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Histoire : Code Baal


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Écrite par Lordwilliam le 26 janvier 2009 (25427 mots)

Dernière édition le 28 juillet 2009

Épisode 1 :La bataille de Carthage.


Rapport M26-I7C

Carthage lab, Texas, 26 mai 20xx

Suite à un acte de piratage, Nous avons mis en pratique l’alinéa 34 du code de l’établissement en rapport à la base de donnée.
Selon les scientifiques, l’attaque n’a pas été assez longue pour permettre de localiser l’intrus.
Aucun des dossiers du projet n’aurait été ouvert lors de l’attaque.




Secrétaire :Voilà mon colonel, imprimé en trois exemplaires comme demandé.

Colonel. Jephries : Poser les sur mon bureau.

Le secrétaire s’exécuta sur le champ.

Il était presque sorti quand le colonel l’appela.

Cl J :John pouvez-vous convoquer le Lieutenant Karsov, j’ai quelque question à lui poser.

Quelques minutes plus tard.

Lnt Karsov :vous m’avez fait mander mon colonel.

Cl J : Vous étiez dans la salle de commandement lors de l’attaque n’est-ce pas ? pouvez-vous me décrire précisément ce qui s’y est passé ? Certains des soldats ont vu des événements que l’on pourrait classé de paranormal. J’aimerais avoir votre opinion sur ce piratage hors du commun.

Lnt K : sans vous manquer de respect, mais je suis un peu perplexe. J’ai vu ce qui est arrivé à ceux qui ont essayé de couper le supercalculateur. Ils sont tous à l’hôpital maintenant, des soldats ont même été projetés à plus de six mètres du supercalculateur.

Voyant l’échec de nos tentatives d’éteindre le supercalculateur, j’ai donné l’ordre de couper tout lien avec l’extérieur.

Cl J : vous avez bien fait, c’est pour votre réaction exemplaire que j’ai décidé de vous charger de l’enquête sur les intrus.

Lnt K : comment pourrais-je puisque nous n’avons pas pu les localiser ?

Cl J : il ne faut pas toujours croire les rapports, lieutenant. En fait nous avons détecté une dizaine d’adresses IP, nous piratant en même temps. Le sergent Hardman, spécialiste en informatique, sera votre second dans cette affaire, il est dans la salle de réunion B-214, il brief déjà votre équipe. Vous devez vous douter que cette affaire est classée top secret et requiert votre plus grande attention. Vous pouvez disposez.

Lnt K : A vos ordres mon Colonel.

Le Lieutenant approchait du bâtiment B quand soudain l’alarme sonna dans toute la base, suivie de près par des salves de coup de feu du côté de l’aile Sud.

On voit trois kankrelats passer le coin d’un bâtiment.

Des soldats affluèrent vers le bâtiment C d’où venaient les kankrelats. Une foule de Kankrelats vint renforcer les premiers.

Le lieutenant dégaina son arme de point et parti à l’assaut du bâtiment rassemblant tout les soldats qu’il pouvait trouver.

Lnt K : Il faut faire évacuer les civils. Soldats suivez-moi.

Entrant par les garages, une partie des soldats s’arrêta et sécurisa quelques APC (armored personnal carrier :traduit par : Transport de troupe blindé). Le reste continua d’avancer dans le couloir vers l’ascenseur principal.

L’ascenseur s’ouvrit et les soldats trouvèrent les scientifiques du projet.

Lnt K : Professeur Martens (dernier scientifique de la première équipe), que se passe-t-il ?

Martens : je n’en sais rien, mais je suppose qu’il y a un lien avec l’attaque d’hier.

Un informaticien : Notre sigle est apparu sur tous les écrans, et depuis des monstres ne cessent pas de venir de la salle du supercalculateur.

Un garde : J’ai vu une de ces bestioles de près, elles portent notre sigle sur elle.

L’informaticien : Notre sigle ? Qui peut connaître notre sigle en dehors de cette base ?

Martens : Il n’y en a qu’un seul. Waldo Schaeffer

Un des soldat aperçu cinq kankrelats arriver dans le couloir et ouvrit immédiatement le feu.

Lnt K : Il est préférable de ne pas rester ici. Nous avons des APC qui nous attendent au bout du couloir.

Ils partirent tous vers les garages.

A l’extérieur, la situation n’est pas aussi calme. Trois mégatanks et six tarentules détruisent tout véhicule au sol ou dans le ciel tandis que les kankrelats continuent de repousser les soldats, impuissant contre cette déferlante sans fin.

Loin dans le ciel, quatre TomCat foncent vers la base attaquée quand leurs radars détectent des objets volants de petite taille à leur six heures. Ils n’eurent pas le temps de réaliser l’ampleur de ce qui se passait qu’un d’entre eux salement endommagé part en vrille, se rapprochant inexorablement du sol.

Un pilote : C’est quoi çà ?

Le « ça » n’est autre qu’une escadrille de la « xana airforce ».

Episode 2 Au plus sombre de la nuit (In the dark of the night)

Laissons un peu la base « Carthage » à ses combats et allons à la base d’Edwards, en Californie, où Xana lance un autre attaque. Un Northrop, bombardier furtif américain, est sur le point d’y décoller.

Officier radio 1 :Tour de contrôle à Northrop 3 Vous avez la permission de décoller, je répète permission de décoller.

(Vue de l’intérieur du Northrop. L’écran du radar nous montre le signe de xana.)

Le premier Northrop décolle et prend le cap 043

Officier radio 1 : Manquait plus que ça. Tour de contrôle à Northrop 3 vous faite fausse route changez de cap et prenez le 167, je répète changer de cap et prenez le 167.

Officier radio 1 : tour de contrôle a Northrop 3, à vous.

Officier radio 1 : tour de contrôle a Northrop 3 répondez bon sang.

A kadic aux abords de la cantine. :

J : Aelita rendez vous ce soir à l’usine. Je vais rallumer le supercalculateur pour faire des recherches. Peut-être trouverons-nous qui ont enlevé la mère d’Aelita.

U : Attend, tu veux nous dire que nous avons combattu 3 ans pour éteindre le supercalculateur et tu veux le rallumer. C’est fou.

O : Ouais, c’est toujours comme ça les savants.

Y : Ulrick à raison mais Il faut le faire pour Aelita.

W : De toute façon Xana a été détruite que je sache.

U : Oui et ce n’est pas grâce à toi.

W :Vla qu’y m cherche encore lui.

Y : c’est vrai que tu nous a sacrément retardé mais comme tu l’a dit c’est fini et on ne devraient même plus en parler.

A Je suis pour le rallumer le temps des recherches mais il faudra le désactiver ensuite. De plus j’aimerai voir si notre multi-agent n’a pas subit des changements.

J : Il n’existe plus. Redoutant qu’il s’attaque à d’autre programme après Xana, j’ai décidé de l’anéantir. On ne sait jamais ce qui peut se produire.

O : Ouais du genre notre Xana à nous. C’est ça ?

J : effectivement. Nous ne pouvions pas courir le risque.

Y : Bon, il faut que j’y aille sinon mes parents vont devenir furieux. Je pense pas que ma présence est obligatoire lors des recherches.

J : chacun a droit à un peu de détente. Je pense que moi et Aelita nous serons assez suffisant.

Dans la salle de commandement du porte-avions de l’Otan « Belgica » quelque part dans l’Atlantique.

Officier de radio (dans son micro): Northrop 3 donnez nous votre position. Je répète Northrop 3 donnez nous votre position.

Officier de radio (à l’amiral Heinrich Von Schnuffle) : Il ne répond toujours pas mon amiral.

Amiral : Il se la joue comme ça, faite sonnez l’alarme,je veux au moins vingt avions en l’air dans un quart d’heure. Retrouver moi ce bombardier.

Salle de Briefing

Capitaine : Nous savons qu’un Northrop est parti du Kansas, il y a une heure. Selon nos calculs et s’il n’a pas changé de cap, il devrait actuellement survoler le Kentucky en direction de Washington.
Les Etats-Unis ont déjà engagé leur aviation, ils ont besoin de notre aide pour éviter la mort de nombreux civils.

Le Northrop est furtif,sauf si vous avez de la chance votre radar ne peut pas le détecter. Il faudra chercher un contact visuel.

Voilà vous savez tout. Rompez.

Dans les minutes qui suivirent 8 AWACS (airborne warning and control systeme) et 12 F16 prirent leur envols.

À l’Usine.


Aelita (arrivé en bas avant Jeremy) : L’ascenseur ne répond pas. Jeremy.

Jeremy : c’est normal. Je l’avais coupé pour éviter une intrusion dans le laboratoire.

Aelita : il faudrait le rebrancher sinon nous serons obligé d’entrer par la sortie de secours.

Jeremy : ca ne prendra pas un instant de plus. (en branchant son ordinateur à un câble caché derrière le panneau de commande. Une fenêtre s’ouvre alors sur l’écran de son ordinateur) Enter.

L’ascenseur s’ouvrit alors et le duo descendit dans la salle de commande du supercalculateur.

Jeremy : je pense qu’on aura accès a tout ce qui nous faut ici. Pas besoin d’aller sur Lyoko. Nous utiliserons le terminal principal.

La porte s’ouvre sur la salle du supercalculateur.

Aelita : Tu veux réellement relancer le supercalculateur.

Jeremy : nous avons un supercalculateur qui ferait en une heure le travail que nous ferions en un mois par un autre moyen. Je ne vois pas pourquoi on ne l’utiliserait pas.

Aelita : C’est vrai mais et si Xana avait implanté un programme dans le supercalculateur, pour qu’il s’active lors qu’on le rallume . Tu vois ce que je veux dire, un programme de type « phénix ».

Jeremy : de toute façon si c’était le cas nous le saurions grâce au super-scan.

(Jeremy actionna la commande)

Le supercalculateur s’alluma sans problème après les quelques jours d’inactivité.

Jeremy et Aelita remontèrent a la salle principale où les dossiers se rechargèrent petit a petit.

Jeremy : cela prendra un certain temps. (il se tourna alors vers Aelita quand soudain les haut-parleurs émettent un son non voulu. )

Sur l’écran apparaissent les coordonnées d’un répliqua plus grand que ceux rencontré auparavant.

Jeremy : C’est impossible. Xana ne peut pas être sorti si vite.

Aelita : C’est peut être un bug du superscan.

Jeremy tape quelque ligne sur son clavier et une fenêtre apparaît sur l’écran de droite.

Jeremy : Ce ne peut -être Xana , notre multi-agent cours toujours dans le réseau.


À 39°30 Nord 31°16’ Est
station française de détection de missile.
21h29

Soldat 1 :Mon capitaine, Je capte un signal faible se déplacement assez rapidement. Dernière position connue 33° Est 42° nord avec un cap de 088.

Capitaine : sergent Frazer fait sonner l’alarme, ça ne peut être que notre fugitif.

Sergent : À vos ordre mon capitaine.

Colonel Armando : officier de radio ,prévenez les porte-avions Belgica, Enterprise, Britannia et Norse. Je veux que tout leurs avions convergent vers ces voleurs d’avions. E que as chamas do seu reactor iluminam o céu como se era Meio-dia. Exécution.


Kadic
21h43

Vue de l’extérieur, deux mirages passent au dessus de Kadic a une vitesse de plus de mach 1,2 ce qui eut pour effet d’en réveiller plus d’un. ( Mach 1,2 est la limite de création d’un mur du son.)

Odd (encore à moitié endormi) :hein, c’est l’apocalypse.

Ulrick : Non, ça c’est quand tu enlèves tes chaussures. Ça ressemblait plutôt à des explosions, il faudrait aller voir ce qui se passe.

Ulrick passa la tête pour voir ce qui se passe dans le couloir.

Jim (sortant de sa chambre) :Saleté de Japs, on peut même pas dormir tranquille ici. Ils vont voir de quel bois je me chauffe.

A ce moment-là, le gsm d’Ulrick sonna dans sa poche.

Ulrick : Allo. Non on n’a rien. Pourquoi ? Quoi mais je croyait. Bon on rapplique au plus vite. J’appelle Yumi.

Odd : Alors.

Ulrick : Jeremy a détecté un répliqua activé et que Xana l’utiliserai peut-être pour nous attaquer.

Odd : Alors si j’ai bien compris l’aventure continue.

Ulrick :Malheureusement, oui.

Ulrick composa le numéro de yumi.

Ulrick : Yumi ca va ?

Maison des Ishiyama
21h53
Yumi : allo. Non c’était pas de mon côté. Qu’y a-t-il ? Quoi !! On se retrouve à l’usine.

Yumi s’habilla en vitesse et sorti de sa chambre mais manque de bol elle ne fut pas seule à le faire.
Mr Ishiyama : Yumi puis-je savoir où tu va ?


Kadic.
21h54


Jim (patrouillant dans le couloir) : rentrer tous dans vos chambres. Ce n’est pas des explosions qui vont vous empêcher de dormir. Quand j’était en service en indonésie, des explosion nocture se produisaient très fréquemment et ca ne nous empêchait pas de domir comme de Marmatte, non des Mormatte, non des ...

Odd : Des Marmottes messieur.

Jim : comme je le disait cela ne doit pas vous empêcher de dormir comme des marmottes. Alors, tous dans vos chambres respectives.


Dans sa chambre, Ulrick téléphone à Jeremy.

Ulrick : Jeremy,il se peut que Moi et Odd ont soit un petit peu retardé de notre côte. Tu connais Jim, impossible de s’éclipser avant au moins dix bonnes minutes.

Au dessus du golf de Gascogne.
22h20


Pilote 1 : EF 21 to squadron leader, nothing in sight yet .

Squadron leader amn, We must be near i am sure.

Pilote 1 : Hey , Whats that ?

Two tiny black shape fly next to him. (oups , déso. Traduction eux petite forme noire volaient proche de lui.)

Squadron leader : Qu’est-ce ?

Pilote 1 : Je sais pas,c’est trop gros que pour être des oiseaux.

C’est alors qu’un troisième arriva par derrière et ouvrit le feu . ses lasers percèrent le fuselage de l’euro fighter en plusieurs endroits.

Pilote 1 : They’ve attack me. Mayday, Mayday.

Un trou dans la couverture nuageuse permit au pilote d’apercevoir le Northrop entouré de nombreuse autres Mantas.

Squadron leader: Northrop spotted at 45° North 8°East. Beware he has an strange escort.

Pilote 2 : Roger Roger.

Pilote 1 : Ejection, éjection, éjection.

Ainsi débuta la « bataille de France ». Trois euro fighters en formation serrée foncèrent vers les coordonnées juste émises. Près de trente chasseurs de toutes nationalités survolaient en ce moment le golfe de Gascogne et partirent pour engager le Northrop avant qu’il n’atteigne la côte française.

Les trois euro fighter arrivèrent aux coordonnées pour voir leur « squadron leader » partant en vrille après avoir perdu la quasi entièreté de son aile gauche.

Squadron leader : Ej...

L’avion explosa avant que le pilote pu s’éjecter.

Pilote 2 : EF 17 et EF 06 écarter l’escorte, j’engage le Northrop.

Pilote 3 et 4 (à quelque seconde d’intervalle) : Roger.

Les deux euro fighter eurent difficulté à attirer l’attention des mantas, et quand il réussir, il le regrettèrent amèrement. Quelques minutes après leur engagement, ils survolèrent Nantes.

Le Pilote 2 désengagea quand un orage éclata rendant les abord du Northrop mortellement dangereux.

Quelque instants plus tard, les autres chasseurs arrivèrent.

Tout les avions qui osèrent engager le Northrop furent soit foudroyé soit détruit. Quelques avions parvinrent à tirer leurs missiles sur le Bombardier, mais les mantas se sacrifièrent pour défendre le xanatifié de 2 milliard de Dollar américain.

Le Northrop passa au-dessus de Angers, le Mans, Chartres sans se soucier des chasseurs qui cherchaient une ouverture pour l’abattre. Déjà La tour Eifel brillait au loin. Jusqu'à ce moment le Northrop continuait sa course sans avoir subit de dégâts.


A ce moment précis advint l’élément que Xana n’a pas pris en compte dans ses calculs, la surchauffe du supercalculateur. A ce moment, la plupart des monstres pourchassant les rescapés de Carthage furent détranslatés pour diminuer la consommation du supercalculateur. Malheureusement, la base de Carthage était équipée de refroidisseurs au fréon qui se mirent automatiquement en marche refroidissant le supercalculateur pour quelque minutes supplémentaires.

L’aile portante ouvrit ses soutes et engagea sa cible. Quand un des chasseurs ayant volé au raz du sol pendant quelques minutes parti en chandelle faisant feu de toutes pièces. Un des tirs toucha la soute faisant exploser les bombes. Le Northrop perdit sa portance, mais pas sa manoeuvrabilité. Dans un dernier soubresaut, le bombardier furtif s’écrasa sur l’usine de l’île Seguin. Endommageant toute la partie sud du complexe.

À l’usine
23h09

Jeremy et Aelita entendirent une énorme explosion dont l’écho se répercuta dans la cage de l’ascenseur.


Episode 3 : La dernière brigade.


Base carthage
Dans les garages du bâtiment B
22 h 30 Le même jour.


une trentaine de personnes se massent autour de trois APC placé en triangle au centre du garage.

Private Ryan : Mon lieutenant, le dix-septième régiment blindé est a dix kilomètres.

Lieutenant Karsov : C’est bien. Des nouvelles du colonel ?

Un silence s’abattit dans le garage.

Private August : Le colonel Jephries est certes un bon chef ,mais j’ai peur que cela n’ai pu l’aider contre ces monstres.

Un vitre éclata alors derrière le lieutenant suivie par quelques lasers.

« To cover » cria le soldat Ryan.

Les soldats s’exécutèrent et après quelque salves de tir, la situation se calma à nouveau.

Lieutenant.Karsov : il nous faut sortir d’ici.

Private Ryan : avec ces boules blindée dehors ? On a aucune chance de passer sans y passer nous même.

Private august : Il a raison. Il nous faut attendre le régiment de blindé. A ce moment-là, nous aviserons.

Sentinelle :Mon lieutenant, ils reviennent en force.

Lieutenant En position de combat.

Trois block arrivaient par le couloir, escorté par cinq kankrelats et trois frelion. Rapidement, les block furent hors d’état de nuire,mais les frelions parvinrent a sortir du couloir et prirent les marines dans un feu croisé.

C’est ma dernière grenade cria private taylor en la dégoupillant. Il n’eut pas le temps de la jeter dans le couloir qu’il se prit un laser de frelion dans le dos, lâchant ladite grenade.

Grâce aux réflexes du Private August, la grenade fut envoyée dans le couloir juste à temps.

On we go. Tous dans le couloir. Vite, cria Le lieutenant.

Le private Ryan voulu aider le private Taylor a se relever mais la vie l’avait déserté.

Les frelions voulurent les suivre, mais quelques tirs avisés les abattirent en plein vol.

Lieutenant Karsov : Le dépôt de munition est au troisième sous sol. Ryan, August protéger les civils, l’ennemi peut venir de tous côtés.

Quelque étage plus haut
22h28

sergent Hardman : Silence, the hornet is back.

Le frelion en question fouillait méticuleusement chaque pièce de chaque étage.

-On en a l’habitude. Dit Fergusson, un New-yorkais de quinze ans recruté pour un nouveau style d’entrainement.

Il fut ausitôt plaqué au sol quand le frelion passait devant la porte.

-On est certes habitué,Ferg , mais on est pas sur Baal ici.dit Konnor surnommé Konn, écossais de pure souche (même dans ses manière)

Pendant ce temps-là, le frelion fit demi-tour et rentra dans la salle de briefing B-214.

Le sergent Hardman ne voulant pas attirer l’attention des autres monstres se refusait de tirer sur le frelion, si celui-ci ne faisait pas le premier mouvement. ( en fait même un malvoyant pouvait lire la peur sur son visage, mais cela on ne lui dit pas.)

Oscar, un jeune Irlandais recruté de force par son père travaillant dans la base, fut celui qui débloqua la situation en lançant, tel un javelot, le porte manteau sur pied sur le frelion qui fut cisaillé en deux quand le porte manteau heurta le mur.

Bien visé Oscar. S’écria Sean (de son vrai nom :Seanlaoch) un londonien engagé pour son excellente maîtrise des art martiaux principalement l’escrime et du kalari payatu. (bien qu’on ne mentionne dans aucun rapport que son grand-père avait été préposé aux armes dans cette même base.

Sergent Hardman : Il ne faut pas rester ici. D’autre viendrons en plus grand nombre.
Leila : ce ne sera pas difficile. (Leila est la seule fille du groupe. Elle aime le noir non par gothisme mais plus pour ne pas être vu par tout le monde. La douceur a depuis longtemps quitté son quotidien depuis que ses parents sont morts l’un en mission l’autre de chagrin.)

Sergent Hardman : Nous devrions trouver des armes au troisième sous-sol.

Fergusson : Donc cap vers le troisième sous-sol.

Après avoir descendu quelque volée d’escalier, Hardman et les recrues rejoignirent Karsov et les scientifiques.

Lieutenant Karsov : Hardman. Toi qui vient des étages comment se présente la situation de ton côté.

Sergent Hardman : Tout est calme, mais l’ennemi rode. Ce fut un véritable carnage. De nombreux soldats sont tombé dans notre couloir. Peu d’entre eux avait plus qu’une arme de point. Nous n’avons pas rencontré de survivants durant notre descente.

Lieutenant Karsov : Nous nous rendons au dépôt de munition.

Fergusson : Nous aussi. Il ne faudrait pas rester ici. On est trop exposé.



Sur Baal
22h30


Trois guerrier, un lancier, un légionnaire et un « axe-man » se battent contre un nombre impressionnant de kankrelats, tarentules et manta.

Rapidement l’ « axeman » fut dévirtualisé par une charge de trois manta après avoir tué deux tarentule et sept kankrelat (en cinq minute).

Les mantas firent un demi-tour et dévirtualisèrent le lancier alors qu’il protégeait le défunt « axeman » des tirs d’une tarentule.

Le spadassin n’eut pas le temps de remarquer leur disparition qu’il fut attaqué par la méduse.



Carthage lab
S room
22H31

Soldat Barry : Ouch, C’est pas possible. Ils ont amélioré le multi-agent ou quoi.

Soldat Cathal : Il n’oserai pas le faire en plein milieu d’une séance.

Voyant un corps inanimé sur le sol,les pieds dans un des scanners.
Cathal :Hey il y a du nouveau ici.

Barry : C’est qui ?

Cathal : Comment veux-tu que je sache, on a pas été présenté.

Quelque coups de feu éclatèrent dans un lieu fort proche, annonçant au Baal warrior l’amère bataille dans laquelle leur collègue sont engagé depuis de nombreuse heures.

L’homme barbu allongé, âgé dans la septantaine et ayant les cheveux grisonnant, essayait de se relever.

Barry : Va l’aider, Je vais voir ce qui se passe.

Cathal n’eu pas le temps de refuser que Barry disparu dans l’escalier.

Cathal : Bonjour, puis-je vous aider a vous relever.

Inconnu : Merci. J’avais oublier que cela faisait si mal.

Cathal : Je m’appelle cathal Varshneya. Et vous.

Inconnu : Waldo Schaeffer mais on me connais plus sous le nom de Franz hopper.

Cathal : Vous avez bien dit « Schaeffer ».

Franz H : Oui pourquoi ?

Cathal :J’ai le malheur de vous déclarer que vous n’êtes plus le bienvenu dans cette base. Mon père, le Docteur. Deepak Varshneya a été celui qui vous a remplacé. Il avait de l’estime pour vous. Mais il ne pouvait pas se permettre de démissionner, surtout après ce qui vous est arrivé.

(Voyant son collègue revenir)

Cathal : Il est pour le moment préférable pour vous de garder l’anonymat, John Doe.

Barry : La base est en code rouge. As-t-il dit comment il s’appelle ?

Cathal : Non. Selon la coutume, on l’appellera John Doe.

Barry : Alors, John Doe veuillez bien nous suivre.


Un étage au dessus.
22h49

Private Ryan : L’escalier de service est à l’autre bout de ce couloir.

Comme s’ils avaient été entendu, cinq kankrelats et une tarentule prirent position au fond dudit couloir.
Private Cadmon : Il n’y a pas d’autre chemin ; il faut passer.

Private Ryan : même en grand nombre et bien armé nous ne parviendrons pas à les déloger. Ils sont hors de portée de nos grenade.

Ils furent alors tous dépassé par le colonel qui s’engouffra dans le couloir

Karsov : Mon colonel, non.

Mais le colonel william Jephries continua sans broncher.

Private Ryan : c’est qu’il parvient a passer le colonel.

Private august : cela ne sent pas bon. Cela signifierai qu’il est passer à l’ennemi. Et que nous nous battons pour rien.

Karsov : On se bat pour nos vie, et celle de ceux qui comptent sur nous.

Le groupe suivit le colonel renégat, mais, quand le colonel arriva à la fin du couloir, les choses se corsèrent.

Private August : coucher vous.


L’étage du dessous.
Dans la command room
Peu de temps plus tard.


Barry : Bonjour mon colonel. Des nouvelles de la surface ?

En peu de temps qu’il n’en faut pour le dire, Barry fut projeté au loin suite à un choc fulgurant du colonel.

Cathal eut à peine le temps de réaliser ce qu’il se passait qu’un second éclair le frappait en pleine poitrine.

Les laissant pour mort, le colonel entra quelque données dans l’ordinateur le plus proche et partit vers la s room.


Le couloir de l’étage du dessus
22h54

Fergusson : August passe moi une de tes grenades.

August : je sais pas ce que tu compte faire avec mais tiens.

August fit rouler une de ses grenades vers Fergusson.

Fergusson : August tu lance ta grenade.

August. Mais...

Fergusson : Tu lance ta grenade. Point. Le reste, je m’en charge.

August :d’accord.

August lança sa grenade au plus loin qu’il pu, mais n’atteint aucun des monstres.

Profitant du nuage de poussière dû à l’explosion, Fergusson chargea les monstres et lança sa grenade dans le groupe de monstre.

Grâce à une armoire, Fergusson et un kankrelat échappèrent à l’explosion.

Fergusson : You get out of here. (donnant un coup de pied au kankrelat.)

Le kankrelat n’eut pas le temps de se remettre de ses émotions de petit programme qu’il reçut du plomb dans la caboche.

Dans la S room , un des scanners se referma, virtualisant le colonel pile dans les tentacules de la méduse.














voici la liste des Baal warrior déjà apparu dans ma fan fic.
prenom Nom (Signification du prénom) (genre) arme


Baal team 1 (jeunes)

- Leila Kalju (nuit, beauté sombre) (f) Ninja
- Fergusson Humboldt (Homme fort) (m) masse (le « mjolnir » pour être précis) et un petit bouclier
- Seanlaoch Colton (alias Sean) (héro des temps anciens) (m)hache et bouclier (de taille normale)
- Oscar chavez (lance divine) (m) lance
- Connor wilson (chien de chasse noble) (m) mortier


Baal team 2 (adultes)

- Cathal Varshneya (puissant dans la bataille) (m) hache double assez large pour servir de bouclier de fortune.
- Barry Palmerston. (lance) (m) lancier.


Xana team (adultes)

- Saif Towsen (épée) (m) légionnaire (bouclier, glaive et javelot)
(Ancien Baal warrior)
- William Jephries (Volonté de guerre) (m) hallebarde double, flèche empoisonnée
(Ancien Baal warrior)

si tu veut les défier tu peut, mais je te signale que Baal est un camp d'entraînement virtuel.













Episode 4 : épave en eau trouble.

A l’usine
23h10


Dans l’usine, Jeremy vérifie la situation via ses caméras. Sur son écran, on aperçoit la salle cathédrale éventrée dans sa majorité et le fuselage du bombardier arrêté à seulement quelques mètres de l’ascenseur.

Aelita : Mon dieu, Xana a détourné un avion commercial sur l’usine. Pense un peu aux nombreuses victimes.

Jeremy : ce n’est pas un gros-porteur, c’est un Northrop Grumann B-2 spirit, le plus puissant des bombardiers furtifs au monde. Je me demande pourquoi Xana l’a choisi au lieu d’un airbus, plus courant dans le monde réel.


A Kadic
23h10


Odd et Ulrick avait finalement réussi a sortir du dortoir et se trouvaient dans la chaufferie quand l’explosion eu lieu.

Ils montèrent sur leur planche à roulette et partirent à toute vitesse vers l’usine.

Ils étaient bien engagés dans le tunnel quand un eurofighter, cisaillé par un tir de manta, s’écrasa dans le parc de l’école, près du gros chêne. Suite à ce crash, le tunnel s’effondra devant les lyoko guerriers.

Odd : Quand je pense que si on s’était dépêcher on aurait eu la spécialité du Chef. Ragout de lyoko guerriers, sur coulis d’ordure.

Ulrich : allo Jeremy, Je pense que nous aurons encore quelque contre-temps. Xana a fait s’effondrer les égouts.

Odd : Et on devra se dépêcher si on sait pas évoluer pas en poissons dans les minutes qui suivent.

En effet, suite à l’effondrement, le niveau de l’eau augmenta à un bon rythme. L’eau dépassait déjà les dix centimètres de hauteur, délogeant la faune locale.

A l’usine
23h12


Jeremy : Oh ho, on a de la visite.

Sur l’écran, on voit plus d’une dizaine de policier s’amasser autour de la carlingue de l’appareil.

Aelita : Tu verrouille à nouveau l’ascenseur.

Jeremy. Mais c’est élémentaire. Enter.

Aelita. Vu que l’on est forcé de rester ici encore un long moment, on pourrait utiliser notre temps à recréer le Skidbladnir.

Jeremy : Recréer le skid prendrait des mois et tu le sais bien. Mais j’ai une idée qui pourrait marcher.


Dans les égouts
23h35


Ulrich et Odd avancèrent difficilement dans la masse grouillante des rats qui les entouraient. Quelque foulées plus loin, ils atteignirent la chaufferie où ils tombèrent sur ...

Odd et Ulrich : Jim

Jim : Stern, Della Robia je vous prend sur le fait. Expliquer moi ce que vous ...que ce que ...Aah !

Brusquement, Jim recula de plus de trois mètres à la vision de la masse des rats qui suivait nos héros. Il recula tellement qu’il trébucha sur ces lacets défait (ou pas fait du tout) et s’assomma.

Odd :Voyons monsieur, ce ne sont que des rats effrayés, c’est pas comme s’ils allaient attaquer le collège.

Ulrich : n’empêche qu’on devrait pas le laisser là.

Après avoir traîné le professeur de gym jusque dans l’infirmerie, les deux lyoko-guerriers quittèrent finalement le collège.


C-130 Hercule de la KSK
au dessus de Paris
23h49


Officier allemand : Die Northrop hat sich im Süden von Paris zermalmt. Sie müssen die Northrop um jeden Preis sicherstellen. Vorzubereiten Sie, Sprung in drei Minuten.

Regardant la lumière rouge, les fallshirmspringer de la Kommando Specialkräfte se pressèrent vers la porte

Jetzt cria le commandant Heller quand la lumière se changea en vert.

(Jetzt se traduit en français par : maintenant)

Dans le ciel, une quinzaine de parachutes s’ouvrirent.


Sur les quais
23h53



Odd : Oh, flocons humain droit devant.

Ulrich : Vu. Je pense pas que ce soit un simple exercice. Il faut aller au plus vite sur Lyoko.

Voyant l’usine en ruine avec les giro-phares bleus miroitant au travers des fenêtres.

Odd : Non mais, il n’a pas chaumé Xana. En près d’une heure, on a faillit se faire écraser, broyé, noyé, prendre par Jim et maintenant l’usine est en ruine, la police occupe la salle cathédrale et l’armée vient les renforcer.

Ulrich : Il est vrai que les chances d’atteindre la salle des scanners a sérieusement diminué. Mais il dois bien avoir un moyen d’atteindre par la salle machine

Odd : Sans trop te faire désespérer mais la salle machine est ensevelie sous un tas de décombres.

Ulrich : c’est « Le » seul chemin non surveillé.


Premier sous-sol de l’île Seguin.
23h54



Aelita : Ulrich, Vous en êtes où ?

Ulrich (en off) : On est bloqué face à l’usine Aelita. La police tient l’usine et une dizaine de parachutistes devraient arriver sous peu. Nous ne pouvons passer sans se faire remarquer par l’un ou par l’autre.

Aelita (a Jeremy) : Ils sont devant l’usine. La police leur barrent le pont et des militaires arrive par les airs.

Jeremy : Et bien xana, tu nous a mis dans un sale merdier, cette fois-ci. Une chance pour nous que le Northrop attire l’attention des policiers sans quoi on serait déjà découvert et arrêté. Ils aurons besoin d’une diversion, tu peut dire qu’ils l’aurons.


Sous le pont menant à l’usine
23h54


Ulrich : (a son téléphone) d’accord Aelita (à Odd) Jeremy nous envoie une diversion.

Odd : c’est pas trop tôt, les premier parachutistes se sont déjà posé sur le toit de l’usine.

C’est alors qu’une cacophonie monstre mêlant sirène, radio, klaxon surpris tous les policiers

Un policier : c’est quoi ça,

Un autre policier,j’en sais rien mais, dés que les militaires arrives, moi je me casse. Il y a de mauvaise vibration, selon moi c’est extraterrestre . Et je ne veut pas en être mêlé.

Pendant que les policiers cherchent à arrêter ce vacarme ,Odd et Jeremy parviennent à se faufiler jusqu'à l’épave de l’appareil.

Ulrich : C’est bon Aelita, on est passé.

Un policier : Tu va t’arrêter saleté d’engin ou je t’envoie au ferrailleur.

La cacophonie s’arrêta.

Un policier : A voilà tu vois quand tu veut.

Dans la partie sud de l’usine
23h56


Odd :Selon toute logique, la chaufferie est sous plusieurs mètres de gravas.

Ulrich : arrête de dramatiser Odd, il y a un mètre tout au plus, et je suis certain qu’une minute ou deux devraient suffirent pour nous créer un passage.


Sur le toit
23h57


soldat allemand :Mon Commandant, Il se passe des choses bizarres dans cette usine.

Commandant Heller : les ordres sont formel, il faut sécuriser l’épave a tout prix avant que l’armée française ne s’en mêle. Sinon c’est toute notre organisation qui est sabordé.

Soldat Allemand : ja volle.

Maison des Ishiyama
0H05


Yumi : Allo Jere... Aelita. Je viens à peine de sortir de chez moi. Je rapplique au plus vite.

Yumi écarta son GSM de son oreille et l’éteignit.

Aelita (en Off) : Yumi fait att...(ention, l’usine est gardée)

Dans la partie sud de l’usine.
0H12

Un trou s’ouvre dans le tas de gravas sous les pieds d’Odd.

Ulrich : Odd,Ca va ?

Odd :Si par « ca va » tu veut dire « rien de cassé» alors ca va. Mais mon pied est coincé.

Ulrich : ce ne sera pas long Odd. On est dans la salle machine. Un coup de téléphone et aelita va venir nous aider.

Sur le toit de l’usine.
0H13


Soldat allemand. : Mon commandant. Il y a du mouvement derrière l’épave.

Commandant Heller : Occuper vous de coordonner le rassemblement de l’unité. Je m’occupe de l’épave.

Soldat Allemand : Ja Volle, Kommandant Heller.

Commandant Heller (En apparté) : Ainsi ils ont quand même survécu au crash.


Dans la salle des machines
0H15


Aelita : Me voici, où est Odd ?

Ulrich : Il est là bas derrière. (montrant un tas de débris avec une barre de fer.)

Malgré plusieurs minutes d’effort, Le pied d’Odd était resté dans la même position.

Odd alors ca vient car je commence à avoir des crampes.

Aelita : pour tout te dire Odd, Nous ne savons pas te sortir de là.

Je peut peut-être vous aider.dit un William détrempé. Jeremy m’a téléphoné, il semblerait que Xana est toujours en vie.

Grâce à l’aide de William, Odd fut libéré du morceau de plafond qui gardait son pied prisonnier.

Après quelque minutes, ils étaient tous (sauf Yumi) avec Jeremy.

Jeremy : j’ai trouvé le moyen de voyager dans le réseau sans le Skid. C’est un moyen de fortune, mais au moins cela marche. Mais d’abord je doit vous montrer quelque chose. L’holo-globe.

L’holomap qui montrait les quatre territoires de Lyoko fut en un clic changé en un globe terrestre où chaque avion, chaque bateau, chaque voiture, chaque ordinateur et même chaque être vivant était référencé.

Odd : Whaw. C’est meilleur que googlemap ce truc.

Jeremy : Odd, ne remarque tu pas qu’avec ce programme,on peut espionner tout le monde tout le temps.

Ulrich : si c’est le cas alors pourquoi tu l’a créé.

Jeremy : Je ne l’ai pas créé. Il était dans une zone secrète du supercalculateur. Ce n’est que par hasard que je suis tombé dessus. Cela peut explique comment Xana localise les êtres ou objet qu’il veut xanatifier.

Ulrich :Jeremy, c’était quoi l’autre chose que tu voulait nous montrer.

Jeremy : j’y viens. Grâce à l’holo-globe, j’ai pu reconfigurer le transporteur pour qu’il fasse des trajets plus longs. Ce n’est pas encore l’égal du skid, mais nous pouvons continuer de traquer xana. j’ai aussi incorporé un système de décryptage de code automatique au cas où vous tomber sur une porte fermée.

Odd : Oh non encore un voyage avec le transporteur. Je croyait qu’on avait fait l’impasse sur lui.

Jeremy : prêt à plonger ?

Aelita,Ulrich,William et Odd : chef oui Chef.



Dans la salle cathédrale
0H46



Un Policier : Hey Toi là-bas. Les mains en l’air.

Pilote Ex Xanatifié :que... que c’est-t-il passé ici. Où suis-je ?

Inspecteur : Comme si tu savait pas. Tu a détourner ce bombardier pour tuer notre président. Mais tu as échoué rend toi.

Dans l’ombre de l’appareil, un spectre se faufile jusqu’au pilote et en reprend possession.


Un des policier : Il a une attaque. Appeler un amb... ouch.

Le xanatifié s’était relevé et avait lancé un nombre impressionnant d’éclair sur les policiers.

Sur le toit.
0h47


soldat allemand : Es ist ein Hexer (c’est un sorcier.)


Commandant Heller : Gemacht nicht das idiotische. Es gibt keine Hexer. Feuer

0h47

Yumi n’était qu’a mi-chemin de l’usine quand la fusillade éclata. Sur la route trois combis du GIGN (groupe d’intervention de la gendarmerie nationale) section piratair, piratome et Piratox. (spécialisée respectivement contre les détournement d’avion, les attaque nucléaire et les attaques chimique et biologique)

Dans la seine, deux bateaux de la brigade d’investigation sub-aquatique de la SSP (section de sécurité protection) prenait d’assaut l’île Seguin.

Dans les laboratoires de Carthage, le refroidisseur au fréon s’arrête et le supercalculateur repart en pleine puissance.

0h50

Dans la salle cathédrale, les fallschirmspringers tombèrent à un rythme effréné. Les cartouches commencèrent à manquer. Dans le ciel, deux C-130 apportait le renfort.

Des flash de lumière illuminèrent le ciel. La luftwaffe fut alors confronté à une escadrille de six manta en formation serrée. Les mantas furent dévirtualisée assez rapidement, mais elle parvinrent quand même à détruire un des deux C-130 (ou du moins endommagèrent sérieusement leurs ailes.)

Une des ailes de C130 cisaillée par les mantas virevolta quelque instant avant d’être attiré par une usine chargée comme un électro-aimant du fait des nombreux éclairs qui s’y produisait.

Donc l’usine fut la cible d’un morceau de ferraille de plus d’une tonne qui s’écrasa pile sur le point le plus électriquement chargé dans l’édifice, le Xanatifié lui même.

Je ne parle pas du fait qu’entre-temps, le C-130 diminué de son aile c’est écrasé dans les flots de la Seine tuant sur le coup les soldat de la KSK à son bord.


1H23

- Commandant Heller dit l’ordonnance Klaus Schmidt. La zone a été sécurisée. Il était coriace ce sorcier. J’espère que nous n’aurons pas recours à la chance quand nous devrons croiser ses compatriotes.

- Il semblerai que les sorciers existe, en effet. Il faudrait alors prévenir la base. S’exclama Heller.

Depuis le pont, yumi espionne le campement Militaire, quand...
-Hey, Sie. Die hand auf dem Kopf.

-Hein fit Yumi.

- Les mains sur la tête, traduisit le soldat allemand.

Yumi essaya de fuir,mais trois mauser furent immédiatement braquée sur elle.

1h 24


Yumi a des problèmes,dit Jeremy on devra sa passer d’elle. Filer dans la salle des scanners, je vous virtualise sur le territoire Désert .


Transfert Odd, Transfert Ulrich
Scanner Odd, scanner Ulrich
Virtualisation

Transfert Aelita, transfert William
Scanner Aelita,Scanner William

Virtualisation.


Jeremy : Qu’est ce qu’...

Jeremy vola contre le mur.














Episode 4 : Le second mur

Partie 1 : Les geôles de Xana

Dans le territoire désert de Lyoko

Alors Jeremy, s’exclama Aelita. Tu nous envoie les bécanes ? ... Jeremy ?

Il se passe un truc pas net. Dévirtualise moi.Fit Ulrich

A ce moment une personne supplémentaire se fit virtualiser sur Lyoko.

Il était habillé d’un long manteau ample de couleur grise, dans sa main se trouvait un bâton renforcé d’anneau en fer.

Jeremy, firent les lyoko-guerriers, étonné de le voir sur Lyoko.

Si tu est là Jeremy, alors qui est au commande ? fit Odd.

Xana. répondit Jeremy, et je suppose qu’il ne tardera pas à débrancher les scanners.

Attendez que se passe-t-il si Xana débranche les scanners. Demanda William

Xana peut nous tuer pour de bon sur Lyoko, répondit Ulrich.

Virtualisé à jamais pour être plus précis. Compléta Jeremy.

Xana va bientôt rassembler toutes ses forces. Dit Ulrich. Même affaibli, il est une menace qu’il ne faut pas sous-estimer.

Jeremy, dit aelita. Nous ne somme pas tous sur Lyoko. Yumi peut encore nous aider.

Je voudrais pas te couper aelita, dit Odd, mais Nous avons de la visite.

Trois manta volèrent vers les lyoko guerrier. Mais au lieu de les dévirtualiser, elles volèrent en cercle autour d’eux, larguant au passage quelque mine.

Ils n’attaquent pas ? dit Odd

Il semblerai que Xana nous veuille Vivant. Dit Jeremy. J’ignore encore pourquoi, mais nous aurions déjà été attaqué si c’était le cas.

Dans les labo de Carthage, De explosions retentissent à l’extérieur.

Mon lieutenant, vous entendez, dit un des soldats.

Le dix-septième régiment. Il est arrivé, dit sergeï Ivanovitch Karsov. Ryan, August. Prenez tout personnes vaillantes et aller porter mains fortes au régiment. Barry, Cathal et moi-même allons protéger vos arrières et ainsi que les civiles. Execution.

Dans la « command room » (aussi grande que la command room de la NASA à Houston) , une bande de scientifique dirigé par le physicien Martens et l’informaticien Hardmann essayèrent de lancer le programme Blocus (programme érigeant des barrières dans la mer Numérique)sur les lignes de communication de la base pour couper l’arrivée et l’émission de donnée et ainsi arrêter le programme meurtrier qui avait élu domicile dans leur supercalculateur.

Un grésillement se fit entendre du terminal où travaillait Hardmann, suivit d’un arc électrique.. Quelque chose d’anodin, vu que la majorité de la salle avait souffert autant des tirs des monstres que de la riposte des soldats.

Ce n’est rien fit Hardmann. Je n’ai rien. Continuer le travail.


Sur Lyoko, la situation était sur le point de changer. Quatre boules orangées sortirent de la mer numérique et plongèrent vers le groupe de lyoko guerrier.

Les sphères se rapprochèrent de plus en plus.

J’aime pas ça, dit Ulrich. Triplicata.

Le sphères étaient encore à vingt mètre quand aelita se souvint de ce que c’était.

Des gardiens,cria-t-elle Courez.Il faut rejoindre un tour, là-bas ils ne pourront pas nous atteindre

Les lyoko-guerriers ne se le firent pas dire deux fois, mais c’était déjà trop tard. William, ne sachant pas ce qu’un gardien était réellement hésita un seconde de trop et fut capturé.

Odd Coura du plus vite qu’il pu, mais se retrouva rapidement entre d’un côté la mer numérique et de l’autre le gardien. Se couchant, il évita le gardien mais il ne réussi pas a se relever assez rapidement et fut lui aussi capturé.

Jeremy, quand à lui, vu ses notes en éducation physique, fut capturé aisément.

Ulrich fut celui qui eut le plus de chance. En effet, le gardien après une poursuite effrénée avec un Ulrich au plus haut de sa forme se trompa et captura une des deux copies d’Ulrich.

Dans la salle de l’holographe, une sonnerie retentit, L’holomap détecta la méduse. Mais rapidement toute la pièce retrouva sa sérénité. J’ai pas dis silence,car un clicotement permanent remplissait la pièce.

Aelita, derrière toi, hurla Ulrich Mais il se trouvait bien trop loin que pour être entendu clairement.

Aelita suivant le regard d’Ulrich aperçu la méduse une fraction de seconde avant d’être enveloppé de ses tentacules.

Super sprint. Hurla ulrich.
Mais les mantas dressèrent un nouveau champs de mine entre lui et Aelita.

Profitant de sa vitesse, Ulrich escalada une parois rocheuse et d’un coup de sabre dévirtualisa une de ces mantas hyper gênantes.

Mais fut immédiatement touché au bras par un laser de kankrelat.

Tiens, des anciennes têtes, je vous ai pas manqué ? dit il juste avant d’esquiver une rafale de tir venant d’un paquet de Kankrelats aidé d’un ou deux block.

De l’autre côté du champ de mine, Aelita fut relâché par la méduse et partit vers l’extrémité du territoire.

Ulrich continuait de parer les tirs des kankrelats, quand les mantas l’attaquèrent dans le dos et lui firent perdre ses derniers PV.















Partie 2 : rencontre.

Dans un scanner, Ulrich se massait le dos encore douloureux.

Tous compte fais Xana n’avait pas couper les scanner,se dit-il. Mais quand le scanner s’ouvrit, il fut si étonné qu’il ne vit pas le kankrelat qui le visait.

Un coup de feu le sorti de son état d’étonnement pour ne pas dire émerveillement. Une grande salle s’offrait dans ses yeux. Sur plus de vingt mètre se trouvait des scanners de toutes sorte, la plupart avait la taille de ceux qu’il connaissait mais à l’une des extrémité de la salle se trouvait deux scanners, si grand qu’une voiture pouvait y entrer sans problème et y manœuvrer. De l’autre côté de la pièce se trouvait un homme haut dans sa posture pointant un M16 dans sa direction.

Hands up ,dit l’homme.

Ulrich comprenant que trop bien la volonté du soldat, obtempéra.

Barry, dit l’homme, can you come please,we ’ve got another intruder..

Let him come ,Cathal, i cannot leave the other one unwatched, répondit Barry.

OK répondit cathal.

Pendant ce temps, Aelita atteignit l’interface et commença à faire apparaître de longue lignes de code.

De son côté ulrich fut forcé d’avancer, un M16 pointé vers son dos encore endolori. Le duo prit un couloir faiblement éclairé par un néon, et déboucha dans une grande salle remplie d’ordinateur tourné tous pour faire face à un holographe identique à celui de l’usine, mais en plus grand. A l’autre bout de la salle, sur une passerelle se dressait un homme, visiblement le chef de la bande d’informaticien qui travaillait sous ses pieds.

Here’s the other intruder. Lock him with john doe, We will interrogate them when the situation will calm down.
Ulrich fut donc poussé dans une pièce assez exiguë. Ne contenant qu’une table et deux chaise. L’une d’entre elles était déjà occupée. La porte, en métal, claqua sèchement derrière lui, plongeant la pièce dans la pénombre.

Dans l’usine, la tension est à son comble. Le GIGN prétexte que l’arrestation de Yumi a eu lieu sur territoire français et donc tombait sous la juridiction française, mais le Kommando Specialkräfte déclara que c’était un acte d’espionnage et qu’elle devait être jugé pour son acte. Et les policiers de ville de Paris pensaient plus que c’était une curieuse qui s’était trouvé au mauvais endroit au mauvais moment.

Après avoir statué que Yumi était une espionne chinoise (nous on sait qu’elle est japonaise) capturée sur le territoire français, La question suivante se posa.

C’est bien, fit l’inspecteur, mais qui va l’interroger ?

Un blanc se fit au milieu de la conversation. C’est reparti pour de longues heures de négociation entre défenseur.

Dans la sombreté de la salle d’interrogatoire, John doe et Ulrich firent connaissance.

-hey, toi, je te connais, tu es Ulrich, dit Franz Hopper.

- Qui êtes vous ? demanda Ulrich. Et comment me connaissez-vous.

-Dans cette base, on me nomme John Doe et tu connais déjà la réponse de la deuxième question.

-Je ne vois pas de quoi vous voulez parler, monsieur Doe.

-Je vais te donner un indice. Dit John Doe. Comment est tu venu ici ?

- C’est pas vraiment un indice cela, rétorqua Ulrich.

- C’est tout ce que je peut te dire, car vois-tu les mur on des oreilles ici.


De l’autre côté de la porte, le Lieutenant Karsov était intrigué par cette double intrusion par les scanners.

-I’ll interrogate the younger one first. Bring him to PC 214.dit il.

Ahoy My lieutenant.Fit Cathal.

La porte s’ouvrit.

You, the young one, come we have some question to ask. Dit cathal.

Qu’est ce qu’il dit ? demanda Ulrich.

Il veut te poser des questions et te demande de le suivre. Dit Franz Hopper.

Dans ce cas, je pense que vous serez mon traducteur car j’y pige rien moi. Rétorqua Ulrich.

Ulrich se leva et fut emmené quelque pièce plus loin. Lors de ce court trajet, il fut remarqué par Hardmann. Celui-ci alors arrêta de travailler et suivit des yeux cet ennemi. Pendant un instant, on aurait cru qu’il allait bondir et se ruer sur Ulrich, mais se ressaisissant il repris son travail.

Ulrich fut poussé dans une pièce plus éclairée dans laquelle Karsov l’attendait.

- well, sit down. I am the lieutenant sergeï Ivanovitch Karsov and i want to ask you some question.

- My lieutenant, He is a frenchspeaker. Said Cathal Do i call for a interpret ?

- There will be no need.

Cathal s’en alla, laissant Karsov et Ulrich seul dans la pièce.

- well, Je suis le lieutenant Karsov. Je me pose quelque question et j’espère que vous pourrez les répondre. Premièrement qui vous êtes ?

- Je suis Ulrich stern, et moi j’aimerai bien savoir où je suis.

- Vous êtes dans une base militaire américaine en plein désert dans l’état du Texas. Je me pose alors cette question, comment se fait-t-il que vous soyez ici, alors que rien ne vous y autorise ? Ou formulé autrement, comment êtes-vous arrivé ici ?

- Je...Je ne sais pas.

- Bien alors procédons par étape, que faisiez-vous avant de vous retrouver ici ?

- Je ne m’en souvient plus.

- Soyez un peu coopératif Ulrich Stern, personne ne sait que vous êtes ici et nous pouvons vous garder prisonnier encore pendant de longues années.

Un bruit sourd eut lieu dans un des couloirs avoisinant.

Cathal se précipita dans la pièce. L’arme au poing.
My lieutenant, dit Cathal, they made a breach in our defense, we are overrun, we must retreat.

Ok Ulrich Stern, Passez devant. On évacue cette zone.

Se tournant vers Cathal il dit : Gather all the men and weapon you can, we will stand in the command room as long as possible. They must have send us other reinforcement than tanks.

Le trio sortit dans le couloir et se dirigea vers la salle de commandement quand la porte blindée (finissant de se fermer) derrière eux fut heurtée violement et se bloqua. Laissant à peine soixante centimètre de libre en dessous.

C’était soixante centimètre de trop, car des kankrelats, un peu à la traîne, commençait déjà à passer leur tête dans le couloir. Ulrich surpris par cette rencontre ne pouvait que suivre Cathal et Karsov. La situation lui échappait totalement.

La salle de commandement, silencieuse depuis plus d’une heure, fut de nouveau le lieu d’un combat épique entre des kankrelats, dont le nombre continuait de croître, et des marines, qui à l’inverse des kankrelats, se faisaient de plus en plus rares.

Malgré leur infériorité numérique, les marines tenaient bon, s’habituant à viser ces ennemis de petite taille. Ulrich se demandait toujours où il se trouvait quand l’holographe se remit en marche , montrant un lyoko bien différent de celui qu’il connaissait. Les quatre territoires de ce monde virtuel avaient des formes et des dispositions différentes. Trois de ces territoires étaient reliés entre eux alors qu’un autre, bien plus large, était à leur opposé. Alors Ulrich compris,il se trouvait dans la base du projet carthage, là même où Franz Hopper avait travaillé. Pas étonnant alors que Xana veuille le prendre à tout prix. L’avancée technologique de ces dernières année avait rendu leur supercalculateur bien plus performant que celui volé par Franz vingt ans plus tôt. Ulrich compris que si Xana prenait le contrôle de cette base toute les armée du monde ne suffiraient pas pour l’en déloger. Il devait les aider.

Fort de cette résolution, il fit demi tour et ramassa le M-16 d’un des marines « Dead in action » (traduis par : mort au combat.) et visa un kankrelat. Le choc du recul fut foudroyant, meurtrissant son épaule, mais le résultat fut à la hauteur de ses espérances, le kankrelat s’effondra.

De son côté, Hardmann continua de taper des lignes de codes sur son clavier, alors que de nombreux soldats tombaient autour de lui.
Dans le couloir, où Ulrich se trouvait quelque instant plus tôt la porte blindée s’éffondra, et un mégatank arriva à pleine vitesse sur les marines qui, pour la plupart, ne purent s’écarter de sa route. Arrivé à la passerelle, le mégatank fit demi-tour et fit feu sur Ulrich. Ulrich se jeta par dessus une série d’ordinateur pour éviter le tir, et malgré ce saut le tir passa à quelque centimètre de lui. Le M-16 toujours dans sa main, il épaula à nouveau et visa le symbole de Xana du mégatank qui le visait. La cartouche qu’il tira atteignit sa cible, mais cela ne semblait pas suffisant. Son épaule continuait de le faire souffrir, mais Il continuera de se battre. C’était comme sur Lyoko, se battre, même si on est sur le point de mourir, c’est cela être soldat de nos jours. Ulrich pointa à nouveau le mégatank, mais celui-ci semblait figé sur place, paralysé. Le symbole de xana éclatant au début perdit petit à petit de sa clarté. Une seule cartouche avait eu raison du mégatank. Le nombre de kankrelat commença dés lors à diminuer progressivement. La bataille était gagnée, l’ennemi battait en retraite. Ceux qui savaient soigner des blessures firent ce qu’ils purent pour sauver toutes les vies qu’ils purent sauver. Et Ulrich restait là, face à la carcasse sans vie du mégatank, sidéré par le fait qu’au moment précis où il a pressé la détente, le mégatank était sur le point de lui ôter la vie. Ce ne fut que quelques minutes plus tard, qu’il reprit connaissance du monde qui l’entourait.

Le lieutenant se tenait à côté de lui.
-Merci pour votre coopération dans cette bataille, mister Stern. Je pense que cette arme nous appartient, fit Il en reprenant le M16 des mains d’Ulrich et le donnant à un soldat qui passait par là. Vous êtes toujours obstiné à refuser de nous dire ce que vous êtes venu faire dans cette base, ou cette bataille vous a rafraîchi les idée. Il est sans doute possible que cette ... comment dire... chose, en voulait principalement à vous.

-Je suis prêt a tout vous expliquer, dit Ulrich après y avoir mûrement réfléchi, mais cela prendra beaucoup de temps.

Suivez moi, nous allons trouver un pièce pour être au calme. Là bas vous m’expliquerez tout dans les moindre détails.

Dans l’usine, les négociations furent telle qu’a la fin, tout le monde était d’accord sur le fait que Yumi était une parisienne qui s’était trouvé au mauvais endroit au mauvais moment et quelque minutes plus tard, Yumi retourna chez elle discrètement espérant que dans la nuit un retour vers le passé se produirait.

Dans la command room de Carthage, Le sergent Hardmann s'effondra sur son clavier, tandis que sur lyoko, Aelita repris le contrôle de son corps.

A l'usine, dans la salle de l’holographe, Un compte à rebours se terminait.

5...4...3...2...1...0...connection to Baal accepted














partie 3 Mirage

Le Matin ,Yumi vit que Son souhait n’avait pas été exaucé. La nuit avais passé entièrement sans altération aucune. L’usine était toujours dans le même états qu’avant et les soldat français avaient amené deux char Leclerc pour garder les ponts menant à l’usine.

Voyant cela, Elle se rua au collège Kadic où elle vit Odd et William ensemble sur le perron de la cantine.

- ah yumi toi aussi ta pas réussi à passer, fit odd.

- quelqu’un peut me dire se qui se passe ?

- quoi ta pas regardé la télévision,s’exclama odd, Xana à essayé d’atterrir sur l’usine. La piste était trop courte. Malgré cela Ulrich et moi on a réussi à atteindre l’usine, mais je me suis fait remarquer au dernier moment et j’ai du fuir avec des soldats au fesses. J’espère qu’Ulrich est passé.

Pendant une fraction de seconde, yumi avait cru entendre Odd Nommer Xana d’une manière peu habituelle.

- Au fait tu étais où hier soir, pendant qu’Odd et Ulrich essayaient de passer ? demanda william.

- J’étais sur le pont, trois canons pointés sur moi ça te va comme réponse. Répondit sèchement Yumi.

- j’aurais aussi essayé si on m’avait prévenu.Fit William. Odd m’a raconté la situation.

- c’était un cas de force majeur Yumi, on ne peut pas laisser les militaires trouver le supercalculateur et chaque heure de plus augmente les chance qu’ils ont de le trouver.

Je voudrais pas vous embêter mais on a cours dans deux minutes. Fit William.

Eh Oui, espérons au moins qu’Aelita désactivera la tour rapidement, fit Odd.

Odd partit à son cours d’histoire, tandis que Yumi et William allaient au cours de sciences de Madame hertz.


De l’autre côté de l’atlantique.

Donc vous êtes en train de me dire que le virus que notre supercalculateur a contracté est doué de raison et veut détruire le monde. Récapitula Le lieutenant Karsov.

Et que vous êtes parvenu a le contenir pendant plus de trois ans sans en informer les autorités compétentes.

En gros, c’est ça oui.fit Ulrich

Il est donc urgent maintenant de contrer ce programme une bonne fois pour toutes. Fit Karsov.

Appuyant sur un bouton de son interphone : can you summon private Barry please. (pouvez vous appeler Barry, je vous prie.)

Je vais ordonner à mes hommes de détruire le supercalculateur continua le lieutenant Et l’affaire sera réglée.

Mais lieutenant,mes amis sont encore là bas, répliqua Ulrich.

You’ve ask me ? fit Barry en entrant. (vous m'avez demandé?)

Go and shut this supercalculator down. Ordonna Karsov. (va et éteint le supercalculateur)

With your respect, the colonel is on baal and Saïf too. Shuting the supercalculator now would kill them. Répliqua Barry (avec votre respect, le colonel est sur Baal et saïf aussi. Éteindre le supercalculateur maintenant les tueraient.)

Damn, change of plan. Prepare a squad to go and fetch them. Reprit Karsov
(damn, changement de plan. Prépare un groupe pour aller les chercher.)

By your order. Dit Barry avant de partir.

Well, je peut vous permettre d’aller sur Baal pour chercher vos amis mais vous devez savoir que cette base ainsi que tout les évènements qui s’y passent sont classé top secret.

N’aillez crainte, Nous savons tenir des secret. Répondit Ulrich d’un ton solennel.

Dans un des locaux de Kadic.

Aujourd’hui nous allons parler des mirages et de leurs effets, fit madame hertz. Je ne parle pas de ces avions bruyants qui ont réveillé plus d’un cette nuit. Non, en faite je parle de l’illusion d’optique causée par la diffraction d’un rayon lumineux passant d’un milieux dense à un milieu moins dense ou inversement.

Quelqu’un peut-il me dire comment cela se produit ? demanda-t-elle.

Personne alors au Hasard (regardant sa liste) William, fit Suzanne

Un mirage est une illusion d’optique créée par la diffraction en série d’un groupe de rayon lumineux. Cette diffraction peut prendre deux forme, le sinusoïde ou le cercle. Un mirage contrairement à ce que l’on peut penser peut tout aussi bien se passer dans des région chaudes que dans des régions froides, mais peut aussi affecter les ondes hertziennes dit William.

Toute la classe, professeur compris, était sidéré de la réponse complète et précise de celui qui était depuis longtemps lanterne rouge .

Et Bien William, continuer à travailler comme çà et vous passerez bien tôt le cap des 5 sur vingt de moyenne.

Dans Le cinquième territoire , Aelita reprend ses esprits. Elle était seule devant l’interface, où elle voyait clignoter « connection to Lyoko accepted. »

Mais qu’est ce que....commenca -t-elle, coupée par un laser de manta qui la fit chuter du promontoire.

Aelita tombait et tombait encore, quand soudain ses ailes se matérialisèrent comme pour rappeler qu’elles existaient. Alors la chute se changea en vol gracieux, mes les mantas continuaient de la suivre tirant à tout va pour espérer toucher l’ange rose. Voyant une ouverture dans le mur Aelita s’y engouffra et se retourna. Dans ses mains, elle préparait ses champs de force. Mais les mantas ne la suivirent pas. Le couloir qu’elle emprunta se trouvait juste en dessous de l’interface. Plus elle avancait,plus les mur s’écartaient, et chose étrange sur lyoko, la salle était plongée dans l’ombre. Seul les champs de force permettait à Aelita de voir où elle posait ses pieds.

La salle dans laquelle elle était entrée était large et très haute. Au centre de la pièce se trouvait un escalier en colimaçon se perdant des les hauteurs obscures. Aelita commençait a avoir bien peur,surtout qu’autour d’elle retentirent le cri de nombreux rampant se répercutant sur les parois de cette salle hors du commun. Sentant les monstres derrière elle, son instinct fut de fuir par le seul endroit où elle ne risquait rien c’est-à-dire dans les airs.

Mais à peine dans les airs, elle fut happée vers le haut et failli se heurter à l’escalier.

Lyoko est aussi devenu venteux, se disait elle en atterrissant en catastrophe sur une des marches. Sachant les monstres derrière elle, elle n’avait plus que la possibilité d’avancer ou de se battre contre un ennemi ayant l’ombre comme allié.

L’escalier paraissait long vu d’en bas,mais grâce à ses ailes, aelita en avait déjà parcourus les trois quarts. Le quart restant était tout de même pénible, car elle continuai d’utiliser un champ de force comme source de lumière. Arrivé au sommet, elle fut heureuse de voir au loin la lumière, elle se mit a courir vers cette lumière comme un affamé vers un morceau de pain. Les choses sont telles dans la vie, ce n’est toujours que quand on est privé d’une chose que l’on voit sa vraie valeur.

La pièce qu’elle avait atteint était circulaire, une demi sphère pour être précis possédant en ses points cardinaux des portes ,et en son centre se dressait une tour. En voyant les marques au sol, Aelita compris. Elle était dans l’arena, mais xana avait changé de nombreuses règles.

De l’autre côté de l’atlantique

Barry revint : The squad is ready in the s room My lieutenant.
(le groupe est prêt dans la S room, mon lieutenant.)


Le trio parti sur l’heure pour la Scanner Room. Enjambant les corps des kankrelats, ils passèrent par le couloir sombre où jadis le mégatank était venu, marchant sur la porte blindée et aboutirent dans la salle aux nombreux scanners.

Hello Fergusson,can i talk to you ? dit le lieutenant
(bonjour Fergusson, Puis-je vous parler?)

I am coming. (j'arrive)

Here is Ulrich Stern, He is a french speaker but a good soldier too. Act as he is a new recruit. (voici Ulrich Stern, il est francophone, mais un bon soldat aussi. faite comme si c'était une nouvelle recrue)

We will, my lieutenant. (Nous le ferons mon lieutenant)

Good, may the power be on your side. (Bon, que le pouvoir soit de votre côté)

Il entrirent tous dans les scanners et se préparèrent mentalement à la virtualisation.

Dans la command room, Hardmann commença la procédure, quand il aperçu sur ses écran un point.

-Barry, call Lieutenant Karsov, I have found an intruder On Baal
(Barry, appelle le lieutenant Karsoc, j'ai trouvé un autre intrus sur Baal.)

-Continue the procedure,dit barry. Virtualise our team next to the intruder, but wait 1 minute, i ll inform them. (continue la procédure, dit Barry, virtualise notre équipe près de l'intrus, mais attend une minute, je vais les informer.)

Barry parti vers la s room.

Quelque minute plus tard, la Baal team fut virtualisé. A peine virtualisé, un des baal warrior attaqua Aelita dans le dos. aelita n’eut a peine le temps de se retourner qu’elle vit Ulrich croiser le fer avec Leila, une fille vêtue d’une toge noir et portant le sabre.

- C’est une amie, cria ulrich entre deux coup. C’est alors seulement qu’elle consenti à arrêter, comprenant visiblement le Français.

- a friend, dit elle se retournant vers les autres, how did she come here ?
(une amie, comment est-elle arrivé ici?)

- Why you ask us, Leila ? dit Fergusson. You have to ask Him. He is the one who know her. (Pourquoi tu nous le demande ? Tu doit lui demander, Il est celui qui la connaît.)


- you’re true, Ferg, dit elle. Puis marmonna : as always. (tu a raison ferg... comme toujours)

Se tournant vers ulrich elle reposa sa question,mais en français cette fois.

Comment se fait-t-il qu’elle soit ici dans Baal ?

Je sais pas,nous avons été séparé à un moment .fit Ulrich.

Pendant qu’Ulrich racontait son histoire à Leila, Aelita observa les nouvelles têtes. Il y avait Leila, dans son costume de Ninja, derrière elle se tenait Ferg visiblementle chef du groupe, portant d’une main un marteau de l’autre un bouclier de petite taille (environs trente centimètre de rayon.. Les autre portaient l’un une lance,l’autre une hache. Mais le dernier semblait ne porter aucune arme à l’exception d’une dague.

- they were divided in some kind of retreat and he was devirtualise then. But as i understand well, it happened on another virtual world called Lyoko.
(Ils ont été divisé lors d'une sorte de retraite et il fut alors dévirtualisé. Mais si je comprend bien, cela s'est passé sur un autre monde virtuel appelé Lyoko)

- so their is another virtual world. Ask him who build it. (Ainsi il y a un autre monde virtuel)

Le « désarmé » prit la parole.

- Ferg, i dont think that we need to know all this right now,dit Konnor. I think we have a mission to accomplish. (Ferg, Je ne pense pas que nous devons savoir tout cela maintenant; je pense que nous avons une mission à accomplir.

-Right. Said Hardmann in his micro. Their is a weird thing in the center of the room. I dont see clearly what it is. (correct. Il y a une chose bizarre au centre de la pièce. je ne vois pas exactement ce que c'est.)

It’s some kind of Tower, répondit Oscar, le lancier de la bande. (c'est une sorte de tour)

It’s more a pillar than a tower, fit sean, le soldat à la hache. (c'est plus un pillier qu'une tour)

Pendant le débat, aelita s’était rapproché d’Ulrich.

-Ulrich, Peut-tu m’expliquer ce qui c’est passé entre les gardien et maintenant ? fit la fille au cheveux rose.

-Je ne sait pas te dire grand chose. Juste après que l’attaque de la méduse, je fut dévirtualisé et atterri dans une base militaire américaine possédant des scanners et un holographe . quand j’y était les militaire étaient au prise avec les monstres de Xana.

Aelita le regardait étonnée. Ulrich précisa.

-Comme les Kankrelat à Kadic lors de ton premier jour sur terre. Mais ici Xana avait matérialisé bien plus qu’une armée de Kankrelats il avait aussi matérialisé des Blocks et un mégatank.

les autres continuait a se chamailler quand un laser jaillit de l’embrasure d’une porte. Par chance, le tir n’était pas cadré. Immédiatement les Baal warrior saisirent leurs armes tandis que les tirs s’intensifiaient. Konnor pointa rapidement la porte avec ses poings. Mortar cria-t-il. D’un de ses poings sortit un laser gris qui prit une trajectoire courbe . Lors de l’impact de celui-ci, la pièce de l’autre côté de la porte s’illumina quelque seconde laissant apercevoir trois rampant. Tandis que d’autres tir venaient des autres portes. Les rampants continuaient de canarder Ulrich et les baal warrior qui se réfugièrent sur les bord de la salle.

- They're bloody numerous fit Konnor en tirant à nouveau dans une des portes. Dévirtualisant les rampants de la porte Sud qui avaient eu l’audace d’avancer.(Il sont vachement nombreux)

A la porte Est, Leila avait chargé les rampants allant jusqu'à les défier dans leur élément, l’ombre. La troisième porte, celle s’ouvrant sur le nord était occupé par Oscar et Sean mais aucun des deux n’avait envie d’attaquer le vide en espérant qu’un monstre se trouverait sous leurs armes.

Pour La quatrième porte, l’Ouest, ulrich et aelita combattaient au côté de Fergusson. Aelita éclairant la pièce pendant qu’Ulrich tranchait et que Fergusson fracassait de sa masse les monstres. Rapidement, les portes Sud, Est et Ouest furent comme disaient les Baal warrior « safe », ne laissant plus que la porte d’oscar et Sean à sécuriser, ce qui fut l’affaire de quelque tir de mortier de Konnor.

-well done, fit Hardmann dans son micro. I have information about the tower. It act as a link to another tower elsewhere.
( très bien, fit Hardmann dans son micro. J’ai des information sur la tour ; Elle agit comme un lien avec une autre tour ailleurs.)

Well, any idea how to enter that tower ? fit Fergusson en se tournant vers ses compatriotes. (Bon, une idée de comment on entre dans la tour ?)

Why you dont ask them, ferg ? fit Leila.They probably know something. (Pourquoi tu ne leur demande pas,Ferg ? fit Leila. Il savent probablement quelque chose.)

I dont speak french ask them, Leila. Fit Fergusson sur un ton assez agacé.
( je parle pas le français, Leila.)

Soupirant, Leila, visiblement la seule francophone du groupe, posa la question source de la dispute. Aelita lui répondit que les murs ne sont pas tangible (pas solide, car « tangible » veut dire Réel en anglais)

Avant même qu’Aelita eut fini de parler, Oscar essaya de passer et faillit tomber dans le puits si Konnor ne l’avait pas rattrapé par sa lance.

Après quelque explication supplémentaire sur ce qu’est une tour de passage, tout le groupe se jeta dans le puits et déboucha dans une tour de passage, où la place commençait à manquer.

- Move out
(bougez vous)

- Hey dont push.
(Hey poussez pas.)

Their is not room for every one.Someone must get out.
(Il n'y a pas de place pour tout le monde, quelqu'un doit sortir.)

Right, Sean, konnor, you’ve got shield. Get out first.
(correct, Sean, konnor, Vous avez des bouclier. Sortez les premiers.)

Aye Aye Sir.firent-t-ils.

Ils furent les premiers à sortir. Suivit par Oscar passant sa lance d’une main à l’autre, Leila, sabré dégainé et Ulrich tenant ses katanas dans chaque mains.



Well milady, stand by me and I ll protect you as long as i live. Fit Ferg. Puis il sortit pour revenir en déclarant que la voie était libre. (Bon, Milady, rester près de moi et je vous protégerai aussi longtemps que je vivrai.)


Ils étaient tous dans le territoire forêt. Au loin, on pouvait voir les monstres de Xana se rassembler. Une myriade de kankrelats se massaient entre deux block , le tout avançant à pas cadencé.

Hey, here the lices. Fit Konnor. No problem, i can kill them all by myself
(hey voici les poux fit Konnor. Aucun problème je peut les tuer a moi tout seul.

A ce moment là, il fut frappé par un tir venant des airs. Sur leur gauche venait à grande vitesse une escadrille assez importante de frelions menés par quelque mantas téméraire.

Move out, cria Konnor. En tirant dans la foules des frelions avant d’activer son bouclier. Leila alla directement se réfugier derrière Konnor, tandis que Sean leva son bouclier et se plaça entre aelita et les monstres.

De son côté oscar fit virevolter sa lance si vite que seul un petit nombre des tir passaient à travers. Ferg et Ulrich plongèrent tout les deux derrière Oscar. Contre un tel déluge il n’y avait que deux solution, la fuite organisée , appelée le plus souvent retraite, ou l’ultime défense.

Dés que le dernier des frelions fut passé, Konnor tira de plus belle sur ceux qui se massaient derrière eux pour le retour. Quelque shuriken de leila vinrent lui prêter mains forte. Bientôt, les frelions ne furent plus qu’au nombres de 3. mais konnor fut pris de revers par les manta et fut dévirtualisé.

Les Kankrelats qui jusqu’alors avançaient, s’arrêtèrent et firent feu sur les baal warriors.

Le groupe fut donc déchiré en deux. Une partie partit combattre les quelques mantas et frelions restant pendant que l’autre engageaient les kankrelats. Pendant qu’Ulrich Fergusson et Aelita s’occupaient des nombreuses mantas, les autres partaient dans une charge héroïque contre la masse compacte des monstres de Xana. Sean devant, protégeant Oscar et Leila avec son bouclier.Arrivé devant les monstres, Sean mettant son bouclier sur son dos, se retourna et de son pied bloqua la lance d’Oscar pour qu’il saute au-dessus de la mêlée. Dés qu’oscar fut de l’autre côté, il se mit à frapper les kankrelats de la pointe de sa lance. Profitant du fait que le kankrelats ne savaient où donner de la tête, Leila attaqua l’un des block mais fut percuté par un kankrelats battant en retraite face à la lance d’oscar et s’étala de tout son long lâchant son sabre qui glissa quelque mettre plus loin. Voyant le block la viser, elle prit promptement un objet dans un plis de sa manche et l’envoya sur le block. Celui-ci pivota de 45 degré et le shuriken se planta dans une arêtes du block.

Ayant fini de leur côté, Fergusson vit Leila en danger et lança sa masse sur le monstre.

Mais le block lanca un laser gelant sur l’arme qui du fait de son poids accru tomba devant lui.

De l’autre côté de la masse des kankrelats, Oscar réussi à dévirtualiser le second block pendant qu’il pointait Seanloach, lui tournant le dos.

Supersprint, cria Ulrich . dans la masse, sean se battait comme un fou, frappant tout kankrelat à portée tout en parant les tir avec son bouclier, mais vint le moment où les point d’intégrité de son bouclier atteignirent l’ultime limite,abandonnant Sean au deux trois dernier Kankrelats qui se firent une joie de le dévirtualiser aussi sec.

Triangulair, cria ulrich alors qu’ils encerclait ,lui et ses deux images, le block. Hésitant sur lequel tirer, le Block tira finalement sur Fergusson avant de s’élancer en dehors du triangle des Ulrich. Ulrich n’ayant jamais eut affaire à cette technique se prit le block de plein fouet. Heureusement, ses deux copies eurent plus de chance et plantèrent leur katana dans les yeux du block.

Coriace, dit Leila, en aidant Ulrich a se relever.

En effet. Dit il.

Where is the pink girl ? demanda Fergusson regardant autour de lui.
(ou est la fille en rose ?

Aelita ? cria Ulrich.

Aelita avait disparu.

Dans la cantine,Yumi, Jeremy, Odd et William,mangeait à la même table.

- Il faudrait aller à l’Usine. Aelita et Ulrich doivent avoir besoin de nous. Imaginer qu’ils ne parviennent pas à se rematérialiser par eux même.fit Yumi.

- Hey tu oublie peut-être,mais il y a des allemands qui tienne la place.

-Oui et de plus s’ils te voient roder à nouveau dans l’usine, fit William, c’es pas une simple somation qu’ils vont faire. Ils n’hésiterons pas à tirer.

Yumi à raison, fit Einstein. Nous devons aller à l’usine, mais c’est trop risqué pour toi yumi nous irons à trois et t’informerons s’i y a des problèmes.

Soudain, les trois lyokoguerrier disparurent devant les yeux de Yumi dans un envol de Pixel.

-Xana, t’a bien failli m’avoir sur ce coup là. Fit Yumi en tapant sur la table.














Partie 4 Qui garde les gardiens ?

-Xana, t’a bien failli m’avoir sur ce coup là. Fit Yumi en tapant sur la table.

Le principal vint quelque instant après accompagné de policier.

-Mesdames et messieurs ,suite au crash d’un avion dans notre beau parc, il est interdit de s’y promener. J’espère tout comme vous que la situation changera rapidement.

Regardant vers la forêt, Yumi aperçut une pelleteuse suivre les traces d’autres de ces congénères et disparaître dans l’obscurité de la forêt.


Dans l’immense command room de « carthage »

My lieutenant ,we’ve receive a report from lieutenant Alexsandrov Skarsgard.dit un soldat en tendant ledit rapport. (Mon capitaine, nous avons reçu un rapport du lieutenant Alexsandrov Skarsgard) your were not suppose to read it but i think in this kind of situation every report count. (vous n’êtiez pas censé le lire, mais je pense que dans ce genre de situation chaque rapport compte.


Lnt A Skarsgard reporting.
Report M27-J46C

Agent Junker have found three of the twelves AC 94 whose have been stolen from us, in a base hidden in the Colorado State.
After complete investigation we found nothing else in the base, not even a glimpse of living beeing, only bullet impact and corpses.
Under estimation the base were deserted more than a year ago.

We continue the inquiry about the 5 AC 94 remaining.


(traduction du rapport)

(Lieutenant A skargard au rapport.

L’agent Junker a trouvé trois des 12 AC 94 qui nous ont été volés, dans une base cachée dans l’état du Colorado.
Après une fouille complète, nous n’avons trouvé trouver d’autre dans la base, pas même la trace d’un être vivant,seulement des cadavres et des impacts de balles.
Selon les estimations, la base a été désertée il y a plus d’un an.

Nous continuons l’enquête à propos des 5 AC 94 restant.

(fin de la traduction du rapport)

I was not inform that some one has stolen some of our AC 94, dit le lieutenant Karsov au sergent Hardmann (je n’était pas informé que nous avions perdu des AC 94.)

So am i, repondit celui-ci. (Moi de même) it’s of top importance to find them before our ennemi manage to control them. (il est d’une importance capitale de les retrouver avant que notre ennemi parvienne à les contrôler.)

Hopefully we have got the majority. When did the thievery happenned ? (heureusement, nous avons déjà la majorité. Quand à eu lieu le vol ?)

According to the report, it was the 5 june 1997. (selon le rapport, c’était le 5 juin 1994)

It’s more than a decade ago. How do they explain that ? (C’est il y a plus d’une décennies. Comment explique-t-ils cela.)

They said the AC-94 can be hide anywhere. They are only a square inch. (Ils disent que l’AC-94 peut être caché n’importe où. Ils n’ont qu’une superficie de quelques centimètres carrés)

If it’s so, how they find them ? (Si c’est le cas, comment font-ils pour les trouver.)

they manage to localise them when they are held by some one. They use the human magnetism to power themself. Hopefully, it seem they arent activated yet. (Ils parviennent à les localiser quand ils sont tenu par quelqu’un. Les AC-94 utilise le magnétisme humain pour fonctionner. Heureusement, il semble qu’ils n’ont pas encore été activé.)

if you said they localise the AC-94 only when they are held by someone how did you explain that they found three AC-94 in an abandonned base. (Si vous dites qu’ils localise les AC-94 quand ils sont porté par quelqu’un, alors comment se fait-il qu’ils en ont trouvé trois dans une base déserte ?)

I am dont have the ability to answer these kind of question, my lieutenant (je ne suis pas habilité à répondre à ce genre de question, mon lieutenant.)

De son côté Yumi était en face de l’usine. Un soldat de la KSK et quelques policiers du GIGN patrouillaient sur le pont de l’usine. Elle ne savait plus quoi faire, l’usine, en plus d’être en partie détruite, grouillait d’hommes en armes. Elle allait faire demi-tour quand elle fut rejoint par Sissi suivie par ses deux chiens qui lui servent de fan-club.

- Yumi, Tu me dois quelque explication. Premièrement Que fais tu ici et deuxièmement où est Ulrich.

- Vu l’état de la situation, je pense que je peut tout t’expliquer.

Sur Lyoko, les guerriers victorieux se rassemblent.

Coriace, dit Leila, en aidant Ulrich a se relever.

En effet. Dit il.

Where is the pink girl ? demanda Fergusson regardant autour de lui.
(ou est la fille en rose ?)

Aelita ? cria Ulrich.

Regardant tout autour de lui Ulrich aperçut une tour au loin et sortant de celle-ci, Aelita.

Quelque instant plus tard, elle avait rejoint son escorte.

I told you to stand by me. Rugit Fergusson. How could I protect you if i dont know where you are.
(je t’avais dit de rester près de moi. Comme pourrais-je te protéger si je ne sais même pas où tu es.)

I dont need your protection. Rétorqua Aelita dans son meilleur anglais. (Je n’ai pas besoin de votre protection.)

Je voudrais pas vous déranger, mais Odd William et Jeremy sont encore sous l’emprise des gardiens. Dit Ulrich tout en s’interposant entre Aelita et Fergusson.

Alors montrez nous le chemin, répliqua Leila dans son meilleur français en regardant Aelita.

Après quelques minutes de voyage dans la forêt, pendant lesquelles ils devisèrent de choses concernant leur monde virtuel respectif, les héros atteignirent la tour de passage menant au territoire désert.

Well our goal is to defend the pink girl at all cost, she know what to do. Fergusson murmura ensuite : or think so.

(Bon notre but est de défendre la fille en rose, à n’importe quel prix, elle sait ce qu’elle fait. Fergusson murmura ensuite ou le pense.)

Dans l’usine de l’île Seguin, Les allemands travaillaient sur l’ascenseur. Grâce à un tomographe, appareil permettant de détecter les espaces vides, avait connaissance d’un grand espace se trouvant sous leur pieds, le plus étonnant est qu’il était occupé par au moins une personne. L’ascenseur semblant intact et relié au réseau électrique, ne voulait pas fonctionner. Plein de ressources, ils démontèrent le boîtier et découvrirent le dispositif construit par Jeremy, et commencèrent à le pirater avec du matériel français, bien sur.


Près de l’usine, un canot pneumatique avance à la dérive. Se rapprochant de l’île Seguin, il attira l’attention des policiers.

Le canot contourna l’île par la gauche.

Soldat de la KSK : hey franck, was ist das. (hey franck qu’est-ce ?)

Franck : ich weiß nicht , jemand hat es vermutlich verloren. (je ne sais pas,quelqu’un a du le perdre)

L’embarcation fini par s’échouer au abords de l’île.

Soldat de la KSK : sieht wenn geht es Fell niemand (va voir s’il ne cache pas quelqu’un)

Franck descendit sur la rive et remarqua que le canot flottait à l’envers, formant un cloche d’air. Il prit son mauser et souleva le canot, mais personne ne se trouvait là.

Franck : jemandes wird es hier versteckt, er muss jetzt in der Fabrik gelassen sein den Alarm geben. (quelqu'un c'est caché ici, il doit être dans l'usine maintenant, fait donner l'alarme)

Sur la rive droite de l’île, Yumi et Sissi sortaient à peine de l’eau. Tandis que Nicolas et Hervé renforçaient le nombre des badauds se massant au bout du pont.

Yumi était déjà dans les ruines de la salle de commande,quand Sissi redemanda pourquoi ils devait faire ce qu’ils font.

- Ulrich est dans cette usine et a des problèmes, nous sommes les seuls qui pouvons l’aider à temps.

- Quel genre de problèmes ? demanda Elisabeth.

- Un problème d’une importance assez considérable.

- Qu’est-ce qui est d’une importance si considérable que des Allemands doivent s’en mêler.

Yumi ne répondit pas, car la vue qu’ils avaient de la salle cathédrale suffisait. Des énormes tas de débris jonchaient le sol tout autour du mastodonte échu qui, un jour, avait fait la fierté de l’US air force.

- Ne me dites pas que c’est vous qui avez détourné cet avion grâce à une machine créée par votre petit Einstein.

- Tu n’aurait pas lu trop de Jules Vernes par Hasard ? Non, ce n’est pas nous qui avons détourné cet avion mais nous avons un secret capital caché dans cette usine.

Pendant ce temps, l’alerte fut donnée,et toutes les personnes dans l’usine cherchèrent un intrus potentiel. Dans cette recherche assez capitale, puisqu’un seul morceau de tôle du Northrop est assez suffisant pour permettre la création de radar pouvant les détecter plus aisément.

Rapidement, les soldats découvrirent le trou creusé quelques heures auparavant par Odd et Ulrich.

-wird der Kommandant suchen fit le soldat a son condisciple (va chercher le commandant.)

A peine son condisciple eut tourné le dos, qu’une ombre sorti du trou en question. Surpris, le soldat garda son sang-froid et tira sur cette ombre qui s’avançait vers lui. Les cartouches passèrent au travers du spectre. Quand le messager se retourna, l’arme au poing, il vit le corps de son frère d’arme étendu sur le sol, se tordant de douleur.

Yumi s’approchait alors de l’escalier, étrangement intact, menant à la salle cathédrale, elle ne vit donc pas l’événement.

Sissi entendant les coups de feu n’eut alors qu’un simple réflexe, aller se mettre à l’abri, c’est là que Xana la trouva, tremblant autant de peur que de froid.

Malgré les effort de Xana, les allemands parvinrent à court-circuiter le verrou électronique et à actionner l’ascenseur. Malheur en a pris au soldat Siegfried car à peine arrivé au laboratoire la porte s’ouvrit laissant les deux autre pilotes du Northrop lui assener plusieurs éclairs en rafale. La mort le prit assez rapidement mais déjà l’ascenseur fut rappelé et les deux pilotes prirent place dans celui-ci.

De son côté, Yumi évitaient de se faire toucher par les éclairs de Sissi mais aussi par une balle perdue de la part des Allemands.

Après de nombreuse acrobatie, Yumi s’engouffra dans le tunnel de justesse et eut à peine le temps de faire dix mètres que celui-ci s’effondra sous le choc d’une grenade allemande.


Sur Lyoko, Ulrich et Aelita, secondé des baal warriors s’élancèrent sur la plaine aride.

Les monstre qui s’y trouvaient prirent position tout autour des gardiens, rassemblé en triangle sur le plus grand plateau. Plusieurs peloton de kankrelat patrouillaient les rochers environnant tandis que trois tarentules tenaient le centre du plateau en compagnie d’un krabs.

-Oscar clear our left flanks, Leila take care of the right one. I ll engage those spider with our friend. (Oscar nettoie le flank gauche, Leila occupe-toi du droit. J’engage ces araignées avec nos amis.)

- As you wish.répondit oscar tandis que Leila ne dit rien. (comme tu veux)

Oscar partit vers les rochers se trouvant sur la gauche tandis que leila s’attaquait au krabs.

-Supersprint cria alors Ulrich pendant qu’Aelita faisait apparaître ses ailes. Il ne fallut pas plus de quelque seconde pour que Fergusson soit seul. Il courut alors du plus vite qu’il pu pour venir en soutien à Ulrich.

Après un triplicata et quelques champs de force, les monstres qui gardaient les gardiens.

Pendant ce temps, Xana ne chômait pas, du contraire, il faisait battre la générale. De tout côtés venait de nouveaux monstres.

Odd Fut le premier des prisonniers à être libéré mais il ne pu savourer sa liberté car de sitôt quelques frelions se mirent à l’attaquer.

- hey, qu’est-ce qui c’est passé, qui c’est lui ? demanda Odd en montrant Fergusson tandis que celui-ci parait les tir des frelions.

- C’est un allié. D’un monde virtuel appelé Baal, répondit Aelita.
Odd se releva aussitôt et tira quelques flèches laser, Odd s’écria : Alors xana on joue à l’abat Baal.

Pendant ce temps, de nombreux krabs se mirent en ligne et commencèrent à forcer les guerriers au repli. Leila continuait de se battre contre les krabs, mais malgré le fait qu’elle ait réussi à monter sur leur dos, elle ne pu en dévirtualiser que très peu.

Après quelque passe supplémentaire, Oscar tua les derniers kankrelats et partit vers le vrai champ de bataille et croisa ses compagnons qui fuyait ce même champ de bataille.

La bataille semblait assez mal partie, Leila fut désarçonnée et dévirtualisé par la même occasion, fergusson perdit son bouclier et Ulrich fut touché une fois de trop, quand soudain une voix résonna dans le ciel.

- Odd Ulrich Aelita vous m’entendez ? dit Yumi.
-Yumi. C’est un plaisir d’entendre ta voix. S’exclama Aelita.

- Sans trop te demander Yumi mais serait il possible d’avoir mon overboard car là xana ne nous laisse aucun répit.

-je vais faire de mon mieux. Répliqua Yumi.

Dans la base militaire américaine, Ulrich et Leila furent à leur tour rematérialisé.

-damn, s’écria le lieutenant Karsov, Cathal Barry, dive on. (Mince, Cathal, Barry vous plonger.)

Aussitôt les deux baal warrior entrèrent dans les scanners.

De l’escalier qui se trouve a l’extrémité de la S room vint un courant d’air froid, une nouvelle charge de fréon avait été libérée.

Caché dans les rochers, aelita fit apparaître un double de William entre les deux gardien restant tandis qu’Odd se réjouissait d’avoir enfin son overboard chéri.

William Libéré, il se mit directement à attaquer les krabs qui l’entourait. Il n’y avait qu’au-dessus qu’il n’en avait pas. Rectification, un krab se placa au dessus de lui tandis que les autres formaient un cercle de William. D’un coup de zanbato, William dévirtualisa le krab avant qu’il ne lui envoie un champ magnétique vertical. Malheureusement, les autre krab tirèrent simultanément envoyant William directement dans la S room de Carthage.

Regardant autour de lui William vit qu’il n’était pas revenu dans a salle des scanners.
Autour d’une table se rassemblaient de nombreuses personnes dans ces personnes se trouvait Ulrich en train de parler avec un fille tout de noir vêtue.

Sur Lyoko, les deux nouveau Baal warrior arrivèrent enfin pour voir William disparaître devant leur yeux. Cathal arriva juste à temps pour s’interposer entre Aelita et les krabs. Ceux ci se réorganisaient quand Odd survola la plaine Fergusson derrière lui. Tandis qu’Oscar chargeait avec l’Overbike comme si c’était une sorte de joute moyenâgeuse. Il ne manquaient plus que quelque seconde à Aelita pour libérer jeremy.

Les krabs n’était jamais aussi près de dévirtualiser Aelita quand Odd déposa Fergusson sur un des krabs et tira ensuite trois flèches sur le krabs qui pointaient sa « princesse ».

Jeremy étant libre, xana fit battre la retraite et les quelque krabs restant partirent précipitamment vers le nord.

- Ouf Je pensait qu’il allait pas nous lacher. s’exclama Aelita.

- Ah bon Je savait même pas qu’il nous tenait. fit remarquer Odd.

Ce qui fit rire ceux qui comprenaient assez bien le français, c’est à dire Oscar et Aelita.

-Aelita, Que c’est il passé après ma capture, demanda Jeremy encore sous le choc, et qui sont ils ?

- Il faudra demander à Ulrich, il en sait plus que moi. Ce que je sais c’est que Xana m’a utilisé pour faire quelque chose, mais je ne sait pas vraiment quoi.

Du ciel la voix se fit de nouveau entendre.

- Aelita, le superscan a détecté une tour activée au Nord Nord Est. Fit la voix de yumi dans le ciel, tandis que Hardmann, le logisticien des baalwarriors, donnait d’autres ordres.

-Mission over. In bring you back. (la mission est fini,je vous ramène)

-Hardmann, wait a little, we cannot left them that way. I request the permission to be the last one rematerialized. Guest are always first, I hope you know. (Hardmann, attend un peu, on peut pas les abandonner comme ça. Je demande la permission d’être le dernnier à être rematérialiser. Les invité sont toujours les premiers, je pensait que tu le savais.)

- Ok Fergusson permission granted, you can stay but the other you come back for report. Savy. (Ok Fergusson permission accordé, tu peux rester, mais les autres vous revenez pour faire votre rapport. Compris.)

-Savy firent le reste de l’équipe consternée de devoir déjà partir. (compris)

Sitôt dis sitôt fait et les quelques baal warrior restant disparurent dans un envol de pixel, ne laissant que Fergusson, Odd, Aelita et Jeremy sur le ancien champ de bataille.

Je vous envoie l’overwing, enfin je vais essayer. Déclara Yumi depuis le laboratoire de l’usine. Les secousses d’explosion commençaient à faire craquer la voute du laboratoire et yumi entendit l’ascenseur partir jusqu’au dernier niveau faute de cable pour le retenir.

-Err where are we going ?said Fergusson while seeing the vehicule appearing (euh où va-t-on, dit Fergusson voyant les véhicules apparaître.)

-We have to go north to another tower this time possess by a mad program called Xana.
(Nous devons aller vers le nord vers une autre tour possédée cette fois-ci par un programme fou appelé Xana.)

-Why for ? (Et pourquoi ?)

-These tower are link between our world and this virtual world. And possessed by Xana it’s always for evil. I am the only one that can desactivate the tower. (ces tour sont des liens entre notre monde et ce monde virtuel. Possédé par Xana c’est toujour pour faire du mal. Je suis la seule a pouvoir désactiver la tour)

- If you’ve said it earlier, you would have got our total support. (Si vous l’aviez dit plus tôt vous auriez eu toute l’aide que nous pouvions donner.)

Aelita monta sur l’overwing avec Jeremy tandis qu’odd offrait encore une fois les services de son overboard à Fergusson.

Dans la salle cathédrale, plusieur tank leclerc avait fait leur entrée et ne cessaient pas de tirer sur les xanatifié qui ne s’en souciaient guère. Malgré les nombreux éclairs les
Char continuaient leur déluge de feu, protégé par leur blindage faisant office de cage de faraday. Dans l’impuissance de réduire les chars au silence, et craignant que les explosions endommagent le supercalculateur, Xana cessa l’attaque et déxanatifia Sissi et les deux pilotes.

Le dernier obus tiré explosa tuant sur le coup les pilote du northrop et blessant gravement Sissi.
Ce fut la seconde victoire contre Xana dans la même journée.

Pendant ce temps Les lyokoguerriers arrivaient à la tour pour voir celle-ci se désactiver d’elle-même.

- J’aimerai pouvoir lancer un retour vers le passé mais je ne sait plus comment faire. Déclara Yumi. Ça chauffe au-dessus et si cela continue je vais être ensevelie.

Fergusson était un petit peu perplexe sur l’idée d’un « retour vers le passé »

- Ecoute moi Yumi et fait ce que je te dit.

Après quelque instructions suplémentaire, Yumi allait presser la touche enter, deux détonations se firent entendre. Une des cartouche la frôla, la second la toucha à l’épaule.

Bewegen sie Nicht, oder ich schieße wieder, cria un soldat allemand pendant que le commandant heller et son aide de camp déscendait l’échelle. (Ne bouge pas sinon je tire à nouveau)

Ayant porté sa main à son épaule en réflexe à la douleur, Yumi plongeat ensuite sur le clavier et la touche qui allait les sauver tous. Le soldat allemand voyant que Yumi n’obtempérai pas vida son chargeur sur elle. Le flash de lumière ne sortit pas du supercalculateur de l’usine mais de celui de la Darpa. Yumi vit les cartouches approcher. Nombreuse furent interceptée par le siège de Jeremy, mais quelques une parvinrent à percer la peau de la Japonnaise. Le flash survola les eaux de l’atlantique et engloba finalement l’usine au moment où Normalement Yumi aurait du passer de vie à trépas du fait de ses nombreuse blessures.

Le retour vers le passé fit un bond de 48 heures dans le temps.


(Fin de la saison 1.)














Saison 2 extradition.

Episode 1 kidnapping en plein jour.

Rapport M26-I7C

Carthage lab, Texas, 26 mai xxxx

Suite à un acte de piratage, Nous avons mis en pratique l’alinéa 34 du code de l’établissement en rapport à la base de donnée.
Selon les scientifiques, l’attaque n’a pas été assez longue pour permettre de localiser l’intrus.
Aucun des dossiers du projet n’aurait été ouvert lors de l’attaque.





Secrétaire :Voilà mon colonel, imprimé en trois exemplaires comme demandé.

Colonel. Jephries : Poser les sur mon bureau.

Le secrétaire s’exécuta sur le champ.

Il était presque sorti quand le colonel l’appela.

Cl J :John pouvez-vous convoquer le soldat Cathal j’ai à lui parler.

Le colonel en attendant cathal relisait le Rapport.

« Aucun dossier ne semble avoir été ouvert lors de l’attaque. Se dit il. Ils n’ont même pas remarqué l’arrivée de nouveau dossiers, ce qui est mieux que je ne l’espèrait. »

Sur la place de rassemblement, commençaient à s’aligner un nombre impressionnant de corps. Les médecins ne comprenant pas pourquoi tant de marines pouvaient mourir comme ça, sans blessure, ni intoxication de toutes sortes. Il semblerait que leur cœurs se seraient soudainement arrêté de fonctionner faisant passer en moins de quelques seconde plus d’un millier de marines de vie à trépas.


Mon colonel, le soldat Cathal est là, fit le secrétaire dans son interphone.

Le Colonel répondit par interphone interposé et Cathal put entrer dans le bureau du Colonel.

-Asseyer vous Cathal. J’ai eut vent que votre section a eu à déplorer le plus de victimes,mais que le plus étrange soit que parmis les survivants certain soit prit de délire pensant avoir vécu une attaque de quelconque extraterrestres. Cela est-il vrai ?

- Vous avez totalement raison, Mais etant aussi sain d’esprit que vous, et sans vous manquer de respect, je peut vous dire qu’une telle attaque a bien eut lieu et que par un moyen que moi-même ignore la mémoire de certain des survivants survécu à ce que j’appèlerai un « voyage temporel. »

- Voyage temporel ? êtes vous vraiment aussi sain d’esprit que vous voulez le faire prétendre. De tel voyage n’existe que dans la science-fiction.

- peut-être mais alors comment expliquer la soudaine mort de nos soldats s’ils n’ont pas du se défendre contre un ennemi, que nous finisions par vaincre cet ennemi et que cet ennemi pour éviter que l’entièreté de notre pays parte en guerre nous renvoie dans le passé pour nous faire oublier tout ce qui c’est passé, nous laissant affaiblis avec un nombre impressionnant de morts à enterrer.

« il en sait beaucoup trop que pour le laisser en vie, pensa le colonel, mais il est trop populaire que pour le faire tuer et sa mort ne servirait qu’à me forcer à faire faire un enquête, ce qui serait une perte de temps. Je doît pourtant l’empêcher de rallier d’autres marines à sa cause. »

-je vous signale que vous ne serez pas de corvée d’enterrement.Déclara finalement le colonel. Vous accompagnerez Barry, et la Junker team pour une mission à Paris. J’ai fait faire préparé l’Héliplane Lark à cet effet.
Vous partez sur l’heure pour Denver, là vous prendrez la Junker team et irez directement à paris. Rappeler vous ceci, soldat Cathal, l’HP Lark doit rester secret le plus longtemps possible.

- A vos ordre mon Colonel.

Quelques heures plus tard, dans la chambre de Jeremy.

- Promis Aelita,je vais faire des recherches supplémentaires mais je ne peu plus rien faire de plus à partir d’ici, il faudrai que j’aille au labo et que j’utilise le supercalculateur.

- C’est pas un peu risqué ?

-Si mais je ne vois pas d’autre moyen de retrouver Anthéa. Mais je préviendrai les autres ce midi, on est jamais trop prudent.

Après le cours de gym de Jim et un cours de science sur la composition de la lumière, le groupe se retrouve dans la cantine.

- tiens Jim viens nous voir, tu est sur de ne rien avoir oublié dans le vestiaire Odd. Demanda Ulrich

-Pourquoi vous me regardez comme-çà j’ai rien oublié dans le vestiaire, s’esclama Odd

- Il y a une chose que tu a oublié ca s’est sure. Déclara Aelita.

- Ah ouais et quoi, hein ? réclama Odd

- La modestie. Continua Aelita aelita sur un même ton.

Les lyokoguerriers ne purent contenir leur rire.

-Aelita Stone, Le principal aimerai vous voir dans son bureau. Dit l’éducateur d’internat.

- Et pour quelle raison, puis-je savoir ? demanda Aelita

- C’est vrai, Pourquoi ? Elle n’a rien fait de mal et on peut le certifier. Dit Jeremy.

- je n’en sait rien, mais quand ton supérieur donne un ordre,bien mal avisé serai-tu si tu le discute. Cela me rappelle quand j’étais en service en nouvelle guinée, les ordres étaient peu clair et notre capitaine alla demander clarification au colonel Cartier. Dans les jours qui suivirent il fut affecté au ravitaillement.

Peu de temps plus tard, Les lyokoguerriers attendait tous dans l’antichambre du principal.

Vous trouvez pas que c’est bizarre, fit Odd. Même xana mort, on a encore des problèmes.

Ce que je trouve le plus bizarre, répliqua Jeremy. C’est que le principal veut voir Aelita en particulier.

Après que la secrétaire en ai reçu l’autorisation, le groupe entra finalement dans le bureau du principal. Le principal n’était pas seul, deux hommes vétu de smoking étaient assis sur des chaises en face du proviseur.

L’un deux se retournant fut surpris.

Bonjour, laquelle est Aelita Stones, dit-il en regardant succésivement Yumi et aelita.

C’est moi, fit la concernée, à qui ai-je l’honneur ?

Maître Varshneya et mon secrétaire, nous somme ici pour vous annoncer une nouvelle qui va à la fois vous faire plaisir et vous déplaire. Votre mère biologique vous a finalement reconnue, mais malheureusement c’est au seuil de la mort.

Les lyokoguerrier se regardèrent, voyant clairement que c’était un piège, une excuse bidon pour enlever Aelita, mais que pouvait-il faire sans déclarer qu’ils avait mentit, falsifié des dossiers officiels et piraté la base de donnée du consulat Canadien à Paris.

Elle désire vous voir avant de s’en aller,continua le notaire canadien. C’est pour cela que nous somme là. Le consulat canadien nous a donné le feu vert pour vous emmener jusqu’à l’hôpital Notre Dame à Montréal sans avoir à faire des démarches longues et pénibles pour l’acquisition de Passeport.

Les lyokoguerriers étaient sans voix. Le piège qui leur était tendu était bien ficellé. Aucune faille n’était exploitable, rien ne pouvait les empêcher d’emmener Aelita au Canada.

Je pense que je n’ai pas le choix, si elle veut me voir, je ne vois pas pourquoi je la ferai attendre. A condition bien entendu que monsieur le principal refuse mon départ, déclara aelita à contre-cœur sachant que le principal n’avait rien dit sur le fait que william aurait été aux Etats-Unis sur un coup de tête.

Vous avez raison mademoiselle Stones, l’honneur au mourant est bien plus important que bien des choses.

Mais, et les cours que je vais rater ? protesta Aelita

Voyons, vous pourez vous rattraper quand vous voudrez à votre retour, mademoiselle Stones, tandis que vous ne pourrez assister votre mère dans la mort qu’une seule fois dans toute votre vie.

Cathal sourit, le principal était de son côté, mais il lui semblait que les VSS (virtual special soldier) en herbes ne se souvenait pas de lui, pourtant se sont bien eux qui ont causé le retour temporel qui a frappé la Baal Team.

Je peux aussi y aller ? demanda Odd dans une dernière tentative.

C’est qui lui ? fit Cathal surpris de cette demande.

C’est mon cousin, de ce fait ma mère serait sa tante.

Vous pourrez y allez, della Robbia, Fit le Principal, a une seule condition.

Cette tentative d’Odd fut fructueuse, même Cathal n’avait pas pensé qu’il pouraient faire jouer la généalogie en leur faveur. Même si le principal accepta, la condition que les parents de Odd remplissent un papier à cet effet.

Sous cette garantie de ne pas être seule à partir, Aelita accepta finalement la proposition

Après qu’Aelita ait signé les documents qui leur autorise de quitter l’école, les lyokoguerriers partirent pour leur cours.

Dans l’antichambre, attendaient deux personnes, visiblement un père venu inscrire son fils au Collège Kadic.

Pendant que les lyokoguerriers allaient en classe, ils ne purent s’empêcher de parler

- Ça sent le piège à plein nez.

- Cela peut être un piège, mais si je ne me trompe pas, Xana n’est plus. S’exclama Odd.

- C’est vrai, qui d’autre que xana en voudrait à Aelita ?

- Je ne sais pas, mais Nous savons au moins que la mère d’Aelita l’a élevée et donc l’a forcément reconnue. Dit Jeremy.

- c’est peut-être vrai ce qu’ils ont dit. Ma mère est peut-être là-bas. De plus qui me voudrait du mal là-bas ?

-Je ne sais pas mais je dis que cela ne présage rien de bon.

-T’inquiète pas Jeremy, on t’enverra régulièrement des cartes postale, déclara Odd

- Je préfèrerai que ce soit des SMS Odd.

- Va pour les sms tant que tu laisse Aelita partir.

- Mais aelita peu y aller,c’est que ...

-c’est que tu t’en voudrais s’il lui arrivait malheur.

- Euh oui en quelque sorte.

-On sera prudent Jeremydis Aelita qui venait d’entendre la dernière phrase.

Pour moi,

Dans l’Usine, Barry palmerston et l’agent spécial Carrell déjouaient sans gros problème les camera de surveillance de Jeremy et arrivèrent dans la salle des machines de l’usine.

-Allo sullivan, par où doit-on partir maintenant.

- L’hologlobe indique une ouverture au fond en haut, il doit y avoir une échelle mais la précision de l’appareil ne permet pas de la détecter.vous devrez la trouver par vous même.dit sullivan dans le HP lark a plus de mille mètres d’altitude.

-Merci Sullivan.

Après quelques minutes, Barry et Carrell furent dans le laboratoire.

Directement Carrell s’installa aux commandes.Carrell est un informatitien de guerre métier créé par la Darpa suite à la forte augmentation des véhicules informatiquement assisté et dont le but est de s’assurer du bon entretien de ces machines de guerre.

Normalement, il est attaché à l’héliplane Lark mais comme ils sont pour le moment en effectif réduit, il aide les unités au sol.

Donc Carrell fouillait les données du supercalculateur, tandis que Barry parti explorer les salles inférieures.

Arrivé en bas, Barry aperçut les scanner.

-pas de doute possibles, c’est bien ici qu’ils sont basé. C’est étonnant que l’on n’aie pas été détecté.se dit il alors qu’il remontait l’échelle.

Alors dit il alors a voix haute en direction de Carrell.

J’ai trouvé plein de choses, mais pas de programme capable de générer une dépense d’énergie assez forte que pour créer un saut temporel. Mais j’ai découvert plein d’autre choses. Plein de programme lié à leur monde virtuel propre, mais aussi un petit programme appelé « synthétiseur Vocal ». Il semblerai que cela leur permet de fair moduler les ondes captée par un micro pour qu’à l’arrivée ce soit la voix d’une autre personne bien définie. J’ai déjà découvert la voix d’un dénommé Mr dunbar et cell d’un dénommé Jean pierre Delmas,je cherche à savoir si ils n’ont pas d’autre voix dans leur attirails.

Comme ?

La voix du président français ou d’autre grand représentant, si c’est le cas, ils sont une menace pour l’unité de la France et dans ce cas leur arrestation peut être orchestrée en toute légalité.
Bon récapitulons. Nous savons déjà grâce à notre base aux USA qu’ils ont tous couvert cette Aelita lui donnant un nom et un passé fictif, mais nous ne pouvons pas l’utiliser car cela ruinerai la mission principal.
Ils possèdent un moduleur vocal, mais les charges contre eux ne sont pas assez suffissantes que pour les arrêter.

Continue de chercher. Il nous faut des preuves pouvant les mettres hors courses comme vous le dite en toute légalité.

Le GSM de barry sonna.

-Allo. Quoi, que vient-il faire là lui.dit il surpris

-D’accord,continua-t-il, il ne va certainement pas vouloir lacher prise je pense que l’on peut le laisser venir avec nous. Je pense que nous avons de quoi lui faire une couverture adéquate.

-oh rien de bien méchant,un simple petit logiciel de leur fabrication, si tu viens à leur base je pourrait te le montrer. Au revoir.

Barry raccrocha.

Le piège est près et opérationnel, n’attendant plus que votre ordre.

- Nous allons attendre que la mission principal soit au point de non retour avant de progresser d’avantage sur la secondaire.

-des problèmes ? vous semblé contrarié.

- pas de gros problème en perspective, seulement qu’un des VSS français va accompagner notre cible mais vu leur age et notre potentiel technologique, je ne pense pas qu’ils pourraient opposer de résistance substancielle.

Environs une heure plus tard dans la maison des Della Robia au nord de Paris.

Le téléphone sonna

Allo, *** della Robia,j’écoute. (on ne mentionne pas le prénom du père d'Odd dans la série)

Allo ici c’est Jean-pierre delmas, le principal du Collège Kadic. Je vous téléphone pour vous dire que votre fils a fortement voulu accompagner son amie pour aller voir sa mère qui est mourante. Voilà Comme c’est bientôt le Week-end Je pensait bien pouvoir accepter à sa demande mais ily a problème. La mère de son amie Aelita est hospitalisé au Quebec et c’est déjà un miracle qu’Aelita puisse y aller. Selon les personnes qui ont organisé la visite il leur est possible de prendre votre fils mais voilà je ne peut pas me permettre de le laisser partir àl’étranger sans au préalable remplir les documents nécessaire. Document que vous aussi devrez signer, attestant de ce fait votre accord pour ce voyage. Si vous pouviez venir me voir dans mon bureau nous pourrons dicuter plus en détaille des nombreuses procédures et des doccument à signer.

-Je ne vois pas d’objection,parvint enfin à placer Mr della Robia après cette longue tirade, à quel heure puis-je venir.

-A l’heure qui vous conviendra le mieux,reprit Le principal,je n’ai pour le moment d’autre occupation que celle concernant les voyages d’adieu à la mère d’Aelita Stone.

Après s’être dis au revoir, mr Della Robia raccrocha.

Dans l’usine

-Tout simplement génial. Dis Cathal en reposant le micro. Avec ce programme, nous pourrons avoir accès à toutes les informations que nous voullons. Dommage que ce Jeremy ne soit pas du Darpa.

- Rien ne nous empêche de l’engager.

-Je vous rappèle que la dernière fois que le darpa a engagé des personnes étrangères ce fut une catastrophe et nous avons subit des pertes qui même près de quinze ans plus tard ne sont toujours pas réparées entièrement. Je doute fort que Le colonel approuvera que nous engagions à nouveau des personnes dont on ne connait pas leurs tendances politique et philosophique.

Carrell s’installa aux commandes.

-Cela ne vous derange pas si je fais une copie de ce programme. Cela fera une arme de plus pour le « Lark »

Faites, ça le colonel approuvera. Il a toujours approuvé le vol intellectuel c’est moins risqué surtout si nous avons des moyens de couverture colossaux.

À la fin des cours, les lyokoguerriers se rassemblère près des distributeurs.

- Je me demande bien où il est passé maintenant ce notaire.

-Il doit certainement faire signer des documents quelque part je vois pas ce qu’il aurait d’autre à faire .

Odd, Ce sont pas tes parents là-bas.

Oh non, Ils vont tous voir que nous te couvrons,fit Odd,c’est fichu. J’aurais pas du me proposer pour aller avec toi.

Tu savait pas qu’ils seraient convoqué Odd, ce n’est pas ta faute.

Tu comprend pas, rapidement Nous aurons à tous déclarer aux autorités,ce qu’on a fais contre Xana pendant toutesces années.

Toi qui voulais être célèbre odd tu t’es ravisé ?

Non pas du tout, mais c’est que je suis pas prêt à la faire devant mes parents c’est tout.

De toute façon Odd tu peut leur expliquer que tu m’a déclaré comme cousine pour que je soit inscrit ici.

Hein mais ce que tu fais là Aelita c’est carrément du suicide.s’écria Ulrich, déclarer ouvertement qu’on a mentit délibérément.

Je suis pour la proposition d’Aelita, dit jeremy a l’étonnement de tous. On risque moins en leur donnant une demi-vérité qu’en leur forçant à trouver la vérité par eux-même.

Bon ben dans ce cas, je vais vite me dépêcher avant qu’ils ne recontre le principal. Merci Aelita, je te revaudrai cela. Dit Odd tout en se précipitant vers le bureau du principal.

Dans le parc, un homme caché derrière un arbre se agrippe son micro

-Problem, Della robbia Junior vient dans votre direction.

- Compris, est-il seul ?

-affirmatif.


Odd arriva sous l’arcade et aperçut ses parents rentrant au loin dans le bureau de Principal.

Il se dépécha d’y aller quand un homme l’accosta.

- Reste calme jeune Della robbia, ou tu va faire foirer la couverture que nous nous somme ingénié à créer pour toi et ta prétendue cousine.

Odd fut surpris par les derniers mots. Ils savent donc qu’il a mentit, que savent-ils d’autres ?

- Hein mais comment ...

- Rest calme, nous avons simplement besoin d’Aelita et nous avons plus de dix hommes armé encerclant ce collège au moment où je te parle. Même si vous vouliez nous faire faut bond nous aurions la possibilité de vous rattraper avant le flash et même après.

Le flash, que veulent ils dirent par là se demanda Odd.

Un petit bip retentit alors dans la poche de Barry palmerston.

Voilà, déclara l’agent spécial, les papiers ont été signés. Vous pouvez maintenant aller leur dire ce que la jeune Aelita vous a permis de dire.

Odd alla voir ses parents tandis que Cathal sortait du bureau.

- Il s’en est fallu de peu pour que tout tombe à l’eau et que l’on soit obligé de passer au plan B.

- Ce Della Robbia est assez tenace. Je commence à comprendre pourquoi ils les ont choisit pour tenir cette base secrète. Un operateur hors pair bien que jeune, des VSS aussi tenace les un que les autres. S’ils étaient américains ils serait au Darpa sans aucun doute.

- Oui sans aucun doute. Au fait que lui a tu dis pour le retarder.

- Rien de bien méchant, simplement qu’il devait coopérer s’il ne voulait pas que nous employons la manière forte.

Une demi heure plus tard dans la chambre d’Ulrich et Odd.

- Tu peux répèter cela. Dit ulrich, question que l’on comprenne mieux.

- Ils savent qu’aelita n’est pas mas cousine, mais aussi ils savait ce qu’elle vennait juste de dire alors que nous étions dans la cours.

- maintenant on est fixé, Nous avons affaire à un service secret qui en veux à Aelita. Odd quoi qu’il arrive ne quitte jamais Aelita. Nous allons voir pour trouver un moyen de résoudre ce problème.

Un problème, c’est une catastrophe tu veux dire. S’écria odd alors qu’il remplissait sa valise. La seule raison qu’ils ont d’en vouloir a aelita et a Aelita seule réside dans notre secret. Qui n’est certainement plus un secret.

Comment ont-ils pu nous trouver, je me le demande.

Grâce au groupe des « subdigital » fit Cathal en tocant à la porte de la chambre. Mister odd si vous ne vous dépêcher pas nous partirons ans vous. Je peux prendre certain de vos bagages.

Il y a cette valise-là, le reste je m’en charge. Dit Odd le plus calmement possible.

Quand l’agent spécial quitta la chambre

Je les aime pas ces gas-là. Mais ils me semble les avoir déjà vu dans un rêve. Un rêve se déroulant sur Lyoko. Dit Odd

J’ai moi aussi la même impression. J’avais promis à aelita de vérifier le retour vers le passé car il lui semblait qu’il en avait eu un mais avec les événements de ce matin c’était complètement sortit de ma tête.

- C’est peut-être cela le flash dont il parlait. Pense odd tout haut.

-Pardon ?

- Le deuxième gas, celui qui m’a arrêté sous l’arcade m’avais déclaré que même si on s’enfuyait ils sauraient nous rattraper avant le flash et même après.

-Et tu pense que le flash dont ils parlent c’est le retour vers le passé ? Il faudra aller à l’usine, les sécurité que j’y ai mise ne sont pas faite pour retenir des agent secrèt déterminé à passer. Il faut que j’aille voir ce qui s’y trame.

Si tu veux je t’accompagne. Dit ulrich.

Bon, Il ne faut pas faire attendre le pseudo-notaire. Dit Jeremy.

Tu compte vraiment nous envoyer là-bas. Répliqua Odd tandis Qu’ulrich et eremy emportait déjà ses bagages.

Tant qu’on ne sait paspourquoi ilsen veulent à Aelita, mieux vaut jouer leurs jeux. De plus, je pense pas qu’il ne nous laisse le choix.

Après s’être fait les adieux et avoir embarquer les bagages, Le notaire son chauffeur-secrétaire et les deux lyokoguerriers montèrent dans la voiture. Et partirent pour l’aéroport d’Orly.

Arrivé là-bas, la berline noire s’arrêta face à l’entrée. Deux personnes abordèrent la voitures.

Ce sont nos associés maitre mareck et son secrétaire mr Cadmon, ils vont s’occuper de la partie canadienne de l’affaire. Nous allonsdevoir vous laisser car d’autres affaires demandent notre présence sur le sol français. Je vous souhaite un bon voyage.

Si vous voullez bien nous suivre. Nous n’avons pas beaucoup de temps.l’avion part dans une demi heures,mais nous avons encore à enregistrer les bagages.

Cette formalité faite, les deux lyokoguerriers attendaient dans la hall de l’aéroport.

- cela m’étonne quand même que tes parents ne t’ont pas refusé ce voyage.

- Oh avec toute les vacance que j’ai passé à kadic il ont trouvé bon que je change un peu d’air. Ce sont mes parents, ils n’ont jamais réellement été en colère contre moi, et je ne pense pas qu’ils y arriverons tout seul.

- Si tu fait allusion à l’attaque de xana où ils ont failli te faire sauter du toit de batiment des science je n’était pas présente maisd’après ce que tu en a dit ils était encore gentil ils me semble.

- Oui et Jim était toujours aussi ridicule.

« Embarquement pour le vol en partance pour Montréal, Porte 23. »

-Bon, les jeunes, il est temps de se bouger si on veut éviter la cohue de dernière minute.déclara Mareck. Voici vos ticket d’embarquement.


Quelque minute plus tard, Odd et Aelita avait pris place dans l’avion et Ils envoyèrent comme prévu un message à jeremy pour certifier leur bon départ.

De leur côté, Mareck et Cadmon envoyèrent un message aux agents Cathal et Barry : la mission première a atteint le point de non retour,vous pouvez commencer mission deux.

L’avion se mit dans l’axe de la piste et au signal de la tour partit pour le nouveau monde.

Dans l’usine Barry et Cathal aidé par Carrell préparaient leslieux pour identifier sans trop tarder le reste des VSS français et espérer qu’ils les mèneraient à leur chef.















épisode 2 Les « fils de la liberté »


Partie 1 : un atterissage très mouvementé.

Dans les cieux canadien, le vol U-537 ammorçait sa descente vers l’aéroport de Montréal.

-Mesdames et messieur les passagers, nous vous prions de bien boucler votre ceinture nous allons atterrir dans quelques minutes.

Peu de temps après, de nombreuses secousses ébranlèrent l’avion de toute part.

- Des turbulences, il ne manquaient plus que cela,s’écria le pilote pendant qu’il essayait de stabiliser son appareil.

Les turbulences augmentaient en intensité tandis que l’avion descendait.

- j’ai jamais vu des turbulences pareille à cette altitude.

L’avion commençait à tanguer de gauche à droite de plus en plus. Puis soudain l’avion tomba dans un trou d’air qui l’écrasa au sol. Écrasé est un peu fort car pour une raison inconnue et surnaturelle l’avion s’immobilisa un instant à dix mètres du sol avant de continuer sa chute. Le choc fut tel que l’avion se brisa en trois, projetant des débris tout autour de lui.

Petit à Petit les vents violents à l’origine des turbulences s’estompèrent, Xana avait désactivé une autre de ses tours. Mais ne comptait pas en rester là, une autre tour s’activa.

Les passagers, encore sous le choc pour certain, commencèrent à se détacher.

- y a t-il un médecin à bord cria un des passager en voyant les hotesses sérieusement blessée par les nombreux choc. Une des fissures de l’avion s’était ouverte juste dans leur section.

A l’extérieur, des fumeroles commencèrent à apparaître aux abords des épaves tandis que la première voiture de police arrivait sur les lieux. Suivie quelque minutes plus tard par des ambulances et voitures de pompier.

Parmi les passager l’angoisse montait, les sortie de secour avaient été endommagée lors de l’impact ou refusaient de s’ouvrir.

-Alita faut pas rester ici.dit Odd tandis qu’il tira Aelita vers l’arrière de l’avion.

-par où compte tu passé Odd ? Nous somme pris au piège. Je commence à croire que mon rêve est en fait réalité et que Xana n’est pas mort.

Je me suis dit que les places arrières sont certainement plus sure que celle de devant et que de ce fait la soute à bagage doit avoir une porte pouvant s’ouvrir.

Les services de secour s’approchèrent de l’appareil cherchant un moyen d’ouvrir les portes.
Les fumeroles s’intensifièrent et des bulles apparurent autour de la carlingue.

Elles s’enfoncent cria un des policier à son collègue, Justin les épaves s’enfoncent.

Il doit y avoir une cavité juste en dessous

Les services de secours s’affairèrent sans succès à ouvrirent les portes, tandis que de leur côté Odd et Aelita arrivèrent dans la soute à bagages.

Suite à ce problème, il ne restait plus qu’un possibilitée au service de secour, ouvrir une des brèches pour ensuite aller chercher les rescapés.

Pour ce faire, des téméraires partirent à l’assaut des épaves et y fixèrent du mieux qu’ils purent des filins dans le but de tracter l’arrière de l’avion.

Cela fait, ils ne parvinrent pas à la faire bouger tant elle était enfocée dals le sol, la boue atteignant déjà les mollets de nos héros.

Loin de la foule, un homme observa la scène. Il ne pouvait pas les aider ouvertement mais devait s’assurer de leur survie. Soudain il leva le bras et marmonna quelque parole dans une langue ancienne. Dans les secondes qui suivirent l’épave cessa de s’enfoncer et glissa tractée par les camions de pompier.

Rapidement les rescapés sortirent de l’appareil, portant pour la plupart des blessé et furent acceuilli par les ambulanciers. Malgré que les camions se soit arrêté, lapartie d’épave tractée continua sa course et ne s’arrêta qu’en dehors du champ liquéfié.

Xana avait encore une fois subit un échec face aux américains. Il avait détecté des étranges force contrariant les siennes sans vraiment s’y opposer. Ces personnes lui étaient encore inconnue mais il se doutait qu’il ne parviendra pas à tuer Aelita si ces personnes restent autour d’elle.

Loin du va et viens des ambulanciers, une personne s’éffondra, épuisée du double exploit qu’elle venait de faire en moins d’une heure. Le Darpa lui avait donné une vie spéciale, mais cette spécialité il s’en serait bien passé, si elle ne pouvait pas sauver des vies.

Dans la soute,Odd et Aelita se relevèrent, ils avaient survécu au crash et à l’engloutissement mais encore mieux,ils avaient réussi à se séparer des agents de la Darpa.

Ces même agents les cherchaient dans la foules des rescapé qui se massaient près des ambulances.

Odd sortit de la soute quand un homme apparu devant ses yeux et l’interpella en Anglais.

Come on Boy, you have to get away from here before it attack again. I can help you in that way. Meet me at Venice in California.
(allez mon garçon, vous devez partir avant qu’il n’attaque a nouveau. Pour cela, je peux vous aider. Rencontrer moi à Venise en Californie.)

-Desolé mais je n’ai rien compris à ce que vous venez de dire. Dit Odd pouvez vous traduire.

- Meet me at Venice in California, répèta-t-il avant de disparaître aussi mystérieusement qu’il est apparu.

Odd et Aelita prirent dans leurs bagages les affaires qu’ils avaient besoin absolument et partirent discrètement par la forêt toute proche.

Tandis qu’ils partaient deux mots continuaient de résonner dans leur tête « Venice » « California ».















Partie 2 une journée à Montréal

Odd et Aelita ne marchaient pas depuis longtemps qu’ils apercurent entre les conifères des bâtiments, c’était Montréal. La ville canadienne s’ouvrait à eux, mais leurs pensées allaient plus à Lyoko et à leur camarades resté sur place. Odd, se rappelant que dans les films policiers qu’il avait l’habitude de regarder les inspecteurs localisaient les fugitifs grâce à leur portable, avait immédiatement coupé le sien et celui d’Aelita. Maintenant qu’ils se trouvaient au portes de la ville ils pouvaient espérer contacter Jeremy et le reste de la bande sans grand risque. Mais ils ne savaient pas ce qui se passerai à Kadic en représaille de leur fuite.

Akadic, la vie continue comme si de rien était. Le retour vers le passé ayant anormalement affecté la mémoire des lyokoguerriers comme s’ils était des gens ordinaire,ils ne savent même pas que Xana est en vie. L’ordinateur portable de Jeremy n’est plus connecté à l’usine vu que, à ce qu’ils se rappellent, le supercalculateur est éteint. Pendant ce petit cessez le feu, Xana prépare son offensive. N’ayant plus à mettre de l’énergie pour défendre ses tours Xana double le nombre de ses attaques visant tout les moyens de communication, entrant et sortant du continent où il se trouvait. L’attaque de l’avion d’Aelita fut parmis les première mais rapidement heures après heures les appareils de l’aviation commerciale furent petit à petit cloué au sol pour des problèmes allant d’une simple fuite d’un des réservoir aux crashs les plus spectaculaires jamais vu.

C’est dans cette situation qu’odd et Aelita arrivèrent en ville. Les journaux parlaient déjà du crash.

Odd sorti son portable pour téléphonner à Jeremy,la situation leur échappe de plus en plus,quand une autre problème survint.

Comment çà pas de liaison, s’écria-t-il en regardant le relais GSM sur le batiment juste en face de lui, Si on est pas assez près il faut le dire.

Cela ne sent pas bon Odd, A certain moment j’ail’impression que Xana n’est pas aussi mort que nous le croyons.

Voyons tu étais avec nous quand on a éteint le supercalculateur après l’avoir vaincu.

Oui mais il me semble que nous avons vécu autre chose depuis mais on ne s’en souvient plus.

Continuant de marcher, la foule se dégrossisant, ils arrivèrent aux abords de l’ambassade française, mais ils se cachèrent directement quand ils aperçurent Cadmon et Carrell patrouillant sur le trotoire. D’autres personnes arrivèrent et discutèrent un moment avec eux. Quelques instants plus tard Cadmon et Carrell partirent laissant les deux nouveaux patrouiller. Visiblement on voulait les empêcher d’entrer dans l’ambassade française, bout de territoire français en pays étranger.

Odd et aelita firent demi tour et furent heureux de voir que les deux agents qui les avaient escorté lors du vol étaient partis vers le centre ville. Le réseau d’espion de la Darpa se mobilisait et dans peu de temps il serait impossible de passer inaperçu, déjà que les caractéristique spécifique du duo n’était pas très courant dans la population. Une fille au cheveux rose et un garçon au cheveux blond avec une tache mauve, on pouvait chercher autant que l’on pouvait on ne tombera que sur nos deux fugitifs.

La nuit tombant ils voulurent louer une chambre mais ne possedant pas de dollar canadien nulle maison d’hôte ne les accepta. Ils décidèrent donc de passer la nuit dans une ruelle exigue quand un policier passant par là les trouva endormis. Et, avec l’aide de son collège, les emmena chez sa mère avant de repartir faire sa patrouille.


Partie 3 « sous-marin »

C’est dans la chaleur des lits d’une chambre d’amis qu’Odd et Aelita se réveillèrent à l’aube de leur second jour sur le continent américain.

Regardant autour d’eux Odd et Aelita se demandèrent où ils avaient atterri. Un papier horrible se décollant de par l’humidité, tapissait les murs. Ensemble ils sortirent de cettechambre sentant la moisisure et, en empruntant un petit couloir, ils débouchèrent dans une petite salle à manger donnant sur le St Laurent.

- Ho you’re awaken, come come Sit fit une vieille mégère, comme on en vois presque plus de nos jours, les forçants à s’asseoir autour de la table. Elle disparu en quelques instant dans la cuisine d’où sa voix s’élevait : I’ve got many thing what do you like ? fried eggs, smashed eggs, Baccon, Porridge, sandwiches, Ham, choco, tea , milk, coffie, ...

Il semblait qu’elle faisait aussi l’inventaire de ce qu’elle avait tant la liste était longue, et aelita avait bien du mal à traduire tout ce qu’elle nommait tant elle parlait vite. Finalement Odd testa le porridge accompagné de croissants, tandis qu’Aelita ne prit qu’un simple « sandwiches » à la confiture.(Le terme sandwiches désignant plus des tranches de pain garnies que les petits pains.)
Pendant qu’Odd engloutissait son porridge, la vieille femme engagea la discution. (le vieille femme ne parlant pas français, et pour ne pas vous déboussoller la conversation sera traduite en instantané.)

- Alors, comment en êtes vous arrivé à dormir en rue mes enfants, c’est une chance que mon fils vous aient trouvé sinon dieux seul sait ce qui vous serait arrivé. Dit elle

- Ce serait une trop longue histoire.

- Voyons,mon enfant Mamie Hoop aime les longues histoires.

- Même si on vous le disait, vous ne nous croiriez pas.

- Qui sait ? Peut-être mamie Hoop peut vous aider.

- Voilà, ...

pendant de longues minutes Aelita inventa une histoire spéciale pour cacher l’existence de Lyoko et raconta ensuite ce qu’ils avaient vécu depuis que les hommes en noirs vinrent la chercher.

- Quel histoire fantastique, Je n’aurai jamais pensé que deux enfants puissent être impliqué dans une telle histoire d’espionage. Personellement je ne peut pas vous aider, l’aventure n’est plus de mon age mais mon petit fils John a un secret que, je pense,il voudra bien vous faire part.

- Laisser moi lui envoyer un message, je vous dirait si c’est possible.

Elle seleva et partit vers la cuisine.

Les deux lyokoguerriers ayant eux des problèmes avec leur gsm et les téléphones publiques s’intérogèrent du regard.

Assurbanipal, dit elle en regardant son chat, je te laisse partir encore une fois dit elle en le lachant dehors.

Les lyokoguerriers furent encore plus perplexe,jusqu’au moment où Mamie Hoop leur expliqua tout. En fait, Le chat avait la facheuse tendance de retourner à la ferme où il avait vu le jour, hors cette fermette appartient à un fermier amis du fils de Mamie Hoop qui reconnaissant le chat va le rendre au fils de mamie Hoop. Celui-ci ne pouvant s’occuper du chat, c’est John qui s’en occupe et le ramène chez sa mamie. Bref, quand Mamie Hoop veux voir son petit fils elle n’a qu’a lacher son chat.

Petit stratagème porta ses fruits car, deux heures plus tard, John Hoop, portant Assurbanipal dans les bras, sonna à la porte.

Par chance, Le petit fils comprennait le français mieux que sa grand-mère.

John, ces jeunes gens doivent contacter des amis à eux se trouvant à Paris, je me demandait si ton petit réseaux pourrait leur venir en aide.

Pourquoi devrais-je les aider ? répliqua John.

Parce qu’ils sont impliqué dans un grand problème et que seul ils n’y arriverons pas.

Ne me dit pas qu’ils sont espion ?

Je ne le dirai pas, ils sont pourchassés par des espions qui leur en veulent pour une raison que je ne sait pas.

J’espère que mon réseau n’en sera pas compromis,mais j’accepte. On part dès que vous êtes prêt.

Après avoir fait leur paquetage, les lyokoguerriers partirent à pied. Mais une chose les intriguait,Mamie Hoop leur avait dit que son fils, qui semble-t-il est policier, les avait trouvés dans la rue, mais pourquoi ne les avait il pas amené au commisariat comme il aurait du le faire. Après quinze minute de marche ils arrivèrent à la limite de la ville passant près du champ où l’avion s’était écrasé et embourbé. Des pelleteuses avaient été amenées pour dégager les épaves, mais comme tout le monde avait miraculeusement survécu, il n’yavait pas de raison de forcer la cadence d’excavation.

C’est un miracle que tous soient encore vivant. Dit John Hoop tout en regardant le champ dévasté par le crash.

- Oui c’est encore pire quand vous êtes dedans, répliqua Odd.

- Quoi vous étiez dans ce vol ?

- oui et nous avons survécu par chance

- Je n’ai jamais vu un atterrisage des plus mouvementés surtout vers la fin, où l’avion a chûter comme une pierre sur plus de cent mètre.


Après quelques minutes plus tard ils arrivèrent à la maison des parents de John dans la petite bourgade de chateauguay. Après avoir laissé un message, ils repartirent vers une des forêts avoisinantes.

Cachés dans les brousailles a moitié gelées, se cachait dans cette forêt un cabanon en pierre.

- C’est ici. Déclara john. Faite attention, le plafond est bas.

John entra en premier et alluma une lampe au gaz. La faible flamme éclairai une table sur laquelle se trouvait une grosse machine faite de bobinne de fils et d’aimant.

- Un télégraphe ? dirent en même temps Odd et Aelita.

- Nous avons eut ces derniers temps des problèmes de communication générale que ce soit télévision téléphone ou gsm, mais le télégraphe semble ne pas subir de telles avaries ce qui me permet d’avoir des nouvelles exclusive sur les événements en Europe. Si j’ai bien compris vous voulez envoyer un message vers Paris.

- Oui à Jeremy Belpois internat du Collège Kadic 46 Rue Casteja à Boulogne Billancourt Paris. Commença Aelita pendant que John notait et transcrivait en code morse.

- Vous n’êtes pas obligé de faire court, je ne vais pas vous faire facturer le message.

-Cher jeremy, Notre avion a eut des avaries et s’est écrasé. Nous somme tout les deux sain et sauf, mais pour une raison indéterminée les divers moyens de communications subissent eux aussi des avaries ne nous laissant que le télégraphe pour te donner des informations.

Nous avons tout les deux l’impression que XANA est derrière tout cela,bien que tu sait que ce programme n’existe plus. Nous seront dans l’impossibilité de te contacter pendant un long moment, fait ce que tu peut pour rétablir la communication.

Nous essayons de trouver un moyen de revenir en Europe le plus vite possible.

Aelita et Odd.

- Bon maintenant il faut voir si Bringa Heringsdötir est à l’écoute.

- Bringa Heringsdötir !

- Attend c’est pas l’islandaise qui était venu à Kadic et qui a vu le supercalculateur.

- Si, ce n’est alors pas étonnant qu’elle ai gardé le secrêt sur le supercalculateur, elle n’aurait pas voulu si le cas se présentait qu’une personne découvre son télégraphe secret et le dévoile au grand public. A donnant donnant, un secret pour un secret.

Les petits tic titic du télégraphe commencèrent à remplir la petite casemate. Pendant plusieurs minutes les tic du télégraphe résonnèrent puis ce fut le silence jusqu'à ce que Bringa envoie un petit accusé de réception déclarant qu’elle avait bien reçu et transmit le message.

- Voilà, cela prendra quelques jours avant que le message n’arrive à Paris, mais il est déjà en Écosse c’est déjà ça. Je vous ramène chez moi.















Partie 4 Où l’on débat d’espion et de société secrète.

Il marchèrent paisiblement sur le chemin menant à la ferme quand soudain Aelita s’arrêta.

- Odd Faisons un détour.

-Quelque chose ne va pas Aelita ? demanda Odd.

Une voiture noire stationnait dans la cour, le même type de voiture que celle qu’Aelita voyait enlever sa mère dans ses rêves.

-Il semblerait que nous aillons été filé par quelques espions vous en voulant. Répondit John tout en désignant la voiture Noire. Ma ferme ne saura plus vous servir de refuge malheureusement.

Et nous nous excusons d’avoir causé des problèmes dans votre famille.

- Mes parents n’ont rien à se reprocher, ils seront libres assez rapidement, mais je pense que ma vie là-bas n’est plus possible.

- Pardon ?

- Ayant été vu avec vous, seule raison ayant pu les mener jusqu’ici si rapidement, je serai certainement capturé pour ne jamais être libéré sans vous trahir.

- Je suis vraiment désolé.

- Il n’y a pas de quoi être désolé. Vous devriez plutôt nous remercier, car sans nous vous seriez déjà entre leurs mains.

- On vous en remercie beaucoup, mais n’en faites vous pas un peu trop, je veux dire Vous n’aviez pas à nous aider à envoyer ce message.

- Il faut s’entraider entre société secrète.

- Hein ???.

- Mince. Bon puisque ma couverture est tombée je me présente. John Hoop, agent dormant des « Fils de la liberté », actuellement en mission d’escorte de type S.

- Les « fils de la liberté » ?

- Une association qui craint une chute de la démocracie américaine au profit de la tyrannie, pour faire court. Nous nous sommes organisés pour aider toutes personnes prise pour cible par la CIA sans grande raison. Nous avions eu vent que la CIA avait déjà envoyé une espionne dans votre collège et nous en avons fait autant. Cela a prit du temps pour monter une couverture mais nous y somme parvenu. Nous ne savions pas que votre organisation avait un supercalculateur avant que vous le montriez à Bringa.

- Hein une espionne ? demanda Aelita.

- Oui mais elle n’a pas apporté grand chose. Selon la CIA, il faut au maximum un jour à des « agitateurs » pour s’adapter à un nouvel intrus. Pendant ce temps, des tensions se forment dans le groupe et risque de faire découvrir le secret.

-Attends, tu veux parler de Taelia. S’exclama Odd.

- Taelia, oui c’est un nom qui se trouvait dans un des messages que nous avons reçu à cette époque-là. Pourquoi, vous la connaissez.

Oui. Elle a en effet bien découvert le supercalculateur, mais par un procédé en notre possesion elle ne s’en souvient même plus.

- Hein, fit Aelita Pourquoi vous ne m’en avez pas parlé.

- Jeremy nous l’avait interdit. Taelia te ressemblait à s’y méprendre et tu ne répondait pas Sur lyoko, car tu était dans un gardien.

- Oui et alors ?

- Ben, Jeremy te croyant hors de lyoko et amnésique s’était mis en tête d’éteindre le supercalculateur. Heureusement nous somme arrivé à temps pour l’empêcher dans son acte. S’il l’avait fait Xana aurait irrémédiablement gagné et n’attendrait plus que le supercalculateur soit rallumé pour continuer dans ses projets.

- Oui, je comprend. Ce que je ne comprend pas c’est comment Jeremy ai pu croire que ...

Des aboiements se firent entendre au loin.

Partie 5 Quand la frontière semble plus loin qu’elle n’est.

- Minces, ils en sont déjà à la battue. Nous ne parviendrons pas à atteindre la frontière dans ces conditions. Je sais pas ce que vous faissiez avec votre supercaculateur, mais on est certain d’une chose, c’est qu’ils n’ont vraiment pas aimé car ils ne sont pas prêts de vous lacher.

Le groupe se mit à courir du plus vite qu’ils purent pour distancer le plus possible leur poursuiveurs.

Le soleil pointait en son zenith quand le groupe, exténué, s’autorisa une pause.

Leurs paquetages pesaient lourdement sur leur épaules et ce fut avec un grand plaisir, qu’ils s’en débarassèrent pour une courte pause. Les aboiements retentissaient encore loin.

- Pause diner, dit John en sortant de son sac quelques biscuit. Je suis désolé, je n’ai que ça.

- On s’en contentera, n’est-ce pas Odd ? déclara Aelita.

- Euh... Oui bien sure.

Après avoir mangé quelques biscuits et bu le peu d’eau qu’ils avaient nos héros, forcé par l’aboiement de chien sans cesse grandissant reprirent leurs course.

- Si nous passons le fleuve, nous aurons une chance de les distancer le temps qu’ils retrouvent notre trace. Déclara John.

Nos héros partirent donc vers l’Ouest en quête du fleuve et de l’hypotétique barque qui leurs permettraient de le passer.

En France, les soldats s’impatientaient pour deux raisons. L’une, aucun des VSS parisien n’était retourné dans leur bases caché sur l’île Seguin, n’était que futile par rapport à l’autre. Aucun ordre ou accusé de la bonne réception du rapport envoyé n’était arrivé.

- Comrad Cathal, fit un nouvel arrivant.

- Capitaine Leïf, comment cela va-t-il ?

- Bien mal comrad, nous avons des problèmes à contacter le continent américain avec notre radio. Certainement un problème avec l’antènne. Pouvons-nous utiliser votre radio ?

- Ce serait sans refus, mais nous avons le même problème.

- Je n’aime pas cela Fit le Capitaine.

- Moi non plus, il faudra se passer de la base.

Après quelques heures de marche rapide pour pas dire course, Les trois fugitif arrivèrent exténué, aux abord du fleuve. Une vieille bâtisse en bois toute couverte de lierre et a moitié pourrie se tenait à quelque centaine de mètres plus au nord.

- Vite, nous avons déjà perdu trop de temps, fit John en courant vers la bâtisse, alors que les deux lyokoguerriers, pourtant habitué à courir sur lyoko n’en pouvait plus. Sur lyoko, ils n’avaient pas à porter un sac à dos de plus de plus de six kilo.

Arrivé au hangar, le trio ne trouva qu’un vieux kayak suspendu par des crochets au plafond.
Ils tentèrent de l’en détacher mais de par la vétusté du plafond, un des crochets céda précipitant le kayak au sol. Dans le choc celui-ci se brisa, brisant aussi l’espoir des fugitifs, tandis que les aboiements continuaient à s’intensifier.

Soudain de forts clapotements d’eau se firent entendre sur le fleuve. Les deux Lyokoguerriers et John furent surpris et allèrent voir avec prudence ce qui pouvait faire autant de bruit. Un steamer remontait le Saint Laurent.


Lordwilliam
26/01/09 à 20:44
l'Histoire commence après la défaite de Xana face au programme multi-agent. de Jeremy.

Épisode 1 :La bataille de Carthage.


Rapport M26-I7C

Carthage lab, Texas, 26 mai 20xx

Suite à un acte de piratage, Nous avons mis en pratique l’alinéa 34 du code de l’établissement en rapport à la base de donnée.
Selon les scientifiques, l’attaque n’a pas été assez longue pour permettre de localiser l’intrus.
Aucun des dossiers du projet n’aurait été ouvert lors de l’attaque.




Secrétaire :Voilà mon colonel, imprimé en trois exemplaires comme demandé.

Colonel. Jephries : Poser les sur mon bureau.

Le secrétaire s’exécuta sur le champ.

Il était presque sorti quand le colonel l’appela.

Cl J :John pouvez-vous convoquer le Lieutenant Karsov, j’ai quelque question à lui poser.

Quelques minutes plus tard.

Lnt Karsov :vous m’avez fait mander mon colonel.

Cl J : Vous étiez dans la salle de commandement lors de l’attaque n’est-ce pas ? pouvez-vous me décrire précisément ce qui s’y est passé ? Certains des soldats ont vu des événements que l’on pourrait classé de paranormal. J’aimerais avoir votre opinion sur ce piratage hors du commun.

Lnt K : sans vous manquer de respect, mais je suis un peu perplexe. J’ai vu ce qui est arrivé à ceux qui ont essayé de couper le supercalculateur. Ils sont tous à l’hôpital maintenant, des soldats ont même été projetés à plus de six mètres du supercalculateur.

Voyant l’échec de nos tentatives d’éteindre le supercalculateur, j’ai donné l’ordre de couper tout lien avec l’extérieur.

Cl J : vous avez bien fait, c’est pour votre réaction exemplaire que j’ai décidé de vous charger de l’enquête sur les intrus.

Lnt K : comment pourrais-je puisque nous n’avons pas pu les localiser ?

Cl J : il ne faut pas toujours croire les rapports, lieutenant. En fait nous avons détecté une dizaine d’adresses IP, nous piratant en même temps. Le sergent Hardman, spécialiste en informatique, sera votre second dans cette affaire, il est dans la salle de réunion B-214, il brief déjà votre équipe. Vous devez vous douter que cette affaire est classée top secret et requiert votre plus grande attention. Vous pouvez disposez.

Lnt K : A vos ordres mon Colonel.

Le Lieutenant approchait du bâtiment B quand soudain l’alarme sonna dans toute la base, suivie de près par des salves de coup de feu du côté de l’aile Sud.

On voit trois kankrelats passer le coin d’un bâtiment.

Des soldats affluèrent vers le bâtiment C d’où venaient les kankrelats. Une foule de Kankrelats vint renforcer les premiers.

Le lieutenant dégaina son arme de point et parti à l’assaut du bâtiment rassemblant tout les soldats qu’il pouvait trouver.

Lnt K : Il faut faire évacuer les civils. Soldats suivez-moi.

Entrant par les garages, une partie des soldats s’arrêta et sécurisa quelques APC (armored personnal carrier :traduit par : Transport de troupe blindé). Le reste continua d’avancer dans le couloir vers l’ascenseur principal.

L’ascenseur s’ouvrit et les soldats trouvèrent les scientifiques du projet.

Lnt K : Professeur Martens (dernier scientifique de la première équipe), que se passe-t-il ?

Martens : je n’en sais rien, mais je suppose qu’il y a un lien avec l’attaque d’hier.

Un informaticien : Notre sigle est apparu sur tous les écrans, et depuis des monstres ne cessent pas de venir de la salle du supercalculateur.

Un garde : J’ai vu une de ces bestioles de près, elles portent notre sigle sur elle.

L’informaticien : Notre sigle ? Qui peut connaître notre sigle en dehors de cette base ?

Martens : Il n’y en a qu’un seul. Waldo Schaeffer

Un des soldat aperçu cinq kankrelats arriver dans le couloir et ouvrit immédiatement le feu.

Lnt K : Il est préférable de ne pas rester ici. Nous avons des APC qui nous attendent au bout du couloir.

Ils partirent tous vers les garages.

A l’extérieur, la situation n’est pas aussi calme. Trois mégatanks et six tarentules détruisent tout véhicule au sol ou dans le ciel tandis que les kankrelats continuent de repousser les soldats, impuissant contre cette déferlante sans fin.

Loin dans le ciel, quatre TomCat foncent vers la base attaquée quand leurs radars détectent des objets volants de petite taille à leur six heures. Ils n’eurent pas le temps de réaliser l’ampleur de ce qui se passait qu’un d’entre eux salement endommagé part en vrille, se rapprochant inexorablement du sol.

Un pilote : C’est quoi çà ?

Le « ça » n’est autre qu’une escadrille de la « xana airforce ».

Episode 2 Au plus sombre de la nuit (In the dark of the night)

Laissons un peu la base « Carthage » à ses combats et allons à la base d’Edwards, en Californie, où Xana lance un autre attaque. Un Northrop, bombardier furtif américain, est sur le point d’y décoller.

Officier radio 1 :Tour de contrôle à Northrop 3 Vous avez la permission de décoller, je répète permission de décoller.

(Vue de l’intérieur du Northrop. L’écran du radar nous montre le signe de xana.)

Le premier Northrop décolle et prend le cap 043

Officier radio 1 : Manquait plus que ça. Tour de contrôle à Northrop 3 vous faite fausse route changez de cap et prenez le 167, je répète changer de cap et prenez le 167.

Officier radio 1 : tour de contrôle a Northrop 3, à vous.

Officier radio 1 : tour de contrôle a Northrop 3 répondez bon sang.

A kadic aux abords de la cantine. :

J : Aelita rendez vous ce soir à l’usine. Je vais rallumer le supercalculateur pour faire des recherches. Peut-être trouverons-nous qui ont enlevé la mère d’Aelita.

U : Attend, tu veux nous dire que nous avons combattu 3 ans pour éteindre le supercalculateur et tu veux le rallumer. C’est fou.

O : Ouais, c’est toujours comme ça les savants.

Y : Ulrick à raison mais Il faut le faire pour Aelita.

W : De toute façon Xana a été détruite que je sache.

U : Oui et ce n’est pas grâce à toi.

W :Vla qu’y m cherche encore lui.

Y : c’est vrai que tu nous a sacrément retardé mais comme tu l’a dit c’est fini et on ne devraient même plus en parler.

A Je suis pour le rallumer le temps des recherches mais il faudra le désactiver ensuite. De plus j’aimerai voir si notre multi-agent n’a pas subit des changements.

J : Il n’existe plus. Redoutant qu’il s’attaque à d’autre programme après Xana, j’ai décidé de l’anéantir. On ne sait jamais ce qui peut se produire.

O : Ouais du genre notre Xana à nous. C’est ça ?

J : effectivement. Nous ne pouvions pas courir le risque.

Y : Bon, il faut que j’y aille sinon mes parents vont devenir furieux. Je pense pas que ma présence est obligatoire lors des recherches.

J : chacun a droit à un peu de détente. Je pense que moi et Aelita nous serons assez suffisant.

Dans la salle de commandement du porte-avions de l’Otan « Belgica » quelque part dans l’Atlantique.

Officier de radio (dans son micro): Northrop 3 donnez nous votre position. Je répète Northrop 3 donnez nous votre position.

Officier de radio (à l’amiral Heinrich Von Schnuffle) : Il ne répond toujours pas mon amiral.

Amiral : Il se la joue comme ça, faite sonnez l’alarme,je veux au moins vingt avions en l’air dans un quart d’heure. Retrouver moi ce bombardier.

Salle de Briefing

Capitaine : Nous savons qu’un Northrop est parti du Kansas, il y a une heure. Selon nos calculs et s’il n’a pas changé de cap, il devrait actuellement survoler le Kentucky en direction de Washington.
Les Etats-Unis ont déjà engagé leur aviation, ils ont besoin de notre aide pour éviter la mort de nombreux civils.

Le Northrop est furtif,sauf si vous avez de la chance votre radar ne peut pas le détecter. Il faudra chercher un contact visuel.

Voilà vous savez tout. Rompez.

Dans les minutes qui suivirent 8 AWACS (airborne warning and control systeme) et 12 F16 prirent leur envols.

À l’Usine.


Aelita (arrivé en bas avant Jeremy) : L’ascenseur ne répond pas. Jeremy.

Jeremy : c’est normal. Je l’avais coupé pour éviter une intrusion dans le laboratoire.

Aelita : il faudrait le rebrancher sinon nous serons obligé d’entrer par la sortie de secours.

Jeremy : ca ne prendra pas un instant de plus. (en branchant son ordinateur à un câble caché derrière le panneau de commande. Une fenêtre s’ouvre alors sur l’écran de son ordinateur) Enter.

L’ascenseur s’ouvrit alors et le duo descendit dans la salle de commande du supercalculateur.

Jeremy : je pense qu’on aura accès a tout ce qui nous faut ici. Pas besoin d’aller sur Lyoko. Nous utiliserons le terminal principal.

La porte s’ouvre sur la salle du supercalculateur.

Aelita : Tu veux réellement relancer le supercalculateur.

Jeremy : nous avons un supercalculateur qui ferait en une heure le travail que nous ferions en un mois par un autre moyen. Je ne vois pas pourquoi on ne l’utiliserait pas.

Aelita : C’est vrai mais et si Xana avait implanté un programme dans le supercalculateur, pour qu’il s’active lors qu’on le rallume . Tu vois ce que je veux dire, un programme de type « phénix ».

Jeremy : de toute façon si c’était le cas nous le saurions grâce au super-scan.

(Jeremy actionna la commande)

Le supercalculateur s’alluma sans problème après les quelques jours d’inactivité.

Jeremy et Aelita remontèrent a la salle principale où les dossiers se rechargèrent petit a petit.

Jeremy : cela prendra un certain temps. (il se tourna alors vers Aelita quand soudain les haut-parleurs émettent un son non voulu. )

Sur l’écran apparaissent les coordonnées d’un répliqua plus grand que ceux rencontré auparavant.

Jeremy : C’est impossible. Xana ne peut pas être sorti si vite.

Aelita : C’est peut être un bug du superscan.

Jeremy tape quelque ligne sur son clavier et une fenêtre apparaît sur l’écran de droite.

Jeremy : Ce ne peut –être Xana , notre multi-agent cours toujours dans le réseau.


À 39°30 Nord 31°16’ Est
station française de détection de missile.
21h29

Soldat 1 :Mon capitaine, Je capte un signal faible se déplacement assez rapidement. Dernière position connue 33° Est 42° nord avec un cap de 088.

Capitaine : sergent Frazer fait sonner l’alarme, ça ne peut être que notre fugitif.

Sergent : À vos ordre mon capitaine.

Colonel Armando : officier de radio ,prévenez les porte-avions Belgica, Enterprise, Britannia et Norse. Je veux que tout leurs avions convergent vers ces voleurs d’avions. E que as chamas do seu reactor iluminam o céu como se era Meio-dia. Exécution.


Kadic
21h43

Vue de l’extérieur, deux mirages passent au dessus de Kadic a une vitesse de plus de mach 1,2 ce qui eut pour effet d’en réveiller plus d’un. ( Mach 1,2 est la limite de création d’un mur du son.)

Odd (encore à moitié endormi) :hein, c’est l’apocalypse.

Ulrick : Non, ça c’est quand tu enlèves tes chaussures. Ça ressemblait plutôt à des explosions, il faudrait aller voir ce qui se passe.

Ulrick passa la tête pour voir ce qui se passe dans le couloir.

Jim (sortant de sa chambre) :Saleté de Japs, on peut même pas dormir tranquille ici. Ils vont voir de quel bois je me chauffe.

A ce moment-là, le gsm d’Ulrick sonna dans sa poche.

Ulrick : Allo. Non on n’a rien. Pourquoi ? Quoi mais je croyait. Bon on rapplique au plus vite. J’appelle Yumi.

Odd : Alors.

Ulrick : Jeremy a détecté un répliqua activé et que Xana l’utiliserai peut-être pour nous attaquer.

Odd : Alors si j’ai bien compris l’aventure continue.

Ulrick :Malheureusement, oui.

Ulrick composa le numéro de yumi.

Ulrick : Yumi ca va ?

Maison des Ishiyama
21h53
Yumi : allo. Non c’était pas de mon côté. Qu’y a-t-il ? Quoi !! On se retrouve à l’usine.

Yumi s’habilla en vitesse et sorti de sa chambre mais manque de bol elle ne fut pas seule à le faire.
Mr Ishiyama : Yumi puis-je savoir où tu va ?


Kadic.
21h54


Jim (patrouillant dans le couloir) : rentrer tous dans vos chambres. Ce n’est pas des explosions qui vont vous empêcher de dormir. Quand j’était en service en indonésie, des explosion nocture se produisaient très fréquemment et ca ne nous empêchait pas de domir comme de Marmatte, non des Mormatte, non des …

Odd : Des Marmottes messieur.

Jim : comme je le disait cela ne doit pas vous empêcher de dormir comme des marmottes. Alors, tous dans vos chambres respectives.


Dans sa chambre, Ulrick téléphone à Jeremy.

Ulrick : Jeremy,il se peut que Moi et Odd ont soit un petit peu retardé de notre côte. Tu connais Jim, impossible de s’éclipser avant au moins dix bonnes minutes.

Au dessus du golf de Gascogne.
22h20


Pilote 1 : EF 21 to squadron leader, nothing in sight yet .

Squadron leader :Damn, We must be near i am sure.

Pilote 1 : Hey , Whats that ?

Two tiny black shape fly next to him. (oups , déso. Traduction :Deux petite forme noire volaient proche de lui.)

Squadron leader : Qu’est-ce ?

Pilote 1 : Je sais pas,c’est trop gros que pour être des oiseaux.

C’est alors qu’un troisième arriva par derrière et ouvrit le feu . ses lasers percèrent le fuselage de l’euro fighter en plusieurs endroits.

Pilote 1 : They’ve attack me. Mayday, Mayday.

Un trou dans la couverture nuageuse permit au pilote d’apercevoir le Northrop entouré de nombreuse autres Mantas.

Squadron leader: Northrop spotted at 45° North 8°East. Beware he has an strange escort.

Pilote 2 : Roger Roger.

Pilote 1 : Ejection, éjection, éjection.

Ainsi débuta la « bataille de France ». Trois euro fighters en formation serrée foncèrent vers les coordonnées juste émises. Près de trente chasseurs de toutes nationalités survolaient en ce moment le golfe de Gascogne et partirent pour engager le Northrop avant qu’il n’atteigne la côte française.

Les trois euro fighter arrivèrent aux coordonnées pour voir leur « squadron leader » partant en vrille après avoir perdu la quasi entièreté de son aile gauche.

Squadron leader : Ej…

L’avion explosa avant que le pilote pu s’éjecter.

Pilote 2 : EF 17 et EF 06 écarter l’escorte, j’engage le Northrop.

Pilote 3 et 4 (à quelque seconde d’intervalle) : Roger.

Les deux euro fighter eurent difficulté à attirer l’attention des mantas, et quand il réussir, il le regrettèrent amèrement. Quelques minutes après leur engagement, ils survolèrent Nantes.

Le Pilote 2 désengagea quand un orage éclata rendant les abord du Northrop mortellement dangereux.

Quelque instants plus tard, les autres chasseurs arrivèrent.

Tout les avions qui osèrent engager le Northrop furent soit foudroyé soit détruit. Quelques avions parvinrent à tirer leurs missiles sur le Bombardier, mais les mantas se sacrifièrent pour défendre le xanatifié de 2 milliard de Dollar américain.

Le Northrop passa au-dessus de Angers, le Mans, Chartres sans se soucier des chasseurs qui cherchaient une ouverture pour l’abattre. Déjà La tour Eifel brillait au loin. Jusqu'à ce moment le Northrop continuait sa course sans avoir subit de dégâts.


A ce moment précis advint l’élément que Xana n’a pas pris en compte dans ses calculs, la surchauffe du supercalculateur. A ce moment, la plupart des monstres pourchassant les rescapés de Carthage furent détranslatés pour diminuer la consommation du supercalculateur. Malheureusement, la base de Carthage était équipée de refroidisseurs au fréon qui se mirent automatiquement en marche refroidissant le supercalculateur pour quelque minutes supplémentaires.

L’aile portante ouvrit ses soutes et engagea sa cible. Quand un des chasseurs ayant volé au raz du sol pendant quelques minutes parti en chandelle faisant feu de toutes pièces. Un des tirs toucha la soute faisant exploser les bombes. Le Northrop perdit sa portance, mais pas sa manoeuvrabilité. Dans un dernier soubresaut, le bombardier furtif s’écrasa sur l’usine de l’île Seguin. Endommageant toute la partie sud du complexe.

À l’usine
23h09

Jeremy et Aelita entendirent une énorme explosion dont l’écho se répercuta dans la cage de l’ascenseur.


Episode 3 : La dernière brigade.


Base carthage
Dans les garages du bâtiment B
22 h 30 Le même jour.


une trentaine de personnes se massent autour de trois APC placé en triangle au centre du garage.

Private Ryan : Mon lieutenant, le dix-septième régiment blindé est a dix kilomètres.

Lieutenant Karsov : C’est bien. Des nouvelles du colonel ?

Un silence s’abattit dans le garage.

Private August : Le colonel Jephries est certes un bon chef ,mais j’ai peur que cela n’ai pu l’aider contre ces monstres.

Un vitre éclata alors derrière le lieutenant suivie par quelques lasers.

« To cover » cria le soldat Ryan.

Les soldats s’exécutèrent et après quelque salves de tir, la situation se calma à nouveau.

Lieutenant.Karsov : il nous faut sortir d’ici.

Private Ryan : avec ces boules blindée dehors ? On a aucune chance de passer sans y passer nous même.

Private august : Il a raison. Il nous faut attendre le régiment de blindé. A ce moment-là, nous aviserons.

Sentinelle :Mon lieutenant, ils reviennent en force.

Lieutenant En position de combat.

Trois block arrivaient par le couloir, escorté par cinq kankrelats et trois frelion. Rapidement, les block furent hors d’état de nuire,mais les frelions parvinrent a sortir du couloir et prirent les marines dans un feu croisé.

C’est ma dernière grenade cria private taylor en la dégoupillant. Il n’eut pas le temps de la jeter dans le couloir qu’il se prit un laser de frelion dans le dos, lâchant ladite grenade.

Grâce aux réflexes du Private August, la grenade fut envoyée dans le couloir juste à temps.

On we go. Tous dans le couloir. Vite, cria Le lieutenant.

Le private Ryan voulu aider le private Taylor a se relever mais la vie l’avait déserté.

Les frelions voulurent les suivre, mais quelques tirs avisés les abattirent en plein vol.

Lieutenant Karsov : Le dépôt de munition est au troisième sous sol. Ryan, August protéger les civils, l’ennemi peut venir de tous côtés.

Quelque étage plus haut
22h28

sergent Hardman : Silence, the hornet is back.

Le frelion en question fouillait méticuleusement chaque pièce de chaque étage.

-On en a l’habitude. Dit Fergusson, un New-yorkais de quinze ans recruté pour un nouveau style d’entrainement.

Il fut ausitôt plaqué au sol quand le frelion passait devant la porte.

-On est certes habitué,Ferg , mais on est pas sur Baal ici.dit Konnor surnommé Konn, écossais de pure souche (même dans ses manière)

Pendant ce temps-là, le frelion fit demi-tour et rentra dans la salle de briefing B-214.

Le sergent Hardman ne voulant pas attirer l’attention des autres monstres se refusait de tirer sur le frelion, si celui-ci ne faisait pas le premier mouvement. ( en fait même un malvoyant pouvait lire la peur sur son visage, mais cela on ne lui dit pas.)

Oscar, un jeune Irlandais recruté de force par son père travaillant dans la base, fut celui qui débloqua la situation en lançant, tel un javelot, le porte manteau sur pied sur le frelion qui fut cisaillé en deux quand le porte manteau heurta le mur.

Bien visé Oscar. S’écria Sean (de son vrai nom :Seanlaoch) un londonien engagé pour son excellente maîtrise des art martiaux principalement l’escrime et du kalari payatu. (bien qu’on ne mentionne dans aucun rapport que son grand-père avait été préposé aux armes dans cette même base.

Sergent Hardman : Il ne faut pas rester ici. D’autre viendrons en plus grand nombre.
Leila : ce ne sera pas difficile. (Leila est la seule fille du groupe. Elle aime le noir non par gothisme mais plus pour ne pas être vu par tout le monde. La douceur a depuis longtemps quitté son quotidien depuis que ses parents sont morts l’un en mission l’autre de chagrin.)

Sergent Hardman : Nous devrions trouver des armes au troisième sous-sol.

Fergusson : Donc cap vers le troisième sous-sol.

Après avoir descendu quelque volée d’escalier, Hardman et les recrues rejoignirent Karsov et les scientifiques.

Lieutenant Karsov : Hardman. Toi qui vient des étages comment se présente la situation de ton côté.

Sergent Hardman : Tout est calme, mais l’ennemi rode. Ce fut un véritable carnage. De nombreux soldats sont tombé dans notre couloir. Peu d’entre eux avait plus qu’une arme de point. Nous n’avons pas rencontré de survivants durant notre descente.

Lieutenant Karsov : Nous nous rendons au dépôt de munition.

Fergusson : Nous aussi. Il ne faudrait pas rester ici. On est trop exposé.



Sur Baal
22h30


Trois guerrier, un lancier, un légionnaire et un « axe-man » se battent contre un nombre impressionnant de kankrelats, tarentules et manta.

Rapidement l’ « axeman » fut dévirtualisé par une charge de trois manta après avoir tué deux tarentule et sept kankrelat (en cinq minute).

Les mantas firent un demi-tour et dévirtualisèrent le lancier alors qu’il protégeait le défunt « axeman » des tirs d’une tarentule.

Le spadassin n’eut pas le temps de remarquer leur disparition qu’il fut attaqué par la méduse.



Carthage lab
S room
22H31

Soldat Barry : Ouch, C’est pas possible. Ils ont amélioré le multi-agent ou quoi.

Soldat Cathal : Il n’oserai pas le faire en plein milieu d’une séance.

Voyant un corps inanimé sur le sol,les pieds dans un des scanners.
Cathal :Hey il y a du nouveau ici.

Barry : C’est qui ?

Cathal : Comment veux-tu que je sache, on a pas été présenté.

Quelque coups de feu éclatèrent dans un lieu fort proche, annonçant au Baal warrior l’amère bataille dans laquelle leur collègue sont engagé depuis de nombreuse heures.

L’homme barbu allongé, âgé dans la septantaine et ayant les cheveux grisonnant, essayait de se relever.

Barry : Va l’aider, Je vais voir ce qui se passe.

Cathal n’eu pas le temps de refuser que Barry disparu dans l’escalier.

Cathal : Bonjour, puis-je vous aider a vous relever.

Inconnu : Merci. J’avais oublier que cela faisait si mal.

Cathal : Je m’appelle cathal Varshneya. Et vous.

Inconnu : Waldo Schaeffer mais on me connais plus sous le nom de Franz hopper.

Cathal : Vous avez bien dit « Schaeffer ».

Franz H : Oui pourquoi ?

Cathal :J’ai le malheur de vous déclarer que vous n’êtes plus le bienvenu dans cette base. Mon père, le Docteur. Deepak Varshneya a été celui qui vous a remplacé. Il avait de l’estime pour vous. Mais il ne pouvait pas se permettre de démissionner, surtout après ce qui vous est arrivé.

(Voyant son collègue revenir)

Cathal : Il est pour le moment préférable pour vous de garder l’anonymat, John Doe.

Barry : La base est en code rouge. As-t-il dit comment il s’appelle ?

Cathal : Non. Selon la coutume, on l’appellera John Doe.

Barry : Alors, John Doe veuillez bien nous suivre.


Un étage au dessus.
22h49

Private Ryan : L’escalier de service est à l’autre bout de ce couloir.

Comme s’ils avaient été entendu, cinq kankrelats et une tarentule prirent position au fond dudit couloir.
Private Cadmon : Il n’y a pas d’autre chemin ; il faut passer.

Private Ryan : même en grand nombre et bien armé nous ne parviendrons pas à les déloger. Ils sont hors de portée de nos grenade.

Ils furent alors tous dépassé par le colonel qui s’engouffra dans le couloir

Karsov : Mon colonel, non.

Mais le colonel william Jephries continua sans broncher.

Private Ryan : c’est qu’il parvient a passer le colonel.

Private august : cela ne sent pas bon. Cela signifierai qu’il est passer à l’ennemi. Et que nous nous battons pour rien.

Karsov : On se bat pour nos vie, et celle de ceux qui comptent sur nous.

Le groupe suivit le colonel renégat, mais, quand le colonel arriva à la fin du couloir, les choses se corsèrent.

Private August : coucher vous.


L’étage du dessous.
Dans la command room
Peu de temps plus tard.


Barry : Bonjour mon colonel. Des nouvelles de la surface ?

En peu de temps qu’il n’en faut pour le dire, Barry fut projeté au loin suite à un choc fulgurant du colonel.

Cathal eut à peine le temps de réaliser ce qu’il se passait qu’un second éclair le frappait en pleine poitrine.

Les laissant pour mort, le colonel entra quelque données dans l’ordinateur le plus proche et partit vers la s room.


Le couloir de l’étage du dessus
22h54

Fergusson : August passe moi une de tes grenades.

August : je sais pas ce que tu compte faire avec mais tiens.

August fit rouler une de ses grenades vers Fergusson.

Fergusson : August tu lance ta grenade.

August. Mais…

Fergusson : Tu lance ta grenade. Point. Le reste, je m’en charge.

August :d’accord.

August lança sa grenade au plus loin qu’il pu, mais n’atteint aucun des monstres.

Profitant du nuage de poussière dû à l’explosion, Fergusson chargea les monstres et lança sa grenade dans le groupe de monstre.

Grâce à une armoire, Fergusson et un kankrelat échappèrent à l’explosion.

Fergusson : You get out of here. (donnant un coup de pied au kankrelat.)

Le kankrelat n’eut pas le temps de se remettre de ses émotions de petit programme qu’il reçut du plomb dans la caboche.

Dans la S room , un des scanners se referma, virtualisant le colonel pile dans les tentacules de la méduse.


[/b]

general xana
26/01/09 à 21:20
Trop cool ! J'ai l'impression de lire du Tom Clancy !!! J'adore la façon dont tu utilises la documentation, et la précision et le réalisme qui ressort de ton récit. Mais celui-ci mériterait une meilleur mise en page, et sans doute un approfondissement dans la narration, les descriptions et la psychologie, ainsi qu'une explication du contexte spatio temporel de ton histoire.

Lordwilliam
26/01/09 à 21:57
Je vais essayer de faire tout cela tout en écrivant la suite.

tu ne t'es pas trompé en citant tom Clancy, je suis un fan du film "à la poursuite d'octobre rouge" et j'essaye de lire le livre. (si je le trouve).


sache qu'il m'a pris plus d'un mois pour assembler toutes mes idées sur le sujet, et une semaine pour les mettre par écris (en mettant des passages en VO même pas sous-titré). j'ai déjà, en comptant les lyoko-guerriers, seize personnes qui seront virtualisé ( Nom prénom armes et véhicule) plus une petite surprise nommée Fenrir.

j'espère pouvoir poster une suite correcte le plus vite possible.

PS : Si vous pouvez me montrer une mise ne page plus adéquate pour ma fan fic, je vous en prie fait le.

julien-dupont
26/01/09 à 23:02
que choisir ? entre les deux mon coeur balance :p

Code Tanit ou Code Baal

des militaires, un deuxieme super calculateur, franz hoper,et tous un tas de details qui me plaisent.. :D

bravo la je crois qu'on est partis pour le choc des civilisations et des mythologies et je vois au loins fleur d'equinoxe qui pointe le bout de sa plume ( non Maggaelita je ne fais pas un obsetion sur les plumes aujourd'hui)

pour dire voila une fanfic que je vais suivre de tres pres,si tu veux t'inspire de certaine chose lit code Tanit, tu pourras t'en aspire pour donner de la profondeur a tes personnages bien que je te sent tres axés sur les scenes de combat a l'americaine.

la je me sent chaud pour un petit combat.. sa te dit un match entre tes personnages et les miens...

Baal warriors versus Cartha-guerrier

les paris sont ouvert et les popcorns sont vendu a l'entré de l'arène.

Quand a fleur d'equinoxe ....pitié ne nous fais pas un code Didon...

general xana
26/01/09 à 23:19
Objection ! Ceci est une zone démilitarisé, en vue des accords de munich signés le 28 aout 2022 stipulant je cite, que tout affrontement... merde je me suis gouré. Non mais en fait, tapez vous dessus ! Moi et mes gars on reste derrière la colline. On attend, et on regarde. :twisted:

julien-dupont
26/01/09 à 23:30
fait pas ton timide, toi est tes ballerines vous pouvez venir sa nous fera des hors d'oeuvres a massacrer avant que les vrai soldat se zigouillent de façons fraternelles.

Joyeux massacres, évicerations nocturne, personellemnt j'ai jamais étrangler quelqu'un avec les boyaux d'un autre.

Non mon general je vous en pris rester sur votre colline,se qui va suivre n'est pas pour les militaires, ces bonnes ames sensibles amatrice de scrabble et de partie de thé entre copines.

Fleurdequinoxe
27/01/09 à 01:43
Je crois que je hais cet homme (non,non, ne cherchez pas il se reconnaîtra bien tout seul) en tout cas si je devais entammer l'écriture d'une nouvelle fanfic (sachant que j'en ai déjà une en projet, quatre en stand-by et une sur le feu en train de mijoter à feu doux) elle s'appellerait probablement "Quode Quantum" et si il me fallait absomument un nom de divinité babyloninienne ce serait sans doute Ishtar, question de sonorité sans doute et de potentiel aussi. Déesse de la vie et de la mort, de l'amour (physique hélàs les agappées n'étaient pas très développées à cette époque) et de la guerre....

general xana
27/01/09 à 07:07
Messieurs, fis-je en me retournant vers mes dix milles légions, admirer le spectacle et préparez vous, l'avenir de ce forum se joue devant vos yeux ! Yek yek yek! :twisted: ( dsl de polluer ce topic avec ce flood, mais je ne peux rester de marbre ! )

julyan
27/01/09 à 19:45
on se calme ou je lance l'arme ultime: le cd de céline dion.

j'attent la suite mais je ne peux que te félicité pour le début de ta fiction

Lordwilliam
27/01/09 à 19:52
Pour Julien-Dupont

voici la liste des Baal warrior déjà apparu dans ma fan fic.
prenom Nom (Signification du prénom) (genre) arme


Baal team 1 (jeunes)

- Leila Kalju (nuit, beauté sombre) (f) Ninja
- Fergusson Humboldt (Homme fort) (m) masse (le « mjolnir » pour être précis) et un petit bouclier
- Seanlaoch Colton (alias Sean) (héro des temps anciens) (m)hache et bouclier (de taille normale)
- Oscar chavez (lance divine) (m) lance
- Connor wilson (chien de chasse noble) (m) mortier


Baal team 2 (adultes)

- Cathal Varshneya (puissant dans la bataille) (m) hache double assez large pour servir de bouclier de fortune.
- Barry Palmerston. (lance) (m) lancier.


Xana team (adultes)

- Saif Towsen (épée) (m) légionnaire (bouclier, glaive et javelot)
(Ancien Baal warrior)
- William Jephries (Volonté de guerre) (m) hallebarde double, flèche empoisonnée
(Ancien Baal warrior)

si tu veut les défier tu peut, mais je te signale que Baal est un camp d'entraînement virtuel.

Ps: Karsov a été lui aussi entraîné sur Baal mais je ne donne pas son arme car ce sera une surprise lors du dernier épisode "Ragnarök".

general xana
27/01/09 à 20:26
oh, et que se passe t-il si je touche à ce fil ??? :oops: :twisted: :twisted: :lol: :roll:

julien-dupont
27/01/09 à 21:06
je vois pas mal de reference a la mythologie nordique,ça reste interresant
donc je suis curieux de voir comment tous se petit monde va se taper dessus.


** et fait d'armes exeptionnel j'ai reussi a ecrire un post sans me mettre a dos tous le forum.

Lordwilliam
27/01/09 à 21:39
Of course (de chval)

si tu n'a pas remarquer mais les prénoms ou surnoms de tout les lyoko guerriers (sauf Yumi) sont d' origine germanique.

Odd (nom norvégien). aelita (nom lituanien), jeremy alias Einstein (einstein est un nom germanique) ulrich (Allemand) Waldo (scandinave et signifie : qui arrache sa victoire) anthéa (probablement balte) William (scandinave ayant passé ensuite en angleterre puis au USA et signifie Volonté de casque (guerre) )

Je vois pas pourquoi je ne continuerais pas dans la même lignée.

signé Lord william Jephries, grand général de Xana sur Lyoko. ( et simple internaute sur terre)

Lordwilliam
27/01/09 à 22:16
Episode 4 : épave en eau trouble.

A l’usine
23h10


Dans l’usine, Jeremy vérifie la situation via ses caméras. Sur son écran, on aperçoit la salle cathédrale éventrée dans sa majorité et le fuselage du bombardier arrêté à seulement quelques mètres de l’ascenseur.

Aelita : Mon dieu, Xana a détourné un avion commercial sur l’usine. Pense un peu aux nombreuses victimes.

Jeremy : ce n’est pas un gros-porteur, c’est un Northrop Grumann B-2 spirit, le plus puissant des bombardiers furtifs au monde. Je me demande pourquoi Xana l’a choisi au lieu d’un airbus, plus courant dans le monde réel.


A Kadic
23h10


Odd et Ulrick avait finalement réussi a sortir du dortoir et se trouvaient dans la chaufferie quand l’explosion eu lieu.

Ils montèrent sur leur planche à roulette et partirent à toute vitesse vers l’usine.

Ils étaient bien engagés dans le tunnel quand un eurofighter, cisaillé par un tir de manta, s’écrasa dans le parc de l’école, près du gros chêne. Suite à ce crash, le tunnel s’effondra devant les lyoko guerriers.

Odd : Quand je pense que si on s’était dépêcher on aurait eu la spécialité du Chef. Ragout de lyoko guerriers, sur coulis d’ordure.

Ulrich : allo Jeremy, Je pense que nous aurons encore quelque contre-temps. Xana a fait s’effondrer les égouts.

Odd : Et on devra se dépêcher si on sait pas évoluer pas en poissons dans les minutes qui suivent.

En effet, suite à l’effondrement, le niveau de l’eau augmenta à un bon rythme. L’eau dépassait déjà les dix centimètres de hauteur, délogeant la faune locale.

A l’usine
23h12


Jeremy : Oh ho, on a de la visite.

Sur l’écran, on voit plus d’une dizaine de policier s’amasser autour de la carlingue de l’appareil.

Aelita : Tu verrouille à nouveau l’ascenseur.

Jeremy. Mais c’est élémentaire. Enter.

Aelita. Vu que l’on est forcé de rester ici encore un long moment, on pourrait utiliser notre temps à recréer le Skidbladnir.

Jeremy : Recréer le skid prendrait des mois et tu le sais bien. Mais j’ai une idée qui pourrait marcher.


Dans les égouts
23h35


Ulrich et Odd avancèrent difficilement dans la masse grouillante des rats qui les entouraient. Quelque foulées plus loin, ils atteignirent la chaufferie où ils tombèrent sur …

Odd et Ulrich : Jim

Jim : Stern, Della Robia je vous prend sur le fait. Expliquer moi ce que vous …que ce que …Aah !

Brusquement, Jim recula de plus de trois mètres à la vision de la masse des rats qui suivait nos héros. Il recula tellement qu’il trébucha sur ces lacets défait (ou pas fait du tout) et s’assomma.

Odd :Voyons monsieur, ce ne sont que des rats effrayés, c’est pas comme s’ils allaient attaquer le collège.

Ulrich : n’empêche qu’on devrait pas le laisser là.

Après avoir traîné le professeur de gym jusque dans l’infirmerie, les deux lyoko-guerriers quittèrent finalement le collège.


C-130 Hercule de la KSK
au dessus de Paris
23h49


Officier allemand : Die Northrop hat sich im Süden von Paris zermalmt. Sie müssen die Northrop um jeden Preis sicherstellen. Vorzubereiten Sie, Sprung in drei Minuten.

Regardant la lumière rouge, les fallshirmspringer de la Kommando Specialkräfte se pressèrent vers la porte

Jetzt cria le commandant Heller quand la lumière se changea en vert.

(Jetzt se traduit en français par : maintenant)

Dans le ciel, une quinzaine de parachutes s’ouvrirent.


Sur les quais
23h53



Odd : Oh, flocons humain droit devant.

Ulrich : Vu. Je pense pas que ce soit un simple exercice. Il faut aller au plus vite sur Lyoko.

Voyant l’usine en ruine avec les giro-phares bleus miroitant au travers des fenêtres.

Odd : Non mais, il n’a pas chaumé Xana. En près d’une heure, on a faillit se faire écraser, broyé, noyé, prendre par Jim et maintenant l’usine est en ruine, la police occupe la salle cathédrale et l’armée vient les renforcer.

Ulrich : Il est vrai que les chances d’atteindre la salle des scanners a sérieusement diminué. Mais il dois bien avoir un moyen d’atteindre par la salle machine

Odd : Sans trop te faire désespérer mais la salle machine est ensevelie sous un tas de décombres.

Ulrich : c’est « Le » seul chemin non surveillé.


Premier sous-sol de l’île Seguin.
23h54



Aelita : Ulrich, Vous en êtes où ?

Ulrich (en off) : On est bloqué face à l’usine Aelita. La police tient l’usine et une dizaine de parachutistes devraient arriver sous peu. Nous ne pouvons passer sans se faire remarquer par l’un ou par l’autre.

Aelita (a Jeremy) : Ils sont devant l’usine. La police leur barrent le pont et des militaires arrive par les airs.

Jeremy : Et bien xana, tu nous a mis dans un sale merdier, cette fois-ci. Une chance pour nous que le Northrop attire l’attention des policiers sans quoi on serait déjà découvert et arrêté. Ils aurons besoin d’une diversion, tu peut dire qu’ils l’aurons.


Sous le pont menant à l’usine
23h54


Ulrich : (a son téléphone) d’accord Aelita (à Odd) Jeremy nous envoie une diversion.

Odd : c’est pas trop tôt, les premier parachutistes se sont déjà posé sur le toit de l’usine.

C’est alors qu’une cacophonie monstre mêlant sirène, radio, klaxon surpris tous les policiers

Un policier : c’est quoi ça,

Un autre policier,j’en sais rien mais, dés que les militaires arrives, moi je me casse. Il y a de mauvaise vibration, selon moi c’est extraterrestre . Et je ne veut pas en être mêlé.

Pendant que les policiers cherchent à arrêter ce vacarme ,Odd et Jeremy parviennent à se faufiler jusqu'à l’épave de l’appareil.

Ulrich : C’est bon Aelita, on est passé.

Un policier : Tu va t’arrêter saleté d’engin ou je t’envoie au ferrailleur.

La cacophonie s’arrêta.

Un policier : A voilà tu vois quand tu veut.

Dans la partie sud de l’usine
23h56


Odd :Selon toute logique, la chaufferie est sous plusieurs mètres de gravas.

Ulrich : arrête de dramatiser Odd, il y a un mètre tout au plus, et je suis certain qu’une minute ou deux devraient suffirent pour nous créer un passage.


Sur le toit
23h57


soldat allemand :Mon Commandant, Il se passe des choses bizarres dans cette usine.

Commandant Heller : les ordres sont formel, il faut sécuriser l’épave a tout prix avant que l’armée française ne s’en mêle. Sinon c’est toute notre organisation qui est sabordé.

Soldat Allemand : ja volle.

Maison des Ishiyama
0H05


Yumi : Allo Jere… Aelita. Je viens à peine de sortir de chez moi. Je rapplique au plus vite.

Yumi écarta son GSM de son oreille et l’éteignit.

Aelita (en Off) : Yumi fait att…(ention, l’usine est gardée)

Dans la partie sud de l’usine.
0H12

Un trou s’ouvre dans le tas de gravas sous les pieds d’Odd.

Ulrich : Odd,Ca va ?

Odd :Si par « ca va » tu veut dire « rien de cassé» alors ca va. Mais mon pied est coincé.

Ulrich : ce ne sera pas long Odd. On est dans la salle machine. Un coup de téléphone et aelita va venir nous aider.

Sur le toit de l’usine.
0H13


Soldat allemand. : Mon commandant. Il y a du mouvement derrière l’épave.

Commandant Heller : Occuper vous de coordonner le rassemblement de l’unité. Je m’occupe de l’épave.

Soldat Allemand : Ja Volle, Kommandant Heller.

Commandant Heller (En apparté) : Ainsi ils ont quand même survécu au crash.


Dans la salle des machines
0H15


Aelita : Me voici, où est Odd ?

Ulrich : Il est là bas derrière. (montrant un tas de débris avec une barre de fer.)

Malgré plusieurs minutes d’effort, Le pied d’Odd était resté dans la même position.

Odd alors ca vient car je commence à avoir des crampes.

Aelita : pour tout te dire Odd, Nous ne savons pas te sortir de là.

Je peut peut-être vous aider.dit un William détrempé. Jeremy m’a téléphoné, il semblerait que Xana est toujours en vie.

Grâce à l’aide de William, Odd fut libéré du morceau de plafond qui gardait son pied prisonnier.

Après quelque minutes, ils étaient tous (sauf Yumi) avec Jeremy.

Jeremy : j’ai trouvé le moyen de voyager dans le réseau sans le Skid. C’est un moyen de fortune, mais au moins cela marche. Mais d’abord je doit vous montrer quelque chose. L’holo-globe.

L’holomap qui montrait les quatre territoires de Lyoko fut en un clic changé en un globe terrestre où chaque avion, chaque bateau, chaque voiture, chaque ordinateur et même chaque être vivant était référencé.

Odd : Whaw. C’est meilleur que googlemap ce truc.

Jeremy : Odd, ne remarque tu pas qu’avec ce programme,on peut espionner tout le monde tout le temps.

Ulrich : si c’est le cas alors pourquoi tu l’a créé.

Jeremy : Je ne l’ai pas créé. Il était dans une zone secrète du supercalculateur. Ce n’est que par hasard que je suis tombé dessus. Cela peut explique comment Xana localise les êtres ou objet qu’il veut xanatifier.

Ulrich :Jeremy, c’était quoi l’autre chose que tu voulait nous montrer.

Jeremy : j’y viens. Grâce à l’holo-globe, j’ai pu reconfigurer le transporteur pour qu’il fasse des trajets plus longs. Ce n’est pas encore l’égal du skid, mais nous pouvons continuer de traquer xana. j’ai aussi incorporé un système de décryptage de code automatique au cas où vous tomber sur une porte fermée.

Odd : Oh non encore un voyage avec le transporteur. Je croyait qu’on avait fait l’impasse sur lui.

Jeremy : prêt à plonger ?

Aelita,Ulrich,William et Odd : chef oui Chef.



Dans la salle cathédrale
0H46



Un Policier : Hey Toi là-bas. Les mains en l‘air.

Pilote Ex Xanatifié :que… que c’est-t-il passé ici. Où suis-je ?

Inspecteur : Comme si tu savait pas. Tu a détourner ce bombardier pour tuer notre président. Mais tu as échoué rend toi.

Dans l’ombre de l’appareil, un spectre se faufile jusqu’au pilote et en reprend possession.


Un des policier : Il a une attaque. Appeler un amb… ouch.

Le xanatifié s’était relevé et avait lancé un nombre impressionnant d’éclair sur les policiers.

Sur le toit.
0h47


soldat allemand : Es ist ein Hexer (c’est un sorcier.)


Commandant Heller : Gemacht nicht das idiotische. Es gibt keine Hexer. Feuer

0h47

Yumi n’était qu’a mi-chemin de l’usine quand la fusillade éclata. Sur la route trois combis du GIGN (groupe d’intervention de la gendarmerie nationale) section piratair, piratome et Piratox. (spécialisée respectivement contre les détournement d’avion, les attaque nucléaire et les attaques chimique et biologique)

Dans la seine, deux bateaux de la brigade d’investigation sub-aquatique de la SSP (section de sécurité protection) prenait d’assaut l’île Seguin.

Dans les laboratoires de Carthage, le refroidisseur au fréon s’arrête et le supercalculateur repart en pleine puissance.

0h50

Dans la salle cathédrale, les fallschirmspringers tombèrent à un rythme effréné. Les cartouches commencèrent à manquer. Dans le ciel, deux C-130 apportait le renfort.

Des flash de lumière illuminèrent le ciel. La luftwaffe fut alors confronté à une escadrille de six manta en formation serrée. Les mantas furent dévirtualisée assez rapidement, mais elle parvinrent quand même à détruire un des deux C-130 (ou du moins endommagèrent sérieusement leurs ailes.)

Une des ailes de C130 cisaillée par les mantas virevolta quelque instant avant d’être attiré par une usine chargée comme un électro-aimant du fait des nombreux éclairs qui s’y produisait.

Donc l’usine fut la cible d’un morceau de ferraille de plus d’une tonne qui s’écrasa pile sur le point le plus électriquement chargé dans l’édifice, le Xanatifié lui même.

Je ne parle pas du fait qu’entre-temps, le C-130 diminué de son aile c’est écrasé dans les flots de la Seine tuant sur le coup les soldat de la KSK à son bord.


1H23

- Commandant Heller dit l’ordonnance Klaus Schmidt. La zone a été sécurisée. Il était coriace ce sorcier. J’espère que nous n’aurons pas recours à la chance quand nous devrons croiser ses compatriotes.

- Il semblerai que les sorciers existe, en effet. Il faudrait alors prévenir la base. S’exclama Heller.

Depuis le pont, yumi espionne le campement Militaire, quand…
-Hey, Sie. Die hand auf dem Kopf.

-Hein fit Yumi.

- Les mains sur la tête, traduisit le soldat allemand.

Yumi essaya de fuir,mais trois mauser furent immédiatement braquée sur elle.

1h 24


Yumi a des problèmes,dit Jeremy on devra sa passer d’elle. Filer dans la salle des scanners, je vous virtualise sur le territoire Désert .


Transfert Odd, Transfert Ulrich
Scanner Odd, scanner Ulrich
Virtualisation

Transfert Aelita, transfert William
Scanner Aelita,Scanner William

Virtualisation.


Jeremy : Qu’est ce qu’…

Jeremy vola contre le mur.

Lordwilliam
27/01/09 à 22:16
je vais faire tout mon possible pour améliorer les descriptions des épisodes à venir.

xana frappe fort, mais deux organisations secrètes vont se battre pour le contrôle des technologies qu'elles ont financées (et qui ont mal-tournée).

Au fait, Cela commence assez hard car c'est le prologue (LOL) cela se calmera un peu après un retour vers le passé.

Xana n'a pas aimé que franz Hopper l'ai trahis une seconde fois. (J'expliquerais le comment et le pourquoi bien plus tard)

alexandre
28/01/09 à 00:59
Et bien c'est pas mal , l'histoire à l'air interessante ... quelque chose me dit que tu aimes bien les films de guerre car on a l'impression d'être en pleine troisième guerre mondiale .

Il y a beaucoup de personnages qui sont arrivés d'un seul coup , je sais pas si c'était judicieux , faut quand même s'y retrouver et qu'on puisse arriver à suivre . Mais je critiquerai pas trop , on m'a souvent reproché la même chose dans mes histoires , enfin on verra par la suite .

Sinon j'adore le système de laisser des dialogues en VO en anglais ou en allemand (je fais allemand en LV1^^) , je trouve ceci très original et l'originalité est rare ces temps ci donc bravo !!

Il y a un bémol , je trouve que certaines actions se déroulent trop vite ou parfois , la narration est trop hachée .

Donc au final , pour l'instant , c'est assez bien , malgrè les points négatifs , c'est grâce à l'histoire très interressante . Mais ne t'inquiète pas , le début est toujours un peu moyen (pour ma fan fic c'est pareil) . Mais plu tu avances dans l'histoire et plus l'écriture est mieux et plus c'est agréable à lire . En tout cas vivement la suite !!

Alex

general xana
28/01/09 à 13:03
Une bonne suite dans l'ensemble, même si les descriptions des lieux et de l'action sont trop hachés.
N'empêche, je ne peux m'empêcher de ricaner quand Jérémie se demande pourquoi Xana a détourné un Northrop Grumann B-2 spirit, pour moi ça me parait évident. Rappelons nous que Xana est devenu plus intélligent, il auraa donc plus conscience des enjeux géopolitiques de notre monde, que ce soit des enjeux économiques, militaires, financiers, ce que je pense, les lyoko guerriers n'ont pas encore.
Et puis, si on veut vraiment foutre sa merde, détourner un des bombardier furtif les plus moderne au monde, c'est sans doute une bonne solution. Et rappelons nous que c'est plus de deux milliards de dollars qui viennent de partir en fumé avec la destruction de ce Northrop.
Ca me rappel le débat où on se demandait si Xana voulait détruire le monde où le conquérir. Serais-tu sur le point de répondre à cette question, où Xana est-il dominé par une puissance ou un lobby précis ? Je pari que c'est un coup des stanislasiens ! ^^

Lordwilliam
29/01/09 à 21:41
Ps (pro scriptum): je vous laisse l'opportunité d'imaginer le décor par vous même.

Episode 4 : Le second mur

Partie 1 : Les geôles de Xana

Dans le territoire désert de Lyoko

Alors Jeremy, s’exclama Aelita. Tu nous envoie les bécanes ? … Jeremy ?

Il se passe un truc pas net. Dévirtualise moi.Fit Ulrich

A ce moment une personne supplémentaire se fit virtualiser sur Lyoko.

Il était habillé d’un long manteau ample de couleur grise, dans sa main se trouvait un bâton renforcé d’anneau en fer.

Jeremy, firent les lyoko-guerriers, étonné de le voir sur Lyoko.

Si tu est là Jeremy, alors qui est au commande ? fit Odd.

Xana. répondit Jeremy, et je suppose qu’il ne tardera pas à débrancher les scanners.

Attendez que se passe-t-il si Xana débranche les scanners. Demanda William

Xana peut nous tuer pour de bon sur Lyoko, répondit Ulrich.

Virtualisé à jamais pour être plus précis. Compléta Jeremy.

Xana va bientôt rassembler toutes ses forces. Dit Ulrich. Même affaibli, il est une menace qu’il ne faut pas sous-estimer.

Jeremy, dit aelita. Nous ne somme pas tous sur Lyoko. Yumi peut encore nous aider.

Je voudrais pas te couper aelita, dit Odd, mais Nous avons de la visite.

Trois manta volèrent vers les lyoko guerrier. Mais au lieu de les dévirtualiser, elles volèrent en cercle autour d’eux, larguant au passage quelque mine.

Ils n’attaquent pas ? dit Odd

Il semblerai que Xana nous veuille Vivant. Dit Jeremy. J’ignore encore pourquoi, mais nous aurions déjà été attaqué si c’était le cas.

Dans les labo de Carthage, De explosions retentissent à l’extérieur.

Mon lieutenant, vous entendez, dit un des soldats.

Le dix-septième régiment. Il est arrivé, dit sergeï Ivanovitch Karsov. Ryan, August. Prenez tout personnes vaillantes et aller porter mains fortes au régiment. Barry, Cathal et moi-même allons protéger vos arrières et ainsi que les civiles. Execution.

Dans la « command room » (aussi grande que la command room de la NASA à Houston) , une bande de scientifique dirigé par le physicien Martens et l’informaticien Hardmann essayèrent de lancer le programme Blocus (programme érigeant des barrières dans la mer Numérique)sur les lignes de communication de la base pour couper l’arrivée et l’émission de donnée et ainsi arrêter le programme meurtrier qui avait élu domicile dans leur supercalculateur.

Un grésillement se fit entendre du terminal où travaillait Hardmann, suivit d’un arc électrique.. Quelque chose d’anodin, vu que la majorité de la salle avait souffert autant des tirs des monstres que de la riposte des soldats.

Ce n’est rien fit Hardmann. Je n’ai rien. Continuer le travail.


Sur Lyoko, la situation était sur le point de changer. Quatre boules orangées sortirent de la mer numérique et plongèrent vers le groupe de lyoko guerrier.

Les sphères se rapprochèrent de plus en plus.

J’aime pas ça, dit Ulrich. Triplicata.

Le sphères étaient encore à vingt mètre quand aelita se souvint de ce que c’était.

Des gardiens,cria-t-elle Courez.Il faut rejoindre un tour, là-bas ils ne pourront pas nous atteindre

Les lyoko-guerriers ne se le firent pas dire deux fois, mais c’était déjà trop tard. William, ne sachant pas ce qu’un gardien était réellement hésita un seconde de trop et fut capturé.

Odd Coura du plus vite qu’il pu, mais se retrouva rapidement entre d’un côté la mer numérique et de l’autre le gardien. Se couchant, il évita le gardien mais il ne réussi pas a se relever assez rapidement et fut lui aussi capturé.

Jeremy, quand à lui, vu ses notes en éducation physique, fut capturé aisément.

Ulrich fut celui qui eut le plus de chance. En effet, le gardien après une poursuite effrénée avec un Ulrich au plus haut de sa forme se trompa et captura une des deux copies d’Ulrich.

Dans la salle de l’holographe, une sonnerie retentit, L’holomap détecta la méduse. Mais rapidement toute la pièce retrouva sa sérénité. J’ai pas dis silence,car un clicotement permanent remplissait la pièce.

Aelita, derrière toi, hurla Ulrich Mais il se trouvait bien trop loin que pour être entendu clairement.

Aelita suivant le regard d’Ulrich aperçu la méduse une fraction de seconde avant d’être enveloppé de ses tentacules.

Super sprint. Hurla ulrich.
Mais les mantas dressèrent un nouveau champs de mine entre lui et Aelita.

Profitant de sa vitesse, Ulrich escalada une parois rocheuse et d’un coup de sabre dévirtualisa une de ces mantas hyper gênantes.

Mais fut immédiatement touché au bras par un laser de kankrelat.

Tiens, des anciennes têtes, je vous ai pas manqué ? dit il juste avant d’esquiver une rafale de tir venant d’un paquet de Kankrelats aidé d’un ou deux block.

De l’autre côté du champ de mine, Aelita fut relâché par la méduse et partit vers l’extrémité du territoire.

Ulrich continuait de parer les tirs des kankrelats, quand les mantas l’attaquèrent dans le dos et lui firent perdre ses derniers PV.

Lordwilliam
31/01/09 à 23:25
Partie 2 : rencontre.

Dans un scanner, Ulrich se massait le dos encore douloureux.

Tous compte fais Xana n’avait pas couper les scanner,se dit-il. Mais quand le scanner s’ouvrit, il fut si étonné qu’il ne vit pas le kankrelat qui le visait.

Un coup de feu le sorti de son état d’étonnement pour ne pas dire émerveillement. Une grande salle s’offrait dans ses yeux. Sur plus de vingt mètre se trouvait des scanners de toutes sorte, la plupart avait la taille de ceux qu’il connaissait mais à l’une des extrémité de la salle se trouvait deux scanners, si grand qu’une voiture pouvait y entrer sans problème et y manœuvrer. De l’autre côté de la pièce se trouvait un homme haut dans sa posture pointant un M16 dans sa direction.

Hands up ,dit l’homme.

Ulrich comprenant que trop bien la volonté du soldat, obtempéra.

Barry, dit l’homme, can you come please,we ‘ve got another intruder..

Let him come ,Cathal, i cannot leave the other one unwatched, répondit Barry.

OK répondit cathal.

Pendant ce temps, Aelita atteignit l’interface et commença à faire apparaître de longue lignes de code.

De son côté ulrich fut forcé d’avancer, un M16 pointé vers son dos encore endolori. Le duo prit un couloir faiblement éclairé par un néon, et déboucha dans une grande salle remplie d’ordinateur tourné tous pour faire face à un holographe identique à celui de l’usine, mais en plus grand. A l’autre bout de la salle, sur une passerelle se dressait un homme, visiblement le chef de la bande d’informaticien qui travaillait sous ses pieds.

Here’s the other intruder. Lock him with john doe, We will interrogate them when the situation will calm down.
Ulrich fut donc poussé dans une pièce assez exiguë. Ne contenant qu’une table et deux chaise. L’une d’entre elles était déjà occupée. La porte, en métal, claqua sèchement derrière lui, plongeant la pièce dans la pénombre.

Dans l’usine, la tension est à son comble. Le GIGN prétexte que l’arrestation de Yumi a eu lieu sur territoire français et donc tombait sous la juridiction française, mais le Kommando Specialkräfte déclara que c’était un acte d’espionnage et qu’elle devait être jugé pour son acte. Et les policiers de ville de Paris pensaient plus que c’était une curieuse qui s’était trouvé au mauvais endroit au mauvais moment.

Après avoir statué que Yumi était une espionne chinoise (nous on sait qu’elle est japonaise) capturée sur le territoire français, La question suivante se posa.

C’est bien, fit l’inspecteur, mais qui va l’interroger ?

Un blanc se fit au milieu de la conversation. C’est reparti pour de longues heures de négociation entre défenseur.

Dans la sombreté de la salle d’interrogatoire, John doe et Ulrich firent connaissance.

-hey, toi, je te connais, tu es Ulrich, dit Franz Hopper.

- Qui êtes vous ? demanda Ulrich. Et comment me connaissez-vous.

-Dans cette base, on me nomme John Doe et tu connais déjà la réponse de la deuxième question.

-Je ne vois pas de quoi vous voulez parler, monsieur Doe.

-Je vais te donner un indice. Dit John Doe. Comment est tu venu ici ?

- C’est pas vraiment un indice cela, rétorqua Ulrich.

- C’est tout ce que je peut te dire, car vois-tu les mur on des oreilles ici.


De l’autre côté de la porte, le Lieutenant Karsov était intrigué par cette double intrusion par les scanners.

-I’ll interrogate the younger one first. Bring him to PC 214.dit il.

Ahoy My lieutenant.Fit Cathal.

La porte s’ouvrit.

You, the young one, come we have some question to ask. Dit cathal.

Qu’est ce qu’il dit ? demanda Ulrich.

Il veut te poser des questions et te demande de le suivre. Dit Franz Hopper.

Dans ce cas, je pense que vous serez mon traducteur car j’y pige rien moi. Rétorqua Ulrich.

Ulrich se leva et fut emmené quelque pièce plus loin. Lors de ce court trajet, il fut remarqué par Hardmann. Celui-ci alors arrêta de travailler et suivit des yeux cet ennemi. Pendant un instant, on aurait cru qu’il allait bondir et se ruer sur Ulrich, mais se ressaisissant il repris son travail.

Ulrich fut poussé dans une pièce plus éclairée dans laquelle Karsov l’attendait.

- well, sit down. I am the lieutenant sergeï Ivanovitch Karsov and i want to ask you some question.

- My lieutenant, He is a frenchspeaker. Said Cathal Do i call for a interpret ?

- There will be no need.

Cathal s’en alla, laissant Karsov et Ulrich seul dans la pièce.

- well, Je suis le lieutenant Karsov. Je me pose quelque question et j’espère que vous pourrez les répondre. Premièrement qui vous êtes ?

- Je suis Ulrich stern, et moi j’aimerai bien savoir où je suis.

- Vous êtes dans une base militaire américaine en plein désert dans l’état du Texas. Je me pose alors cette question, comment se fait-t-il que vous soyez ici, alors que rien ne vous y autorise ? Ou formulé autrement, comment êtes-vous arrivé ici ?

- Je…Je ne sais pas.

- Bien alors procédons par étape, que faisiez-vous avant de vous retrouver ici ?

- Je ne m’en souvient plus.

- Soyez un peu coopératif Ulrich Stern, personne ne sait que vous êtes ici et nous pouvons vous garder prisonnier encore pendant de longues années.

Un bruit sourd eut lieu dans un des couloirs avoisinant.

Cathal se précipita dans la pièce. L’arme au poing.
My lieutenant, dit Cathal, they made a breach in our defense, we are overrun, we must retreat.

Ok Ulrich Stern, Passez devant. On évacue cette zone.

Se tournant vers Cathal il dit : Gather all the men and weapon you can, we will stand in the command room as long as possible. They must have send us other reinforcement than tanks.

Le trio sortit dans le couloir et se dirigea vers la salle de commandement quand la porte blindée (finissant de se fermer) derrière eux fut heurtée violement et se bloqua. Laissant à peine soixante centimètre de libre en dessous.

C’était soixante centimètre de trop, car des kankrelats, un peu à la traîne, commençait déjà à passer leur tête dans le couloir. Ulrich surpris par cette rencontre ne pouvait que suivre Cathal et Karsov. La situation lui échappait totalement.

La salle de commandement, silencieuse depuis plus d’une heure, fut de nouveau le lieu d’un combat épique entre des kankrelats, dont le nombre continuait de croître, et des marines, qui à l’inverse des kankrelats, se faisaient de plus en plus rares.

Malgré leur infériorité numérique, les marines tenaient bon, s’habituant à viser ces ennemis de petite taille. Ulrich se demandait toujours où il se trouvait quand l’holographe se remit en marche , montrant un lyoko bien différent de celui qu’il connaissait. Les quatre territoires de ce monde virtuel avaient des formes et des dispositions différentes. Trois de ces territoires étaient reliés entre eux alors qu’un autre, bien plus large, était à leur opposé. Alors Ulrich compris,il se trouvait dans la base du projet carthage, là même où Franz Hopper avait travaillé. Pas étonnant alors que Xana veuille le prendre à tout prix. L’avancée technologique de ces dernières année avait rendu leur supercalculateur bien plus performant que celui volé par Franz vingt ans plus tôt. Ulrich compris que si Xana prenait le contrôle de cette base toute les armée du monde ne suffiraient pas pour l’en déloger. Il devait les aider.

Fort de cette résolution, il fit demi tour et ramassa le M-16 d’un des marines « Dead in action » (traduis par : mort au combat.) et visa un kankrelat. Le choc du recul fut foudroyant, meurtrissant son épaule, mais le résultat fut à la hauteur de ses espérances, le kankrelat s’effondra.

De son côté, Hardmann continua de taper des lignes de codes sur son clavier, alors que de nombreux soldats tombaient autour de lui.
Dans le couloir, où Ulrich se trouvait quelque instant plus tôt la porte blindée s’éffondra, et un mégatank arriva à pleine vitesse sur les marines qui, pour la plupart, ne purent s’écarter de sa route. Arrivé à la passerelle, le mégatank fit demi-tour et fit feu sur Ulrich. Ulrich se jeta par dessus une série d’ordinateur pour éviter le tir, et malgré ce saut le tir passa à quelque centimètre de lui. Le M-16 toujours dans sa main, il épaula à nouveau et visa le symbole de Xana du mégatank qui le visait. La cartouche qu’il tira atteignit sa cible, mais cela ne semblait pas suffisant. Son épaule continuait de le faire souffrir, mais Il continuera de se battre. C’était comme sur Lyoko, se battre, même si on est sur le point de mourir, c’est cela être soldat de nos jours. Ulrich pointa à nouveau le mégatank, mais celui-ci semblait figé sur place, paralysé. Le symbole de xana éclatant au début perdit petit à petit de sa clarté. Une seule cartouche avait eu raison du mégatank. Le nombre de kankrelat commença dés lors à diminuer progressivement. La bataille était gagnée, l’ennemi battait en retraite. Ceux qui savaient soigner des blessures firent ce qu’ils purent pour sauver toutes les vies qu’ils purent sauver. Et Ulrich restait là, face à la carcasse sans vie du mégatank, sidéré par le fait qu’au moment précis où il a pressé la détente, le mégatank était sur le point de lui ôter la vie. Ce ne fut que quelques minutes plus tard, qu’il reprit connaissance du monde qui l’entourait.

Le lieutenant se tenait à côté de lui.
-Merci pour votre coopération dans cette bataille, mister Stern. Je pense que cette arme nous appartient, fit Il en reprenant le M16 des mains d’Ulrich et le donnant à un soldat qui passait par là. Vous êtes toujours obstiné à refuser de nous dire ce que vous êtes venu faire dans cette base, ou cette bataille vous a rafraîchi les idée. Il est sans doute possible que cette … comment dire… chose, en voulait principalement à vous.

-Je suis prêt a tout vous expliquer, dit Ulrich après y avoir mûrement réfléchi, mais cela prendra beaucoup de temps.

Suivez moi, nous allons trouver un pièce pour être au calme. Là bas vous m’expliquerez tout dans les moindre détails.

Dans l’usine, les négociations furent telle qu’a la fin, tout le monde était d’accord sur le fait que Yumi était une parisienne qui s’était trouvé au mauvais endroit au mauvais moment et quelque minutes plus tard, Yumi retourna chez elle discrètement espérant que dans la nuit un retour vers le passé se produirait.

Dans la command room de Carthage, Le sergent Hardmann s'effondra sur son clavier, tandis que sur lyoko, Aelita repris le contrôle de son corps.

A l'usine, dans la salle de l’holographe, Un compte à rebours se terminait.

5…4…3…2…1…0…connection to Baal accepted


PS:si vous aimez bien mon histoire, faite le moi savoir. j'aimerai aussi savoir si vous aviez remarqué ou pas que Hardmann avais été xanatifié.

julien-dupont
03/02/09 à 22:14
tres interesant faudra voir ce que sa va donner, a coup sur moi sa m'inspire pour ma propre fanfics...

les point comun se succedent entre ton histoire et la mienne un petit post privée s'impose

general xana
03/02/09 à 22:44
Ton histoire me plait bien. Elle arrive à mixer le côté Tome Clancy, scénario géopolitique ( qui devrait être encore plus creuser, que se passe-t-il autour des gouvernements ? Comment réagit les complexes économico financiers ? Et les alliés et les rivaux, leur position ? L'histoire, la back story des persos ?) et l'épique de code de code lyoko. Bref, il ne manque plus que l'entrée en scène des autres participants de l'Histoire, ceux qui sont contraires à notre point de vue: les méchants. Qu'est ce que cela sera-t-il ? Une personne, une pulsion, un lobby, une ou des organisations ? Une guerre asymétrique ? Des idées ? Un mal entendu ? Qui manipule qui ? Qui est/sont les/le maitre marionnettiste dans cette affaire ?
Pour les méchants, je m'en suis fait une spécialité_ que je n'aurais pu acquérir sans l'aide d'Anciens et d'auteurs de fiction ou de fans fictions_ c'est pour cela qu'en toute modestie, si tu as des idées, si tu butes où si tu as peur de ne pas être à la hauteur pour cette question existentielle sur le ou les méchants, n'hésites pas à me demander conseil par MP, mais n'oublie pas, c'est toi le Boss dans cette fic, et personne ne doit te détourner de ce que tu as choisis: c'est toi qui décide, c'est toi Dieu un peu ^^ !

Lordwilliam
08/02/09 à 19:52
Pour General Xana, la géopolitique viendra bientôt, mais pour le moment il ne s'est passé qu'une nuit et une matinée, a peine le tempsqu'il faut pour prévenir le président français qu'un avions militaire américain s'est écrasé près de Paris. c'est pas mieux pour le président américain.


partie 3 Mirage

Le Matin ,Yumi vit que Son souhait n’avait pas été exaucé. La nuit avais passé entièrement sans altération aucune. L’usine était toujours dans le même états qu’avant et les soldat français avaient amené deux char Leclerc pour garder les ponts menant à l’usine.

Voyant cela, Elle se rua au collège Kadic où elle vit Odd et William ensemble sur le perron de la cantine.

- ah yumi toi aussi ta pas réussi à passer, fit odd.

- quelqu’un peut me dire se qui se passe ?

- quoi ta pas regardé la télévision,s’exclama odd, Xana à essayé d’atterrir sur l’usine. La piste était trop courte. Malgré cela Ulrich et moi on a réussi à atteindre l’usine, mais je me suis fait remarquer au dernier moment et j’ai du fuir avec des soldats au fesses. J’espère qu’Ulrich est passé.

Pendant une fraction de seconde, yumi avait cru entendre Odd Nommer Xana d’une manière peu habituelle.

- Au fait tu étais où hier soir, pendant qu’Odd et Ulrich essayaient de passer ? demanda william.

- J’étais sur le pont, trois canons pointés sur moi ça te va comme réponse. Répondit sèchement Yumi.

- j’aurais aussi essayé si on m’avait prévenu.Fit William. Odd m’a raconté la situation.

- c’était un cas de force majeur Yumi, on ne peut pas laisser les militaires trouver le supercalculateur et chaque heure de plus augmente les chance qu’ils ont de le trouver.

Je voudrais pas vous embêter mais on a cours dans deux minutes. Fit William.

Eh Oui, espérons au moins qu’Aelita désactivera la tour rapidement, fit Odd.

Odd partit à son cours d’histoire, tandis que Yumi et William allaient au cours de sciences de Madame hertz.


De l’autre côté de l’atlantique.

Donc vous êtes en train de me dire que le virus que notre supercalculateur a contracté est doué de raison et veut détruire le monde. Récapitula Le lieutenant Karsov.

Et que vous êtes parvenu a le contenir pendant plus de trois ans sans en informer les autorités compétentes.

En gros, c’est ça oui.fit Ulrich

Il est donc urgent maintenant de contrer ce programme une bonne fois pour toutes. Fit Karsov.

Appuyant sur un bouton de son interphone : can you summon private Barry please. (pouvez vous appeler Barry, je vous prie.)

Je vais ordonner à mes hommes de détruire le supercalculateur continua le lieutenant Et l’affaire sera réglée.

Mais lieutenant,mes amis sont encore là bas, répliqua Ulrich.

You’ve ask me ? fit Barry en entrant. (vous m'avez demandé?)

Go and shut this supercalculator down. Ordonna Karsov. (va et éteint le supercalculateur)

With your respect, the colonel is on baal and Saïf too. Shuting the supercalculator now would kill them. Répliqua Barry (avec votre respect, le colonel est sur Baal et saïf aussi. Éteindre le supercalculateur maintenant les tueraient.)

Damn, change of plan. Prepare a squad to go and fetch them. Reprit Karsov
(damn, changement de plan. Prépare un groupe pour aller les chercher.)

By your order. Dit Barry avant de partir.

Well, je peut vous permettre d’aller sur Baal pour chercher vos amis mais vous devez savoir que cette base ainsi que tout les évènements qui s’y passent sont classé top secret.

N’aillez crainte, Nous savons tenir des secret. Répondit Ulrich d’un ton solennel.

Dans un des locaux de Kadic.

Aujourd’hui nous allons parler des mirages et de leurs effets, fit madame hertz. Je ne parle pas de ces avions bruyants qui ont réveillé plus d’un cette nuit. Non, en faite je parle de l’illusion d’optique causée par la diffraction d’un rayon lumineux passant d’un milieux dense à un milieu moins dense ou inversement.

Quelqu’un peut-il me dire comment cela se produit ? demanda-t-elle.

Personne alors au Hasard (regardant sa liste) William, fit Suzanne

Un mirage est une illusion d’optique créée par la diffraction en série d’un groupe de rayon lumineux. Cette diffraction peut prendre deux forme, le sinusoïde ou le cercle. Un mirage contrairement à ce que l’on peut penser peut tout aussi bien se passer dans des région chaudes que dans des régions froides, mais peut aussi affecter les ondes hertziennes dit William.

Toute la classe, professeur compris, était sidéré de la réponse complète et précise de celui qui était depuis longtemps lanterne rouge .

Et Bien William, continuer à travailler comme çà et vous passerez bien tôt le cap des 5 sur vingt de moyenne.

Dans Le cinquième territoire , Aelita reprend ses esprits. Elle était seule devant l’interface, où elle voyait clignoter « connection to Lyoko accepted. »

Mais qu’est ce que….commenca –t-elle, coupée par un laser de manta qui la fit chuter du promontoire.

Aelita tombait et tombait encore, quand soudain ses ailes se matérialisèrent comme pour rappeler qu’elles existaient. Alors la chute se changea en vol gracieux, mes les mantas continuaient de la suivre tirant à tout va pour espérer toucher l’ange rose. Voyant une ouverture dans le mur Aelita s’y engouffra et se retourna. Dans ses mains, elle préparait ses champs de force. Mais les mantas ne la suivirent pas. Le couloir qu’elle emprunta se trouvait juste en dessous de l’interface. Plus elle avancait,plus les mur s’écartaient, et chose étrange sur lyoko, la salle était plongée dans l’ombre. Seul les champs de force permettait à Aelita de voir où elle posait ses pieds.

La salle dans laquelle elle était entrée était large et très haute. Au centre de la pièce se trouvait un escalier en colimaçon se perdant des les hauteurs obscures. Aelita commençait a avoir bien peur,surtout qu’autour d’elle retentirent le cri de nombreux rampant se répercutant sur les parois de cette salle hors du commun. Sentant les monstres derrière elle, son instinct fut de fuir par le seul endroit où elle ne risquait rien c’est-à-dire dans les airs.

Mais à peine dans les airs, elle fut happée vers le haut et failli se heurter à l’escalier.

Lyoko est aussi devenu venteux, se disait elle en atterrissant en catastrophe sur une des marches. Sachant les monstres derrière elle, elle n’avait plus que la possibilité d’avancer ou de se battre contre un ennemi ayant l’ombre comme allié.

L’escalier paraissait long vu d’en bas,mais grâce à ses ailes, aelita en avait déjà parcourus les trois quarts. Le quart restant était tout de même pénible, car elle continuai d’utiliser un champ de force comme source de lumière. Arrivé au sommet, elle fut heureuse de voir au loin la lumière, elle se mit a courir vers cette lumière comme un affamé vers un morceau de pain. Les choses sont telles dans la vie, ce n’est toujours que quand on est privé d’une chose que l’on voit sa vraie valeur.

La pièce qu’elle avait atteint était circulaire, une demi sphère pour être précis possédant en ses points cardinaux des portes ,et en son centre se dressait une tour. En voyant les marques au sol, Aelita compris. Elle était dans l’arena, mais xana avait changé de nombreuses règles.

De l’autre côté de l’atlantique

Barry revint : The squad is ready in the s room My lieutenant.
(le groupe est prêt dans la S room, mon lieutenant.)


Le trio parti sur l’heure pour la Scanner Room. Enjambant les corps des kankrelats, ils passèrent par le couloir sombre où jadis le mégatank était venu, marchant sur la porte blindée et aboutirent dans la salle aux nombreux scanners.

Hello Fergusson,can i talk to you ? dit le lieutenant
(bonjour Fergusson, Puis-je vous parler?)

I am coming. (j'arrive)

Here is Ulrich Stern, He is a french speaker but a good soldier too. Act as he is a new recruit. (voici Ulrich Stern, il est francophone, mais un bon soldat aussi. faite comme si c'était une nouvelle recrue)

We will, my lieutenant. (Nous le ferons mon lieutenant)

Good, may the power be on your side. (Bon, que le pouvoir soit de votre côté)

Il entrirent tous dans les scanners et se préparèrent mentalement à la virtualisation.

Dans la command room, Hardmann commença la procédure, quand il aperçu sur ses écran un point.

-Barry, call Lieutenant Karsov, I have found an intruder On Baal
(Barry, appelle le lieutenant Karsoc, j'ai trouvé un autre intrus sur Baal.)

-Continue the procedure,dit barry. Virtualise our team next to the intruder, but wait 1 minute, i ll inform them. (continue la procédure, dit Barry, virtualise notre équipe près de l'intrus, mais attend une minute, je vais les informer.)

Barry parti vers la s room.

Quelque minute plus tard, la Baal team fut virtualisé. A peine virtualisé, un des baal warrior attaqua Aelita dans le dos. aelita n’eut a peine le temps de se retourner qu’elle vit Ulrich croiser le fer avec Leila, une fille vêtue d’une toge noir et portant le sabre.

- C’est une amie, cria ulrich entre deux coup. C’est alors seulement qu’elle consenti à arrêter, comprenant visiblement le Français.

- a friend, dit elle se retournant vers les autres, how did she come here ?
(une amie, comment est-elle arrivé ici?)

- Why you ask us, Leila ? dit Fergusson. You have to ask Him. He is the one who know her. (Pourquoi tu nous le demande ? Tu doit lui demander, Il est celui qui la connaît.)


- you’re true, Ferg, dit elle. Puis marmonna : as always. (tu a raison ferg… comme toujours)

Se tournant vers ulrich elle reposa sa question,mais en français cette fois.

Comment se fait-t-il qu’elle soit ici dans Baal ?

Je sais pas,nous avons été séparé à un moment .fit Ulrich.

Pendant qu’Ulrich racontait son histoire à Leila, Aelita observa les nouvelles têtes. Il y avait Leila, dans son costume de Ninja, derrière elle se tenait Ferg visiblementle chef du groupe, portant d’une main un marteau de l’autre un bouclier de petite taille (environs trente centimètre de rayon.. Les autre portaient l’un une lance,l’autre une hache. Mais le dernier semblait ne porter aucune arme à l’exception d’une dague.

- they were divided in some kind of retreat and he was devirtualise then. But as i understand well, it happened on another virtual world called Lyoko.
(Ils ont été divisé lors d'une sorte de retraite et il fut alors dévirtualisé. Mais si je comprend bien, cela s'est passé sur un autre monde virtuel appelé Lyoko)

- so their is another virtual world. Ask him who build it. (Ainsi il y a un autre monde virtuel)

Le « désarmé » prit la parole.

- Ferg, i dont think that we need to know all this right now,dit Konnor. I think we have a mission to accomplish. (Ferg, Je ne pense pas que nous devons savoir tout cela maintenant; je pense que nous avons une mission à accomplir.

-Right. Said Hardmann in his micro. Their is a weird thing in the center of the room. I dont see clearly what it is. (correct. Il y a une chose bizarre au centre de la pièce. je ne vois pas exactement ce que c'est.)

It’s some kind of Tower, répondit Oscar, le lancier de la bande. (c'est une sorte de tour)

It’s more a pillar than a tower, fit sean, le soldat à la hache. (c'est plus un pillier qu'une tour)

Pendant le débat, aelita s’était rapproché d’Ulrich.

-Ulrich, Peut-tu m’expliquer ce qui c’est passé entre les gardien et maintenant ? fit la fille au cheveux rose.

-Je ne sait pas te dire grand chose. Juste après que l’attaque de la méduse, je fut dévirtualisé et atterri dans une base militaire américaine possédant des scanners et un holographe . quand j’y était les militaire étaient au prise avec les monstres de Xana.

Aelita le regardait étonnée. Ulrich précisa.

-Comme les Kankrelat à Kadic lors de ton premier jour sur terre. Mais ici Xana avait matérialisé bien plus qu’une armée de Kankrelats il avait aussi matérialisé des Blocks et un mégatank.

les autres continuait a se chamailler quand un laser jaillit de l’embrasure d’une porte. Par chance, le tir n’était pas cadré. Immédiatement les Baal warrior saisirent leurs armes tandis que les tirs s’intensifiaient. Konnor pointa rapidement la porte avec ses poings. Mortar cria-t-il. D’un de ses poings sortit un laser gris qui prit une trajectoire courbe . Lors de l’impact de celui-ci, la pièce de l’autre côté de la porte s’illumina quelque seconde laissant apercevoir trois rampant. Tandis que d’autres tir venaient des autres portes. Les rampants continuaient de canarder Ulrich et les baal warrior qui se réfugièrent sur les bord de la salle.

- They're bloody numerous fit Konnor en tirant à nouveau dans une des portes. Dévirtualisant les rampants de la porte Sud qui avaient eu l’audace d’avancer.(Il sont vachement nombreux)

A la porte Est, Leila avait chargé les rampants allant jusqu'à les défier dans leur élément, l’ombre. La troisième porte, celle s’ouvrant sur le nord était occupé par Oscar et Sean mais aucun des deux n’avait envie d’attaquer le vide en espérant qu’un monstre se trouverait sous leurs armes.

Pour La quatrième porte, l’Ouest, ulrich et aelita combattaient au côté de Fergusson. Aelita éclairant la pièce pendant qu’Ulrich tranchait et que Fergusson fracassait de sa masse les monstres. Rapidement, les portes Sud, Est et Ouest furent comme disaient les Baal warrior « safe », ne laissant plus que la porte d’oscar et Sean à sécuriser, ce qui fut l’affaire de quelque tir de mortier de Konnor.

-well done, fit Hardmann dans son micro. I have information about the tower. It act as a link to another tower elsewhere.
( très bien, fit Hardmann dans son micro. J’ai des information sur la tour ; Elle agit comme un lien avec une autre tour ailleurs.)

Well, any idea how to enter that tower ? fit Fergusson en se tournant vers ses compatriotes. (Bon, une idée de comment on entre dans la tour ?)

Why you dont ask them, ferg ? fit Leila.They probably know something. (Pourquoi tu ne leur demande pas,Ferg ? fit Leila. Il savent probablement quelque chose.)

I dont speak french ask them, Leila. Fit Fergusson sur un ton assez agacé.
( je parle pas le français, Leila.)

Soupirant, Leila, visiblement la seule francophone du groupe, posa la question source de la dispute. Aelita lui répondit que les murs ne sont pas tangible (pas solide, car « tangible » veut dire Réel en anglais)

Avant même qu’Aelita eut fini de parler, Oscar essaya de passer et faillit tomber dans le puits si Konnor ne l’avait pas rattrapé par sa lance.

Après quelque explication supplémentaire sur ce qu’est une tour de passage, tout le groupe se jeta dans le puits et déboucha dans une tour de passage, où la place commençait à manquer.

- Move out
(bougez vous)

- Hey dont push.
(Hey poussez pas.)

Their is not room for every one.Someone must get out.
(Il n'y a pas de place pour tout le monde, quelqu'un doit sortir.)

Right, Sean, konnor, you’ve got shield. Get out first.
(correct, Sean, konnor, Vous avez des bouclier. Sortez les premiers.)

Aye Aye Sir.firent-t-ils.

Ils furent les premiers à sortir. Suivit par Oscar passant sa lance d’une main à l’autre, Leila, sabré dégainé et Ulrich tenant ses katanas dans chaque mains.



Well milady, stand by me and I ll protect you as long as i live. Fit Ferg. Puis il sortit pour revenir en déclarant que la voie était libre. (Bon, Milady, rester près de moi et je vous protégerai aussi longtemps que je vivrai.)


Ils étaient tous dans le territoire forêt. Au loin, on pouvait voir les monstres de Xana se rassembler. Une myriade de kankrelats se massaient entre deux block , le tout avançant à pas cadencé.

Hey, here the lices. Fit Konnor. No problem, i can kill them all by myself
(hey voici les poux fit Konnor. Aucun problème je peut les tuer a moi tout seul.

A ce moment là, il fut frappé par un tir venant des airs. Sur leur gauche venait à grande vitesse une escadrille assez importante de frelions menés par quelque mantas téméraire.

Move out, cria Konnor. En tirant dans la foules des frelions avant d’activer son bouclier. Leila alla directement se réfugier derrière Konnor, tandis que Sean leva son bouclier et se plaça entre aelita et les monstres.

De son côté oscar fit virevolter sa lance si vite que seul un petit nombre des tir passaient à travers. Ferg et Ulrich plongèrent tout les deux derrière Oscar. Contre un tel déluge il n’y avait que deux solution, la fuite organisée , appelée le plus souvent retraite, ou l’ultime défense.

Dés que le dernier des frelions fut passé, Konnor tira de plus belle sur ceux qui se massaient derrière eux pour le retour. Quelque shuriken de leila vinrent lui prêter mains forte. Bientôt, les frelions ne furent plus qu’au nombres de 3. mais konnor fut pris de revers par les manta et fut dévirtualisé.

Les Kankrelats qui jusqu’alors avançaient, s’arrêtèrent et firent feu sur les baal warriors.

Le groupe fut donc déchiré en deux. Une partie partit combattre les quelques mantas et frelions restant pendant que l’autre engageaient les kankrelats. Pendant qu’Ulrich Fergusson et Aelita s’occupaient des nombreuses mantas, les autres partaient dans une charge héroïque contre la masse compacte des monstres de Xana. Sean devant, protégeant Oscar et Leila avec son bouclier.Arrivé devant les monstres, Sean mettant son bouclier sur son dos, se retourna et de son pied bloqua la lance d’Oscar pour qu’il saute au-dessus de la mêlée. Dés qu’oscar fut de l’autre côté, il se mit à frapper les kankrelats de la pointe de sa lance. Profitant du fait que le kankrelats ne savaient où donner de la tête, Leila attaqua l’un des block mais fut percuté par un kankrelats battant en retraite face à la lance d’oscar et s’étala de tout son long lâchant son sabre qui glissa quelque mettre plus loin. Voyant le block la viser, elle prit promptement un objet dans un plis de sa manche et l’envoya sur le block. Celui-ci pivota de 45 degré et le shuriken se planta dans une arêtes du block.

Ayant fini de leur côté, Fergusson vit Leila en danger et lança sa masse sur le monstre.

Mais le block lanca un laser gelant sur l’arme qui du fait de son poids accru tomba devant lui.

De l’autre côté de la masse des kankrelats, Oscar réussi à dévirtualiser le second block pendant qu’il pointait Seanloach, lui tournant le dos.

Supersprint, cria Ulrich . dans la masse, sean se battait comme un fou, frappant tout kankrelat à portée tout en parant les tir avec son bouclier, mais vint le moment où les point d’intégrité de son bouclier atteignirent l’ultime limite,abandonnant Sean au deux trois dernier Kankrelats qui se firent une joie de le dévirtualiser aussi sec.

Triangulair, cria ulrich alors qu’ils encerclait ,lui et ses deux images, le block. Hésitant sur lequel tirer, le Block tira finalement sur Fergusson avant de s’élancer en dehors du triangle des Ulrich. Ulrich n’ayant jamais eut affaire à cette technique se prit le block de plein fouet. Heureusement, ses deux copies eurent plus de chance et plantèrent leur katana dans les yeux du block.

Coriace, dit Leila, en aidant Ulrich a se relever.

En effet. Dit il.

Where is the pink girl ? demanda Fergusson regardant autour de lui.
(ou est la fille en rose ?

Aelita ? cria Ulrich.

Aelita avait disparu.

Dans la cantine,Yumi, Jeremy, Odd et William,mangeait à la même table.

- Il faudrait aller à l’Usine. Aelita et Ulrich doivent avoir besoin de nous. Imaginer qu’ils ne parviennent pas à se rematérialiser par eux même.fit Yumi.

- Hey tu oublie peut-être,mais il y a des allemands qui tienne la place.

-Oui et de plus s’ils te voient roder à nouveau dans l’usine, fit William, c’es pas une simple somation qu’ils vont faire. Ils n’hésiterons pas à tirer.

Yumi à raison, fit Einstein. Nous devons aller à l’usine, mais c’est trop risqué pour toi yumi nous irons à trois et t’informerons s’i y a des problèmes.

Soudain, les trois lyokoguerrier disparurent devant les yeux de Yumi dans un envol de Pixel.

-Xana, t’a bien failli m’avoir sur ce coup là. Fit Yumi en tapant sur la table.

Lordwilliam
02/04/09 à 22:43
Partie 4 Qui garde les gardiens ?

-Xana, t’a bien failli m’avoir sur ce coup là. Fit Yumi en tapant sur la table.

Le principal vint quelque instant après accompagné de policier.

-Mesdames et messieurs ,suite au crash d’un avion dans notre beau parc, il est interdit de s’y promener. J’espère tout comme vous que la situation changera rapidement.

Regardant vers la forêt, Yumi aperçut une pelleteuse suivre les traces d’autres de ces congénères et disparaître dans l’obscurité de la forêt.


Dans l’immense command room de « carthage »

My lieutenant ,we’ve receive a report from lieutenant Alexsandrov Skarsgard.dit un soldat en tendant ledit rapport. (Mon capitaine, nous avons reçu un rapport du lieutenant Alexsandrov Skarsgard) your were not suppose to read it but i think in this kind of situation every report count. (vous n’êtiez pas censé le lire, mais je pense que dans ce genre de situation chaque rapport compte.


Lnt A Skarsgard reporting.
Report M27-J46C

Agent Junker have found three of the twelves AC 94 whose have been stolen from us, in a base hidden in the Colorado State.
After complete investigation we found nothing else in the base, not even a glimpse of living beeing, only bullet impact and corpses.
Under estimation the base were deserted more than a year ago.

We continue the inquiry about the 5 AC 94 remaining.


(traduction du rapport)

(Lieutenant A skargard au rapport.

L’agent Junker a trouvé trois des 12 AC 94 qui nous ont été volés, dans une base cachée dans l’état du Colorado.
Après une fouille complète, nous n’avons trouvé trouver d’autre dans la base, pas même la trace d’un être vivant,seulement des cadavres et des impacts de balles.
Selon les estimations, la base a été désertée il y a plus d’un an.

Nous continuons l’enquête à propos des 5 AC 94 restant.

(fin de la traduction du rapport)

I was not inform that some one has stolen some of our AC 94, dit le lieutenant Karsov au sergent Hardmann (je n’était pas informé que nous avions perdu des AC 94.)

So am i, repondit celui-ci. (Moi de même) it’s of top importance to find them before our ennemi manage to control them. (il est d’une importance capitale de les retrouver avant que notre ennemi parvienne à les contrôler.)

Hopefully we have got the majority. When did the thievery happenned ? (heureusement, nous avons déjà la majorité. Quand à eu lieu le vol ?)

According to the report, it was the 5 june 1997. (selon le rapport, c’était le 5 juin 1994)

It’s more than a decade ago. How do they explain that ? (C’est il y a plus d’une décennies. Comment explique-t-ils cela.)

They said the AC-94 can be hide anywhere. They are only a square inch. (Ils disent que l’AC-94 peut être caché n’importe où. Ils n’ont qu’une superficie de quelques centimètres carrés)

If it’s so, how they find them ? (Si c’est le cas, comment font-ils pour les trouver.)

they manage to localise them when they are held by some one. They use the human magnetism to power themself. Hopefully, it seem they arent activated yet. (Ils parviennent à les localiser quand ils sont tenu par quelqu’un. Les AC-94 utilise le magnétisme humain pour fonctionner. Heureusement, il semble qu’ils n’ont pas encore été activé.)

if you said they localise the AC-94 only when they are held by someone how did you explain that they found three AC-94 in an abandonned base. (Si vous dites qu’ils localise les AC-94 quand ils sont porté par quelqu’un, alors comment se fait-il qu’ils en ont trouvé trois dans une base déserte ?)

I am dont have the ability to answer these kind of question, my lieutenant (je ne suis pas habilité à répondre à ce genre de question, mon lieutenant.)

De son côté Yumi était en face de l’usine. Un soldat de la KSK et quelques policiers du GIGN patrouillaient sur le pont de l’usine. Elle ne savait plus quoi faire, l’usine, en plus d’être en partie détruite, grouillait d’hommes en armes. Elle allait faire demi-tour quand elle fut rejoint par Sissi suivie par ses deux chiens qui lui servent de fan-club.

- Yumi, Tu me dois quelque explication. Premièrement Que fais tu ici et deuxièmement où est Ulrich.

- Vu l’état de la situation, je pense que je peut tout t’expliquer.

Sur Lyoko, les guerriers victorieux se rassemblent.

Coriace, dit Leila, en aidant Ulrich a se relever.

En effet. Dit il.

Where is the pink girl ? demanda Fergusson regardant autour de lui.
(ou est la fille en rose ?)

Aelita ? cria Ulrich.

Regardant tout autour de lui Ulrich aperçut une tour au loin et sortant de celle-ci, Aelita.

Quelque instant plus tard, elle avait rejoint son escorte.

I told you to stand by me. Rugit Fergusson. How could I protect you if i dont know where you are.
(je t’avais dit de rester près de moi. Comme pourrais-je te protéger si je ne sais même pas où tu es.)

I dont need your protection. Rétorqua Aelita dans son meilleur anglais. (Je n’ai pas besoin de votre protection.)

Je voudrais pas vous déranger, mais Odd William et Jeremy sont encore sous l’emprise des gardiens. Dit Ulrich tout en s’interposant entre Aelita et Fergusson.

Alors montrez nous le chemin, répliqua Leila dans son meilleur français en regardant Aelita.

Après quelques minutes de voyage dans la forêt, pendant lesquelles ils devisèrent de choses concernant leur monde virtuel respectif, les héros atteignirent la tour de passage menant au territoire désert.

Well our goal is to defend the pink girl at all cost, she know what to do. Fergusson murmura ensuite : or think so.

(Bon notre but est de défendre la fille en rose, à n’importe quel prix, elle sait ce qu’elle fait. Fergusson murmura ensuite ou le pense.)

Dans l’usine de l’île Seguin, Les allemands travaillaient sur l’ascenseur. Grâce à un tomographe, appareil permettant de détecter les espaces vides, avait connaissance d’un grand espace se trouvant sous leur pieds, le plus étonnant est qu’il était occupé par au moins une personne. L’ascenseur semblant intact et relié au réseau électrique, ne voulait pas fonctionner. Plein de ressources, ils démontèrent le boîtier et découvrirent le dispositif construit par Jeremy, et commencèrent à le pirater avec du matériel français, bien sur.


Près de l’usine, un canot pneumatique avance à la dérive. Se rapprochant de l’île Seguin, il attira l’attention des policiers.

Le canot contourna l’île par la gauche.

Soldat de la KSK : hey franck, was ist das. (hey franck qu’est-ce ?)

Franck : ich weiß nicht , jemand hat es vermutlich verloren. (je ne sais pas,quelqu’un a du le perdre)

L’embarcation fini par s’échouer au abords de l’île.

Soldat de la KSK : sieht wenn geht es Fell niemand (va voir s’il ne cache pas quelqu’un)

Franck descendit sur la rive et remarqua que le canot flottait à l’envers, formant un cloche d’air. Il prit son mauser et souleva le canot, mais personne ne se trouvait là.

Franck : jemandes wird es hier versteckt, er muss jetzt in der Fabrik gelassen sein den Alarm geben. (quelqu'un c'est caché ici, il doit être dans l'usine maintenant, fait donner l'alarme)

Sur la rive droite de l’île, Yumi et Sissi sortaient à peine de l’eau. Tandis que Nicolas et Hervé renforçaient le nombre des badauds se massant au bout du pont.

Yumi était déjà dans les ruines de la salle de commande,quand Sissi redemanda pourquoi ils devait faire ce qu’ils font.

- Ulrich est dans cette usine et a des problèmes, nous sommes les seuls qui pouvons l’aider à temps.

- Quel genre de problèmes ? demanda Elisabeth.

- Un problème d’une importance assez considérable.

- Qu’est-ce qui est d’une importance si considérable que des Allemands doivent s’en mêler.

Yumi ne répondit pas, car la vue qu’ils avaient de la salle cathédrale suffisait. Des énormes tas de débris jonchaient le sol tout autour du mastodonte échu qui, un jour, avait fait la fierté de l’US air force.

- Ne me dites pas que c’est vous qui avez détourné cet avion grâce à une machine créée par votre petit Einstein.

- Tu n’aurait pas lu trop de Jules Vernes par Hasard ? Non, ce n’est pas nous qui avons détourné cet avion mais nous avons un secret capital caché dans cette usine.

Pendant ce temps, l’alerte fut donnée,et toutes les personnes dans l’usine cherchèrent un intrus potentiel. Dans cette recherche assez capitale, puisqu’un seul morceau de tôle du Northrop est assez suffisant pour permettre la création de radar pouvant les détecter plus aisément.

Rapidement, les soldats découvrirent le trou creusé quelques heures auparavant par Odd et Ulrich.

-wird der Kommandant suchen fit le soldat a son condisciple (va chercher le commandant.)

A peine son condisciple eut tourné le dos, qu’une ombre sorti du trou en question. Surpris, le soldat garda son sang-froid et tira sur cette ombre qui s’avançait vers lui. Les cartouches passèrent au travers du spectre. Quand le messager se retourna, l’arme au poing, il vit le corps de son frère d’arme étendu sur le sol, se tordant de douleur.

Yumi s’approchait alors de l’escalier, étrangement intact, menant à la salle cathédrale, elle ne vit donc pas l’événement.

Sissi entendant les coups de feu n’eut alors qu’un simple réflexe, aller se mettre à l’abri, c’est là que Xana la trouva, tremblant autant de peur que de froid.

Malgré les effort de Xana, les allemands parvinrent à court-circuiter le verrou électronique et à actionner l’ascenseur. Malheur en a pris au soldat Siegfried car à peine arrivé au laboratoire la porte s’ouvrit laissant les deux autre pilotes du Northrop lui assener plusieurs éclairs en rafale. La mort le prit assez rapidement mais déjà l’ascenseur fut rappelé et les deux pilotes prirent place dans celui-ci.

De son côté, Yumi évitaient de se faire toucher par les éclairs de Sissi mais aussi par une balle perdue de la part des Allemands.

Après de nombreuse acrobatie, Yumi s’engouffra dans le tunnel de justesse et eut à peine le temps de faire dix mètres que celui-ci s’effondra sous le choc d’une grenade allemande.


Sur Lyoko, Ulrich et Aelita, secondé des baal warriors s’élancèrent sur la plaine aride.

Les monstre qui s’y trouvaient prirent position tout autour des gardiens, rassemblé en triangle sur le plus grand plateau. Plusieurs peloton de kankrelat patrouillaient les rochers environnant tandis que trois tarentules tenaient le centre du plateau en compagnie d’un krabs.

-Oscar clear our left flanks, Leila take care of the right one. I ll engage those spider with our friend. (Oscar nettoie le flank gauche, Leila occupe-toi du droit. J’engage ces araignées avec nos amis.)

- As you wish.répondit oscar tandis que Leila ne dit rien. (comme tu veux)

Oscar partit vers les rochers se trouvant sur la gauche tandis que leila s’attaquait au krabs.

-Supersprint cria alors Ulrich pendant qu’Aelita faisait apparaître ses ailes. Il ne fallut pas plus de quelque seconde pour que Fergusson soit seul. Il courut alors du plus vite qu’il pu pour venir en soutien à Ulrich.

Après un triplicata et quelques champs de force, les monstres qui gardaient les gardiens.

Pendant ce temps, Xana ne chômait pas, du contraire, il faisait battre la générale. De tout côtés venait de nouveaux monstres.

Odd Fut le premier des prisonniers à être libéré mais il ne pu savourer sa liberté car de sitôt quelques frelions se mirent à l’attaquer.

- hey, qu’est-ce qui c’est passé, qui c’est lui ? demanda Odd en montrant Fergusson tandis que celui-ci parait les tir des frelions.

- C’est un allié. D’un monde virtuel appelé Baal, répondit Aelita.
Odd se releva aussitôt et tira quelques flèches laser, Odd s’écria : Alors xana on joue à l’abat Baal.

Pendant ce temps, de nombreux krabs se mirent en ligne et commencèrent à forcer les guerriers au repli. Leila continuait de se battre contre les krabs, mais malgré le fait qu’elle ait réussi à monter sur leur dos, elle ne pu en dévirtualiser que très peu.

Après quelque passe supplémentaire, Oscar tua les derniers kankrelats et partit vers le vrai champ de bataille et croisa ses compagnons qui fuyait ce même champ de bataille.

La bataille semblait assez mal partie, Leila fut désarçonnée et dévirtualisé par la même occasion, fergusson perdit son bouclier et Ulrich fut touché une fois de trop, quand soudain une voix résonna dans le ciel.

- Odd Ulrich Aelita vous m’entendez ? dit Yumi.
-Yumi. C’est un plaisir d’entendre ta voix. S’exclama Aelita.

- Sans trop te demander Yumi mais serait il possible d’avoir mon overboard car là xana ne nous laisse aucun répit.

-je vais faire de mon mieux. Répliqua Yumi.

Dans la base militaire américaine, Ulrich et Leila furent à leur tour rematérialisé.

-damn, s’écria le lieutenant Karsov, Cathal Barry, dive on. (Mince, Cathal, Barry vous plonger.)

Aussitôt les deux baal warrior entrèrent dans les scanners.

De l’escalier qui se trouve a l’extrémité de la S room vint un courant d’air froid, une nouvelle charge de fréon avait été libérée.

Caché dans les rochers, aelita fit apparaître un double de William entre les deux gardien restant tandis qu’Odd se réjouissait d’avoir enfin son overboard chéri.

William Libéré, il se mit directement à attaquer les krabs qui l’entourait. Il n’y avait qu’au-dessus qu’il n’en avait pas. Rectification, un krab se placa au dessus de lui tandis que les autres formaient un cercle de William. D’un coup de zanbato, William dévirtualisa le krab avant qu’il ne lui envoie un champ magnétique vertical. Malheureusement, les autre krab tirèrent simultanément envoyant William directement dans la S room de Carthage.

Regardant autour de lui William vit qu’il n’était pas revenu dans a salle des scanners.
Autour d’une table se rassemblaient de nombreuses personnes dans ces personnes se trouvait Ulrich en train de parler avec un fille tout de noir vêtue.

Sur Lyoko, les deux nouveau Baal warrior arrivèrent enfin pour voir William disparaître devant leur yeux. Cathal arriva juste à temps pour s’interposer entre Aelita et les krabs. Ceux ci se réorganisaient quand Odd survola la plaine Fergusson derrière lui. Tandis qu’Oscar chargeait avec l’Overbike comme si c’était une sorte de joute moyenâgeuse. Il ne manquaient plus que quelque seconde à Aelita pour libérer jeremy.

Les krabs n’était jamais aussi près de dévirtualiser Aelita quand Odd déposa Fergusson sur un des krabs et tira ensuite trois flèches sur le krabs qui pointaient sa « princesse ».

Jeremy étant libre, xana fit battre la retraite et les quelque krabs restant partirent précipitamment vers le nord.

- Ouf Je pensait qu’il allait pas nous lacher. s’exclama Aelita.

- Ah bon Je savait même pas qu’il nous tenait. fit remarquer Odd.

Ce qui fit rire ceux qui comprenaient assez bien le français, c’est à dire Oscar et Aelita.

-Aelita, Que c’est il passé après ma capture, demanda Jeremy encore sous le choc, et qui sont ils ?

- Il faudra demander à Ulrich, il en sait plus que moi. Ce que je sais c’est que Xana m’a utilisé pour faire quelque chose, mais je ne sait pas vraiment quoi.

Du ciel la voix se fit de nouveau entendre.

- Aelita, le superscan a détecté une tour activée au Nord Nord Est. Fit la voix de yumi dans le ciel, tandis que Hardmann, le logisticien des baalwarriors, donnait d’autres ordres.

-Mission over. In bring you back. (la mission est fini,je vous ramène)

-Hardmann, wait a little, we cannot left them that way. I request the permission to be the last one rematerialized. Guest are always first, I hope you know. (Hardmann, attend un peu, on peut pas les abandonner comme ça. Je demande la permission d’être le dernnier à être rematérialiser. Les invité sont toujours les premiers, je pensait que tu le savais.)

- Ok Fergusson permission granted, you can stay but the other you come back for report. Savy. (Ok Fergusson permission accordé, tu peux rester, mais les autres vous revenez pour faire votre rapport. Compris.)

-Savy firent le reste de l’équipe consternée de devoir déjà partir. (compris)

Sitôt dis sitôt fait et les quelques baal warrior restant disparurent dans un envol de pixel, ne laissant que Fergusson, Odd, Aelita et Jeremy sur le ancien champ de bataille.

Je vous envoie l’overwing, enfin je vais essayer. Déclara Yumi depuis le laboratoire de l’usine. Les secousses d’explosion commençaient à faire craquer la voute du laboratoire et yumi entendit l’ascenseur partir jusqu’au dernier niveau faute de cable pour le retenir.

-Err where are we going ?said Fergusson while seeing the vehicule appearing (euh où va-t-on, dit Fergusson voyant les véhicules apparaître.)

-We have to go north to another tower this time possess by a mad program called Xana.
(Nous devons aller vers le nord vers une autre tour possédée cette fois-ci par un programme fou appelé Xana.)

-Why for ? (Et pourquoi ?)

-These tower are link between our world and this virtual world. And possessed by Xana it’s always for evil. I am the only one that can desactivate the tower. (ces tour sont des liens entre notre monde et ce monde virtuel. Possédé par Xana c’est toujour pour faire du mal. Je suis la seule a pouvoir désactiver la tour)

- If you’ve said it earlier, you would have got our total support. (Si vous l’aviez dit plus tôt vous auriez eu toute l’aide que nous pouvions donner.)

Aelita monta sur l’overwing avec Jeremy tandis qu’odd offrait encore une fois les services de son overboard à Fergusson.

Dans la salle cathédrale, plusieur tank leclerc avait fait leur entrée et ne cessaient pas de tirer sur les xanatifié qui ne s’en souciaient guère. Malgré les nombreux éclairs les
Char continuaient leur déluge de feu, protégé par leur blindage faisant office de cage de faraday. Dans l’impuissance de réduire les chars au silence, et craignant que les explosions endommagent le supercalculateur, Xana cessa l’attaque et déxanatifia Sissi et les deux pilotes.

Le dernier obus tiré explosa tuant sur le coup les pilote du northrop et blessant gravement Sissi.
Ce fut la seconde victoire contre Xana dans la même journée.

Pendant ce temps Les lyokoguerriers arrivaient à la tour pour voir celle-ci se désactiver d’elle-même.

- J’aimerai pouvoir lancer un retour vers le passé mais je ne sait plus comment faire. Déclara Yumi. Ça chauffe au-dessus et si cela continue je vais être ensevelie.

Fergusson était un petit peu perplexe sur l’idée d’un « retour vers le passé »

- Ecoute moi Yumi et fait ce que je te dit.

Après quelque instructions suplémentaire, Yumi allait presser la touche enter, deux détonations se firent entendre. Une des cartouche la frôla, la second la toucha à l’épaule.

Bewegen sie Nicht, oder ich schieße wieder, cria un soldat allemand pendant que le commandant heller et son aide de camp déscendait l’échelle. (Ne bouge pas sinon je tire à nouveau)

Ayant porté sa main à son épaule en réflexe à la douleur, Yumi plongeat ensuite sur le clavier et la touche qui allait les sauver tous. Le soldat allemand voyant que Yumi n’obtempérai pas vida son chargeur sur elle. Le flash de lumière ne sortit pas du supercalculateur de l’usine mais de celui de la Darpa. Yumi vit les cartouches approcher. Nombreuse furent interceptée par le siège de Jeremy, mais quelques une parvinrent à percer la peau de la Japonnaise. Le flash survola les eaux de l’atlantique et engloba finalement l’usine au moment où Normalement Yumi aurait du passer de vie à trépas du fait de ses nombreuse blessures.

Le retour vers le passé fit un bond de 48 heures dans le temps.


(Fin de la saison 1.)

saison 2 "Extradition" en cours d'écriture. (avec des bugs et des imprévus ne venant pour la plupart pas de Xana.)

Vous pouvez donner vos impression vis à vis de la première saison.

Lordwilliam
29/04/09 à 11:54
Saison 2 extradition.

Episode 1 kidnapping en plein jour.

Rapport M26-I7C

Carthage lab, Texas, 26 mai xxxx

Suite à un acte de piratage, Nous avons mis en pratique l’alinéa 34 du code de l’établissement en rapport à la base de donnée.
Selon les scientifiques, l’attaque n’a pas été assez longue pour permettre de localiser l’intrus.
Aucun des dossiers du projet n’aurait été ouvert lors de l’attaque.





Secrétaire :Voilà mon colonel, imprimé en trois exemplaires comme demandé.

Colonel. Jephries : Poser les sur mon bureau.

Le secrétaire s’exécuta sur le champ.

Il était presque sorti quand le colonel l’appela.

Cl J :John pouvez-vous convoquer le soldat Cathal j’ai à lui parler.

Le colonel en attendant cathal relisait le Rapport.

« Aucun dossier ne semble avoir été ouvert lors de l’attaque. Se dit il. Ils n’ont même pas remarqué l‘arrivée de nouveau dossiers, ce qui est mieux que je ne l’espèrait. »

Sur la place de rassemblement, commençaient à s’aligner un nombre impressionnant de corps. Les médecins ne comprenant pas pourquoi tant de marines pouvaient mourir comme ça, sans blessure, ni intoxication de toutes sortes. Il semblerait que leur cœurs se seraient soudainement arrêté de fonctionner faisant passer en moins de quelques seconde plus d’un millier de marines de vie à trépas.


Mon colonel, le soldat Cathal est là, fit le secrétaire dans son interphone.

Le Colonel répondit par interphone interposé et Cathal put entrer dans le bureau du Colonel.

-Asseyer vous Cathal. J’ai eut vent que votre section a eu à déplorer le plus de victimes,mais que le plus étrange soit que parmis les survivants certain soit prit de délire pensant avoir vécu une attaque de quelconque extraterrestres. Cela est-il vrai ?

- Vous avez totalement raison, Mais etant aussi sain d’esprit que vous, et sans vous manquer de respect, je peut vous dire qu’une telle attaque a bien eut lieu et que par un moyen que moi-même ignore la mémoire de certain des survivants survécu à ce que j’appèlerai un « voyage temporel. »

- Voyage temporel ? êtes vous vraiment aussi sain d’esprit que vous voulez le faire prétendre. De tel voyage n’existe que dans la science-fiction.

- peut-être mais alors comment expliquer la soudaine mort de nos soldats s’ils n’ont pas du se défendre contre un ennemi, que nous finisions par vaincre cet ennemi et que cet ennemi pour éviter que l’entièreté de notre pays parte en guerre nous renvoie dans le passé pour nous faire oublier tout ce qui c’est passé, nous laissant affaiblis avec un nombre impressionnant de morts à enterrer.

« il en sait beaucoup trop que pour le laisser en vie, pensa le colonel, mais il est trop populaire que pour le faire tuer et sa mort ne servirait qu’à me forcer à faire faire un enquête, ce qui serait une perte de temps. Je doît pourtant l’empêcher de rallier d’autres marines à sa cause. »

-je vous signale que vous ne serez pas de corvée d’enterrement.Déclara finalement le colonel. Vous accompagnerez Barry, et la Junker team pour une mission à Paris. J’ai fait faire préparé l’Héliplane Lark à cet effet.
Vous partez sur l’heure pour Denver, là vous prendrez la Junker team et irez directement à paris. Rappeler vous ceci, soldat Cathal, l’HP Lark doit rester secret le plus longtemps possible.

- A vos ordre mon Colonel.

Quelques heures plus tard, dans la chambre de Jeremy.

- Promis Aelita,je vais faire des recherches supplémentaires mais je ne peu plus rien faire de plus à partir d’ici, il faudrai que j’aille au labo et que j’utilise le supercalculateur.

- C’est pas un peu risqué ?

-Si mais je ne vois pas d’autre moyen de retrouver Anthéa. Mais je préviendrai les autres ce midi, on est jamais trop prudent.

Après le cours de gym de Jim et un cours de science sur la composition de la lumière, le groupe se retrouve dans la cantine.

- tiens Jim viens nous voir, tu est sur de ne rien avoir oublié dans le vestiaire Odd. Demanda Ulrich

-Pourquoi vous me regardez comme-çà j’ai rien oublié dans le vestiaire, s’esclama Odd

- Il y a une chose que tu a oublié ca s’est sure. Déclara Aelita.

- Ah ouais et quoi, hein ? réclama Odd

- La modestie. Continua Aelita aelita sur un même ton.

Les lyokoguerriers ne purent contenir leur rire.

-Aelita Stone, Le principal aimerai vous voir dans son bureau. Dit l’éducateur d’internat.

- Et pour quelle raison, puis-je savoir ? demanda Aelita

- C’est vrai, Pourquoi ? Elle n’a rien fait de mal et on peut le certifier. Dit Jeremy.

- je n’en sait rien, mais quand ton supérieur donne un ordre,bien mal avisé serai-tu si tu le discute. Cela me rappelle quand j’étais en service en nouvelle guinée, les ordres étaient peu clair et notre capitaine alla demander clarification au colonel Cartier. Dans les jours qui suivirent il fut affecté au ravitaillement.

Peu de temps plus tard, Les lyokoguerriers attendait tous dans l’antichambre du principal.

Vous trouvez pas que c’est bizarre, fit Odd. Même xana mort, on a encore des problèmes.

Ce que je trouve le plus bizarre, répliqua Jeremy. C’est que le principal veut voir Aelita en particulier.

Après que la secrétaire en ai reçu l’autorisation, le groupe entra finalement dans le bureau du principal. Le principal n’était pas seul, deux hommes vétu de smoking étaient assis sur des chaises en face du proviseur.

L’un deux se retournant fut surpris.

Bonjour, laquelle est Aelita Stones, dit-il en regardant succésivement Yumi et aelita.

C’est moi, fit la concernée, à qui ai-je l’honneur ?

Maître Varshneya et mon secrétaire, nous somme ici pour vous annoncer une nouvelle qui va à la fois vous faire plaisir et vous déplaire. Votre mère biologique vous a finalement reconnue, mais malheureusement c’est au seuil de la mort.

Les lyokoguerrier se regardèrent, voyant clairement que c’était un piège, une excuse bidon pour enlever Aelita, mais que pouvait-il faire sans déclarer qu’ils avait mentit, falsifié des dossiers officiels et piraté la base de donnée du consulat Canadien à Paris.

Elle désire vous voir avant de s’en aller,continua le notaire canadien. C’est pour cela que nous somme là. Le consulat canadien nous a donné le feu vert pour vous emmener jusqu’à l’hôpital Notre Dame à Montréal sans avoir à faire des démarches longues et pénibles pour l’acquisition de Passeport.

Les lyokoguerriers étaient sans voix. Le piège qui leur était tendu était bien ficellé. Aucune faille n’était exploitable, rien ne pouvait les empêcher d’emmener Aelita au Canada.

Je pense que je n’ai pas le choix, si elle veut me voir, je ne vois pas pourquoi je la ferai attendre. A condition bien entendu que monsieur le principal refuse mon départ, déclara aelita à contre-cœur sachant que le principal n’avait rien dit sur le fait que william aurait été aux Etats-Unis sur un coup de tête.

Vous avez raison mademoiselle Stones, l’honneur au mourant est bien plus important que bien des choses.

Mais, et les cours que je vais rater ? protesta Aelita

Voyons, vous pourez vous rattraper quand vous voudrez à votre retour, mademoiselle Stones, tandis que vous ne pourrez assister votre mère dans la mort qu’une seule fois dans toute votre vie.

Cathal sourit, le principal était de son côté, mais il lui semblait que les VSS (virtual special soldier) en herbes ne se souvenait pas de lui, pourtant se sont bien eux qui ont causé le retour temporel qui a frappé la Baal Team.

Je peux aussi y aller ? demanda Odd dans une dernière tentative.

C’est qui lui ? fit Cathal surpris de cette demande.

C’est mon cousin, de ce fait ma mère serait sa tante.

Vous pourrez y allez, della Robbia, Fit le Principal, a une seule condition.

Cette tentative d’Odd fut fructueuse, même Cathal n’avait pas pensé qu’il pouraient faire jouer la généalogie en leur faveur. Même si le principal accepta, la condition que les parents de Odd remplissent un papier à cet effet.

Sous cette garantie de ne pas être seule à partir, Aelita accepta finalement la proposition

Après qu’Aelita ait signé les documents qui leur autorise de quitter l’école, les lyokoguerriers partirent pour leur cours.

Dans l’antichambre, attendaient deux personnes, visiblement un père venu inscrire son fils au Collège Kadic.

Pendant que les lyokoguerriers allaient en classe, ils ne purent s’empêcher de parler

- Ça sent le piège à plein nez.

- Cela peut être un piège, mais si je ne me trompe pas, Xana n’est plus. S’exclama Odd.

- C’est vrai, qui d’autre que xana en voudrait à Aelita ?

- Je ne sais pas, mais Nous savons au moins que la mère d’Aelita l’a élevée et donc l’a forcément reconnue. Dit Jeremy.

- c’est peut-être vrai ce qu’ils ont dit. Ma mère est peut-être là-bas. De plus qui me voudrait du mal là-bas ?

-Je ne sais pas mais je dis que cela ne présage rien de bon.

-T’inquiète pas Jeremy, on t’enverra régulièrement des cartes postale, déclara Odd

- Je préfèrerai que ce soit des SMS Odd.

- Va pour les sms tant que tu laisse Aelita partir.

- Mais aelita peu y aller,c’est que …

-c’est que tu t’en voudrais s’il lui arrivait malheur.

- Euh oui en quelque sorte.

-On sera prudent Jeremydis Aelita qui venait d’entendre la dernière phrase.

Pour moi,

Dans l’Usine, Barry palmerston et l’agent spécial Carrell déjouaient sans gros problème les camera de surveillance de Jeremy et arrivèrent dans la salle des machines de l’usine.

-Allo sullivan, par où doit-on partir maintenant.

- L’hologlobe indique une ouverture au fond en haut, il doit y avoir une échelle mais la précision de l’appareil ne permet pas de la détecter.vous devrez la trouver par vous même.dit sullivan dans le HP lark a plus de mille mètres d’altitude.

-Merci Sullivan.

Après quelques minutes, Barry et Carrell furent dans le laboratoire.

Directement Carrell s’installa aux commandes.Carrell est un informatitien de guerre métier créé par la Darpa suite à la forte augmentation des véhicules informatiquement assisté et dont le but est de s’assurer du bon entretien de ces machines de guerre.

Normalement, il est attaché à l’héliplane Lark mais comme ils sont pour le moment en effectif réduit, il aide les unités au sol.

Donc Carrell fouillait les données du supercalculateur, tandis que Barry parti explorer les salles inférieures.

Arrivé en bas, Barry aperçut les scanner.

-pas de doute possibles, c’est bien ici qu’ils sont basé. C’est étonnant que l’on n’aie pas été détecté.se dit il alors qu’il remontait l’échelle.

Alors dit il alors a voix haute en direction de Carrell.

J’ai trouvé plein de choses, mais pas de programme capable de générer une dépense d’énergie assez forte que pour créer un saut temporel. Mais j’ai découvert plein d’autre choses. Plein de programme lié à leur monde virtuel propre, mais aussi un petit programme appelé « synthétiseur Vocal ». Il semblerai que cela leur permet de fair moduler les ondes captée par un micro pour qu’à l’arrivée ce soit la voix d’une autre personne bien définie. J’ai déjà découvert la voix d’un dénommé Mr dunbar et cell d’un dénommé Jean pierre Delmas,je cherche à savoir si ils n’ont pas d’autre voix dans leur attirails.

Comme ?

La voix du président français ou d’autre grand représentant, si c’est le cas, ils sont une menace pour l’unité de la France et dans ce cas leur arrestation peut être orchestrée en toute légalité.
Bon récapitulons. Nous savons déjà grâce à notre base aux USA qu’ils ont tous couvert cette Aelita lui donnant un nom et un passé fictif, mais nous ne pouvons pas l’utiliser car cela ruinerai la mission principal.
Ils possèdent un moduleur vocal, mais les charges contre eux ne sont pas assez suffissantes que pour les arrêter.

Continue de chercher. Il nous faut des preuves pouvant les mettres hors courses comme vous le dite en toute légalité.

Le GSM de barry sonna.

-Allo. Quoi, que vient-il faire là lui.dit il surpris

-D’accord,continua-t-il, il ne va certainement pas vouloir lacher prise je pense que l’on peut le laisser venir avec nous. Je pense que nous avons de quoi lui faire une couverture adéquate.

-oh rien de bien méchant,un simple petit logiciel de leur fabrication, si tu viens à leur base je pourrait te le montrer. Au revoir.

Barry raccrocha.

Le piège est près et opérationnel, n’attendant plus que votre ordre.

- Nous allons attendre que la mission principal soit au point de non retour avant de progresser d’avantage sur la secondaire.

-des problèmes ? vous semblé contrarié.

- pas de gros problème en perspective, seulement qu’un des VSS français va accompagner notre cible mais vu leur age et notre potentiel technologique, je ne pense pas qu’ils pourraient opposer de résistance substancielle.

Environs une heure plus tard dans la maison des Della Robia au nord de Paris.

Le téléphone sonna

Allo, *** della Robia,j’écoute. (on ne mentionne pas le prénom du père d'Odd dans la série)

Allo ici c’est Jean-pierre delmas, le principal du Collège Kadic. Je vous téléphone pour vous dire que votre fils a fortement voulu accompagner son amie pour aller voir sa mère qui est mourante. Voilà Comme c’est bientôt le Week-end Je pensait bien pouvoir accepter à sa demande mais ily a problème. La mère de son amie Aelita est hospitalisé au Quebec et c’est déjà un miracle qu’Aelita puisse y aller. Selon les personnes qui ont organisé la visite il leur est possible de prendre votre fils mais voilà je ne peut pas me permettre de le laisser partir àl’étranger sans au préalable remplir les documents nécessaire. Document que vous aussi devrez signer, attestant de ce fait votre accord pour ce voyage. Si vous pouviez venir me voir dans mon bureau nous pourrons dicuter plus en détaille des nombreuses procédures et des doccument à signer.

-Je ne vois pas d’objection,parvint enfin à placer Mr della Robia après cette longue tirade, à quel heure puis-je venir.

-A l’heure qui vous conviendra le mieux,reprit Le principal,je n’ai pour le moment d’autre occupation que celle concernant les voyages d’adieu à la mère d’Aelita Stone.

Après s’être dis au revoir, mr Della Robia raccrocha.

Dans l’usine

-Tout simplement génial. Dis Cathal en reposant le micro. Avec ce programme, nous pourrons avoir accès à toutes les informations que nous voullons. Dommage que ce Jeremy ne soit pas du Darpa.

- Rien ne nous empêche de l’engager.

-Je vous rappèle que la dernière fois que le darpa a engagé des personnes étrangères ce fut une catastrophe et nous avons subit des pertes qui même près de quinze ans plus tard ne sont toujours pas réparées entièrement. Je doute fort que Le colonel approuvera que nous engagions à nouveau des personnes dont on ne connait pas leurs tendances politique et philosophique.

Carrell s’installa aux commandes.

-Cela ne vous derange pas si je fais une copie de ce programme. Cela fera une arme de plus pour le « Lark »

Faites, ça le colonel approuvera. Il a toujours approuvé le vol intellectuel c’est moins risqué surtout si nous avons des moyens de couverture colossaux.

À la fin des cours, les lyokoguerriers se rassemblère près des distributeurs.

- Je me demande bien où il est passé maintenant ce notaire.

-Il doit certainement faire signer des documents quelque part je vois pas ce qu’il aurait d’autre à faire .

Odd, Ce sont pas tes parents là-bas.

Oh non, Ils vont tous voir que nous te couvrons,fit Odd,c’est fichu. J’aurais pas du me proposer pour aller avec toi.

Tu savait pas qu’ils seraient convoqué Odd, ce n’est pas ta faute.

Tu comprend pas, rapidement Nous aurons à tous déclarer aux autorités,ce qu’on a fais contre Xana pendant toutesces années.

Toi qui voulais être célèbre odd tu t’es ravisé ?

Non pas du tout, mais c’est que je suis pas prêt à la faire devant mes parents c’est tout.

De toute façon Odd tu peut leur expliquer que tu m’a déclaré comme cousine pour que je soit inscrit ici.

Hein mais ce que tu fais là Aelita c’est carrément du suicide.s’écria Ulrich, déclarer ouvertement qu’on a mentit délibérément.

Je suis pour la proposition d’Aelita, dit jeremy a l’étonnement de tous. On risque moins en leur donnant une demi-vérité qu’en leur forçant à trouver la vérité par eux-même.

Bon ben dans ce cas, je vais vite me dépêcher avant qu’ils ne recontre le principal. Merci Aelita, je te revaudrai cela. Dit Odd tout en se précipitant vers le bureau du principal.

Dans le parc, un homme caché derrière un arbre se agrippe son micro

-Problem, Della robbia Junior vient dans votre direction.

- Compris, est-il seul ?

-affirmatif.


Odd arriva sous l’arcade et aperçut ses parents rentrant au loin dans le bureau de Principal.

Il se dépécha d’y aller quand un homme l’accosta.

- Reste calme jeune Della robbia, ou tu va faire foirer la couverture que nous nous somme ingénié à créer pour toi et ta prétendue cousine.

Odd fut surpris par les derniers mots. Ils savent donc qu’il a mentit, que savent-ils d’autres ?

- Hein mais comment …

- Rest calme, nous avons simplement besoin d’Aelita et nous avons plus de dix hommes armé encerclant ce collège au moment où je te parle. Même si vous vouliez nous faire faut bond nous aurions la possibilité de vous rattraper avant le flash et même après.

Le flash, que veulent ils dirent par là se demanda Odd.

Un petit bip retentit alors dans la poche de Barry palmerston.

Voilà, déclara l’agent spécial, les papiers ont été signés. Vous pouvez maintenant aller leur dire ce que la jeune Aelita vous a permis de dire.

Odd alla voir ses parents tandis que Cathal sortait du bureau.

- Il s’en est fallu de peu pour que tout tombe à l’eau et que l’on soit obligé de passer au plan B.

- Ce Della Robbia est assez tenace. Je commence à comprendre pourquoi ils les ont choisit pour tenir cette base secrète. Un operateur hors pair bien que jeune, des VSS aussi tenace les un que les autres. S’ils étaient américains ils serait au Darpa sans aucun doute.

- Oui sans aucun doute. Au fait que lui a tu dis pour le retarder.

- Rien de bien méchant, simplement qu’il devait coopérer s’il ne voulait pas que nous employons la manière forte.

Une demi heure plus tard dans la chambre d’Ulrich et Odd.

- Tu peux répèter cela. Dit ulrich, question que l’on comprenne mieux.

- Ils savent qu’aelita n’est pas mas cousine, mais aussi ils savait ce qu’elle vennait juste de dire alors que nous étions dans la cours.

- maintenant on est fixé, Nous avons affaire à un service secret qui en veux à Aelita. Odd quoi qu’il arrive ne quitte jamais Aelita. Nous allons voir pour trouver un moyen de résoudre ce problème.

Un problème, c’est une catastrophe tu veux dire. S’écria odd alors qu’il remplissait sa valise. La seule raison qu’ils ont d’en vouloir a aelita et a Aelita seule réside dans notre secret. Qui n’est certainement plus un secret.

Comment ont-ils pu nous trouver, je me le demande.

Grâce au groupe des « subdigital » fit Cathal en tocant à la porte de la chambre. Mister odd si vous ne vous dépêcher pas nous partirons ans vous. Je peux prendre certain de vos bagages.

Il y a cette valise-là, le reste je m’en charge. Dit Odd le plus calmement possible.

Quand l’agent spécial quitta la chambre

Je les aime pas ces gas-là. Mais ils me semble les avoir déjà vu dans un rêve. Un rêve se déroulant sur Lyoko. Dit Odd

J’ai moi aussi la même impression. J’avais promis à aelita de vérifier le retour vers le passé car il lui semblait qu’il en avait eu un mais avec les événements de ce matin c’était complètement sortit de ma tête.

- C’est peut-être cela le flash dont il parlait. Pense odd tout haut.

-Pardon ?

- Le deuxième gas, celui qui m’a arrêté sous l’arcade m’avais déclaré que même si on s’enfuyait ils sauraient nous rattraper avant le flash et même après.

-Et tu pense que le flash dont ils parlent c’est le retour vers le passé ? Il faudra aller à l’usine, les sécurité que j’y ai mise ne sont pas faite pour retenir des agent secrèt déterminé à passer. Il faut que j’aille voir ce qui s’y trame.

Si tu veux je t’accompagne. Dit ulrich.

Bon, Il ne faut pas faire attendre le pseudo-notaire. Dit Jeremy.

Tu compte vraiment nous envoyer là-bas. Répliqua Odd tandis Qu’ulrich et eremy emportait déjà ses bagages.

Tant qu’on ne sait paspourquoi ilsen veulent à Aelita, mieux vaut jouer leurs jeux. De plus, je pense pas qu’il ne nous laisse le choix.

Après s’être fait les adieux et avoir embarquer les bagages, Le notaire son chauffeur-secrétaire et les deux lyokoguerriers montèrent dans la voiture. Et partirent pour l’aéroport d’Orly.

Arrivé là-bas, la berline noire s’arrêta face à l’entrée. Deux personnes abordèrent la voitures.

Ce sont nos associés maitre mareck et son secrétaire mr Cadmon, ils vont s’occuper de la partie canadienne de l’affaire. Nous allonsdevoir vous laisser car d’autres affaires demandent notre présence sur le sol français. Je vous souhaite un bon voyage.

Si vous voullez bien nous suivre. Nous n’avons pas beaucoup de temps.l’avion part dans une demi heures,mais nous avons encore à enregistrer les bagages.

Cette formalité faite, les deux lyokoguerriers attendaient dans la hall de l’aéroport.

- cela m‘étonne quand même que tes parents ne t’ont pas refusé ce voyage.

- Oh avec toute les vacance que j’ai passé à kadic il ont trouvé bon que je change un peu d’air. Ce sont mes parents, ils n’ont jamais réellement été en colère contre moi, et je ne pense pas qu’ils y arriverons tout seul.

- Si tu fait allusion à l’attaque de xana où ils ont failli te faire sauter du toit de batiment des science je n’était pas présente maisd’après ce que tu en a dit ils était encore gentil ils me semble.

- Oui et Jim était toujours aussi ridicule.

« Embarquement pour le vol en partance pour Montréal, Porte 23. »

-Bon, les jeunes, il est temps de se bouger si on veut éviter la cohue de dernière minute.déclara Mareck. Voici vos ticket d’embarquement.


Quelque minute plus tard, Odd et Aelita avait pris place dans l’avion et Ils envoyèrent comme prévu un message à jeremy pour certifier leur bon départ.

De leur côté, Mareck et Cadmon envoyèrent un message aux agents Cathal et Barry : la mission première a atteint le point de non retour,vous pouvez commencer mission deux.

L’avion se mit dans l’axe de la piste et au signal de la tour partit pour le nouveau monde.

Dans l’usine Barry et Cathal aidé par Carrell préparaient leslieux pour identifier sans trop tarder le reste des VSS français et espérer qu’ils les mèneraient à leur chef.

Lordwilliam
28/05/09 à 15:03
épisode 2 Les « fils de la liberté »


Partie 1 : un atterissage très mouvementé.

Dans les cieux canadien, le vol U-537 ammorçait sa descente vers l’aéroport de Montréal.

-Mesdames et messieur les passagers, nous vous prions de bien boucler votre ceinture nous allons atterrir dans quelques minutes.

Peu de temps après, de nombreuses secousses ébranlèrent l’avion de toute part.

- Des turbulences, il ne manquaient plus que cela,s’écria le pilote pendant qu’il essayait de stabiliser son appareil.

Les turbulences augmentaient en intensité tandis que l’avion descendait.

- j’ai jamais vu des turbulences pareille à cette altitude.

L’avion commençait à tanguer de gauche à droite de plus en plus. Puis soudain l’avion tomba dans un trou d’air qui l’écrasa au sol. Écrasé est un peu fort car pour une raison inconnue et surnaturelle l’avion s’immobilisa un instant à dix mètres du sol avant de continuer sa chute. Le choc fut tel que l’avion se brisa en trois, projetant des débris tout autour de lui.

Petit à Petit les vents violents à l’origine des turbulences s’estompèrent, Xana avait désactivé une autre de ses tours. Mais ne comptait pas en rester là, une autre tour s’activa.

Les passagers, encore sous le choc pour certain, commencèrent à se détacher.

- y a t-il un médecin à bord cria un des passager en voyant les hotesses sérieusement blessée par les nombreux choc. Une des fissures de l’avion s’était ouverte juste dans leur section.

A l’extérieur, des fumeroles commencèrent à apparaître aux abords des épaves tandis que la première voiture de police arrivait sur les lieux. Suivie quelque minutes plus tard par des ambulances et voitures de pompier.

Parmi les passager l’angoisse montait, les sortie de secour avaient été endommagée lors de l’impact ou refusaient de s’ouvrir.

-Alita faut pas rester ici.dit Odd tandis qu’il tira Aelita vers l’arrière de l’avion.

-par où compte tu passé Odd ? Nous somme pris au piège. Je commence à croire que mon rêve est en fait réalité et que Xana n’est pas mort.

Je me suis dit que les places arrières sont certainement plus sure que celle de devant et que de ce fait la soute à bagage doit avoir une porte pouvant s’ouvrir.

Les services de secour s’approchèrent de l’appareil cherchant un moyen d’ouvrir les portes.
Les fumeroles s’intensifièrent et des bulles apparurent autour de la carlingue.

Elles s’enfoncent cria un des policier à son collègue, Justin les épaves s’enfoncent.

Il doit y avoir une cavité juste en dessous

Les services de secours s’affairèrent sans succès à ouvrirent les portes, tandis que de leur côté Odd et Aelita arrivèrent dans la soute à bagages.

Suite à ce problème, il ne restait plus qu’un possibilitée au service de secour, ouvrir une des brèches pour ensuite aller chercher les rescapés.

Pour ce faire, des téméraires partirent à l’assaut des épaves et y fixèrent du mieux qu’ils purent des filins dans le but de tracter l’arrière de l’avion.

Cela fait, ils ne parvinrent pas à la faire bouger tant elle était enfocée dals le sol, la boue atteignant déjà les mollets de nos héros.

Loin de la foule, un homme observa la scène. Il ne pouvait pas les aider ouvertement mais devait s’assurer de leur survie. Soudain il leva le bras et marmonna quelque parole dans une langue ancienne. Dans les secondes qui suivirent l’épave cessa de s’enfoncer et glissa tractée par les camions de pompier.

Rapidement les rescapés sortirent de l’appareil, portant pour la plupart des blessé et furent acceuilli par les ambulanciers. Malgré que les camions se soit arrêté, lapartie d’épave tractée continua sa course et ne s’arrêta qu’en dehors du champ liquéfié.

Xana avait encore une fois subit un échec face aux américains. Il avait détecté des étranges force contrariant les siennes sans vraiment s’y opposer. Ces personnes lui étaient encore inconnue mais il se doutait qu’il ne parviendra pas à tuer Aelita si ces personnes restent autour d’elle.

Loin du va et viens des ambulanciers, une personne s’éffondra, épuisée du double exploit qu’elle venait de faire en moins d’une heure. Le Darpa lui avait donné une vie spéciale, mais cette spécialité il s’en serait bien passé, si elle ne pouvait pas sauver des vies.

Dans la soute,Odd et Aelita se relevèrent, ils avaient survécu au crash et à l’engloutissement mais encore mieux,ils avaient réussi à se séparer des agents de la Darpa.

Ces même agents les cherchaient dans la foules des rescapé qui se massaient près des ambulances.

Odd sortit de la soute quand un homme apparu devant ses yeux et l’interpella en Anglais.

Come on Boy, you have to get away from here before it attack again. I can help you in that way. Meet me at Venice in California.
(allez mon garçon, vous devez partir avant qu’il n’attaque a nouveau. Pour cela, je peux vous aider. Rencontrer moi à Venise en Californie.)

-Desolé mais je n’ai rien compris à ce que vous venez de dire. Dit Odd pouvez vous traduire.

- Meet me at Venice in California, répèta-t-il avant de disparaître aussi mystérieusement qu’il est apparu.

Odd et Aelita prirent dans leurs bagages les affaires qu’ils avaient besoin absolument et partirent discrètement par la forêt toute proche.

Tandis qu’ils partaient deux mots continuaient de résonner dans leur tête « Venice » « California ».