réfléchir ?
Tamara : Je n’ai plus envie de parler de ça, oublie moi !!!

Sur ce, Tamara ne m’a plus parlé de la journée. Il faut que je vous explique, chaque élève à évidemment un carnet scolaire avec 20 points. A chaques débordements pendant les cours, le professeur a le droit d’enlever n’importe quel nombre de points sur le carnet, même 20 points d’un coup si ça lui chante. Quand l’élève à 0, ben il est renvoyé du collège. Tamara, c’est la première fois qu’elle perd des points, et par ma faute en plus. Du coup, de 20 elle passe à 17. Quand à moi, pfff, que dire, j’ai fait tellement de bourdes, que je n’ai plus que 3 points, moins deux de ce prof donc, il ne me reste plus que 1 point. Le soir venu, Sabrina une de mes meilleurs amis, me demanda :

Sabrina : Dis, tu connais la nouvelle ? Il paraît que Tam sort avec ce gros lourdeau de Grégoire. Il lui a posé ses lèvres sur les siennes.
??? : QUOI ?!!! Il a fait ça ?!!! Attends, je m’en occupe !

Et j’allais voir ce gros frimeur qui fait que parler de motocrosses et de hockey sur glace. Je le retrouvis pas loin de la classe de technologie et là, la colère me montit au nez....

??? : Hey Grégoire ! Tu ne peux pas la laisser tranquille ?!!!
Grégoire : On ne t’a pas donné ton avis gringalet !!!
Tamara (souriante) : C’est bien vrai. A ce propos, je ne t’ai jamais aimé minable. HAHAHAHA !!!
??? : Comment peux-tu me faire ça ? Moi qui pensais que tu étais douce et gentille.
Tamara (furieuse) : Tu n’avais qu’à pas me faire enlever 3 points !!!
Grégoire : Laisse le ruminer et donne moi un baiser mon ange.
Tamara (lui souriant) : D’accord.
??? : Cette fois c’est de trop !!! BANZAÏ !!!!

Sans réfléchir, je mis par terre ce gros frimeur de Grégoire pendant que Tamara hurlait et pleurait comme une madeleine. Au même moment, la directrice, madame Juc, nous sépara et nous emmena dans son bureau. Cette jeune femme d’environ 37 ans nous dévisagea Grégoire et moi et elle nous dit d’un ton froid, tout en carressant ces longs cheveux roux :

Mme Juc : Cette fois ci, c’est de trop ! Monsieur Wurf, je vous enlève 6 points d’un coup ce qui vous fait qu’il vous reste 8 points. Quand à vous, je vous enlève votre seul point qui vous reste donc vous savez ce que ça signifie, vous êtes viré !!!

En rentrant chez moi, mes parents étaient déjà au courant de la situation, donc, ils se mirent en colère, mais après, ils me réconfortèrent. Un plus tard dans la soirée, mes parents me dirent que même que j’ai été viré, qu’ils m’offraient un cadeau. Je l’ouvris et qu’elle fut ma joie, le cadeau en question fut un chiot. Après avoir découvert ce chiot, je ne savais pas comment j’allais l’appeller. En redescendant de l’escalier, je mangea alors un fruit et pas n’importe laquelle, puis une fois fini, je me brossa les dents, et je m’endormis en faisant des cauchemars de cette satanée journée.

A suivre.



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Partie 2

Cette nuit là, dans mon lit douillet, je continuais à faire des cauchemars de cette maudite journée. Ah au fait, maintenant que j’y pense, dès le départ je ne me suis pas présenté. Quel minable je fais. Je m’appelle Odd Della-Robbia. Donc, je transpirais tellement je dormais mal, jusqu’à ce que mon chiot me réveille en me léchant le visage. Sur le coup, je cria :

Odd : J’ai trouvé ! J’ai trouvé comment je vais t’appeller : KIWI ! Non mais sans rire, j’ai trouvé car le kiwi que j’ai mangé, je le digère mal ce soir, peut-être à cause de ces cauchemars. Mon petit chien, je suis très heureux de t’appeller Kiwi, on ne se quittera jamais, tu es d’accord ?
Kiwi : Ouaf !
Odd : Brave chiot, allez je me rendort, tu peux dormir avec moi si tu veux.

Et Kiwi s’endormit avec moi tout au long de la nuit. Le lendemain matin, quand je descendis avec mon chiot vers la cuisine, mes parents m’attendaient avec leur plus grand sourire. Je demanda alors....

Odd : Bonjour maman bonjour papa, que vous arrivent-ils ? Pourquoi êtes-vous si souriant ?
Mr Della-Robbia : Nous avons une très grande nouvelle à t’annoncer, cette après-midi, on va visiter en famille ton futur collège !
Odd : C’est vrai ?!!! Ouah j’y crois pas !!!
Mme Della-Robbia : C’est un collège en revanche un peu spécial. Et tu n’auras pas le droit d’emmener ton chiot.
Odd : Je n’aurais même pas le droit d’emmener Kiwi ? C’est injuste !
Mr Della-Robbia : Ton chiot tu l’as appeller Kiwi ? C’est un joli nom pour un chien. Bien, prépares toi en attendant.
Odd : Bien papa.

J’ai attendu quand soudain, l’après-midi arriva à grand pas. Je m’assis dans la voiture, derrière mes parents, puis après un grand voyage, nous arrivâmes devant le collège. En sortant de la voiture, je vis une jeune fille gothique toute vêtue de noire, et qui était postée devant un grand portail sombre qui avait derrière lui, le collège qui sembla vieux, sinistre et lugubre. La jeune fille dit en s’avançant vers nous :

??? : Bonjour messieurs dames, ouais alors je me présente, je suis Marion Til, et je suis la directrice de ce beau collège, le collège "Frisson".
Odd (souriant) : Oulala ! Ce bahut me met les choquottes ! Dîtes, c’est l’endroit ou toutes les personnes sont en gothiques ? Non parce que c’est un bal costumé ou quoi ? HIHIHI !!!
Mme Della-Robbia : Odd ! Un peu de sérieux !
Melle Til : Non c’est rien, votre drôle je le kiff déjà ! Ouais bon, venez on va faire toute cette paperasse inutile.

Sans comprendre pourquoi j’ai atterri dans cet endroit, moi et mes parents suivions mademoiselle Til dans son bureau. Sur le chemin de son bureau, je vis tous les collégiens tout en noir, apparemment, soi ils faisaient halloween à l’avance, soi quelque chose clochait. Enfin, nous arrivâmes devant une grande porte grise lugubre. Mademoiselle Til ouvrit cette porte et quand elle l’a fait, la porte faisa alors un bruit sinistre. Un peu plus tard après l’inscription au collège Frisson, mes parents me dirent que je ne pourrais pas rentrer car cela faisait trop loin, alors je devais rester interne au collège, puis, ils partirent en me laissant avec la directrice gothique. La cloche sonna pour le premier cours, alors mademoiselle Til annonça aux autres que j’étais nouveau. Cependant, au lieu de me laisser à mon cours, elle m’emmena dans la salle de maquillage. Une autre jeune fille s’avança alors vers moi et elle me dit :

??? : Salut, moi c’est Charlotte et toi tu es ?
Odd : Odd Della-Robbia. Dîtes, vous savez quoi ? Charlotte c’est l’un de mes desserts favoris !!! HAHAHAHA !!! Je vous ai bien eu !
Melle Til : Bon euh Odd, vous allez être encore plus parmi notre communauté, car la miss que voilà, va vous mettre tout en noir et vous mettre quelques accessoires qui va avec. Le rouge à lèvre noir est destinée qu’à nous les filles.
Odd : Encore heureux ! Je me voyais mal avec du rouge à lèvre noir. Euh dîtes, c’est vraiment nécessaire le noir ?
Charlotte : Exactement, c’est la règle ici d’être tout en noir.
Odd : Euh excusez moi de poser cette question un peu débile, mais, peut-on sortir avec des filles d’ici ?
Melle Til : Je suis désolé, mais aucun couple n’est autorisé dans mon établissement. Dans le cas contraire, si je vois un couple dans ma communauté, la punition sera : la torture !
Charlotte : En revanche, les internes ont le droit pendant les heures libres de sortir de l’établissement, donc, rien ne t’empêche de rencontrer une fille en dehors, à condition que tu ne l’emmène pas ici bien entendu.
Odd : Oh lala galère. Par contre, c’est quoi cette communauté que vous parlez tout le temps ?
Melle Til (rigolant avec froideur) : Tu le sauras bien assez tôt ! HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHHAHAHAHAHAHA !!!!

Après ce rire glacial, Charlotte me donna mes vêtements gothique pendant que mademoiselle Til s’en alla. Et voilà que quelques minutes plus tard, j’étais habillé comme les autres en gothique. Charlotte m’emmena à mon cours qui était déjà bien entamé. Pendant mon heure libre, je sortis à l’extérieur du collège tout en me demandant ce que c’était cette communauté et surtout pourquoi ma directrice a réagi comme ça avec ce rire à en faire froid dans le dos. Qu’est-ce que ça cache ? C’est ce que j’aimerais savoir. Je suis loin de mon foyer, loin de Kiwi, et surtout, je suis dans un collège de fou allier. Que va t’il m’arriver maintenant ?

A suivre.



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Partie 3

Quelques minutes plus tards, dans une rue, j’en profita, tant que j’avais de l’argent de poche, pour m’acheter une glace à la fraise et à la vanille, chez un glacier. Tout en mangeant mon délicieux en-cas, je vis une fille de ma classe. Alors, j’allais à sa rencontre...

Odd (lêchant sa glace) : Euh......slurp......salut ! Tu fais partit de ma classe au collège frisson, non ? Moi c’est Odd Della-Robbia.
??? (avec attitude glaciale) : Hmmm, moi c’est Cynthia Joki.
Odd : Ravi de faire ta connaissance. On peut marcher ensemble ? SLURP !!!
Cynthia : AHHH !!! C’est dégoûtant !!! Ne t’approches pas de moi c’est clair ?!!! Et non je ne veux pas que l’on me voit avec toi !!!
Odd : Oh allé ! On est pareille maintenant. Renseigne moi sur ces tortures au collège.
Cynthia : C’est top secret. Allez du vent !!!
Odd : Dernière chose, t’es libre ce soir ? Non parce que ce soir, les cours seront terminés. Alors ce sera quartier libre pour tous le monde. Alors, veux-tu sortir avec moi à partir de ce soir ?
Cynthia : NON MAIS CA NE VA PAS LA TÊTE ?!!! Sache pour ta gouverne, que les garçons et les filles gothiques, ne connaissent pas l’amour !!!
Odd : Ben, ch’ais pas, ça s’apprend.
Cynthia : Ben chez nous, non ! Bon laisse moi m’en aller !!! A plus !!! Et fini moi cette glace qui me dégoûte plus que tout !!!

Et Cynthia s’en alla me laissant seul. De colère, je jetta ma glace à moitié manger dans une poubelle public, et en plus de ça, un chien errant me laissa un de ses excréments sur une de mes chaussures. Comme ma godasse était dégueulasse, je me dirigea dans un jardin public, où je me la nettoya avec de l’eau d’un robinet public. Le gardien du jardin public me fixa droit dans les yeux, alors je lui fis un grand sourire idiot, tout simplement parce que j’avais honte, entre ma tenue gothique, et ma godasse puante. Mais bon, j’avais terminé, alors je partis. Je regardis le paysage des bâtiments et tout en regardant, je heurta une jeune fille très ravissante.......

Odd (confus) : Excusez moi mademoiselle.
??? (souriante) : Il n’y a pas de mal.
Odd : Hé ! Vous n’êtes pas de ce pays, je me trompes ?
??? : C’est exact. Je viens d’emménager, je suis Japonaise. Dis donc, tu es dans quel collège ?
Odd : Le collège Frisson. Il n’y a que des barges !!! Et toi ?
??? : Moi, je suis inscrite au collège Kadic. Tu veux une brochure ?
Odd : Oh que oui !!! Mille merci mademoiselle.
??? (souriante encore plus fort) : Comment t’appelles-tu ?
Odd : Odd Della-Robbia. Et vous ?
??? : Oh non !!! Je n’ai plus le temps de te parler, car j’ai cours dans dix minutes ! Ravi d’avoir fait ta connaissance Odd ! A bientôt !

J’eus à peine le temps de lui dire la même chose, qu’elle était déjà très loin. Je fus de nouveau seul comme une pauvre pomme. Alors, il fallait que je rentre moi aussi, car j’avais cours dans quinze minutes. De retour au collège, la directrice Til me dévisagea de toute sa splendeur et me dit :

Melle Til : Ouais alors Del-Rob ? On s’amuse à embêter les jeunes filles, notamment mademoiselle Joki ?!!!
Odd : Ben quoi ? Je lui ai juste parlé un petit peu.
Melle Til : UN PETIT PEU ?!!! Elle m’a raconté, que tu voulais la violé.
Odd (surpris) : J’y crois pas !!! Elle a osé vous raconté ça ?!!! Mais ce n’est pas ce que je lui ai dit !!! Je lui ai demandé si elle voulait sortir avec moi ce soir.
Melle Til : C’est ce que l’on va voir. Cynthia, viens me dire ce que tu as entendu.
Cynthia (sourire glacial) : C’est exact, il m’a dit : "Ce soir, je viendrais dans ta chambre et je te violerais". C’est une sacrée preuve ça, non ?
Odd (en colère) : Espèce de menteuse !!!
Melle Til : Cela suffit !!! Joki, retourne dans ta chambre !
Cynthia : Bien mademoiselle Til.......huh......huh......huh !!!
Melle Til : Quand à toi Del-Rob, je te l’avais dit pourtant, pas de liaison avec les jeunes filles !!! Pour la peine, je t’envois dans la salle de torture pour te punir de ta conduite !!!
Odd : Mais attendez, cela s’est passé en dehors du collège, donc ça ne compte pas !!!
Melle Til : J’ai oublié de te dire qu’à l’extérieur, c’est pris en compte, si c’est grave, or là, c’est le cas. Emmenez-le !!!

Et sans réfléchir, deux garçons gothiques m’emenèrent de force dans cette fameuse salle de torture. Une fois dans mon pire cauchemar, deux jeunes filles m’enlevèrent tout mes vêtements, sauf le slip, et m’attachèrent sur une table, à l’aide d’une chaîne en fer qui m’empêcha de bouger les poignets et les jambes. Je vis avec stupeur, qu’une jeune fille chauffa un fer à cheval, puis elle me brûla la poitrine avec, ce qui me fit crier de douleur. Pendant ce supplice, les deux jeunes filles qui devaient s’occuper de ma punition, jouirent de mon malheur. Pendant trente minutes, je criais de toute mes forces mais en vain, personne pour me secourir. Quelques minutes après, sur ordre de mademoiselle Til, mes bourreaux s’en allèrent. J’avais sur ma poitrine, des grosses traces de brûlures. Tout à coup, Cynthia apparue devant mon corps lourd. Elle me dévisagea de son regard glacé et elle vit les marques au fer à cheval, et alors elle toucha ma poitrine, ce qui me fit de nouveau crier, pendant qu’elle arborait un large sourire depuis qu’elle était entrée dans cette salle maudite. Puis, sans que j’y comprenne, elle sortit sa langue et commença à me lécher la poitrine, puis avec son doigts, elle pris de ma salive et le mélangea avec sa salive sur sa langue. En la voyant faire, je lui demanda :

Odd (en colère) : Non mais c’est toi la dégoûtante !!! Tu m’as sortis que j’étais sale avec ma glace fraise-vanille, mais toi c’est pire !!! De plus, tu m’as sortis que tu ne voulais pas sortir avec moi, et tu as raconté que je t’ai violé alors que ce n’est pas vrai, et maintenant que tu m’as enfoncé dans cette sale histoire, tu te permets de faire des choses dégoûtante !!! Explique !!!
Cynthia (toujours souriante) : Huh....huh.......huh.....!!! Tu sais que j’adore ça les hommes avec des cicatrices et qui souffrent de leurs douleurs ? Dès que j’en trouve un, je lui fais la même chose.
Odd : Et mademoiselle Til ne sait pas ce que tu traficotes en douce ?!!!
Cynthia (se lêchant son doigts) : Non. Et c’est mieux ainsi.
Odd : Dans ce cas, je vais lui dire dès que je serais sortis de là.
Cynthia : Tu peux lui dire ce que tu voudras, elle me croira plus que toi. Bon ben j’y vais, à plus.

Et cette infâme fille disparue en franchissant la porte de sortie. A peine deux minutes plus tards, un jeune garçon rentra dans la salle avec un grand sourire et il me libéra, puis il me redonna mes vêtements que je remis de suite. Enfin j’avais peut-être trouvé un gentil garçon....


A suivre....



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Partie 4

Une fois mes vêtements remis, le jeune garçon me souria toujours. Alors je lui demanda :

Odd : Euh merci beaucoup. Je m’appelle Odd Della-Robbia et toi tu es ?
??? : Je suis Maxime Sidez, de la classe inférieur à la tienne.
Odd : Tu n’es pas comme les autres, je le sens.
Maxime : C’est vrai. Je n’aime pas beaucoup ce collège. Mais si je t’ai aidé, c’est parce que ta punition est terminée et que mademoiselle Til m’a ordonné de te libérer. Mais j’aurais préféré qu’ils ne te fassent pas de mal, car cela m’écoeur.
Odd : OUILLE !!! Les brûlures me font très mal !!! Dis moi, si t’aime pas ce bahut, pourquoi t’es ici ?
Maxime : Tout simplement parce que mon grand-père m’a obligé à m’inscrire ici, pour mon bien. J’ai perdu mes parents alors que j’avais six ans, et ma grand-mère est morte dans un grave accident de la route, alors, je compte sur ma seul famille : mon grand-père. Nous sommes pas très riche, alors ce collège est le seul bahut potable pour nous.
Odd : Je te comprends. J’en verse d’ailleurs une petite larme.
Maxime : C’est gentil. Dis, tout à l’heure, avant que je n’arrive, tu n’as pas rencontré Cynthia Joki ?
Odd (énervé) : Si ! Et elle prenait du plaisir en me léchant là où j’ai mal !
Maxime : Je comprends son sourire sadique quand je l’ai croisé. Je l’a connais depuis très longtemps, puisque je suis depuis longtemps inscrit dans ce collège de malheur. C’est une garce qui prend les hommes comme toi pour un objet. Je t’explique, elle fait en sorte que tu lui dises quelque chose, ensuite elle invente à la directrice une histoire bidon, pour t’enfermer ici, et ensuite, ben tu la connais. Elle s’amuse à humilier ces victimes en les léchants sur leurs plaies. Mais ce qu’elle aime surtout, c’est de goûter la salive des jeunes garçons, ou parfois, de certaines filles.
Odd : Et personne ne dis rien, même pas à la police ?!
Maxime : Ce serait une perte de temps, car tout le monde, écouteraient Cynthia qui est, pour moi, la diva de ce collège.
Odd (énervé) : Ben moi je vais de ce pas me plaindre à la police !
Maxime : Fais ce que tu veux, mais moi même je me suis fais prendre par elle et j’ai subi les mêmes atrocités et je me suis plains à la police et ils ont classé l’affaire sans suite.
Odd (découragé) : Bon ben tant pis alors. Je retourne dans ma chambre. A demain Maxime.
Maxime : A demain.

Et je partis en ruminant des propos injurieux envers Cynthia. La nuit était longue et je n’arrivais pas à dormir sur mon lit. En me tournant sur mon lit, j’entendis alors le bruit d’un papier qui venait de tomber. Alors j’alluma ma lampe torche et je regardis le papier. Avec stupeur, je vis que c’était la brochure que m’a donné cette jolie Japonaise. Mon intuition me dit de quitter cette endroit de malheur et de m’inscrire à Kadic. Mais avant, mes parents. Je pris mon téléphone portable, et j’appella chez moi.....

Mr Della-Robbia : Allô ?
Odd : Papa ! Je t’appelles de toute urgence pour te parler de quelque chose de très important !
Mr Della-Robbia : Je t’écoute fiston. Tu ne te plais pas là bas ?
Odd : C’est exact et j’aimerais déjà où je voudrais aller.
Mr Della-Robbia : Et où ça ?
Odd : Au collège Kadic.
Mr Della-Robbia : Kadic, mwoui pourquoi pas. Ce n’est pas très loin de chez nous. Bon, on appellera mademoiselle Til demain matin pour nous réunir pour un éventuel transfer à Kadic.
Odd : Oh merci papa !!! A demain !
Mr Della-Robbia : A demain fiston.

Et mon père raccrocha. Je me rendormis alors. Le lendemain matin, mes parents et moi même étions convoqués au bureau de mademoiselle Til. Après une bref discussion au sujet du transfer, la jeune directrice gothique téléphona au proviseur du collège Kadic....

Portable : DRRRIIINNNGGG !!! DRRRIIINNNGGG !!!!
??? : Allô ? Jean-Pierre Delmas et collège Kadic. Que puis-je faire pour vous ?
Melle Til : Bonjour Jean-Pierre, ici Marion Til, directrice du collège Frisson. Je vous appelle pour demander un transfer d’un élève vers votre collège.
Mr Delmas : C’est possible car j’ai des élèves qui sont partis, donc il reste plein de place, mais en revanche, il faudra, pour qu’il puisse rentrer chez moi, qu’il attende une semaine, le temps de transférer le dossier.
Melle Til : Ce n’est pas un problème. L’élève en question s’appelle Odd Della-Robbia.
Mr Delmas : Bien, il me tarde donc de le rencontrer. A bientôt Marion et passez une très bonne journée.
Melle Til : A vous aussi Jean-Pierre.

Et la directrice gothique raccrocha son téléphone. Un moment après, je préparais mes bagages et avec mes parents, je repartis dans la voiture. Et on quitta ce collège maudit. Je retrouva mes habits fushia et mes parents sortit quelque chose d’un très grand panier. C’était Kiwi, alors je le pris très fort dans mes bras et lui dit que c’est un bon chien. La semaine passa et ce fut déjà vendredi. Pour me changer les idées, après une semaine à la maison avec parents et mon chien, je me promenais alors dans un endroit où il y avait des longues falaises et devant, la mer. Tout en restant debout, je respirais l’air frais de la mer, quand tout à coup, une jeune fille me poussa dans le précipice. Elle fit :

??? : Adios gros naze !!!

Dans ma tête, j’avais compris qu’elle voulait ma mort. J’ai cru que ma dernière heure était venue, quand dans mon vol, je fus stoppé net par une lumière invisible. Je regardais alors au dessus, et je vis une silhouette qui avait l’air de ce concentré. Puis la silhouette en forme de jeune fille, fit de grands gestes pour que la lumière invisible me remonte rapidement. Quand elle me relâcha en dehors du précipice, je vis qu’elle était essouflée, mais je l’a reconnu de suite......

Odd : Mille merci. Mais je te reconnais, tu es la jeune fille Japonaise de l’autre jour !!!
??? (essouflée) : PFFFIOUU !!! T’as eu de la chance que je passais par là, n’est-ce pas Odd ?
Odd : Oui c’est bien toi. La dernière fois, tu n’as pas eu le temps de te présenter.
??? : Oui et je suis désolée. Je m’appelle, Yumi Ishiyama, et je suis au collège Kadic.
Odd (ravis) : Enchanté, moi aussi je viens tout juste de m’inscrire à Kadic, car le collège Frisson ne me plaisait pas tant que ça. Je commence lundi qui arrive.
Yumi : Cool !
Odd : Dis moi, c’est toi qui m’as sauvée ?
Yumi : Euh oui, avec mon pouvoir de télékinésie.
Odd (moqueur) : De la télékinésie ?! Arrête ça marche pas avec moi. Tout le monde sait que ça n’existe pas.
Yumi (en colère) : Ah ouais, et bien je vais te refaire une démonstration.

Et Yumi se concentra sur moi et elle me leva de quelques mètres en hauteur. Puis elle me reposa.

Yumi : T’es content maintenant ? Tu y crois ?
Odd (tremblant de peur) : Euh oui. Je crois que ça va aller. Mais pourquoi as-tu ces pouvoirs ?
Yumi : Je ne peux pas t’en parler maintenant. Peut-être plus tards. Dis moi, la jeune fille qui t’a poussé, elle était tout en noir.
Odd : OH ! Pas de doute, c’est Cynthia Joki.
Yumi (avec un clin d’oeil à Odd) : Je peux peut-être arranger ça.
Tél Portable : DRRRIIINNNGGG !!! DRRRI.......BIIP...
??? : Allô ?
Yumi : Jérémie c’est moi. Fais le retour vers le passé.
??? : D’accord Yumi. RETOUR VERS LE PASSE !!!

Deux secondes plus tards, je me retrouvais au même endroit, sauf que la, je sentis une présence qui aller me pousser, quand soudain, une jeune fille bloqua l’autre jeune fille. Je répondis :

Odd : Cynthia ! Pourquoi tu veux me faire ça ?
Cynthia : Parce que j’ai envie, et je prends du plaisir à voir des gens mourirent ou souffrirent.
??? : Odd, avant que tu ne me le demandes, je suis Yumi Ishiyama. Qu’est-ce que j’en fais ?
Odd : Enchanté Yumi. Ben laisse la partir, elle n’en vaut vraiment pas la peine.

Une fois la fille gothique partit, Yumi me demanda si je voulais être sa meilleure amie, j’acceptais sans réfléchir. Ensuite nous nous baladions tout en parlant du collège Kadic. Puis nous nous séparâmes et je rentris chez moi tout en carressant Kiwi. J’attendis lundi avec impatience.


A suivre........